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I need answers • Denleigh

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Tu le défiais parce que tu es joueuse et puis au moins le fait qu'il veuille se "venger" en ayant à son tour les questions, tu le retrouvais un peu. À nouveau tu le défiais à ses "menaces", lui faisant un clin d'œil. Il enleva sa seconde chaussure. Tu poses une autre question et il enleva une chaussette, essayant de gratter des vêtements, mais pas question. Tu utilises l'excuse de son patron et son travail pour qu'il enlève les deux chaussettes. Sa réplique te fait sourire alors que tu hoches la tête. En fait qu'il soit en retard pour son travail ou qu'il n'y aille pas c'est pas ton soucis. Du tout. Mais on va dire que oui comme. Une fois encore c'est à toi de poser la question comme tu as obtenu un oui. Tu tiens à creuser encore et tu réfléchis bien à tes questions. Tu veux obtenir des oui, pas des non. Tu veux comprendre et tu veux pas juste le mettre mal à l'aise. À travers ta question tu lui dis que toi aussi tu en avais eut envie. Histoire qu'il sache, qu'il se sent pas seul sur le bateau. Tu lui avais dit pourtant mais c'est comme si tu le surprends vu qu'il te demande confirmation, puis qu'il enlève ensuite son haut. Suivant le mouvement, tu enlèves ton legging afin d'être juste en culotte avec ton haut. Ben ouais tu étais dans ton lit tu avais pas de chaussettes ni chaussures ni blouson sur toi. Tu n'avais pas à le faire mais tu voulais égaliser les choses, histoire qu'il soit pas à walp et toi entièrement habillée. Tu montrais ta bonne foie. En attendant, tes yeux se posèrent à nouveau sur lui et sur son torse. Musclé, bien foutu, tu constatais un peu mieux les formes de son corps. Est ce que tu vas arrêter de m'ignorer ? Pitié dit oui Denys. Tu en avais marre de cette éloignement. Même là dans cette si petite pièce, si proche, tu me sentais si loin. Tu voulais un oui. Tu priais presque dans ta tête pour en avoir un. Vas y Den' enlève ton pantalon.

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Regards défiants, petites menaces, clin d’œil amusé de la demoiselle et sourire en coin sur mes lèvres, on se retrouvait un peu là. Quelques instants seulement, parce que le sérieux reprit avec les questions. J’essayais de ne pas laisser le trouble s’installer, parlementant, essayant de négocier les règles des paires, fier de mon avantage du début : j’avais quand même davantage de vêtements sur moi en entrant, et maintenant j’étais clairement en train de perdre. « Si j’avais su, j’aurais mis un bonnet et des gants avant de jouer… » Mauvais joueur, ça ne me ressemblait pas. J’étais compétitif certes, mais j’acceptais plutôt bien d’habitude la défaite. Là, c’était différent car défaite = se retrouver complètement dévêtu et c’était une idée que je redoutais. Chaussette, chaussure, puis T shirt, mon haut volant après la dernière question de la demoiselle, portant sur mon trouble d’apprendre qu’elle en avait eu également envie elle aussi. Oui, j’avais été troublé et d’ailleurs je demandai confirmation de l’aveu qu’elle avait glissé dans sa question. Bien que ce ne soit pas à mon tour de l’interroger, Ash se prêta au jeu retirant son legging. Mes prunelles suivirent un instant le mouvement de ses mains, qui firent descendre le morceau de tissu, puis détaillèrent un instant ses jambes, avant de me reprendre, de forcer mon regard à se focaliser sur son visage à elle, et m’appliquant à n’afficher qu’une expression impassible, malgré ses yeux à elle qui me détaillaient. Mon amie reprit alors la parole, nouvelle question. Est-ce que j’allais arrêter de l’ignorer ? Une question qui me laissa muet quelques secondes. Immobile. Pas de vêtement enlevé. Pas de question posée en retour. Pas de oui. Pas de non. Donc… Et c’est avec une grande sincérité que je lâchai un : « Je ne sais pas… » Je n'en savais rien... Comment ça allait évoluer, si le trouble allait passer, s'accentuer ? Seul l'avenir nous le dirait... Et puis, histoire de continuer cette –partie- de notre drôle de jeu, j’ajoutai : « On fait quoi pour un –je sais pas- ? » On remet une chaussette ? On défait un seul bouton du pantalon ? Allez Ash, c’est toi la maitresse des règles du jeu.
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Cette fois tu rigoles. Oui avec un bonnet et des gants il s'en serait mieux sorti parce que là il avait eut un fort avantage niveau couches pour finalement être le perdant. Mais c'est le jeu, c'est comme ça. Tu avais les bonnes questions et il jouait bien dans la sincérité. Tu continuas ton lot de questions, arrivant à celle où tu reconnais en avoir eut envie de coucher avec lui. Ben oui tu assumes et tu le laissais pas seul dans ses aveux et dans la merde. Tu étais solidaire, si bien que tu enlevais ton bas. À égalité, tu avais seulement un haut et lui le bas. Ensuite seulement vos sous vêtement seraient là pour couvrir vos parties intimes. Tu poses une question que tu envisages être la dernière et à laquelle tu attends, non tu veux, un oui. Mais non. Un silence, il prend son temps pour libérer un je ne sais pas. Quatre mots qui t'arrache le coeur. C'est pas un non, c'est pas perdu, mais ça te fait de la peine. Et ça se voit surement, ton sourire à disparu et ton visage se fait peiné. Alors quand il te demande la règle pour un je ne sais pas, t'as pas besoin de réfléchir. On enlève chacun un vêtement, comme ça pas de jaloux. Du coup tu places tes mains en bas de ton haut et tu le fait passer par dessus ta tête. En quelques mouvements tu te retrouves couverte de seulement tes sous vêtements. Tu regardes Denys qui se retrouve pareil et tu te mets à rire. Tu sais pas pourquoi mais tu te mets à rire. Peut être car vous avez l'air un peu con comme ça, mais osef. Puis tu t'approches de lui de quelques pas, en silence. Tu veux voir sa réaction et le tester. Pourquoi tu ne sais pas ? Tu me manques Denys. T'es mon meilleur ami et je veux pas que tu deviennes un inconnu. Je veux pas qu'on s'éloigne. Tu comptes énormément pour moi et... et je veux pas qu'une autre prenne ma place. Ouais c'est ça aussi qui te faisait de la peine. Tu avais pas envie qu'une autre partage les moments que toi tu partageais avec lui. C'est ton meilleur ami, ton confident et tu ne voulais pas qu'on prenne ta place. Tu étais plus que sérieuse, oubliant même ta tenue légère. Tu voulais vraiment le retrouver. C'était fou mais sans lui tu te sentais pas complète. Que dois je faire pour que tu ne m'évites plus ? tu lui demandes en attrapant ses deux mains pour qu'il te regarde, qu'il te dise quoi faire pour le récupérer. Pour qu'il voit combien tu y tenais.

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Mes ronchonnements, mes répliques, mon mode grognon parlementant et négociant les règles, ça finit même par lui soutirer un rire et je n’arrivais même plus à garder mon air gêné mal à l’aise, ou même ma moue contrariée en entendant ce son. Ce rire. Ca aussi ça m’avait manqué. Je souris et je me désapai donc. Plus que mon jean et mon caleçon en dessous et elle n’était pas beaucoup plus vêtue. A égalité. Et le trouble réapparut alors, surtout en entendant la question, la suite, si j’allais continuer à l’ignorer, à l’éviter. Je n’avais pas moi même la réponse. Plutôt que de laisser le malaise s’installer je lui réclamai une nouvelle règle, un nouveau truc pour lorsque la réponse était un –jsais pas- Le sourire avait quitté son visage, je pus lire une lueur peinée dans ses yeux qui me fit souffler alors : « Je suis désolé. » De pas savoir répondre autrement. Mais j’avais choisi l’option honnêteté, pour jouer ce jeu à 100%. Et la vérité c’était que je n’étais pas sûr que tout pourrait reprendre son cours comme avant entre nous. Ashleigh expliqua alors qu’il fallait qu’on enlève chacun un vêtement. Pensée pour mon bonnet et mes gants que j’aurais vraiment du enfiler avant d’entamer la partie. Je dénouai les boutons de mon jean, le fis glisser pour le lancer ensuite par terre, par dessus mon T shirt en boule qui jonchait le sol un peu plus loin. Puis je redressai le menton, pour constater qu’elle avait également joué le jeu, qu’elle était devant moi, uniquement couverte de ses sous vêtements. Mes prunelles la détaillèrent plus que je ne l’aurais voulu mais son rire qui résonna à nouveau m’empêcha de me laisser envahir par le stress de voir tout déraper à nouveau. Parce que si ma meilleure amie m’avait terriblement attirée l’autre soir, là, à moitié nue devant moi, je risquais d’avoir un nouveau coup de chaud. Sauf qu’avec seulement un calbut sur moi, ma potentielle excitation ne passerait pas inaperçue. Mon rire résonna en écho avec le sien, parce que l’hilarité valait surement mieux, sauf que quand elle fit un pas vers moi, je reculai naturellement, instinctivement, butant contre le bureau. Maintenir une certaine distance, voilà qui était plus sage. Elle reprit alors la parole, m’interrogeant sur le pourquoi de mes doutes quant à la suite. « C’est pas une question à laquelle je peux répondre par oui ou non ça, je présume que ça veut dire que tu as perdu. » rétorquai-je, malicieusement avant de réclamer : « Allez Ash, à poil ! » Je ne fis pas le malin longtemps, le sérieux revint vite, néanmoins, lorsqu’elle enchaina, répétant que je lui manquais, que j’étais son meilleur ami, me confiant ses craintes, réduisant un peu plus la distance entre nous jusqu’à être juste devant moi, jusqu’à ce qu’elle attrape mes mains. « Moi aussi je veux qu’on se retrouve… Viens là. » avouai-je alors, en tirant doucement sur ses mains pour l’attirer contre moi, l’entourer de mes bras, pour l'enlacer tendrement, sans vraiment réfléchir à mon geste. Ce n’est que lorsque je sentis le parfum de ses cheveux qui me chatouillait les narines, la chaleur de sa peau contre la mienne, la dentelle de sa lingerie contre mon torse, que je réalisais, trop tard, cette proximité soudaine que j’avais provoqué entre nous et qui entraina alors l’inévitable. Réaction immédiate de mon entrejambe, qui était complètement impossible à cacher vu ma tenue. Relâchant mon emprise, m’écartant gêné, je lui demandais alors : « Rhabille toi Ash… »

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Il était sincère, ça tu ne pouvais pas lui reprocher, mais ses mots te firent de la peine. Tu espérais un oui et tu avais obtenu un je ne sais pas. Tout ce que tu voulais c'était le retrouver et surtout ne pas prendre le risque de le perdre. Ah non ça tu ne le supporterais pas. Tu n'es pas de nature jalouse ou possessive mais Denys c'est ton meilleur ami et il était pas question que tu t'en éloignes et qu'une autre prenne ta place. Tu ne l'accepterai clairement pas. Alors impossible de cacher ta peine. Et son désolée ne t'aide pas beaucoup. Tu ne veux pas d'un désolée, tu le veux juste lui et votre amitié comme avant. Quant à ta dernière question, que tu espérais être positive, hélas non et donc une nouvelle règle prend place; pour un je ne sais pas, chacun de vous doit enlever un vêtement. Ceci entraînait le fait que l'un comme l'autre vous vous retrouvez en sous vêtement. Et si toi ça ne te dérange pas, si tu as l'habitude d'être en petite tenue devant des hommes et si tu n'es pas pudique, tu te mets tout de même à rire en vous voyant dénudés. Vous avez l'air ridicule mais tant pis. Tu profites de ce moment pour te confier et lui dire combien tu ne veux pas le perdre. T'as besoin de lui dans ta vie désormais et pas question que cette mauvaise plaisanterie vous éloigne. Tu lui ouvres ton coeur, tu te livres, parce que t'as vraiment pas envie qu'il s'éloigne plus de toi. Et quand il t'avoue que lui aussi il veut te retrouver et qu'il te demande de venir, tu ne cherches pas à comprendre et tu fonces. Tu t'avances plus vers lui, même s'il a reculé après ton approche, et tu le sers dans tes bras. Oui c'est étrange cette proximité au vu de votre tenue, oui ce câlin n'est pas comme d'autres, mais là tout ce que tu vois c'est que tu te sens à nouveau proche de lui, que tu sens sa présence comparé aux derniers jours. Et tu ne veux pas que ce moment s'arrête, parce que tu ne sais pas comment demain les choses vont être entre vous. T'es pas certaine que tout va redevenir normal. Il veut te retrouver mais il a tout de même dit qu'il ne savait pas s'il allait continuer à t'éviter. Alors tu profites de l'instant présent, de son contact et du fait qu'à nouveau tu retrouves un bout de ton meilleur ami. Hélas ça ne dure pas longtemps.... A peine le temps d'en profiter qu'il rompt tout contact entre vous, te demandant de te rhabiller. Dans un premier temps tu comprends pas. Quel est le problème avec ta tenue ? Puis tu repasses la scène au ralentie. Tu n'as pas rêvé, t'as bien senti une certaine réaction lors de votre rapprochement. Non t'es pas folle. Enfin tu crois... Denys ! lui dis tu sur la défensive et légèrement vexée. C'est quoi le problème ? T'as couché avec pas mal de tes amies, je le sais, alors pourquoi tu agis comme ça ? Tu comptes laisser tes pulsions nous éloigner ? C'est ça que tu veux ? Qu'on s'éloigne ? Ta voix a changé. T'es un peu énervée, agacée et puis blessée. Tu comprends pas sa réaction. Pourquoi toi ça change d'une autre de ses amies ? Ça en devient presque vexant. Alors dans un moment de pulsion, tu t'approches à nouveau de lui et tu poses tes lèvres sur les siennes. Tu l'embrasses de façon lente mais bien appuyée, comme pour voir sa réaction. C'est toi qui avait raison, peut être qu'il faut passer par cette étape pour éviter ce malaise, cette gêne désormais présente. T'es pas conne, t'as bien vu que depuis ta blague et votre dérapage, tout à changé car entre vous y a eut ce moment où vous avez faillit craquer, ce moment où vous avez faillit coucher ensemble. Ca n'a pas eut lieu mais il est clair que c'est resté gravé entre vous. Peut être qu'en y mettant un terme en le faisant, vous pourrez sincèrement retrouvez votre amitié. Tu veux y croire, parce que tu ne veux pas le perdre, pour rien au monde. Ne serait ce qu'un peu, tu ne veux rien perdre de votre relation. Sur tes mots, tu reprends donc possession de ses lèvres. Okay, c'est peut être pas l'idée du siècle, mais avec Maxime ça ne vous a pas empêché de devenir meilleurs amis. Avec Royce ça ne vous a pas empêché d'être potes, ni même avec Milo, ou Amare et bien d'autres. Pourquoi ça serait différent avec Denys ? Aveuglée, tu te rends pas compte que ceci peut vraiment tout changer. Ivy et Lucky t'ont prévenu mais tu les a écouté à moitié. Vous êtes meilleurs amis, c'est tout. Y a pas d'ambiguïté entre vous. Lui à Gabrielle, puis toi entre Tate et surtout Dante, t'es déjà pas mal prise. Mais si seulement tu savais....

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En sous vêtements finalement, suite à la dernière question de la blonde, celle de la suite et mon –je ne sais pas- qui laissait entrevoir le doute qui m’habitait, il y eut entre nous une atmosphère étrange. Entre le malaise et le rire nerveux. Ash prit la parole, s’ouvrant, se livrant, dans une déclaration d’amitié qui eut raison de mon trouble et de mes résistances. J’écartai les bras, l’invitai à s’y blottir et elle ne se fit pas prier, fondant dans cette étreinte, me serrant contre elle. Et en une fraction de seconde, tout basculait. Les sensations de nos peaux, notre tenue légère, son parfum, son contact, sa respiration… Tout me replongea dans la proximité qu’on avait partagé une semaine et quelques plus tôt et la réaction ne tarda pas à se faire sentir un peu plus bas chez moi. M’écartant aussitôt, je lui soufflai de se rhabiller, gêné, ne sachant plus tôt où me mettre. Mon recul soudain parut la blesser, et immédiatement, voix de reproche, elle me questionna sur ma façon d’agir. Ashleigh soulignait avec justesse que j’avais déjà couché avec des filles qui étaient mes amies, et qu’elle ne comprenait donc pas pourquoi cette attirance, visible, devait m’éloigner d’elle aujourd’hui. Elle s’énervait un peu, et moi, les yeux baissés, j’essayais de baragouiner un semblant d’explication tout en me concentrant pour essayer d’ordonner à mon corps de se calmer un peu. « Toi et moi, c’est pas pareil… » me défendis-je alors, sans lever les yeux. Bien sûr, j’étais ami avec Emi, avec Ana, avec Veïa ou encore Meleya mais… C’était pas la même chose.  « Je n’ai pas couché avec des amies. J’ai couché avec des filles qui sont, ensuite, devenues mes amies. » Voilà la seule différence que je réussis à verbaliser : le timing… Peut être parce que ça m’allait mieux de justifier les choses de cette façon plutôt que de prendre conscience de ce que ça impliquait réellement. Qu’est-ce que devenait la fille qui était notre amie, notre confidente, notre complice, si l’on commençait à être en plus du reste incroyablement attiré par elle ? Ma tête me criait danger, et pourtant, quand la blonde réduisit à néant la distance que j’avais imposé entre nous en m’éloignant, lorsqu’elle posa ses lèvres sur les miennes, je fus incapable de marquer un quelconque recul. Ma bouche répondit à la sienne, mes mains se posèrent naturellement sur ses hanches et lorsque nos visages se séparèrent, mes prunelles plongèrent dans les siennes pour l’écouter me souffler mon propre plan. Ce plan idiot qui avait provoqué le bordel complet qui régnait dans ma tête, voilà qu’elle le remettait sur le tapis, qu’elle m’affirmait que j’avais peut être raison et que passer l’étape était le seul moyen de passer outre ce malaise. Sans la lâcher du regard, incapable de prononcer le moindre mot, je secouai simplement la tête de gauche à droite pour lui signifier que non, ce n’était pas la solution. Sauf que lorsqu’elle captura à nouveau mes lèvres, je ne manifestai aucune résistance, au contraire… Répondant avec fièvre à son baiser, mes doigts retrouvèrent, comme la dernière fois, le chemin de son soutien gorge, le dégrafant à tâtons, habilement, dans son dos. Et sans cesser de l’embrasser, je la poussai lentement vers mon lit… La petite voix qui m’hurlait que c’était une mauvaise idée devait avoir une angine, parce que la seule chose que j’entendais, c’était mon pouls qui s’affolait…

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Vous c'est pas pareil, c'était ça son excuse quand tu lui demanda c'était quoi le problème. Et quand tu parlais des autres filles amies avec qui il avait couché, sa réponse te fit un peu rire. Elles étaient devenues ses amies après qu'ils aient couché ensemble. Okay ça changeait un peu le truc mais ça empêchait pas qu'ils avaient continué alors que leurs amitiés évoluées. C'était nul comme prétexte et vu le malaise entre vous deux, tu en venais à penser que la solution était de le faire. Coucher ensemble pour clore le sujet. Coucher ensemble pour repartir sur votre base d'amitié. Ouais tu croyais vraiment que c'était la solution. Alors après un premier baiser, tu lui fis part de ton avis. Il objecta de la tête mais tu repris possession de ses lèvres. Et malgré le non qu'il venait de faire, il ne te repoussa pas le moindre du monde. A la place, il se laissa faire, répondant au baiser. Ses mains déjà présentes sur tes hanches, celles ci montèrent jusqu'à ton dos, dégrafant celui ci comme la dernière fois lorsque vous aviez faillit déraper. Il t'avais dit non pourtant il montrait aucune résistance, mais toi tu ne pensais nullement à ça. A pourquoi dire non mais ne pas essayer de te stopper. Tu vivais le moment présent, sans penser au reste, comme toujours. Alors tu le laissa te pousser vers son lit dont tu butais contre. T'allongeant sur celui ci, toujours tes lèvres collées contre celles de Denys, tu entrainas le mather avec toi afin qu'il se positionne sur toi. Oû tout ça allait mener ? Aucune idée. Mais tu suivis ton instinct et tes envies. Tes mains se baladant dans les cheveux de ton meilleur ami, vos baisers toujours aussi fougueux. Tu constatais que tu en avais vraiment envie, que même si tu étais couverte de quasi rien comme tissu, tu avais pourtant chaud, très chaud. Et puis tu sentais bien tes sens s'activaient. Quittant ses cheveux, tes mains glissèrent dans sa nuque, puis dans son dos, scrutant chaque muscles que tu pouvais sentir. Il était bien foutu y avait pas à dire. Ta poitrine se levait et se baissait sans cesse, sous l'effet de tout ce que tu ressentais. Tu savais que c'est Denys, ton meilleur ami, pourtant une part de toi agissait comme si c'était pas lui, comme si c'était un gars sur qui tu avais jeté ton dévolu. Toute cette tension étant bien plus forte que le fait que ce soit ton meilleur ami avec qui tu t'apprêtais à coucher...

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Non, ce n’était pas la solution, c’était une mauvaise idée, que je n’aurais jamais du lancer d’ailleurs, lorsque j’étais venu la voir il y avait une semaine et quelques jours de cela. Et pourtant, bien qu’au fond de moi, je sache que ce n’était pas le bon chemin à prendre, j’étais incapable de me décoller d’elle. Bien au contraire. Mes doigts voyagèrent sur sa peau, lente caresse jusqu’à son soutien gorge que je dégrafais. Et la guidant lentement vers mon lit, je continuais de savourer le contact de ses lèvres sur les miennes. Mon pouls s’accélérait à mesure que l’excitation grimpait. On pourrait remettre ça sur la prévision de l’acte en lui même, ou sur le fait que c’était la première fois qu’on partageait ce genre de moment avec Ash, je pourrais, oui, me trouver de telles excuses. Sauf que la vérité était tout autre, et que plutôt que de la voir, cette vérité, je confiais simplement la responsabilité de tous mes gestes à mon corps, mon instinct, refusant de penser, de chercher à analyser ou comprendre ce qui était en train de se produire. Elle se laissa lentement tomber sur le lit, dos au matelas, m’entrainant avec elle. Ses doigts dans mes cheveux, puis dans ma nuque, dans mon dos, électrisèrent ma peau. Mes lèvres quittèrent alors un instant les siennes, pour glisser au creux de son cou, descendant ensuite un peu plus, parsemant son buste de baisers avant d’arriver au niveau de sa poitrine, sublime, bougeant en rythme avec sa respiration… Je me redressai un peu, stoppant quelques fractions de secondes mes baisers, juste pour la détailler un instant. Frappé par le fait de la trouver si incroyablement belle, désirable, excitante. Mes doigts se faufilèrent jusqu’à la dentelle de sa petite culotte, doucement, et comme pour respecter le thème de notre jeu, à savoir qu’un vêtement ôté signifiait un oui, je demandai avant toute chose : « T’es sûre de toi ? »

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Avant, l'idée de coucher avec Denys t'aurais jamais traversé l'esprit. Avant, tu n'aurais jamais accepté une telle idée. Pour toi il représente ton meilleur ami, ton double au masculin sur pas mal de points. Il représente aussi beaucoup dans ta vie et dans ton coeur, si bien que tu n'envisageais jamais que ça puisse un jour finir sur l'oreiller. C'était comme impensable, comme avoir en tête de coucher avec son frère. Pourtant, depuis peu, tu pensais plus pareil. Depuis vos baisers, ton dérapage, t'avais constaté que malgré que ce soit ton meilleur ami, y avait pas à dire, il possédait un fort charme et que la faible femme que tu es, était attirée par lui comme tout autres femmes le seraient. Votre amitié avait été une barrière, un frein à tout dérapage. Mais cette taquinerie stupide avait complètement débloquée tout ça. Pour le meilleur ou pour le pire ? Ca avait été plus pour le pire mais tu espérais que ce soit désormais pour le meilleur après cette après midi. Parce que oui, là, vous êtes bien partis pour échanger plus que quelques baisers. Vos lèvres ne se quittent plus. Tu butes contre son lit et tandis que t'as juste ta culotte sur toi, lui son boxer, votre proximité est bien là. Tu sens son souffle sur toi, encore plus quand il quitte tes lèvres pour les glisser dans ton cou. Et chez toi cette partie est clairement très sensible. C'est définitivement une des plus érogènes chez toi. Tu te cambre un peu, le voyant ensuite glisser vers ton buste pour y déposer des baisers, et quand il se stoppe, tu le vois te dire que c'est une erreur, qu'il faut pas, que vous êtes dans le faux. Tu te trompes, aucun mot ne sortent de sa bouche, et sa main se dirige vers ton intimité. Les yeux dans les yeux, il te pose cette question à laquelle tu pourrais prendre la sortie. Là, tu pourrais dire que non, que tu pars en vrille, que ça ne va rien arranger, que c'est débile de croire une telle chose. Oui... C'est cette réponse que tu lui donnes à la place. Tu veux vraiment que ça s'arrange. Le retrouver. Vous avez pas bu, vous êtes conscients, alors pas de raisons qu'il y ait un malaise après non ? Puis pour appuyer ta parole, tu te lèves légèrement le buste et tu poses à nouveau tes lèvres sur les siennes. Un énième baiser, chaleureux, fougueux, tes mains agrippent son caleçon. Et toi ? lui murmures-tu alors, prête à faire glisser son sous vêtement à tout moment. Façon, là vaut mieux avancer que reculer. Là, vaut mieux que vous allez au bout, le malaise serait encore plus grand si vous vous arrêtez maintenant. Frustrez, c'est tout ce que vous serez. L'envie chez lui comme chez toi étant bien là, bien présente. Plusieurs signes le prouvant.

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