@LOUVE V. PEROL Je peux te proposer ça . Dixit le mec qui a cherché un lien
: Lukà et toi, vous vous êtes rencontrés en famille; chez les Petrova. Tu ne pensais pas trouver un ami, quelqu'un sur qui compter. Pourtant, un lien fort c'est vite développé entre vous. Lukà, c'était le protecteur, celui qui comprends tout. Lorsque tu as commencé à boire ou te droguer (si c'est le cas... dis-moi si j'ai tord), il a été ton rempart. Il t'a sauvé à plusieurs reprises de situations embarrassantes... Escapade nocturne au goût d'évasion, il t'avais promis de te sortir de là et il l'a fait. Un appartement, un peu minable, pas trop loin de la fac, pour que tu puisses étudier. c'était ça, votre antre. -> Maintenant, tu as désormais des colocs et tu as refait surface mais au début, il t'avait trouvé un logement.
Puis, toi et lui, lui et toi; ça a fini par être une évidence. Lukà, il a été le premier. Le premier à provoquer tout ça en toi. Le premier à te toucher, comme ça. Le premier à te donner l’illusion de vivre. TU t’es perdue dans ses draps, dans ses bras. Plus d’une fois et, c’était beau : magique. majestueux. Pas de promesses, pas d’engagement. Mais, ta main dans la sienne et vos sourires trop larges se répondant, amour hurlant en secret. T’as fini par mettre des mots là-dessus. T’as fini par lui dire que tu l’aimais, sans détour. Mots francs et assurés. T’as pas eu peur de lui ouvrir ton coeur, un peu plus encore. T’as pas eu peur que tout s’effondre. T’avais besoin de le dire, de tout libérer. Mais lui; lui, il t'a laissé un mot sur le lit et il est parti. Comme un loup dans la nuit. Et toi, t'es restée là, le coeur à découvert, le coeur ouvert. T'es restée là, à saigner d'amour.