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S’il y avait un point positif aux disputes en dehors du fait que cela permettait de clarifier certaines choses, c’était bien les réconciliations sur l’oreiller. Bonaventure s’était dépêché de rentrer à la Quincy House après son échange de sms avec Mira. Il avait besoin de la retrouver, de l’embrasser, de la toucher pour se dire que cette dispute était derrière eux et surtout qu’elle lui pardonnait. Depuis l’annonce de la grossesse de sa mère, il se sentait vraiment en insécurité. Il craignait tellement d’être rejeté par ses parents, de perdre sa mère à cause des risques médicaux. Il était paumé et en même temps, une petite voix n’arrêtait pas de lui souffler que peut-être c’était le moment de prendre tous les risques. Si sa mère mettait sa vie en danger pour obtenir ce qu’elle avait toujours désiré à savoir un enfant biologique, pourquoi ne le ferait-il pas ? Il pourrait tenter cette opération de la dernière chance, malgré les risques que cela comportait non ?! Cette question l’obsédait mais sa priorité actuelle était surtout de « courir » vers sa belle pour lui demander pardon d’une manière bien plus sensuelle.

« Tu m’as manqué durant ces quelques jours » lui avait-il murmuré avant de l’embrasser avec passion, l’entrainant vers sa chambre pour plus d’intimité. Bonaventure n’avait clairement pas envie que leurs retrouvailles se fassent en présence de tierces personnes. Son instinct fut toutefois en alerte quand il entendit son prénom un peu plus loin dans la pièce. La voix lui disait quelque chose mais autant être honnête : il n’était pas en état de réfléchir, pas alors qu’il sentait Mira l’embrassait avec la même fougue, la même envie de se réconcilier d’une façon très agréable. Le couple était donc monté à l’étage et se trouvait présentement dans la chambre du jeune Weasley. Les corps s’échauffaient, les vêtements tombaient notamment sa chemise. Il allait s’attaquer au haut de sa moitié quand des coups résonnèrent à la porte de la chambre. « Faisons comme si on était pas là » dit-il avant qu’il n’entende un : « Bonaventure Weasley… je sais que tu es là alors ouvre moi de suite cette porte sinon je fais un scandale ». Une voix féminine aux intonations un peu snob qui le fit jurer. « Oh non pas elle… » grommela-t-il dans le cou de Mira avant de se redresser et d’enfiler sa chemise. « Tu ferais mieux de.. enfin… C’est.. hum c’est Suzanne »lâcha-t-il d’une voix à la fois grave et résignée. « Je vais voir ce qu’elle veut » soupira-t-il avant d’ouvrir la porte mais à peine l’avait-il fait que cette dernière s’engouffrait dans la pièce sans la moindre invitation. « C’est qui cette…chose ? » demanda-t-elle en désignant Mira. « Suzanne, si c’est pour te montrer désagréable, tu peux retourner d’où tu viens » lâcha-t-il glacial, passant en mode « héritier » pour traiter avec le dragon. « Elle s’appelle Mira et c’est ma petite-amie donc soit tu descends d’un ton, soit tu t’en vas. ajouta-t-il en s’approchant de Mira pour la prendre par la main sous l’œil moqueur de son ex-femme ( ?). « Tu veux dire ta maitresse, je te signale que nous sommes encore mariés ! »

@Mira J. Hudson



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Ce n’est pas la première fois que je suis séparé de Bonaventure pendant quelques jours. Il faut dire que le jeune homme et moi avons des emplois du temps assez chargé alors nous voir tous les jours est quelque peu compliqué. Mais notre récente dispute m’a trotté dans l’esprit tout le week-end, que j’ai passé en grande partie au bar où je travaille où à mon appartement. L’envie de sortir n’était pas présente, et le travail beaucoup moins plaisant. Sourire aux clients fut plus compliqué, me sentant presque trop proche d’eux après les dires de Bonaventure, les pourboires trop importants me mettant mal à l’aise également. Mais je n’ai pas voulu faire le premier pas envers Bonaventure. Après tout, c’est lui qui vient me chercher à disputer au Lord Hobo et qui m’insulte presque. Mais quelques SMS plus tard, des excuses, un pardon et un rendez-vous donné à la Quincy House et l’envie de retrouver Bonaventure sont de nouveau présents. Je le vois finalement apparaître devant moi, dans le salon de la Quincy, un sourire aux lèvres, tandis que je m’approche de lui, passant mes bras autour de son cou, et déposant tendrement mes lèvres contre les siennes. « Ah oui ? T’as apporté mon paquet de bonbons ? » dis-je avec un petit sourire amusé aux lèvres, avant d’attraper sa main, entrelaçant ses doigts aux miens, tandis que je le suis dans les escaliers pour sa chambre. La porte fermée derrière nous, je pose mes mains sur le torse de Bon', me mordillant légèrement la lèvre en relevant mon regard vers lui. « Je suis désolé aussi de t’avoir insulté d’égoïste. » dis-je en caressant doucement son tors. Je peux comprendre sa peur de perdre sa mère, à cause de la médecine alors qu’il s’y connaît, je n’aurai pas dû le traiter ainsi alors qu’il se préoccupe justement de la santé de sa mère. Son T-shirt part rejoindre le sol assez rapidement.« Même tes poils m’ont manqué. »» dis-je en riant, laissant mes lèvres de nouveau se collant aux siennes, grimaçant en entendant une personne frapper à la porte. Sur le coup, je l’écoute, n’en faisant pas attention, continuant à l’embrasser, laissant mes lèvres glisser sur son cou, lorsqu’il s’écarte brusquement pour se rhabiller en entendant la personne. « Hein’ quoi ? » dis-je en haussant un sourcil, une expression de surprise sur le visage. Je n’ai pas le temps de bouger que la jeune femme rentre à l’intérieur, heureusement que le Quincy n’a pas eu le temps de me retirer de vêtement, sinon j’aurai eu l’air fine en soutif devant elle. Déjà qu’elle me jauge, me faisant légèrement rougir tandis que je me regarde dans le miroir un peu plus loin. J’ai l’air d’une chose . C’est vexant quand même ! Je les laisse parler entre eux, ne disant rien ne me sentant absolument pas à ma place. Pourquoi il a fallu qu’elle débarque maintenant ? Je regarde Bonaventure venue s’installer à mes côtés, grimaçant au terme qui m’a déplu et qui m’a collé à la peau pendant plus de 4 mois. « t’es encore marié ? » dis-je en relevant mon regard vers Bona', fronçant légèrement les sourcils avant de tourner mon regard vers sa femme. « Enfin, tant que le mariage n’est pas consommé c'pas vraiment un mariage non plus. »



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Bonaventure souleva le sac plastique qu’il tenait dans sa main libre. « T’es consciente que j’ignore tes bonbons préférés ? Du coup j’ai acheté toutes les sortes de bonbons de la marque Haribo. Dis-moi que dans ce lot, il y a tes bonbons préférés » répliqua-t-il. L’étudiant avait dû passer pour un gros gourmand à la caisse du supermarché auquel il s’était arrêté sur la route pour lui acheter ses confiseries. Dans le fond, c’était le cas, il avait les yeux plus gros que le ventre et cela depuis sa plus tendre enfance. Néanmoins, il n’avait jamais eu véritablement le bec sucré. Il appréciait les bonbons mais pas au point d’en avoir des préférés. « Tu n’avais pas tort dans le fond petit cœur… Avec le recul, j’admets que ma conduite n’est pas uniquement motivée par ma peur de perdre ma mère » soupira-t-il. Il n’aimait pas vraiment l’admettre mais Mira méritait qu’il soit honnête avec elle, complétement honnête même. Ce n’était pourtant pas facile pour lui de se confier, de lâcher la bride côté sentiment et ressentiment. D’ordinaire, il ne se confiait que rarement.

Il ne faut pas longtemps au couple pour se rendre à l’étage et retrouver l’élan qui les poussait l’un vers l’autre. Le contact de ses mains, de ses lèvres lui avait manqué au plus haut point. « Tu vas peut-être finir par les apprécier… gardons l’espoir » la taquina-t-il avant de reprendre ses lèvres, ses mains venant enlacer ses hanches pour mieux se jouer de son haut qu’il s’apprêtait à lui enlever quand des coups à la porte se firent entendre. Dans un premier temps, il avait souhaité faire la sourde oreille. Mira et lui méritaient pleinement de se retrouver après avoir passé quelques jours loin l’un de l’autre et surtout en froid. Le problème c’est que c’était Suzanne derrière la porte et qu’elle n’avait pas l’intention de passer son tour constata-t-il rapidement. Qu’est-ce qu’elle pouvait lui taper sur les nerfs. Pourtant, elle était vraiment belle : grande, élancée, rousse avec d’adorables tâches de rousseur sur le nez. Des yeux gris qui pourraient être magnifiques si le mépris n’était pas la seule émotion qu’ils pouvaient exprimer. « Non ! Enfin.. oui… Je lui ai demandé le divorce, c’est qu’une question de formalité » lui répondit-il alors que sa future ex-femme regardait sa magnifique manucure. « Il pourrait l’être si mon mari acceptait mes conditions et s’il n’était pas autant occupé à forniquer avec la plèbe de la société. Franchement Bonaventure, tu me déçois. Certes, tu es un bâtard adopté mais tu appartiens à une classe privilégiée. Le moins que tu puisses faire pour remercier tes parents, ce serait de te conduire convenablement et de fréquenter les bonnes personnes. Je suis venue te dire que tu t’es suffisamment amusé. J’ai été gentille, je t’ai laissé le temps et toi, comment tu me remercies : en m’envoyant les papiers du divorce. Tu penses sincèrement que je vais renoncer à être une Weasley parce que tu as été officiellement reconnu comme leur fils ? » dit-elle avec un froncement de sourcil. « C’était les termes du contrat : le mariage ne durerait que si mon adoption était rejetée en appel. Si tu crains pour ta future carrière, l’accord est toujours viable : tu recevras le soutien de mon père comme le stipulait le contrat de mariage. Rien d’autre » répliqua-t-il sans se démonter. « Je t’assure que je n’ai pas l’intention de rester marié » dit-il tout bas à sa petite-amie après avoir tourné le dos à Suzanne pour pouvoir parler librement à Mira.



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Je passe doucement mes mains dans le cou de Bonaventure, caressant son visage et sa nuque, en me mordillant la lèvre en l’entendant, une légère grimace venant sublimer le tout. « Tu vois, c’est ça le problème Bon'… … On s’est pas grand-chose l’un de l’autre. » dis-je en haussant les épaules. Je ne dis pas que c’est un reproche que je lui fais, car je ne suis pas vraiment mieux, je serai incapable de dire quel est son dessert favoris… mais peut-être , cela veut dire que nous ne parlons pas assez… qu’on passe top de temps sous la couette. « À la base c’était un test pour savoir si je devais te pardonner ou pas… mais comme tu as tout acheté pour ne pas te trompé… c’est trop mignon. » dis-je avec un sourire ne pouvant que craquer davantage, laissant mes lèvres se poser sur les siennes pour un tendre baiser. « Mais à l’avenir, sache que ce sont les nounours à la gelatine que je préfère » dis-je avec un sourire avant de lever légèrement les yeux au ciel face à ce qu’il dit, caressant doucement sa joue de la paume de ma main. « Alors c’est pourquoi ? Tu as peur qu’ils t’oublient ? » lui demandai-je en me mordillant la lèvre. Je veux le comprendre, et je veux qu’il sache que je suis là s’il souhaite parler, une petite amie c’est ça également. Une oreille pour écouter, et une épaule pour consoler.

Rapidement l’option discussion est mis sur off pour laisser la place à des retrouvailles physiques. Dans une relation, il faut une certaine attirance de l’autre, mais par moments, je me demande s’il n’y en a pas trop entre Bonaventure et moi… qui empêche le reste de fonctionner convenablement. Mais ses mains parcourant mon corps, ses lèvres glissant sur ma peau, ne me permettent pas de résister plus longtemps. Du moins jusqu’à ce que quelqu’un vienne nous interrompre. Je vais finir par croire que cette chambre est tout simplement maudite, c’est pas possible. Je me mordille légèrement la lèvre en voyant la jeune femme entrée, la première fois que je me retrouve face à l’épouse de mon petit ami. Celle pour qui j’ai eu tant de mal à accepter ma relation avec Bonaventure. Et Physiquement, je ne comprends pas pourquoi Bon' ne l’a pas choisi à moi, ce qui semble être de son avis aussi. Mes joues virent à une couleur écarlate en l’entendant parler. Ce n’est même pas le fait que je me sente vexé par rapport à ce qu’elle dit, car au fond… elle n’a pas vraiment tort. Que fait Bona' avec moi, alors qu’il peut traîner avec des personnes bien plus intéressantes et jolies ? Je n’ai même pas le réflexe de lui répondre. Je relève légèrement le regarde lorsque Bona se place en face de moi, me pinçant légèrement la lèvre tandis que je croise ses yeux « oui je sais. » dis-je en laissant un léger sourire s’afficher sur mes lèvres. Je fais confiance à Bonaventure, je savais que cette union lui déplaisait et qu’il souhaitait s’en échapper. Si le divorce n’est pas encore prononcé s’est parce que cette pimbêche n’a pas signé les papiers. « Mais je vais peut-être vous laisser… ce ne sont pas mes affaires. »» dis-je, ne voulant pas avouer, que sa femme me met vraiment mal à l’aise et qui plus est me rend honteuse d’être ici, de ne pas être à ma place, et ce n’est pas un sentiment que j’ai envie que Bonaventure lise sur mon visage en sa présence. « tu m’appelleras quand tu auras mis le chien à la porte. » dis-je avec un regard insistant en direction de son épouse. « tu pourras lui donner l’adresse de mon site internet au passage, je pourrai lui donner quelques conseils. » dis-je avec un sourire en coin. Acheter des vêtements de marques est une chose, savoir les associer pour ne pas avoir l’air d’une idiote en est une autre.


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Mira avait raison, ils ne savaient pas grand-chose l’un de l’autre. « Je crois que c’est parce que l’un comme l’autre, nous n’aimons pas parler de nous » dit-il. A vrai dire, en prenant du recul sur leur relation, ils passaient le plus clair de leur temps à se sauter dessus ou alors à parler de choses légères, sans grandes importances. Bonaventure aimait bien ce genre de confidences, il n’allait pas les rejeter mais que savait-il d’elle ? Pas grand-chose. Avait-elle une couleur préférée ? Un plat, un dessert ? Où avait-elle eu ses cicatrices ? Pourquoi manquait-elle de confiance en elle ? Que faisait-elle en dehors de bosser ? Quels étaient ses rêves, ses attentes ? Il ne savait rien de tout cela et cela le peinait. « Je prends note dans ce cas… ça tombe bien, j’en ai acheté » se félicita-t-il avant d’être honnête avec elle sur les raisons de son comportement étrange. Bonaventure agissait comme un adolescent en manque de repère, il faisait le con pour se faire remarquer par ses parents, pour leur dire : j’existe. Toutes leurs conversations tournaient autour de ce fameux bébé et lui, il se sentait stupidement exclu de sa propre famille. « Oui… Je suis que leur enfant adoptif, les liens du sang… c’est quelque chose de précieux. Ma mère a toujours rêvé d’avoir un enfant biologique maintenant, elle va pouvoir l’avoir. Je ne sers plus à grand-chose » hausse-t-il des épaules. Le Quincy avait toujours été du genre à se sentir dans l’insécurité totale. C’est bien pour cela qu’il ne se confiait à personne : être trop proche des gens, leur raconter sa vie dans les moindres détails pour mieux les voir disparaitre. C’était trop lui demander.

A la place, il préférait largement se taire et montrer à Mira combien il était attaché à elle grâce à son corps, ses actes. C’était une erreur, le couple avait besoin de parler, de s’ouvrir réellement à l’autre mais ces derniers temps, le namibien avait besoin de cet amour pour ne pas totalement taper dans les gamelles. Mira était son phare en pleine tempête qui d’ailleurs, se matérialisa dans sa chambre. Suzanne et sa plastique de rêve mais au cœur de pierre. Il espérait vraiment que sa petite-amie n’allait pas se faire des complexes car elle n’avait pas à en faire vis-à-vis de la rousse. « Tu peux rester… ça me gêne pas » tenta-t-il de la retenir. « D’accord… je t’appellerai » céda-t-il ne voulant pas la forcer à faire quelque chose qu’elle ne souhaitait pas. « Des conseils pourquoi ?! Pour se dénicher un riche mari histoire de s’assurer une belle vie ? Encore faudrait-il qu’elle apprenne à chasser les hommes célibataires » répondit la principale intéressée tandis que Bonaventure raccompagnait Mira à la porte de la chambre. « Je fais au plus vite petit cœur… après, je crois que toi et moi, ça serait bien qu’on parle un peu » dit-il un peu mal à l’aise mais il l’embrassa néanmoins avant d’affronter le dragon.

La conversation dura une bonne heure avant que Suzanne ne calque à la fois sa joue mais également la porte de la Quincy House, fine énervée. Bonaventure soupira et alla chercher sa petite-amie qu’il retrouva dans la cuisine en train de manger ses fameux bonbons. « Je peux t’en piquer un ? » lui demanda-t-il en se frottant la joue pour faire cesser la douleur mais également la rougeur.



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Je me mordille la lèvre face à cette réalité dont nous sommes tous les deux responsables. Je passe une main dans mes cheveux, replaçant une petite mèche derrière mon oreille. « Oui, mais moi ça ne me gêne pas de parler de moi. » dis-je en hochant la tête d’un air vigoureux avec un petit sourire amusé. A vrai dire, ce n’est pas faux, parler e moi, de mes rêves, ne me pose pas de problème… C’est seulement mon passé qui me dérange, pour le reste, je suis une vraie bavarde. Je baisse les yeux sur le sachet qu’il tient à la main, un grand sourire en apprenant qu’il a mes bonbons préférés. « Tu n'aurais pas des happy Cherry aussi dans ta bonbonnerie » dis-je avec un sourire, en voulant regarder à travers les anses qu’il teint. Je relève mon regard vers lui pour aborder un sujet un peu plus sérieux. Je veux lui montrer que je suis là pour lui, comme une vraie amie, car c’est ce qu’est avant tout aussi une « petite amie » « mais non dis pas ça. Les liens du sang, ce n’est pas si important que ça…surtout pour eux s’ils t’ont adopté. Tu restes leur premier bébé et tu le resteras, ils ne vont pas t’abandonner parce qu’ils vont avoir un autre enfant. Regard toutes les fratries. » dis-je avec un haussement d’épaules. Il ne doit pas s’en faire pour ça, je peux comprendre qu’il est peur de passer au second plan, c’est un peu le cas de tous les enfants ayant été fils ou fille unique pendant de nombreuses années j’imagine.

Je grimace légèrement en voyant débarquer la femme e Bonaventure, pour les présentations, on repassera, pour l’effet de surprise, par contre, elle a réussi son coup, me mettant vraiment mal à l’aise. Il n’aurait pu manquer qu’elle débarque quelques minutes plus tard, et là, je pense que mes joues seraient devenues aussi rouges que mon soutien-gorge. Je souris légèrement à Bonaventure, déposant mes lèvres sur sa joue. Ma présence ici rendra la situation encore plus délicate, et n’aidera en rien Bonaventure, si elle me dénigre… Et ça ne m’aidera pas non plus à avoir envie de parler de mon passé à Bonaventure. « Oui mais moi ça me gène » dis-je à voix basse pour que la mégère ne l’entende pas. Je n’ai rien à faire ici de toute façon. Contrat de mariage, leur famille, les mariages arrangées, ce n’est pas mon univers… et je me demande si j’ai vraiment envie d’en faire partie. Je tourne légèrement mon regard vers Suzanne, haussant un sourcil à ses dires. « Comme tu peux le voir, j’ai pas besoin de conseils pour ça. Toi par contre, tu devrais changer d’esthéticienne… les ongles dé sorcière, ça n’a jamais été à la mode… et c’est loin de plaire aux hommes… mais bons tu n'as pas l’expérience dans le domaine, je peux comprendre que tu ne sois pas au courant. » je lui adresse un sourit sans joie, avant de déposer mes lèvres sur celle de Bonaventure, lui adressant un petit sourire avant de sortir de sa chambre.

Je ne sais pas combien de temps leur conversation a duré, je n’ai pas eu l’envie de rejoindre les autres Quincy dans le salon, préférant m’isoler dans la cuisine, ayant tout de même récupéré le sachet de bonbons, pour ne pas me sentir moins seule. Mon téléphone à la main j’ai ouvert un paquet aux hasards : des crocodiles, piochant dedans, de temps en temps, tout en jouant un jeu sur mon téléphone. Je grimace légèrement en voyant que j’ai de nouveau perdu mon niveau, et relevant les yeux pour voir rentrer Bonaventure. Un léger sourire vient se dessiner sur mes lèvres, avant de lever une main vers lui. « bouge plus. » dis-je , avant de sortir un crocodile du paquet. « prêt ? » dis-je avant de le lancer en direction de ses lèvres.

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C’est vrai, Mira était plus bavarde que lui sur la question. Bonaventure avait toujours l’impression de trop en dire quand il se livrait à croire qu’il pensait que la moindre de ses paroles pouvait provoquer l’apocalypse sur Terre. Pourquoi une telle crainte ? A cause de son passé, de cette erreur qu’il trainait comme un boulet à sa cheville. « Tu as conscience que je ne sais même pas de quel bonbon tu me parles ? » lui demanda-t-il en fronçant les sourcils. Dans le domaine des sucreries, il avait visiblement trouvé son maitre en la personne de sa petite-amie. « Je connais simplement les principaux » avoua-t-il en haussant les épaules. Pour le coup, elle pourrait lui faire son éducation dans ce domaine. Oh il n’était pas contre de goûter à quoique ce soit, il adorait faire de nouvelles découvertes en matière de nourriture et collation. Le problème venait surtout de son éducation : chez les Weasley, même si on était moins guindés que dans les autres familles riches, il n’empêche que tous les bonbons n’étaient pas monnaie courante dans le manoir. Le Quincy avait du attendre ses quinze ans avant de fêter son premier Halloween librement et non dans une petite fiesta politicienne que son père affectionnait tant. En parlant de ses parents… « C’est ce qu’ils m’ont dit également mais cela fait 25 ans qu’elle rêvait de mettre au monde un enfant… ils vont pouvoir pouponner librement et ouais, j’ai peur d’être sur la touche » soupira-t-il tandis qu’ils prenaient le chemin de la chambre pour s’octroyer une réconciliation bien plus charnelle.

Malheureusement leurs projets tombèrent rapidement à l’eau et pour la énième fois en quelques jours, le jeune Weasley se prit la tête avec quelqu’un. Il allait finir par y laisser sa santé mentale à force de faire le yoyo dans les émotions. En tous les cas, c’était vraiment amusant de voir Mira sortir les griffes. Il adorait la voir aussi impertinente face à Suzanne. Ce petit côté de sa personnalité était vivifiant à vrai dire. « Et tu la laisses me parler comme ça ?! Bonaventure Weasley, c’est.. » commença-t-elle avant qu’il ne lève la main. « Tu l’as cherché Suzanne alors assume » l’interrompit-il n’ayant pas envie d’entendre la suite de sa phrase. Il avait d’autres chats à fouetter et surtout une terrible envie de retrouver la compagnie de sa petite-amie. C’est ce qu’il fit mais une heure plus tard, la marque de la main de sa future ex-femme sur la joue. « J’ai cru que tu n’allais pas partager » s’amusa-t-il à dire avant d’ouvrir la bouche pour essayer d’attraper le crocodile. Il y parvint mais un peu grâce au renfort de sa main. « Je pensais te retrouver avec les autres… Je suis désolé pour ça… Je veux dire pour sa venue. Je m’attendais pas à ce qu’elle débarque à Harvard » soupira-t-il en lui piquant un autre bonbon dans son sachet. « Rassure moi, tu ne deviendras jamais comme elle ? »




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Un léger rire sort de mes lèvres, tandis que je lève les yeux au ciel, en constatant l’inculte petit ami que j’ai, du moins concernant les bonbons. Chose que je pense pouvoir rapidement changer, prête à faire de lui un véritable dictionnaire en la matière. « C’est les cerises en gélatine… Enfin si tu n’en as pas pris, tu peux pas savoir de quoi je parle. » dis-je en levant les yeux au ciel, de manière évidente. Cherry, c’est des cerises voyons. « Il n’y en a pas beaucoup non plus tu sais… Après j’aime bien ceux qui pique aussi… mais je peux pas en manger autant que je veux… » dis-je en soupirant légèrement. C’est le souci avec l’acidité. La langue pique trop rapidement, les maux d’estomac sont plus vite présents également. Mais je ne veux pas m’étendre sur le sujet, préférant plutôt me concentrer sur lui. Je ne suis que très peu de chose sur lui il est vrai, ce dernier m’ayant avoué rapidement avoir du mal à se confier…hors aujourd’hui, il en a besoin, besoin d’être rassuré, et je ne veux pas passer à côté de ça, et lui faire perdre sa confiance comme ce fut mon cas. « C’est sûr qu’ils ne vont plus pouponner avec toi mais dis-toi que tu as eu ta part, mais que tu compteras toujours autant pour eux. Et même pour le bébé, un petit frère ou une petite sœur, c’est bien non ? Je suis sûr que tu seras très protecteur avec. Tu ne resteras jamais sur la touche, tu restes leur enfant Bon', ils t’aiment et tu feras toujours partie de leur vie, tu seras toujours sur les photos de famille et tu auras toujours ta place. » dis-je avec un tendre sourire sur les lèvres, essayant de trouver les mots pour le rassurer. « un nouvel enfant dans la famille, qu’il soit plus grand ou plus petit, ça change la famille, mais ça ne la bouleverse pas » dis-je finalement avant de le suivre dans les escaliers pour un peu plus d’intimité.

Je vois finalement revenir Bonaventure après des minutes interminables passées avec son épouse. Cette situation me met quelque peu al à l’aise, mais je ne souhaite pas le montrer, préférant jouer la carte de l’humour et du jeu en lui proposant d’attraper le bonbon à la volée, un sourire amusé aux lèvres en le voyant l’attraper à la main. « tricheur. » je lève les yeux au ciel, avant de m’en prendre un à mon tour. Un Bleu : des nouveaux, ils sont trop bon en plus. Je croque dedans en relevant mon visage vers lui. « Elle t’a frappé ? » demandai-je en me mordant légèrement la lèvre, tendant la main vers lui pour qu’il vienne à mes côtés, me laisser regarder. Tant qu’il n’y a pas de sang… je peux être une bonne infirmière. Assise sur le plan de travail, je tends le paquet vers lui pour qu’il se serve ne haussant doucement les épaules. « je préférais être seule. Vous avez trouvé un accord tout de même ? » demandai-je, après tout, elle est venu pour ça, pour avoir une certaine part dans ce contrat. Si ce n’est pas le cas, elle reviendra à la charge, ce genre de femmes n’abandonne pas. « En matière de look ça m’étonnerait... et je te frapperai jamais. » dis-je avec un petit sourire

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« Non j’ai pas pris ce genre de bonbons » dit-il un peu chagriné car il aurait aimé pouvoir lui faire plaisir. C’était le moins qu’il puisse faire après avoir été aussi odieux avec elle l’autre soir. « Je crois que tu vas pouvoir t’amuser à me faire goûter à tout cela car moi, à part les marshmallow, je mange pas vraiment de sucrerie » ajouta-t-il avec une petite grimace. « Mes parents n’étaient pas fan des bonbons… Avant mes quinze ans, j’avais même pas le droit d’aller faire le tour du voisinage pour Halloween » se confia-t-il en haussant les épaules. Depuis, Bonaventure s’était rattrapé, faisant de cette fête, sa préférée. Toutefois, tout ce qui était de ramasser des bonbons ne l’avait jamais attiré. Il préférait de loin participer à des jeux, des maisons hantés, écouter des histoires horrifique, assis contre une pierre tombale. Par contre, question chocolat, il était calé. Cette conversation l’amena sur le terrain de ses parents mais aussi de la grossesse de sa mère. Mira avait des paroles réconfortantes à son égard et il s’y raccrochait pour ne pas laisser son côté tiraillé par l’insécurité prendre le dessus sur lui. « Tu as raison, je vais essayer d’arrêter de me torturer avec cette grossesse » soupira-t-il même s’il savait que de temps en temps, ses pensées allaient inlassablement le tirailler.

A présent, ce n’était pas vraiment ses pensées qui le tiraillaient mais belle et bien sa joue. Suzanne n’en avait pas l’air mais elle savait parfaitement gifler les hommes. « J’ai pas triché, j’ai évité de gâcher le bonbon en le laissant tomber par terre » répondit-il avec un sourire amusé avant d’hocher la tête à sa question suivante. Bonaventure attrapa cette main tendue et alla s’asseoir à ses côtés pour mieux piquer un autre bonbon. « Tu te rends compte que c’est la première fois que je me fais gifler par une femme ? C’est une grande première pour moi » bouda-t-il légèrement. D’ordinaire, ce genre de choses arrivaient aux crétins irrespectueux mais pas à lui. « Tu me fais un bisou magique ? » s’amusa-t-il à réclamer avant de redevenir sérieux. « Pas vraiment. J’aurais aimé qu’on règle ça à l’amiable mais elle est têtue comme une mule. Du coup, elle ne me laisse pas le choix, je vais devoir prendre un avocat et déclencher une procédure de divorce. Si elle veut la guerre, elle l’aura mais je ne compte pas rester marié à une femme qui recherche son intérêt avant tout. Le pire, c’est que tout était prévu à la base, elle aurait tout ce dont elle a besoin pour sa future carrière » soupira-t-il avant de lui demander si elle n’allait pas virer comme Suzanne car il était pas certain de pouvoir en supporter une deuxième comme la rouquine. « ça me rassure… Je me dis dans le fond, heureusement qu’il s’agit que d’une union arrangée et qu’il n’y a pas d’enfant entre nous car j’ose même pas savoir ce qu’elle aurait pu lui faire » poursuivit-il avant d’hausser les épaules. « Tu jouais à quoi ? » lui demanda-t-il pour revenir à un sujet plus léger.



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« Tu n'as pas pris tous les bonbons Haribo alors… Tu commences sérieusement à baisser dans mon estime tu sais. » dis-je en laissant un soupir exagérer sortir de mes lèvres, en accentuant le tout en secouant la tête de droite à gauche. Son air chagriné me fait doucement sourire lorsque je relève les yeux vers lui, grimaçant à l’évocation des Marshmallow. Ces trucs collant sans gout, non franchement là il n’a aucun goût. « Qu’est-ce que tu trouves de bon dans ces trucs ? » C’est comme la guimauve quoi… juste du blanc d’œuf je crois, avec du sucre, vraiment sans intérêt. « Je n'ai jamais fait Halloween pour ma part , alors ce n'est pas avec moi qu’il faut te plaindre. » dis-je avec un haussement d’épaules amusé. Mais le fait de rester à la maison le soir d’halloween, pendant que tous mes camarades de classe faisaient le tour des maisons, était loin d’être mon souci principal. De toute façon, avec qui aurais-je pu aller réclamer des bonbons ? On fait ça avec des amis, pas avec des enfants qui vous insultent et vous montre du doigt. C’est sûr que pour le coup, ça aurait été moi la méchante sorcière qui aurait jeté des sorts à ceux qui ne voulaient pas nous donner de bonbons. « Mais vu ta faible connaissance en sucrerie, j’imagine qu’à 15 ans tu n’allais pu frapper aux portes des voisins ? » dis-je un léger sourire aux lèvres Bonaventure et fan de tout ce qui concerne les fantômes et les esprits, alors j’imagine que sa passion pour les cimetières est apparue à cet-âge. En parlant de sa famille, j’essaie de l’apaiser comme je peux par rapport à la grossesse de sa mère. Je ne suis pas une experte en la matière, loin de là, mais je fais mon possible pour essayer de le rassurer, lorsqu’une famille accueille un deuxième enfant, la famille ne se déchire pas pour autant. « Oh pire parles-en avec eux… pas comme un médecin, mais comme un fils qui s’inquiète pour sa mère et pour sa place dans la famille. Ils comprendront. » dis-je avec un petit sourire. Je ne tiens pas à le voir s’isoler , sa famille compte beaucoup pour lui, il en a besoin.

« Na, t’as triché, assume ! » dis-je avec un petit rire, approchant le crocodile pour mordre dans sa queue, laissant le goût s’imprégner dans ma bouche, en regardant Bonaventure approcher, le laissant s’asseoir à mes côtés sur le plan de travail de notre petite cuisine . Je tourne mon visage vers lui, posant ma main sous son menton pour qu’il tourne la tête sur le côté où elle l’a frappé pour que je regarde. « tu n’as pas la marque de sa main, c’est déjà pas mal… faux mettre de l’eau froide, pour soulager la douleur et la rougeur. » dis-je en passant doucement ma main sur cette dernière, un léger sourire aux lèvres. les rougeurs je connais malheureusement, mais au moins mes conseils valent de l’or. « Je suis désolé. Si je n’avais pas été là ça aurait peut-être été plus simple. » C’est sûr que ça ne facilite en rien les choses de savoirs que Bonaventure a eu une maîtresse pendant son mariage, ça ne l’aidera pas à obtenir gains de cause… Surtout en sachant de quelle classe sociale je viens par rapport à lui. Une profiteuse, voilà comment on pourrait me qualifier j’imagine. « un Avocat ? Mais le fait que ça soit un mariage blanc, ça risque de te poser des problèmes non . C’est un délit… » Il encourt même une peine de prison j’imagine, même si sa situation est à présent claire et que son statut lui permette de nouveau d’être en situation légale sur le territoire. Ces antécédents vont sans doute poser problème, mettre en place une enquête… Tout un jargon et une procédure que je ne connais pas. « Tu penses qu’elle aurait pu être cruelle avec ? » dis-je en relevant les yeux vers lui, me mordillant légèrement la lèvre. La violence est quelque chose qui m’horripile pour une raison personnelle, qu’elle soit faite à des adultes et encore plus à des enfants. Je repose mon regard sur mon téléphone encore allumé dans ma main.. « Un jeu de gestion de temps : cooking fever. T’es derrière les fourneaux et tu sers des clients. Là j’ai un restaurant qui fait des gâteaux. » dis-je en lui tendant le téléphone pour qu’il voit. «  J’aime bien le fait qu’il faut aller vite… et bon contrairement à candy crush j’ai toujours des vies. Quand je m’ennuie au boulot, j’ai de quoi m’occuper. » dis-je avec un sourire en haussant les épaules «  Bon alors… tu voulais qu’on parle ? » dis-je en tournant mon regard clair vers lui, posant mon téléphone et prenant un nouveau bonbon.


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