Shopping can't wait. Kacy

Paris était rassuré de savoir que Kacy ne subirait pas les choses dans son coin. Chacun devait s’occuper de son cul comme il avait tendance à le dire mais il refusait de fermer les yeux sur la détresse d’un membre de sa confrérie. Alors, s’il pouvait l’aider, il le ferait bien volontiers bien qu’il se doutait que la demoiselle n’était pas du genre à se laisser marcher sur les pieds. Encore heureux ! « De tout de manière, en ce moment, avec Summer, on ose rien se dire » grogna-t-il plus pour lui-même que véritablement pour Kacy. Cette parole lui avait échappé mais comment lui en vouloir : il n’avait plus aucune vie sexuelle avec sa femme et celle-ci s’était tirée avec son meilleur ami pour une convention geek. Il avait de quoi perdre son calme -surtout qu’il ne lui en fallait pas beaucoup en temps normal. Un groupe d’enfants bouscula la Dunster et Paris râla après la mère. « Ouais, maintenant il faut négocier avec les gosses. Tin’ quand j’étais jeune, tu te prenais une tape sur le cul et tu grandissais quand même mais au moins, tu avais des limites » soupira-t-il. Paris n’était pas un partisan de la violence contre les enfants –surtout pas quand on connaissait son passé ; mais une tape sur la couche n’avait jamais tué personne. « Moi ? Je crois qu’il vaut mieux pas aborder le sujet » grommela-t-il en secouant la tête, souriant néanmoins en voyant le chandail qu’elle avait déniché. « Je l’aime bien celui-là »

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feat Paris & Kacy

Le body que Paris avait trouvé était vraiment mignon. La folie de Stars wars ne se terminerait jamais. Alors que je mentionnais sa femme, l'expression de mon ami changea rapidement. Il murmura que de tout façon, Summer et lui ne parlait plus beaucoup. Son commentaire me surprit. "Vous vous êtes chicanés?" demandai-je doucement. Je ne voyais pas ce qui pourrait faire qu'ils ne se parlait pratiquement plus sinon. Quand j'avais déjeuné avec Summer juste avant d'aller patiner, elle m'avait avoué à quel point elle aimait Paris, qu'il tait le bon pour elle. Qu'est-ce qui avait pu changer au point que les deux tourtereaux ne se parlaient plus. Je les voyais mal avoir été infidèle un envers l'autre. Ça ne semblait pas être leur style. Je ne voulais pas forcer Paris à en parler s'il n'en avait pas envie. Mais je n'aimais pas savoir que quelque chose n'allait pas bien dans le couple que je trouvais le plus mignon, et que je croyais le plus solide, autour de moi. Ça m’intrigua encore plus quand Paris refusa de parler de son temps des fêtes en détournant quelque peu la question. À bien y penser, Summer ne m'avait rien dit non plus lorsqu'on s'était croisé au mariage de James et Harley. "Si t'as besoin d'en parler, tu sais que je suis là?" me risquai-je, ne voulant pas non plus le pousser à parler s'il ne le voulait pas.

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On ne pouvait pas vraiment dire qu’ils s’étaient chicanés, c’était même tout le contraire. Le couple continuait de se parler sur des sujets légers, à se bouffer du regard comme au premier jour mais il n’y avait plus cet élan qui les poussait constamment l’un vers l’autre. Et ça, ça tuait Paris à petit feu. Il faut dire qu’il avait toujours été très porté sur la chose et ne plus avoir cela avec sa propre femme était en train de le faire tourner chèvre. Du coup, il passait un temps fou à sa salle de boxe, essayant de rentrer le plus tard possible pour n’avoir plus qu’à se coucher dans le lit. Le pire, c’est que Summer ne dormait même plus nue, elle portait cet infâme tue l’amour comme pyjama grogna-t-il intérieurement. C’était l’hôpital qui se foutait de la charité car lui-même avait opté pour un vieux pyjama histoire de ne pas avoir le moindre centimètre de peau en contact avec la sienne. « Non… C’est compliqué » consentit-il à répondre sans trop s’étendre sur les détails mais l’envie de se confier, de parler à quelqu’un qui ne connaissait rien à leur famille était tentant. Kacy saurait certainement l’écouter à défaut de pouvoir lui conseiller quoique ce soit. Alors, profitant de sa question sur son nouvel an, il se lança. « C’est… On devait passer le réveillon du nouvel an chez ma mère. Le père de Summer était de la partie également puisque depuis septembre, il vit sur Boston. Il a quitté la mère de Sum’ mais il n’a encore rien décidé sur un potentiel divorce. Jusque-là, rien de grave sauf que » commença-t-il en se retenant sa colère difficilement. « Sauf qu’ils n’ont rien trouvé de mieux que de se mettre en couple tous les deux. Ma mère et le père de Summer. Du coup, depuis le nouvel an avec Summer, on y arrive plus… sexuellement parlant. On n’arrive pas à passer outre la connerie du demi-frère, demi-sœur. Ce n’est pas le cas, on est marié, ils ont juste une relation mais si ça devenait sérieux ?! ça nous obsède et depuis, plus rien… ni câlin, ni baiser et encore moins de fiesta sous la couette. Ça me rend dingue »

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Je voyais bien que quelque chose chicotait le président de la dunster house. C'était assez évident lorsqu'il mentionna que Summer et lui ne se parlaient pratiquement plus. Je me demandais bien ce qui devait faire de l'ombre sur leur petit bout de paradis. Ils étaient mariés, étaient vraiment amoureux l'un de l'autre, avaient une petite fille des plus adorable. Je ne voulais pas pousser Paris à en parler s'il n'en avait pas envie. Je lui fit tout de même savoir que j'étais là en cas de besoin. J'étais une oreille bien attentive quand mes amis en avaient besoin. Dépendamment de la situation, je pouvais peut-être donner quelques conseils ou encore mon avis. Sinon, je me contentais d'écouter ce que mon ami avait sur le coeur.
Alors que je m'attendais à continuer les courses sans que Paris n'en dise plus, il se confia sur ce qui s'était passé durant le réveillon. Je m'attendais à tout sauf ça. C'était presque digne d'une série télé. Le père de Summer qui avait une relation avec la mère de Paris. J'en resta vraiment surprise mais je laissa malgré tout Paris terminer ce qu'il avait à dire. Qu'est-ce qu'on pouvait dire ou conseiller dans ce genre de situation? Il n'y avait pas grand chose à dire. Ça devait être étrange de voir celui qui était notre mari comme un demi-frère soudainement. "Si tu veux mon avis, c'est pas correct de leur part. Vous êtes mariés! C'est pour comme si vous aviez une petite amourette de lycéens. Vous êtes mariés et vous avez une fille. C'est un total manque de respect de leur part." En tant que parent, on m'avait toujours dit que les besoins des enfants passaient en premier. Avant ceux des parents. Sur ce coup-là, le père de Summer et la mère de Paris n'avaient pas fait fort. Comment pouvaient-ils avoir accepté cette relation alors qu'ils savaient pertinemment que ça l'aurait des répercussions sur leurs enfants. "Vous vous faites sans doute du mauvais sang pour rien. Votre famille, c'est vous maintenant. Summer, Ashlynn et toi. Vous bâtissez une vie ensemble et vous devriez pas vous laisser chambouler par ce qui se passe à l'extérieur." C'était difficile. Je pouvais l'admettre. Mais j'avais confiance au petit couple chéri de la dunster.

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Pas correct de leur part ? C’était le cas de le dire. Paris avait même des envies de meurtre envers son beau-père et sa mère pour tout vous dire mais être en prison n’était pas la meilleure des façons d’éduquer convenablement une enfant n’est-ce pas ?! « Bienvenue dans ma famille. Ma mère a toujours été ainsi. Elle arrête pas de me dire que c’est une relation sans prise de tête, qu’elle ne compte pas épouser John mais j’arrête pas de me dire qu’ils couchent ensemble. Que le père de ma femme et ma propre mère couchent ensemble. Du coup… Avec Summer on y arrive plus et ça commence à nous éloigner » râla-t-il. Parler de sexe avec Kacy n’était peut-être pas la meilleure des idées mais il avait besoin de se confier et il lui faisait suffisamment confiance pour qu’elle garde ses révélations pour elle. Et puis, qui sait, Summer s’était peut-être confiée à elle ?! « On a essayé de se dire ça mais c’est compliqué de répéter la même chose au bout d’un certain temps. Enfin, j’espère que notre prochain voyage pour le Mexique nous aidera à passer outre et à nous retrouver sinon je vais devenir dingue. Je sais pas toi mais moi, j’ai besoin de ma ration de sexe sinon je deviens imbuvable » grommela-t-il avant de tirer sur le body quand une mère de famille chercha à le lui enlever. « Hey pas touche, je vous signale que je l’ai vu le premier ! » s’écria-t-il. « Chéri, y a que dans les films que cette règle fonctionne ! J’ai pas que ça à faire donc allez continuer votre conversation intéressante plus loin et laissez les mères de famille qui n’ont pas de temps ELLES faire leur shopping » râla la femme tandis que Paris se retenait à grande peine de lui enfoncer le body où il pensait.

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Une autre famille dysfonctionnelle. Ça ne manquait pas par ici. On avait qu'à regarder la mienne. Un père qui ignorait mon existence. Une mère qui avait dû se prostituer pour mettre de quoi manger sur la table. On ne pouvait pas dire que Paris avait eu de la chance avec la sienne non plus. Spécialement avec sa mère qui prenait ce dont elle avait envie sans même se soucier des conséquences sur les autres. Les conséquences sur la vie de son propre fils. Paris m'expliqua que malgré le fait qu'ils avaient essayé de passer par dessus l'histoire de leurs parents, ils trouvaient cela bien difficile. Assez pour qu'il ne se passe plus rien sous la couette. Et selon Paris, il devait avoir sa ration pour bien vivre. J'comprenais totalement ce qu'il voulait dire. J'étais quand même célibataire depuis un bon moment déjà alors imaginez comment c'est tranquille de ce côté-là. Ça me rendait complètement folle. "Ou on manigance pour que ta mère et son père mettent fin à leur histoire. On leur présente chacun quelqu'un d'autre." dis-je pour détendre un peu l'atmosphère. "Si jamais vous avez besoin de passer du temps en couple, je peux m'occuper de la petite. Ça me gène pas du tout. Parce que, crois-moi, je sais ce que ça fait de ne plus avoir de sexe. C'est carrément l'enfer!" Alors que j'allais continuer sur ma lancée, une femme agrippa le body juste devant Paris. Elle osa même nous dire de déguerpir pour laisser la place à celles qui avaient vraiment pas de temps pour faire les boutiques. Elle ne manquait pas de culot, celle-là. "Si vous vouliez avoir du temps pour vous, fallait y penser avant d'avoir des enfants." Mais pour qui elle se prenait? Elle cherchait à faire pitié la pauvre. Je n'ai plus de temps pour moi. La pauvre. C'est ça avoir des enfants.

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« Tu sais que c’est pas con ?! Avec ma mère, ça risque d’être facile de la brancher sur un autre mec enfin j’espère car d’après mon frangin, John et elle passent beaucoup de soirées ensemble ces derniers temps » soupire-t-il. Dans l’état actuel des choses, Paris était prêt à tout car bordel, il voulait retrouver une vie sexuelle avec sa femme. « Dois-je comprendre que tu es à la diète depuis un moment ? Je pensais qu’au contraire, ça marchait bien pour toi… Je veux dire, t’es pas moche, t’es même carrément sexy alors bref je m’enfonce »rigole-t-il. En temps normal, Paris lui aurait signifié qu’elle était carrément baisable mais il faisait un effort pour se montrer plus diplomate avec les gens surtout avec la gente féminine. Voyez cela comme la touche Summer ! Les deux amis allaient continuer dans leur conversation quand le Dunster sentit qu’on tirait sur le body qu’il tenait dans sa main. Une mère de famille, agréable au possible semblait avoir des vues sur ce dernier. « Dixit la demoiselle frustrée de n’avoir aucune vie sexuelle ! Je veux ce body alors allez continuer votre passionnante conversation autour d’un McDo les gosses » répliqua-t-il donnant des envies de meurtres à Paris. « D’une faut se calmer un peu car je vais pas me montrer gentil très longtemps. De deux, ce body est à moi à moins que vous ne vouliez le jouer au bras de fer ?! Et de trois, on vous emmerde » grogna-t-il avant de tirer d’un coup sec sur le vêtement. « Viens Kacy, on va voir les manteaux » grommela-t-il en embarquant la Dunster dans son sillage. « Putain mais les gens sont aimables de nos jours… Qu’est-ce qu’on disait déjà ? Ah oui, ce n’est pas le temps qui nous manque… c’est l’envie de conclure qui coince. Je me dis qu’une fois loin d’Harvard, ça ira peut-être mieux »

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"Il y a pleins de médecins assez charmant pour leur âge. On peut certainement en trouver un qui charmera ta mère." J'avais fait un stage à l'hôpital au dernier trimestre. J'avais donc été en contact avec plusieurs médecins qui seraient des candidats potables. Je suis certaines que si on s'y mettait, on pouvait trouver quelqu'un qui mettrait le père de Summer hors d'état de nuire. Dit comme ça, c'était plutôt méchant mais je trouvais que c'était totalement irrespectueux de leur part. Par la suite, j'avais confié à Paris que je comprenais ce qu'il vivait. "Une diète, c'est volontaire d'habitude." dis-je à la blague. "J'ai l'impression de tomber juste sur des cons qui savent pas ce qu'ils veulent. C'est tellement agaçant." Je pensais spécialement à Nolan qui avait flirté avec moi, sans retenue, et dès que c'était devenu plus sérieux, l'Eliot s'était barré. Entretemps, une femme qui n'avait clairement pas eu sa dose de calmant voulu arracher le vêtement des mains de Paris. Paris tint son bout et reparti avec le body en main. On s'arracha de cette section de la boutique pour se rendre vers les manteaux. "D'après moi, elle a pas eu sa dose non plus." Avec un enfant, ça devait être moins évident d'avoir du temps pour le couple. Cette femme se retrouvait peut-être dans la même situation que Paris et moi. Point mort. "Vous partez quand pour le Mexique?" Ses deux amis avaient planifié un voyage au Mexique. Sûrement pendant le Spring break. Attendant sa réponse, j'attrappa un ensemble de printemps tout à fait adorable que je montra à Paris.

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« Tu sais quoi ?! Si jamais cette histoire continue de me briser les bijoux de famille pour pas dire autre chose, on organisera des dates avec ces fameux médecins » décida-t-il. Paris était prêt à tout pour que ce couple cesse et enfin retrouver sa femme dans toute leur splendide intimité. Pour le moment, il se plaignait beaucoup mais n’agissait pas car stupidement, il espérait un sursaut chez sa mère. Grace allait-elle comprendre qu’elle se mettait une nouvelle fois son fils à dos ? Il avait besoin de se dire qu’elle mettrait elle-même fin à ce carnage, qu’elle se réveillerait mais sûrement rêvait-il en couleur. Au moins, parler de la vie sexuelle de Kacy était un bon moyen d’oublier la sienne. En somme, ils étaient dans le même bateau. « Bah de temps en temps, fais toi plaisir : que le type soit un connard ou non, tu lui demandes pas de te tenir une grande conversation. Un petit coup de canif dans le régime, ça fait du bien au moral » plaisanta-t-il car lui, ne s’était jamais fait prier pour faire des rencontres de quelques heures voire d’une nuit au maximum -et encore, c’était vraiment histoire de tirer son coup. En parlant de ça, la nana qui les avait apostrophés ne devait pas connaitre le mot orgasme comme le stipula Kacy. « Ouais ! Faut qu’elle se calme, je plains son mec » marmonna-t-il avant de la regarder avec un petit sourire aux lèvres. « Tu veux dire quand est-ce que la Dunster part pour le Mexique ! Avec Jimmy, on a décidé d’organiser un petit voyage de groupe dans la région du Yucatan. Donc tes petites fesses, je les veux avec nous »

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Dès que Paris mentionna qu'on allait peut-être devoir mettre ce plan à exécution, je me mis déjà à passer en revue les employés de l'hôpital qui seraient susceptibles de convenir vu la situation. Paris serait sans doute mieux placé pour choisir le candidat idéal puisqu'il connaissait les goût de sa propre mère. Mais j'étais prête à l'aider. Je n'avais aucune envie de voir mes deux amis se séparer pour une histoire causer par leurs parents. J'avais également confié à mon ami que ma vie sexuelle était très limitée dernièrement. Pour ne pas dire au point mort. J'avais eu des propositions. Ce n'était pas ça le problème. Mais je pouvais pas cesser de me répéter que si je cédais, que si je couchais avec un gars juste pour une nuit, je ne valais pas mieux que ma mère. Celle à qui j'avais menacé de partir, de quitter la maison (sans savoir où aller puisque je venais à peine de rentrer dans l'adolescence) si elle ne cessait pas de se prostituer pour de l'argent. Je n'avais jamais vraiment parlé de ça à personne. "Je peux pas faire ça. Pas à répétition en tout cas." Je savais pas trop comment amener le sujet. Valait mieux simplement lâcher. "Ma mère, elle... Elle se prostituait quand j'étais jeune. C'était la seule façon qu'elle avait trouvé pour qu'on ait de quoi manger. J'ai souvent été jugée à cause de ça et faire des histoires d'un soir, j'ai l'impression de finir comme elle." Je sais bien que je ne devais pas m'arrêter à ça. Il y avait une différence entre coucher pour le plaisir et coucher pour de l'argent. Mais c'était parfois difficile.
Paris en vint ensuite à parler du voyage au Mexique qui était organisé par Jimmy et lui pour les membres de la Dunster House. Un large sourire s'installa sur mes lèvres alors que je vint lui répondre avec enthousiasme. "T'inquiètes. Mes fesses rêvent d'aller se blottir dans le sable chaud de Mexico!"

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