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Jalousie dictatrice (biki)

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Ciarán avait appris à connaître Bambi et ses émotions car il parvint à mettre des mots là où elle avait du mal. Oui. L'italienne ne voulait pas que sa mère gâche son couple comme elle l'avait déjà fait avec ses petits amis pendant son adolescence. Si ces histoires là n'avaient rien de forcément sérieux, avec le beau Mather, la brunette savait que cela durerait. Elle le sentait jusqu'au fond de son petit coeur battant, alors que Ciarán lui arrachait un premier sourire. Elle se permit de s'asseoir à ses côtés posant une main chaleureuse contre son torse alors que cette fois, son regard ne le quittait pas d'une semelle. Tu as tout de suite compris... et tant mieux si tu ne veux pas la voir ! Si mon père vient un jour ici tu verras c'est quelqu'un de formidable mais ma mère...je voudrais oublier qu'elle existe. J'espère que je te choque pas trop en disant ça... Surtout qu'elle le pensait ! Mais le jeune homme comprendrait sûrement sa phrase vu le tableau qu'elle dépeignait de sa mère. Et si on disait que j'étais un p'tit peu midinette... ? Juste un peu ?

@Ciarán S. Halstead
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Tu reconnaissais pas vouloir voir sa mère. C'était trop tôt, les parents tu n'en avais pas et tu ne savais pas ce que c'était, Bibi détestait sa mère, et en plus elle avait l'air d'être une sacré garce prête à te mettre le grappin dessus d'après ton petit koala sexy. Alors fallait pas s'étonner non plus de ton franc parler. Jouant avec la mèche de cheveux de Bambi quand elle s'installer près de toi, tu as fini par répondre. On se dit qu'on attendra quand même encore un peu avant d'envisager un truc pareil ? Non parce que rencontrer son père, c'était pour le coup plus angoissant que rencontrer sa mère. Une cougar dévergondée, tu savais mieux gérer ça qu'un paternel, pire quand tu sortais avec celle qui était certainement la prunelle de ses yeux. Non rien ne me choque quand il s'agit de ça, vraiment rien. Tu ne pouvais pas lui expliquer pourquoi tu n'étais pas choqué. Tes géniteurs étaient toi c'était une longue histoire. Tu n'étais pas prêt à raconter tout ça à Bibi, c'était peut-être tôt mais surtout trop dur, trop intime. Tu travaillais tellement à oublier ça qu'en parler ne t'aiderait nullement. T'essayes de me tirer les vers du nez là. C'est vilain ! Attrapant son visage de ta main gauche, gaucher que tu étais, et tu as exercé une pression à ses joues jusqu'a ce que ses lèvres finissent par finissent par former une jolie bouche de poisson rouge. Je peux plus me passer de toi, sexy koala et j'ai dit beaucoup trop en te racontant tout ça. Passant son bras autour du cou de Bambi tu l'as attiré contre toi comme la câlinant mais ce moment te poussait à te camoufler. Pudeur des sentiments oblige, tu as fini par par la chatouiller. Faire diversion, un peu oui.

@Bambi C. Corleonesi
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La peur de Ciarán était palpable dans toute l'atmosphère et si Bambi se contenta d'abord de répondre un bien sûr ! à la question du jeune homme, elle avait l'impression qu'il craignait sans arrêt qu'elle ne veuille aller trop vite. Pourtant, la raison de ses propos sur son père visaient au contraire à le rassurer, lui faire comprendre que non, elle ne venait pas d'une famille de siphonés du bocal et qu'il pouvait se détendre malgré ses confidences sur sa mère. C'était plutôt raté pour la détente ! Alors l'italienne avait un peu feinté en jouant à l'arroseur arrosé, même si sa bouche en mode poisson rouge allait s'en souvenir pendant un long moment... Hey c'est toujours toi qui me les tire d'habitude ! Je savoure un peu une fois n'est pas coutume... haussa-t-elle les épaules en toute innocence, essayant d'articuler alors qu'il tenait ses joues. Elle ne se fit pas prier pour venir contre lui, se lover dans ses bras en ronronnant doucement comme un petit chaton. La brunette déposa même un petit bisou dans son cou. On n'en dit jamais trop tu sais... reconnais que je te demande jamais rien d'habitude ! J'avais juste... besoin de l'entendre peut être. De savoir que les battements de mon petit coeur avaient un écho. Mais Ciarán et là je suis sérieuse, au sujet de mon père je voulais juste te rassurer. Il aime pas les USA, il vient jamais ici donc ça sera pas pour demain la veille puis j'aurais pas pressé la rencontre. J'aurais peut être même limite attendu que tu m'en parles quitte à ce que ce soit jamais...

@Ciarán S. Halstead
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Ta bulle avec Bambi c'était parfait, mais peut-être que tu ne voulais personne d'autres au milieu de tout ça. Ton confort était avec elle et rien qu'elle. Tu craignais vraiment qu'en rencontrant ses parents, ça se complique de trop. De quoi avais-tu peur ? D'un côté trop officiel, d'être jugé, d'être jugé pas à la hauteur. Tellement craintes. En attendant elle avait raison, une fois n'était pas coutume, et tu n'avais peut-être pas été assez convainquant cette fois avec ta réplique si brève, et pourtant lourde de sens pour toi. Tellement lourde de sens, que tu préférais préserver cette confidence. Pourtant tu le lui as donné cette confidence. Tu ne pouvais plus, tu voulais déjà plus te passer d'elle. C'était autant dangereux que plaisant. Toi, qui a été abandonné beaucoup trop de fois dans ta vie. Tu savais qu'être accro c'était aussi risqué de ne savoir gérer le manque. Toutes étaient tes peurs les plus profondes et les plus chroniques et elles étaient là plus que jamais. Tellement sérieuse que ta tentative de faire diversion avec des chatouilles avait complètement avorté, tu as tout de même gardé ton bras contre elle, la serrant un peu plus contre toi. Ils ont un écho, si je suis encore là c'est que t'es pas toute seule dans tout ça. Je suis là, pleinement. Au beau milieu de cette relation, tu refusais qu'elle doute de tes envies ou de ton implication, même si romantiser tes propos te faisaient peur. Tu étais forcément amoureux Kiki, mais tu n'en maîtrisais pas les codes. Futur médecin tu n'étais même pas foutu de diagnostiquer ton état amoureux, pourtant tu savais que ce que tu ressentais était fort et inédit. Oui, c'est ça être amoureux. T'as pas à me rassurer parce que j'suis pas du tout inquiet, et t'as pas à t'imposer des filtres non plus. Je te l'ai déjà dit je prends tout ce qui vient sans distinctions, tu veux en parler, on en parle. Mais pour l'instant, je serais pas emballé à l'idée de rencontrer ton père. J'ai jamais fait ça, et je suis pas doué avec les parents. Non c'est différent et c'est même pire : les parents tu ne savais pas ce que c'était. Voilà pourquoi tu paniquais plus à l'idée de rencontre le père de Bambi, plutôt que sa mère qui était timbrée. Ça se rapprochait bien plus de ce que toi tu avais connu.

@Bambi C. Corleonesi
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Bambi s'en voulait souvent de ne pas avoir de décodeur, ou plutôt l'impression d'en demander trop. Profiter sans se poser de question n'était pas le propre de la femme, pas vrai ? Il fallait mettre des mots sur chaque chose plutôt que de les vivre, et elle s'en rendait bien compte aujourd'hui. Je sais que t'es avec moi et à la fois j'ai envie de te dire de mille façons à quel point ça me touche, mais à la fois j'ai pas envie de te paniquer parce que... je me connais je risque de m'emballer. Mais l'italienne s'empara de sa main pour lier leurs doigts ensemble, venant à califourchon sur ses genoux car elle aimait pouvoir le voir lorsqu'ils parlaient, de choses sérieuses ou pas d'ailleurs. Cela ne l'empêcha pas de le serrer longuement dans ses bras comme si elle voulait se faire pardonner de ne pas être parfaite, ou de ne pas savoir anticiper ce que lui allait désirer. L'une des nombreuses séquelles de son ancienne histoire, qui cicatrisait petit à petit et pour laquelle Ciarán était un véritable baume. Oui, un baume. Je te rassure moi non plus je suis pas douée avec les parents. Alors c'est pas à l'ordre du jour du tout. Puis mon père doit encore m'en vouloir... y'a pas longtemps, j'étais mal, je suis allée à Vegas, j'ai bu, j'ai faillit être mariée. Seulement faillit ! Disons qu'il n'a pas compris mais il ne sait pas tout de moi... donc t'en fais pas petit coeur...

@Ciarán S. Halstead
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A ce moment précis tu avais cette impression que les paroles et les gestes de Bambi étaient en petite contradiction. Du moins tu les percevais comme ça. Tu avais cette impression que ses paroles pointaient quelques manquements dus à vos différence et alors que son corps ne réclamait que le tien. Cette proximité que vous aviez à chaque fois que tout allait bien ou à chaque fois que vous vous consoliez. A ce moment précis, tu craignais qu'elle ne sois frustrée au beau milieu de cette relation. Tes doigts s'étaient liés aux siens, tu lui as fait une place près de toi mais tu as fini un poil pensif, au point que tes sourcils se plissèrent légèrement. Tu cherchais tes réponses dans ses yeux sans arriver à formuler ta question. Tu lui as trop souvent dit l'hiver dernier que tu n'étais pas assez bien. Pour la première depuis vos retrouvailles, cette pensée te rattrapait. T'as failli te marier à Las Vegas ? Surprenant hun ? Tu connaissais le mec, au moins ? Tu étais peut-être un peu perplexe, pensif mais tu essayais de te distraire de cette anecdote surprenante.

@Bambi C. Corleonesi
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Bambi refusait de l'admettre, mais elle restait une superbe contradiction à elle toute seule. Dans le bon comme dans le mauvais sens du terme d'ailleurs ! Là, en étant troublée, elle ne réagissait peut être pas comme elle aurait réagit en étant pleinement calme et en possession de sa zenitude habituelle. A aucun moment cela ne signifiait qu'elle avait l'impression que Ciarán ne lui donnait pas assez. Elle le prenait comme il était, et chaque information qu'il lui donnait était un cadeau qu'elle gardait précieusement dans un coin de sa mémoire. Même si ce n'étaient pas des informations ultra importantes mais des détails, elle aimait le partage qu'ils avaient, cette façon de s'apprivoiser. Le souci qu'avait Bambi, c'était la peur de mal faire. Cette peur panique qui la poussait sans arrêt à s'excuser, sa maladresse n'aidant pas... même si le beau brun était le premier à aimer ce côté de sa personnalité. Heu ouais... Vegas est dangereuse ! grimaça-t-elle avant d'esquisser un petit rire, jouant avec la main de Ciarán, qu'elle porta bientôt à ses lèvres. Ouais je le connaissais c'était un pote de soirée... je t'ai choqué parce que t'es contre le mariage c'est ça ? Désolée petit coeur je sais même pas pourquoi j'ai parlé de ça...

@Ciarán S. Halstead
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Tu te souviens ? Elle t'avait promis que vous apprendriez ensemble. Pourtant à ce moment précis tu ne aurais voulu ne pas être en plein apprentissage. Non tu te persuadais qu'elle valait mieux, bien mieux. Alors oui cette conversation, te distrayait un peu, et tu l'utilisais pour faire diversion, ce qui était plutôt bien parti, mais là encore ça a vite avorté. Tu, tu veux pas qu'on sorte un peu ?! Qu'elle s'excuse une fois de plus ça te gênait. Qu'elle se bride dans ses conversations ça t'embêtait aussi, et qu'elle souligne vos différences alors que tu ne lui avais pas donné les ficelles qui te poussaient à ne pas vouloir d'enfants, à ne pas vraiment croire au mariage, à faire preuve d'une pudeur des sentiments presque paralysante. Presque un peu tout dont elle n'avait pas besoin.

@Bambi C. Corleonesi
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Et voilà, il s'était fermé comme une huitre. Enfin pas en ces termes, mais Bambi aurait cru qu'il prendrait la discussion sur le ton de l'humour, comme elle. Le fait que Ciarán l'évite carrément la poussa à se mordre intérieurement la joue, ce qui lui donna quelques secondes supplémentaires pour réfléchir et ne pas dire une connerie. J'ai juste plaisanté... souffla-t-elle finalement en se levant du canapé, sans sourire, les bras croisés contre son corps. Il voulait juste sortir et faire l'autruche, ne pas parler de ça. Déjà qu'ils avaient déjà du mal à communiquer et qu'elle avait une fâcheuse tendance à se dévaloriser face aux nénettes qu'il côtoyait, que ce soit à la fac ou ailleurs... ce genre de réaction ne l'aidait pas. Tu veux sortir parce que tu veux pas parler de ça, okay j'ai saisi mais tu pouvais aussi bien le dire ou je sais pas le prendre à la rigolade comme moi ! Genre que j'ai été gourde de boire autant au point de finir à Vegas, on en aurait ri je sais pas... des fois j'ai l'impression d'être... une pauvre poupée Barbie. Sans cerveau, sans intérêt. Et j'ai peur que tu me laisses quand tu le découvriras. Je pense que je vais rentrer... Bambi était un peu déboussolée. Elle avait repris son manteau et s'apprêtait à le remettre en se maudissant.

@Ciarán S. Halstead
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Rien ne s'arrangeait et tu avais ce sentiment d'impuissance. Un peu comme si tu étais simple spectateur de tout ça. Ça en devenait flippant et il fallait le reconnaître tu aurais préféré qu'elle te rentre dedans, qu'elle te reproche des choses plutôt que de s'excuser, de culpabiliser, de dévaloriser. Tu n'arrivais même pas à savoir si elle était toujours comme ça ou si simplement tu lui faisais cet effet. En attendant tu culpabilisais autant tu finissais paralysé. La chaleur de son corps avait brutalement quitté ton corps, sa main avait quitté la tienne et sa tirade sonnait comme un coup de massue. C'était peut-être pire que ce que tu pensais. Tu lui faisais perdre confiance en elle en fait. Cette pensée te paniquait véritablement. Arrête je t'interdis de dire une connerie pareille.. putain Bambi Ben voyons c'est comme ça que tu allais arranger les choses tiens ! Ta main se glissa à ta nuque et même si tu aurais du faire quelques pas vers elle tu es resté planté là, debout en la regardant partir énervée, blessée. Sous le coup des nerfs tu as tapé avec ton pieds sur la poubelle en plastique qui s'envola à travers la pièce laissant deux trois boulettes de papier trainer. Tu auras passé le reste de la journée à te demander ce que tu lui dirais si tu lui faisais face, tellement qu'une fois au lit, plusieurs heutes plus tard, tu te blâmais de ta passivité. Il était une heure dix-heures quand tu t'es décidé à quitter ton lit poir rejoindre la Cabot.

@Bambi C. Corleonesi
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