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Somethin' 'Bout You Baby I Like. Mira

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Bonaventure avait conscience de ne pas se livrer, de garder pour lui à la fois son passé mais également ses sentiments. C’était souvent le reproche que ses petites-amies lui faisaient : tu es avec moi sans être avec moi, il y a une part de toi qui est inaccessible. Souhaitait-il que l’histoire se répète avec Mira ? Non. Il avait vraiment envie de pouvoir se confier, de pouvoir révéler ce qu’il en allait pour lui mais quelque chose bloquait. Il avait confiance en elle, là n’était pas la question mais il ne savait tout simplement pas comment faire. De plus, la peur que ses confidences ne l’éloignent continuaient de l’étreindre comme si sa bonne vieille amante la solitude refusait de le laisser partir sans se battre. Toutefois, il voulait croire en ses chances avec Mira mais le Quincy n’était pas idiot : il connaissait parfaitement ses défauts simplement chasser le naturel et il revenait au galop. Aussi ne chercha-t-il pas dans un premier temps à en savoir plus quant à son « laisse tomber c’est rien ». Il n’avait pas besoin d’étudier le comportement des gens en criminologie pour comprendre que Mira s’interrogeait sur lui et sa manie de rester dans l’ombre. Son regard se fit cependant bien plus tendre, bien plus expressif comme pour lui rappeler qu’elle comptait pour lui et qu’il avait uniquement besoin de temps. Oui, il avait besoin de temps pour apprendre à se lâcher, à se confier. « Tu m’offres déjà beaucoup mais si je devais répondre… je crois que je serais heureux si tu me faisais connaitre l’une de tes passions le temps d’un week-end. J’ai envie de passer du temps dans ton monde à toi »avoua-t-il car il avait toujours ce besoin impérieux d’apprendre à la connaitre, d’en savoir plus sur elle et surtout, de se fondre dans son monde.

Pour l’heure, le sien de monde se résumait à une cabine d’essayage et à un costume qui lui seyait particulièrement bien -surtout au niveau du fessier, ce qu’elle ne tarda pas à le lui confirmer. « Tu as conscience que la soirée se déroulera dans la salle de fête de l’hôpital et non dans les couloirs ? Je crains fort que tu ne vois des patients à moins que je te fasse visiter » dit-il en rigolant car il la trouvait adorable. « Je voulais t’entrainer à la morgue mais je doute que ce soit le lieu le plus romantique, j’en ai conscience »bouda-t-il légèrement. Ce n’était pas de sa faute, il adorait les ambiances glauques. Il allait toutefois lui épargner le diner romantique dans un cimetière pour Halloween… du moins pour cette année sinon elle allait le prendre pour un psychopathe. N’empêche, il commençait à faire chaud dans cette cabine songea-t-il en la sentant si proche. « Cela tombe bien, je ne mets que ça… » lâcha-t-il avec un sourire séducteur non sans chercher ses lèvres pour un baiser qu’il tardait à lui offrir, juste pour faire monter le désir en elle. « Tu sais que tu es la seule à vouloir que son petit-ami s’habille au lieu du contraire ? » pesta-t-il avant de la relâcher pour attraper la chemise sur le cintre et l’enfiler. « Tu veux la boutonner ? » demanda-t-il espiègle.

 


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la confiance est quelque chose qui s'apprend avant de se gagner et quelque chose me dit que celle de Bonaventure ne sera pas aussi facilement que ça à avoir. Je laisse un léger soupir s'échapper de mes lèvres, laissant ma main caresser une dernière fois ses mèches brunes avant de laisser retomber ma main le long de mon corps, un léger sourire effleurant tout de même mes lèvres, essayant e relativiser tout ça. Si Bon' ne me parle pas de ce qui se le tracasse, où le fait penser « chanceux » ou même « étrange » que je m'intéresse à lui, c'est peut-être juste un manque de confiance en lui, que j'arriverai peut-être à changer avec le temps, du moins je l'espère. « Tu es heureux avec moi quand même ? » ne puis-je m'empêcher de lui demander, voulant être sûr que le problème ne vient pas de moi ou de notre relation, qui peut, peut-être, peser sur sa conscience comme c'est mon cas par moments. Ce n'est pas une situation facile, que de jouer les maîtresses, de devoir se cacher, et peut-être a-t-il des remords ? Je hausse un sourcil à sa demande : passer un week-end dans mon monde . J'humidifie légèrement mes lèvres en réfléchissant légèrement à ce que je pourrai lui proposer pour qu'il découvre le monde de Mira. « Mais ça… c'est déjà mon monde, les boutiques la mode. » dis-je avec un petit sourire à son intention. Faire les magasins avec une autre personne, ce n'est pas quelque chose dont j'ai l'habitude, ou alors c'est plutôt moi qui me charge d'habiller mes amies, de leur trouver des vêtements intéressants. « Mais tu n'as pas peur de t'ennuyer si ça ne te plaît pas ? » demandai-je en fronçant légèrement les sourcils. Par exemple, la formule 1, je ne pense pas que ça l'intéressera… j'aime en faire, mais regarder ce n'est pas ce qu'il y a de mieux.

« une salle des fêtes ? » Je fronce un peu plus les sourcils . C'est quoi son hôpital, un mini-village ? « il y aura des trucs à manger du coup? » dis-je en détendant mon visage et laissant apparaître un sourire amusé aux lèvres. S'il y a de la bonne nourriture, je pense que me je me laisserais peut-être un peu plus amadouer par sa petite soirée. La morgue romantique… Sa vision semble vraiment très éloignée de la mienne. « Une soirée romantique, je vois plutôt la scène dans la belle et le clochard moi, un petit resto italien, un plat de spaghettis partagé… plutôt que l'identification d'un corps à la morgue tu vois ? » dis-je en riant en secouant la tête. Oui je suis une vraie femme qui croit encore par moments au prince charmant... et aux esprits aussi, alors je préfère éviter de m'approcher d'un corps mort ! Pour l'instant, le corps qui m'intéresse est le sien, auquel je me colle, profitant de la fermeté de son postérieur contre mes mains, laissant mes lèvres s'emparer des siennes, pour un tendre baiser, avant de lui demander de s'habiller, le faisant bouder légèrement, je récupère sa main lorsqu'il s'éloigne pour le coller de nouveau à moi, laissant mon autre main glisser sur son torse . « Je suis surtout la seule à savoir, qu'il y a certainement un employé du magasin, juste derrière ce rideau, qui n'attend qu'une chose : te sauter dessus dès ta sortie pour savoir si tu prends ce costume à 2 000 dollars. » dis-je avec un sourire amusé aux lèvres, avant de m'approcher de nouveau de ses lèvres, laissant mon souffle caresser le sien, tandis que mes mains s’attellent à attacher chacun de ces boutons . « Il y a intérêt à ce qu'il n'y est que moi qui boutonne ta chemise! » dis-je en sourire de séductrice aux lèvres, effleurant légèrement ses lèvres avant de m'écarter totalement de lui ayant terminé de boutonner son haut., et sortant de la cabine ; où en effet quelqu'un se trouve à l'entrée de la zone d'essayage, me faisant lever légèrement les yeux au ciel ,tournant mon regard vers mon petit-ami , un sourire aux lèvres tandis que je l'admire dans cette tenue. «  Tu peux même zapper la cravate je pense, ça ferai trop...strict. » dis-je en lui adressant un clin d'oeil. «  Tu devrais le prendre , vraiment. » dis-je avec un autre sourire, avant de jeter un regard à mon téléphone. «  Faut que j'aille dans la boutique à côté, acheter quelque chose, t'auras qu'à me rejoindre. » Je m'approche une nouvelle fois de lui, pour lui voler un rapide baiser avant de filer, traversant leur boutique en quelques pas, pour partir dans la boutique pour femmes à la droite de celle d'Armani.
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La question de Mira le surprit et il la regarda quelques instants sans rien dire avant de lui sourire. « Je suis heureux avec toi Mira. Je crois même que je ne me suis jamais senti aussi bien avec une femme et c’est pour cela que je me sens si chanceux. J’ai l’impression que tu es un cadeau tombé du ciel et j’ai juste pas envie de te perdre » lui répondit-il avec toute la sincérité qui le caractérise. « Et je sais que je serais d’autant plus heureux le jour où nous n’aurons plus besoin de regarder par-dessus notre épaule » ajouta-t-il pour lui faire comprendre qu’il souffrait tout autant qu’elle de ce manque d’officialisation. Il avait tellement envie d’être le petit-ami qu’elle accueille d’un baiser à la Quincy House, avec qui, elle peut aller en soirée ou simplement passer du temps. Il en avait marre de jouer les bons vieux amis ou de cacher la vérité à ses proches. Bonaventure portait un masque continuellement mais il ne voulait pas que cette relation en devienne un autre. Avec Mira, il voulait de la sincérité, il ne voulait pas entacher ce qui se construit entre eux par le mensonge, la duperie. Il voulait pouvoir être lui-même en public, la toucher, la prendre dans ses bras tout comme il voulait faire partie de son monde, la découvrir davantage. « Alors ça nous fait déjà un point commun » répliqua-t-il avec un petit sourire en coin. Faire les boutiques lui plaisait, il pouvait être un véritable panier percé par moment surtout en matière de fringue et de chapeau. « M’ennuyer ? Avec toi ? Tu rêves miss Hudson. Tout ce qui te touche me passionne et puis… un couple, c’est fait de compromis il me semble non ? Il y a des choses qui te passionneront pas chez moi non plus mais je veux faire l’effort de te connaitre, d’apprendre ce qui te plait »

« Enfin pas vraiment une salle des fêtes. En fait, c’est là où on organise les conférences et autre colloque médicaux mais exceptionnellement, les lieux vont être transformés en salle de fête. Je trouve pas d’autres termes » grimaça-t-il avant de rigoler. « Oui, à boire et à manger… Donc tu m’accompagneras uniquement pour les petits fours… femme vénale va » la taquina-t-il non sans lui voler un petit baiser sur sa joue. Il aurait bien aimé l’inviter à la morgue mais elle ne voyait pas le côté romantique des lieux. Bon il n’y en avait aucun ! « J’allais quand même pas te faire une autopsie en direct mais un câlin à la morgue… cela me donnerait des souvenirs agréables pour mes longues nuits de garde » ajouta-t-il avec un sourire malicieux. Esprit pervers ? Légèrement. Bon carrément. On ne dirait pas mais Bonaventure était un être passionné et il adorait faire l’amour surtout à cette femme comme il adorait lorsqu’elle l’embrassait. « Tu n’as pas tort mais je trouve ça frustrant… pour une fois que je t’ai toute à moi, je peux même pas en profiter » continua-t-il à bouder non sans se laisser habiller par sa petite-amie. Il y avait quelque chose d’érotique à sa façon de boutonner sa chemise qu’il en fut d’autant plus frustré. « Uniquement toi ou ma mère quand elle trouve que je suis débraillé mais promis, il n’y a rien entre elle et moi » lâcha-t-il sur un ton on ne peut plus sérieux mais ses yeux pétillaient de malice. « Si tu valides le costume, je le prends alors ! » dit-il se fichant bien du prix, il les avait largement. « Okay mais fais vite, tu me manques déjà » souffla-t-il avant de la laisser le quitter sur un dernier baiser. Bonaventure se changea à nouveau pour mieux faire signe au vendeur qu’il prenait l’ensemble. Le passage en caisse fut rapide et le jeune homme put attendre sa belle devant la boutique en consultant ses mails.

 


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Le silence gardé par Bonaventure, commence à m'inquiéter . Pourquoi sa réponse ne fusent pas directement de ses lèvres, comme une évidence, pourquoi dit-il réfléchir pour me répondre ? Pleins de pensées traverses mon esprit, aux points, que j'en oublie même de me mordre la lèvre, le regardant sans, bouger, sans sciller jusqu'à ce qu'il ne décide enfin à ouvrir la bouge, me soulageant d'un poids quand même, laissant un sourire naître sur mon visage. «  alors arrête de te torturer, tu ne vas pas me perdre ! Si j'ai franchi l'obstacle du mariage, tu crois vraiment que c'est pour partir maintenant ?  » demandai-je en haussant un sourcil, avec un sourire aux lèvres. Je vais vraiment qu'il comprenne que je prends vraiment cette relation au sérieux, même si elle "n'est pas vraiment officielle aux yeux des autres, pour moi elle l'est. «  Oui… moi aussi , mais ce n'est pas pour autant que je ne suis pas heureuse pour l'instant. Je suis bien avec toi, et j'aimerai vraiment être encore plus proche de toi ! » dis-je laissant mes doigts caresser lentement ses avant-bras . Si lui veut apprendre à me connaître, c'est réciproque. Bon' est encore un vrai mystère pour moi, je tiens à connaître chaque chose, détail qui rythme son quotidien, ce qu'il aime, ce qu'il déteste... Je passe une main dans mes cheveux à sa question sur mes passions, ce qu'on pourrait faire durant un week-end pour qu'il me découvre un peu plus. «  Mais oui mais … tout un week-end… genre je sais pas...imagine-tu détestes euh... » je fronce les sourcils ; le regardant en détail : qu'est-ce qu'il pourrait détester tiens ? Ça j'aimerai biens le savoir. «  .. les araignées...et que moi j'adore ça ! - ce n'est pas vrai hein', j'ai horreur de ces bestioles - et que du coup je t'emmène voir une exposition avec plein d'araignée ou une boutique spécialisé en mygale, tout le week-end... Tu tiendrais le coup ? » demandai-je . « Et je t’emmènerai manger dans un restaurant où justement on mange des insectes, des araignées de mer … c'est un très gros compromis ça... » dis-je avec un sourire amusé aux lèvres, et une envie irrésistible de me mettre à rire .

«  d'accord j'ai compris t'inquiète pas... je me moquais juste un peu de toi. » dis-je en secouant la tête , remettant derrière mon oreille une mèche de mes cheveux blonds, et laissant mon regard clair se lever légèrement au plafond. « Non je t'accompagne aussi pour les autres médecins, infirmiers, ambulanciers, pour voir si le fantasme de la blouse blanche est bien réel. » dis-je en hochant doucement la tête, à cette idée. Oui non, je vois pas comment on put avoir envie de son médecin traitant, souvent ils sont vieux, ils sentent le café, et bon...le bâtonnet en bois sur la langue m'a toujours donné envie de vomir, tandis que l’imperméable du détective, c'est autre chose... «  Un câlin à côté d'un mort ? … Non je préfère largement le comptoir de mon bar tu vois... c'est plus...Sauvage que ta morgue ! » dis-je avec un sourire de prédatrice aux lèvres, avant de mettre fin à ces pensées érotiques en lui demandant de s'habiller. J'aime jouer avec le feu, ce n'est pas de ma faute, mais j'aime surtout le dompter, et être celle qui commande et dirige… et donc qui décide ou et quand. «  tu es proche de ta mère ? » demandai-je malgré tout à Bon',«  je serai encore toute à toi, quand on sortirai de la boutique chéri … et je trouve que ça à quelque chose d'encore plus excitant de te frustrer ! . »dis-je avec un sourire, terminant de lui boutonner sa chemise et déposer mes lèvres sur sa joue, remontant légèrement pour lui glisser quelques mots à l'oreiller. «  tu perds rien pour attendre...  » lui dis-je avec un clin d'oeil avant de m’éclipser de la boutique pour me rendre dans celle d'à côté . Il ne me faut que quelques minutes pour trouver mon bonheur dans les différents rayons, me dirigeant rapidement cabine, enfilant l'ensemble que j'ai pris avant d'envoyer un SMS à Bona.

j'arrive pas à choisir , tu peux venir m'aider?
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La crainte de la perdre le poursuivait à chaque fois qu’il fermait les yeux. Bonaventure avait perdu beaucoup trop de monde pour ne pas s’inquiéter de la perdre elle. Il ne pouvait pas s’en empêcher, c’était plus fort que lui. Il tenait à elle et craignait de tout gâcher que ce soit avec son passé ou sa fâcheuse manie d’être trop secret. Il savait que ce n’était pas agréable de toujours se demander à quoi il pouvait bien penser mais il ignorait comment se confier. Cela faisait trop longtemps qu’il se cachait des autres pour ne pas les blesser, pour ne pas être meurtri. Bonaventure s’était toujours dit que garder ses distances étaient la meilleure chose à faire pour préserver ses proches. « Non je ne pense pas mais garder cette crainte en moi me pousse à me surpasser avec toi. J’ai envie de te donner encore davantage de raison de rester et surtout, ne pas songer un seul instant que tu m’es acquise » répondit-il avec un sourire. Il voulait la surprendre encore et encore. « Je suis tout à toi Mira » dit-il avec tendresse. Il allait faire des efforts pour baisser la muraille de Chine entourant son cœur, pour elle. Pour la première fois depuis la mort de Jarod, il avait envie qu’une personne le connaisse entièrement. Cela l’effrayait car il savait qu’à ce moment-là, il n’y aurait plus de retour en arrière possible. Pourtant, malgré la peur, il y avait une part de lui qui s’impatientait car trop pressée de mettre fin à des années de solitude forcées et subies. « Bon… pour le coup ouais, j’avoue qu’il faudrait que je fasse un grand effort mais si c’est genre une fois… Pourquoi pas ! Je pars du principe qu’il vaut mieux toujours essayer que regretter par la suite donc même si je m’ennuie au moins une fois, j’aurais le plaisir de me dire que je l’ai fait avec toi. Après, rien n’empêche de trouver des choses à faire que nous aimons tous les deux mais j’ai envie de connaitre ce qui te plait, même si c’est pas mon trip » lui expliqua-t-il. Bonaventure ne plaisantait pas, il voulait vraiment faire des efforts pour découvrir ce qui fait sa vie. Le reste, ils auraient le temps de s’adapter l’un à l’autre pour chacun s’épanouisse dans leur couple.

« Vilaine fille… » répliqua-t-il quand elle avoua se moquer gentiment de lui. « Mouais… finalement, on va peut-être oublier cette soirée, j’ai pas envie que tu partes au bras d’un brillant chirurgien » rigole-t-il de bon cœur. Il allait aussi oublier cette histoire de câlin dans la morgue, sentant que Mira n’était pas du tout le genre de femme à apprécier ce genre d’intermède non loin d’une chambre à viande froide. « Je vote pour le comptoir du bar » s’exclama-t-il aussitôt avec un sourire amusé bien qu’il se mit à bouder rapidement quand l’humeur coquine de sa petite-amie se transforma en : habille toi plus vite que ça. « Très… en fait, je suis très proche de ma famille mais surtout de ma grand-mère, elle est spéciale » lui répondit-il peu après au sujet de sa mère.

« Tu es une sadique avec moi ! » grommela-t-il en la laissant filer malgré tout. Mira allait le rendre chèvre et il adorait cela. Il faut croire qu’il était vraiment tomber sur la perle rare, celle qui le comblerait au-delà des mots. Il ne lui en faudrait pas beaucoup pour réellement tomber amoureux d’elle songea-t-il avec un petit sourire. Bonaventure s’occupa après coup de l’achat de son costume avant de recevoir un texto de sa petite-amie. « Pas possible, elle me cherche là » soupira-t-il amusé, en voyant la boutique où elle l’attendait : une boutique de lingerie. Il allait lui sauter dessus avant la fin de la journée. « Petit cœur, t’es dans quelle cabine ? » demanda-t-il ayant appris sa leçon pour une fois. Qui sait, s’il se montrait sage, elle le récompenserait peut-être bien.

 


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Je ne souhaite pas laisser une incertitude comme celle-là planait au-dessus de nous, au-dessus de moi surtout. S'il me faut du temps pour déclarer mes vrais sentiments pour me dire amoureuse, je peux tout de même affirmer que je suis heureuse avec Bon', et ce malgré la difficulté de notre relation, qui reste secrète aux yeux des autres. Je ne peux m'empêcher de sourire lorsque je le vois, au détour d'un couloir à la fac, venant me surprendre sur mon lieu de travail . Et je ne suis jamais déçue avec lui, son côté assez fou réussissant toujours à me faire rire et me faire passer un moment agréable . Alors je souhaite être rassuré, d'une certaine façon, en apprenant que c'est également le cas de son côté. Mais sa réponse me fait légèrement sourire, voulant à mon tour me rassurer sur le fait que je ne vais pas l'abandonner de sitôt. «  c'est… adorable tu sais... » dis-je avec un sourire attendri à son intention «  mais ne te mets pas une pression non plus mon chat . Tu n'es en concurrence avec personne et tu m'as déjà acquise. » dis-je avec un nouveau sourire à son égard . Ce n'est pas un concours, je veux réellement qu'il prenne du plaisir à être avec moi, et non pas qu'il se pose toujours la question de savoir s'il me surprend, s'il se surpasse ou quoi. Qu'il soit simplement lui-même , c'est tout ce que je lui demande. Je ne peux m'empêcher de rire à la fin de mes dires ; pourquoi ai-je parlé d'araignée, alors que je déteste ça ? Je suis sûr qu'il serait encore capable de m'emmener une journée entière dans ce genre d'endroit. « Oui tu n'as pas tort, si on est ensemble, il y a toujours un bon côté. » dis-je en laissant ma main descendre de ses cheveux jusqu'à sa joue que je caresse avec douceur. «  Mais j'essaierai de trouver une activité à faire sur un week-end... avant Halloween peut-être … mais c'est réciproque, si je te fais rentrer dans mon univers… je veux découvrir le tien également ! » Pourquoi apprendrait-il à me connaître en restant toujours aussi  mystérieux pour moi ?

«  Oh mais si je veux voir l’hôpital moi maintenant ! Tu peux pas retirer ton invitation il est trop tard ! » dis-je en riant, en prenant sa main dans la mienne en serrant ses doigts dans les miens, ayant vraiment envie de découvrir un peu son monde après notre discussion ; je peux faire cet effort pour lui je pense ... De toute façon, je suis bien obligé d'y aller lorsque je me casse quelque chose ; pour manger, boire et passer du temps avec mon petit ami ce sera sans doute plus simple. Mais la visite de la morgue se fera pour une autrefois je pense, préférant plutôt évoquer mon cher comptoir, presque devenu mon meilleur ami depuis mon arrivé à Harvard, et surtout mon meilleur allié pour lutter contre le compte à sec. «  un jour où je ferai la fermeture et où tu ne travailleras pas... tu pourras m'aider à ranger. » dis-je avec un clin d'oeil à son intention avec un sourire amusé avant de l'interroger sur sa famille et plus précisément de sa mère. Mordillant légèrement la lèvre inférieure je le regarde, affichant un petit sourire aux lèvres, heureuse pour lui qu'il est une très bonne relation avec sa mère. «  Ah bon qu'est-ce qu'elle a de spécial ta grand-mère ? » demandai-je en haussant légèrement un sourcil, curieuse d'en apprendre un peu plus sur sa famille.

Je finis finalement ma course dans la boutique d'à côté, disparaissant de la vue de Bonaventure l'espace de quelques minutes. Essayant de ne pas trop m'égarer dans les rayons, prenant plutôt ce qui m'intéresse : des dessous plus sexy les uns que les autres, dont le choix reste difficile . Je souffle un coup, en choisissant finalement 2, espérant qu'il plaise à mon petit ami, et surtout qu'ils lui plaisent sur mon corps. Je rejoins rapidement les cabines, me déshabillant pour me rhabiller simplement avec l'ensemble choisi, envoyant rapidement un SMS à Bonaventure . L'envie de jouer, ou l'envie d'autre chose. J'entends rapidement sa voix s'élever du couloir. «  la dernière cabine... » répondis-je, laissant passer ma main entre le rideau pour lui indiquer ma présence, attendant son arrivé pour ouvrir un peu plus le rideau. « dis j'ai un problème… je ne sais pas laquelle est la mieux. J'ai celle-là... ou après j'ai un ensemble blanc... » dis-je en attrapant une mèche de mes cheveux que j'enroule autour de mon doigt, laissant un sourire sexy touchait mes lèvres.


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Ne pas se mettre la pression, c’était quelque chose qu’il aurait du mal à faire. Depuis qu’il était gosse, Bonaventure vivait avec l’impression de devoir se faire pardonner ses erreurs, à être parfait pour ne plus blesser personne et encore moins ses proches. Il avait été le meilleur fils possible pour les Weasley et cette histoire d’adoption le minait. Ses parents faisaient tout leur possible pour ne pas qu’il angoisse mais lui, il ne pouvait s’empêcher de s’en vouloir de les tracasser même si ce n’était pas de son fait. En fait, cet homme portait le poids du monde sur ses épaules alors que rien ni personne ne le lui demandait. Il était juste ainsi fait. « Je te promets que je te ferais entrer dans mon univers mais va falloir que tu aimes une chose..non deux : le basket et les comics… Bon, je rajouterai bien tout ce qui fiche la trouille mais ça, je peux encore te l’épargner » plaisanta-t-il. Le Quincy n’était pas un homme compliqué, bien au contraire. Il était quelqu’un de simple, aux gouts simples. Seul son passé et sa culpabilité le rendait marginal dans sa façon d’être.

« D’accord, je ne retire pas l’invitation mais pour te faire pardonner, tu viendras visiter la morgue. Promis, il n’y aura ni aiguille, ni cadavre, ni sang. En fait, c’est l’endroit le plus propre de l’hôpital car il ne faut absolument pas que les preuves soient corrompues » lui explique-t-il comme si c’était le meilleur argument pour convaincre sa petite-amie de l’accompagner sur son lieu de travail. En fait, Bonaventure voulait lui montrer son quotidien, le côté que peu de monde connaissait de lui à savoir le médecin. Après tout, pour la plupart, il était le détective, celui qui se rêvait agent du FBI mais peu de personne l’imaginait tout simplement étudiant lambda. « Je sens que je vais prier pour avoir des soirées de libre » rigole-t-il non sans déposer un baiser au coin de ses lèvres. Elle allait finir par le prendre pour un pervers s’il poursuivait sur cette voie. Or, c’était loin d’être le cas. Il aimait simplement être avec elle. « Du genre à m’offrir une boîte de préservatif à mon anniversaire pour que je n’oublie pas que les femmes sont vivantes et qu’elles peuvent être intéressantes autrement que comme amies » dit-il avec un sourire en coin. Il adorait sa grand-mère. « Elle te plairait j’en suis certain »

Il la laissa partir non sans regarder son déhanché, des idées plein la tête. Décidément, elle l’obsédait en tout point songea-t-il amusé du cours que prenaient ses pensées. Au bout de quelques minutes, son sac Armani à la main, sa canne de l’autre, il la rejoignait dans une boutique de lingerie. Là, elle le faisait exprès, il ne pouvait en être autrement surtout quand il la surprit dans un sublime ensemble. Bonaventure n’arrivait pas à détacher ses yeux de ses courbes mises superbement en valeur. « Ouah.. tu es déjà magnifique dans celui-ci » dit-il distraitement, complétement sous le charme. « Mais… pour me faire une idée, il vaudrait mieux que tu me montres ce second ensemble sur toi non ? » dit-il cette fois-ci sur un ton beaucoup plus malicieux. « Je peux peut-être t’aider à te changer ? Après tout, tu m’as bien aidé tout à l’heure, je dois te rendre la pareille » rigole-t-il doucement.

 


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Un sourire s'affiche sur mes lèvres quand il évoque sa passion pour les comics. Je me souviens lorsqu'il a évoqué cette dernière lors de notre répétition au théâtre...cette fameuse scène répétée qui nous a emmenés à nous embrasser, qui m'a obligé à dévoiler mon attirance pour cet homme. Une scène qui date d'il y a quelques mois déjà...pourtant rien n'a vraiment changé dans notre complicité je trouve. « Les comics… on doit regarder la série Daredevil aussi ensemble ! On pourra se faire ça un week-end ; une bonne série, un chocolat chaud, une couette et toi en Hiver...que demander de plus ? » demandai-je avec un sourire en déposant mes lèvres sur sa joue. Ce sont des souvenirs que je souhaite me créer avec lui. Des souvenirs, mais surtout, je veux vivre ces moments avec lui, et découvrir son monde, le voir heureux, épanouie dans ce qu'il fait et ce qu'il aime c'est quelque chose que je souhaite voir et que je souhaite pour lui. Bon' mérite d'être heureux, et je tiens à faire mon possible pour que ce soit le cas. « je ne suis pas très douée au basket… mais on pourra essayer de se faire quelques paniers un jour tout de même. » dis-je en lui adressant un petit sourire. Son accident l'a empêché de pratiquer ce sport, mais avec moi en adversaire...je suis sûr qu'il réussira encore à gagner, et marquer des paniers d'une main. « Si tu aimes ce qui fait peur…j'espère que tu as les épaules pour me rassurer… et m'aider à m'endormir sans que je fasse de cauchemar. » dis-je en laissant un léger sourire apparaître sur mes lèvres. Si seulement mes cauchemars n'étaient dû qu'à un mauvais film d'horreur que j'ai vue ; malheureusement c'est plus compliqué et plus profond que cela. Et c'est quelque chose que je redoute lorsque je dors avec Bonaventure : être de nouveau sous l'emprise de ces images, et d'effrayer Bon'.

Le travail de Bonaventure, son lieu de travail, c'est quelque chose qui mérite de m'interroger, ayant effectivement envie de découvrir l'endroit où il passe ses nuits, lorsqu'il n'est pas avec moi . Mais la morgue… Cela quelques de quelque peu ... glauque non ? Mais ses dires me prouvent le contraire pour le moment, je hoche légèrement la tête, devant affirmer qu'il a l'air plutôt convaincant , pas de sang, pas d'aiguille, et pas de cadavre par-dessus tout ! « D'accord. » dis-je finalement, ne trouvant pas de raison de refuser, et j'imagine déjà le sourire de mon homme lorsqu'il me fera visiter sa précieuse morgue . « Non mais je plaisante pas ! Avant faudra m'aider à ranger… ou après, tout dépendra si le lieu te rend sauvage ou au contraire romantique. » dis-je avec un sourire séductrice aux lèvres. S'il y a quelque chose, un domaine qu'un homme peut envier à Bonaventure, un domaine où il est excellé, c'est bien le sexe ! Et ça, d'après ses dires sa grand-mère semblée l'avoir deviné, pensai-je tandis qu'un rire cristallin sort de mes douces lèvres en l'entendant. « si elle te dit de réserver ses capotes, seulement pour moi… ouais je pense qu'elle deviendra ma meilleure amie. » dis-je en éclatant de rire et secouant légèrement la tête. D'un côté , je l'envie un peu d'avoir ce genre de relation, de lien avec sa famille … alors que je ne connais ma grand-mère maternelle, seulement depuis quatre ans... c'est difficile de créer des liens après une si longue absence.

Une âme de joueuse, quelque peu taquine, et surtout une réelle envie de chauffer Bonaventure, présente dans mes veines lorsque je lui envoie ce message. Si depuis le début, nous nous cherchons mutuellement, ce dernier essayant de rentrer dans ma cabine, moi, m'amusant à jouer les tentatrices, sans jamais pour autant céder. Un jeu de séduction qui nous habite, une passion qui ne demande qu'à sortir, mais que je contiens encore quelque temps. Ce regard qu'il pose sur moi, le désir et l'envie que je peux lire dans ce dernier a quelque chose… d’envoûtant, me donnant l'impression que je suis la seule, l'Unique sur cette Terre à lui faire cet effet et… j'ai envie d'y croire . Cet homme réussit à me donner le sourire, à faire battre mon coeur, et surtout… à me faire sentir exceptionnelle, me donner envie de me surpasser pour lui, juste pour lui. « Oui… il faudrait peut-être que tu vois l'autre... » dis-je avec une petite grimace en tournant mon regard vers la cabine, avant de redéposer mon regard sur lui « non celui-là est facile à enlever. » dis-je en faisant glisser l'une de mes bretelles sur mon épaule, haussant par la même occasion cette dernière, un sourire ensorcelant se dessinant sur mes lèvres avant de finalement refermer le rideau, ayant réellement envie de le rendre fou, voulant voir le lion qui se cache en lui. Je rouvre lentement le rideau en velours, ayant enfilé le second ensemble . Je laisse mon regard se perdre dans le sien, tandis que je me mordille volontairement la lèvre inférieure » et celui-là . Il te donne envie de me l'arracher avec tes dents ? »


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« Que je m’épile le torse pour pouvoir te blottir contre moi ? » la taquina-t-il de bon cœur mais le programme qu’elle lui proposait lui donnait envie d’être libre le week-end prochain. Il est vrai que cela faisait un moment qu’ils parlaient de se regarder la série Daredevil alors pourquoi repousser encore et encore ? Bon, l’argument de leur travail était tout de même valable. « Tu bosses le week-end prochain ? Je peux m’arranger pour me faire remplacer » dit-il en sachant que l’un de ses collègues lui en devait une. C’était peut-être l’occasion rêvée de se rappeler à son bon souvenir. « Pourquoi pas mais je te promets pas un match car je risque d’avoir du mal à te courir après » dit-il peu après, les yeux rieurs. Mira ne pourrait pas le rendre plus heureux qu’en lui mettant un ballon de basket entre les mains. Il voyait déjà un bon week-end : sortie et petites séances de shoot l’après-midi, le soir, il pourrait lui cuisiner quelque chose pour l’épater et le reste de la soirée, bien au chaud sous une couette à regarder la série. « Ne t’inquiète pas, je connais beaucoup de façon pour te rassurer et te faire passer une très bonne nuit peuplée de plein de petits Bonaventure » rétorque-t-il avec un petit rire. Mine de rien, il avait aimé les quelques nuits passées avec elle. Bien souvent, il la couvait du regard, ne dormant que peu d’heures dans la nuit. Elle n’avait pas conscience de combien elle était magnifique dans son sommeil. Le jeune homme pouvait se perdre durant des heures et des heures dans cette contemplation. C’était la première fois qu’il ressentait cela pour une femme, pas même avec son ancienne petite-amie. Lucy avait été très importante dans sa vie et dans son cœur, elle était sa première petite-amie, sa première fois également mais il l’avait aimé comme un adolescent plus que tout autre chose. Auprès de Mira, c’était différent. Totalement.

Le simple fait qu’elle accepte finalement de visiter la morgue lui arracha un sourire bienheureux. Il était déjà impatient de lui montrer son lieu d’étude et de travail tout comme il était impatient de pouvoir découvrir d’une autre façon le Lord Hobo. « Je serais un mix des deux… sauvage pour t’arracher à ton rangement mais cruellement romantique pour te faire l’amour » murmura-t-il à son oreille, jouant le jeu de la séduction même si parler ensuite de sa grand-mère et de ses cadeaux spéciaux n’étaient pas la meilleure façon d’être romantique. « Elle me tuerait sur place si j’osais courir deux lièvres à la fois ! Très ouverte d’esprit mais assez vieux jeu sur les relations sentimentales. Elle crie déjà au scandale de me savoir marié mais je pense que c’est surtout le choix de l’épouse qui ne lui plait pas » avoua-t-il avec un petit rire. Suzanne était trop dans les stéréotypes de l’héritière pour plaire à sa grand-mère. Celle-ci préférait plutôt le style…Mira.

En parlant de Mira, cette dernière était déterminée à le faire craquer ou de ne le mener à sa perte. Quelle idée de lui faire subir une séance de lingerie ?! Elle voulait qu’il lui saute dessus ? Non parce que si c’était le cas, elle allait rapidement parvenir à ses fins. En même temps, comment résister à une pareille déesse ? Mira était juste sublime dans cette lingerie et lui, il ne voyait plus qu’elle. « Dommage… peut-être que l’autre sera plus compliqué à enlever » dit-il d’une voix un peu rauque. Bonaventure jeta un petit coup d’œil à droite puis à gauche. Les vendeuses semblaient occupées et il ne voyait aucune caméra. De tout de manière, dans l’état actuel des choses, il serait encore capable de pirater leur système pour causer une panne. « Celui-là… il me donne beaucoup mais beaucoup d’idées » murmura-t-il en se relevant pour s’approcher d’elle, prenant l’une de ses mains dans la sienne pour la faire tourner sur elle-même. « Si tu n’étais pas déjà ma petite-amie, je crois que je te supplierai à genoux de le devenir » reprit-il en se glissant dans son dos pour mieux poser ses mains sur ses épaules, les faisant glisser très lentement le long de ses bras tandis qu’il déposait un baiser sur son épaule gauche, ses lèvres traçant une ligne imaginaire vers la courbe de son cou. « Dommage que tu sois contre les cabines d’essayage » susurra-t-il à son oreille avant de s’éloigner d’elle, les yeux à la fois rieur mais chargés de désirs. Ils pouvaient être deux à jouer cette petite séduction.
 


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Bonaventure n'en a peut-être pas conscience, mais un jour... il l'aura son épilation du torse, qu'il le veuille ou non ! Alors si pou le moment il en rigole… qui rira bien, rira le dernier comme on dit ! « ne me cherche pas mon coeur ! Et puis… je suis sûr que toi aussi tu apprécierais d'avoir un torse doux au toucher . » dis-je avec un sourire amusé aux lèvres en passant ma main par la même occasion sur ce dernier que je caresse lentement à travers son t-shirt. « ça me donnerait envie de faire ça plus souvent… ou des massages. » dis-je avec un petit clin d'oeil en son intention . Un massage sensuel, je ne pense pas qu'il refuserait. D'ailleurs l'idée de passer ce week-end semble vraiment lui plaire, vu sa demande. Ma main vient rejeter en arrière quelques mèches blondes de mes cheveux, réfléchissant à une solution. « normalement oui, je travaille... » dis-je, passant ma langue sur mes lèvres pour les humidifier tandis que mon cerveau cherche un plan pour pouvoir échapper au bar. « Je peux voir pour doubler mes heures dans la semaine et ainsi ne pas être obligé de travailler le week-end. » dis-je finalement. La solution de me faire remplacé est peut-être plus simple mais, si Bonaventure bosse pour ses études, pour ma part, c'est pour le salaire à la fin du mois, et les heures que je ne fais pas, correspondent à de l'argent qui s'envole de ma fiche de paie. « On peut juste faire des paniers ! Déjà à 5 mètres du panier je ne suis pas sûr de réussir à marquer alors si je dois me battre contre un grand costaud comme toi, c'est perdue d'avance. »dis-je avec un sourire amusé aux lèvres mais sincère. Bonaventure peut peut-être parfois se sentir différent à cause de son handicap, de cette canne qui l'aide à marcher, mais je veux faire mon possible que cette différence, disparaisse simplement de son esprit. Pour moi, il est comme un autre, et il est hors de question qu'il se rabaisse à cause de cela. Même si pour le moment, il en plaisante, ce qui me rassure d'une certaine façon, faisant ainsi apparaître un petit sourire au bord de mes douces lèves. Comment ne pas craquer pour un homme comme lui ? Avec lui, tout semble si simple, même mes cauchemars me sembleraient certainement plus faciles à surmonter dans ses bras. « Un seul Bona me suffit tu sais, et celui de la réalité est bien mieux que celui de mes rêves. » lassai-je échapper en me perdant dans son regard. Parfois la réalité est bien plus belle que le rêve lui-même, et avec lui, j'ai vraiment tendance à y croire.

Je tourne légèrement mon visage vers lui à ses dires à mon oreille, haussant légèrement un sourcil, tandis qu'une expression amusé passe sur mon visage. L'envie de lui faire l'amour sur mon lieu de travail est bien présente à présent dans mon esprit, mordillant même ma lèvre inférieure face à ses images qui s'ancre dans mon cerveau. «  j'opte pour le sauvage personnellement , car moi j'aurai plutôt envie de t'arracher tes vêtements tout court , de te plaquer au mur dans la réserve, et que tu me fasses l'amour sensuellement sur le comptoir » dis-je un sourire cruellement sexy au lèvres , ce genre de fin de soirée m'irait très bien également, beaucoup moins tranquille que l'on week-end que l'on prévoit, mais également plus pimenté… et excitant !Mes sourcils se froncent légèrement lorsqu'il me parle de nouveau de sa grand-mère. « je comprends pas... parce que tu es marié jeune ou parce que c'est un mariage blanc? » demandai-je, baissant un peu la voix pour le dernier mot de ma phrase, ne voulant pas que des oreilles indiscrètes surprennent notre conversation. « Mais tu as de la chance d'avoir ce genre de lien avec ta famille, c'est super je trouve. » dis-je malgré tout avec un sourire, constatant qu'il est vraiment proche de cette dernière.

Je ne cache pas mon amusement à voir le visage de Bonaventure, se décomposer un peu à chaque seconde, tandis qu'il me regarde . J'essaie de ne pas rougir, pour avoir l'air d'une femme fatale, mais je crois que c'est peine perdu avec lui, avec ce désir que je lis dans son regard lorsque je sors avec le second ensemble blanc, transparent et en dentelle au niveau du ventre, et porte-jarretelle . Me mordillant volontairement la lèvre, pour le faire craquer un peu plus, je le regarde s'avance vers moi, ayant tout de même peur qu'il trouve que cela fait un peu...trop ? Je relâche la pression quand il me fait tourner sur moi-même pour m'admirer – certainement aussi pour regarder mes fesses- « c'est si simple que ça de convaincre un mec de sortir avec moi ? la prochaine fois que je serai célibataire ; je viendrai comme ça en cours alors. » dis-je en riant légèrement, en espérant tout de même que ce jour n'arrive pas. Je suis tellement bien avec Bonaventure, que j'ai envie de croire que lui et moi, c'est pour une durée éternelle . Je le suis du regard lorsqu'il passe derrière moi, ses mains sur mes épaules glissant lentement sur la partie non couverte de ma peau, me faisant frissonner légèrement, sa peau chaude contre la mienne, soufflant légèrement à ses lèvres se rapprochant de mon cou, sans jamais y aller pour autant lorsqu'il s'éloigne de moi. Non mais oh, il croit quoi lui . Je le rattrape par la main, lorsqu'il tente de s'éloigner, un sourire très craquant aux lèvres. « minute là… qui a dit que j'étais contre les cabines d'essayage ? » dis-je en haussant un sourcil en le faisant se rapprocher de moi pour le coller tout conte mon corps, si peu vêtu.


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