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Somethin' 'Bout You Baby I Like. Mira

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Elle ne voulait peut-être pas qu’il se batte pour elle mais Bonaventure le ferait sans hésiter une seule seconde. Mira était importante pour lui et même s’il peinait encore à se l’avouer à lui-même, ses sentiments étaient profonds. Il se connaissait suffisamment pour savoir qu’il ne sacrifierait pas une journée de boulot pour n’importe qui. Il faut croire qu’elle avait su planter sa flèche en plein dans son cœur mais était-ce dérangeant ? Non. Il avait peur de se brûler les ailes, de perdre une nouvelle fois une personne qui lui était chère. Pourtant, quand il plongeait son regard dans le sien, quand il l’entendait lui faire des compliments de ce genre, il avait envie de prendre le risque. Quitte ou double, ça passe ou ça casse. « Tant que tu le penses, je me sens déjà beaucoup plus rassuré » répondit-il sur un ton amusé non sans lui faire un petit clin d’œil. « et si j’ai envie que tu t’y habitues ? » demanda-t-il dans un léger murmure non sans déposer un baiser au coin de ses lèvres. Elle lui échappait une nouvelle fois et ce gémissement… Dieu qu’elle jouait avec le feu. Bonaventure était très gentil, le gendre idéal même selon certaines personnes mais il était aussi un grand passionné devant l’éternel et faire l’amour dans une cabine d’essayage ne lui posait aucun problème si à elle non plus -il gardait toujours ces grands airs de gentleman.

Bonaventure profita qu’elle se changeait pour aller réserver la fameuse robe. Il se fichait bien du prix, ce n’était pas un problème pour lui tout comme il n’attendait pas de cadeaux de grandes valeurs de sa part. Le simple fait qu’elle veuille rester auprès de lui était déjà beaucoup. Mira ignorait tout de ses sombres pensées et il comptait bien faire en sorte que cela continue de la sorte. Toutefois, elle ne pouvait nier le fait qu’elle était sa principale raison de sourire surtout quand elle était à ses côtés. Il revint rapidement vers elle ; et la chance lui sourit car il put entendre et répondre à ses questions. « Oui, il y a une boutique qui vend des pièces détachées. En général, je monte mes ordinateurs tout seul » lui expliqua-t-il non sans lui proposer de changer ses plans pour passer du temps auprès d’elle. « M’ennuyer avec toi ? En faisant du shopping. Petit cœur, j’adore faire du shopping.. c’est même toi qui va en avoir marre au bout du compte » rigole-t-il en glissant sa main dans la sienne pour mieux sortir du magasin. « Humm les boutiques pour le boulot peuvent attendre ! J’ai envie de profiter de toi alors qu’est-ce que tu penses de commencer par m’aider à me trouver un nouveau costume ? Je dois assister à une soirée de charité la semaine prochaine et j’aimerai me trouver un autre costume » lui proposa-t-il en lui ravissant ses lèvres dans un tendre baiser.

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Bonaventure a quelque chose de différent, qui le différencie des autres garçons avec qui j'ai pu sortir dans la passée. Très peu ont réussi à me faire ressentir cette étincelle d'amour, de sentiments d'allégresse et de légèreté lorsque je croise son regard. Mais c'est encore autre chose, je sais pas… peut-être la modestie, sa modestie qui me plaît tant au final . Ce n'est pas le genre d'homme à se vanter de sa beauté, peut-être un peu de ses performances au lit – mais au fond il a de quoi selon moi – mais c'est cela qui me met à l'aise, je n'ai pas l'impression d'être inférieur à lui, et ce malgré son argent ou la petite différence d'âge. Je lui souris doucement, voulant vraiment qu'il comprenne qu'il peut avoir pleinement confiance en moi, et que, même si je rigole beaucoup avec cette petite pointe de jalousie que je peux sentir dans sa voix, mais ça ne reste que des paroles amusantes, et non pas la vérité. Jamais je ne pourrai le tromper, non pas seulement par rapport à mes principes, mais également, car, lorsque mon coeur s'accroche à quelqu'un il m'est impossible de détoner le regard de cette dernière. Je me mordille légèrement la lèvre en regardant d'ailleurs mon petit ami . « et il y a pleins d'autres raisons pour lesquels tu devrais être rassurée. » dis-je avec un petit sourire en haussant doucement les épaules. Mais je préfère ne pas en dire plus, gardant encore quelques compliments en réserves pour les petits moments de faiblesse de mon beau bruns. Je fronce un peu plus les sourcils lorsqu'il me parle de pièce détachée. A vrai dire, je ne fais jamais attention à ce genre de magasins, venant toujours dans cet endroit avec un objectif : l'envie d'une nouvelle robe, d'une nouvelle paire de bottes, de maquillages ou autres, et je passe rapidement devant ces boutiques qui sont transparentes pour mes yeux à croire. « T'es doué en mécanique . Enfin en informatique. ?»dis-je en levant les yeux au ciel en me rectifiant, même si pour moi, c'est un peu la même chose non . J'entrelace mes doigts au sien tandis que nous sortons de la boutique, faisant un effort pour regarder devant moi, et ne pas poser mon regard sur d'autres tenues hors de prix que je ne peux pas me payer. La galerie marchande est encore bondée de monde. Serrant un peu plus la main du Quincy contre la mienne, craignant de le voir s'éloigner de moi ou emporter par la foule. « un Gala de charité ? C'est pour quelle association ?. Je savais pas que tu participais à ces trucs-là. » dis-je en levant les yeux au ciel. Une soirée de charité... j'ai beau être Quincy, il n'y a rien de plus chiant … Enfin on peut toujours passer un moment à regarder les magnifiques robes des invités mais je ressens plus de la jalousie pour elles qu'autre chose au final…pas très Quincy tout ça ! « va pour te trouver un costume alors. Tu as déjà des idées de boutiques ? » demandai-je avec un sourire en tournant mon visage vers lui, me faisant surprendre par ses lèvres sur les miennes. « tu es sûr qu'on ne croisera personne ici . » Lui attirer des ennuis n'est pas dans mes objectifs… ou alors ai-je peur, au contraire de croiser des personnes que je connaisse et qui me jugeront comme étant... une maîtresse, une voleuse d'homme ?



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Mira n’était pas le genre de femme à aller voir ailleurs ou à se jouer des sentiments des gens. Elle était quelqu’un de loyal, en qui, il pouvait avoir confiance. Il voulait lui faire confiance, chose finalement, qu’il ne faisait pas très souvent. Bonaventure était d’un naturel chaleureux, sociale même mais dans le fond, il ne se liait jamais réellement avec les gens. Ses véritables amis se comptaient sur les doigts d’une seule main. On aurait pu croire qu’étant né presque avec une cuillère en argent dans la bouche, il ait tout pour être heureux mais ce n’était pas le cas. Bien des zones d’ombre parasitaient sa vie, sa personnalité et peut-être qu’un jour, il trouverait le courage de se confier à Mira. « Ah oui ? Je suis tenté de te demander lesquelles » répliqua-t-il avec un petit sourire. Il ne cherchait pas les compliments, ce n’était pas son genre. Il voulait simplement la taquiner, obtenir un sourire d’elle. Il n’avait pas besoin de plus pour être heureux, juste qu’elle le soit, qu’elle se sente bien auprès de lui. Leur couple était encore si récent mais ce qu’il ressentait pour elle était profond. Il le savait car il n’avait jamais ressenti ce besoin presque maladif d’être auprès de la personne aimée. Mira lui faisait vraiment tourner la tête. « Mécanique… Absolument pas, j’y connais rien mais mets moi un ordinateur entre les mains et je deviens un génie » rigole-t-il en cachant bien sûr tout son potentiel. Il n’allait pas non plus lui dire qu’il était un hacker doublé d’un faussaire né et que cela lui avait valu un petit tour chez les flics il y a quelques années. Merci papa pour avoir fait jouer ses relations afin que son casier judiciaire reste vierge. Le Quincy ne se voyait pas comme un délinquant, il avait simplement tendance à se donner tous les moyens pour obtenir des réponses à ses questions même si pour cela, il fallait franchir la ligne jaune.

Le couple quitta la boutique et Bonaventure en profita pour lui parler du smoking qu’il devait s’acheter pour une future soirée caritative. « C’est pas vraiment le genre de soirée que j’affectionne mais avec la campagne présidentielle, ma famille participe a beaucoup de soirées de ce genre… ça s’appelle caritative mais faut pas se voiler la face, c’est surtout pour l’image et recueillir de l’argent ! Le problème c’est que je dois jouer les parfaits héritiers ! Par contre y a bientôt une soirée à l’hôpital » lâche-t-il comme une invitation à sa petite-amie. La soirée avait lieu fin novembre et peut-être pourraient-ils y aller en tant que couple officiel car comme elle le lui rappela, pour l’heure, il fallait qu’ils se montrent prudents. « Non, on croisera personne ! On est loin d’Harvard et puis, j’ai juste envie d’une journée normale avec toi. On verra les conséquences plus tard s’il doit y en avoir » lui dit-il d’une voix tendre. Il prenait le risque tant pis s’il devait s’en mordre les doigts. « Y a une boutique Armani dans le coin, on y va ? Tu pourras me donner ton avis comme ça »

 


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Les bras de Bonaventure viennent doucement enlacer ma taille, tandis que je me rapproche un peu plus de lui, laissant minutes bassin se coller légèrement au sien, passant mes propres bras autour de son cou, laissant mon regard se poser sur les traits de son visage, avant de me mordiller légèrement inférieure, chose qui va certainement faire apparaître ce sourire craquant sur ses lèvres. « Je veux apprendre à connaître chaque trait, ride ou imperfection de ton visage, pour pouvoir me le remémorer à la perfection , le soir en fermant les yeux, pour que seul ton visage vient hanter mes rêves. » dis-je doucement, lâchant lentement ma lèvre inférieure, pour laisser mes lèvres s'étirer en un sourire « je ne veux que toi... » finis-je en déposant tendrement mes lèvres sur les siennes, les unissant dans un baiser avant de m'écarter de lui pour partir une nouvelle fois me changer dans la cabine. Faire des déclarations d'amour, ce n'est pas vraiment quelque chose que j'arrive facilement à faire. Mettre des mots sur des sentiments des émotions me semble être un véritable défi par moments . Je suis incapable de décrire ce que je ressens pour Bonaventure, cela ne va bien plus loin qu'un simple béguin, ayant de vrais sentiments pour le jeune homme , mais je serai incapable de lui expliquer, cette sensation que j'ai au creux de mon ventre, lorsque je le vois, ni même les battements de mon coeur s'accélérant lorsqu’il me sourit. Je sors de la cabine, replaçant la robe à la bonne place, un léger pincement aux lèvres, mais je dois apprendre à me restreindre, pour le bien de mon compte en banque. Récupérant les doigts de Bonaventure je lui adresse un sourire, en levant légèrement les yeux au ciel. « Pour moi, c'la même, c'est du chinois… Oh d'ailleurs, je vais ouvrir un site internet. » dis-je avec un grand sourire aux lèvres en lui annonçant cette nouvelle, la première étape de ma carrière dans le stylisme, je l'espère du moins.La foule dans la galerie marchande, me fait resserrer mes doigts contre la main de mon petit ami, tandis que je regarde les passants se dépêcher, s'arrêter devant une vitrine, puis disparaître de nouveau . Je n'aimerai pas me trouver ici les derniers jours avant Noël, je souffle un coup ; relevant mon visage vers le Quincy, un peu plus grand que moi, me parlant de son gala de charité, tandis que je reprends l'habitude de me mordre la lèvre. « Ta femme va venir avec toi j'imagine ? » dis-je en continuant de le fixer. Jouer les parfaits héritiers, c'est toujours mieux de paraître en famille non . Je souffle légèrement, commençant à avancer avec lui dans le passage. « Une soirée à l'hôpital ? Avec tous les cursus médicaux ? » demandai-je, passant une main dans mes cheveux . L'hôpital… tout ce qui touche la médicale me bouleverse, me rend nerveuse. Comment lui dire que je fuis les hôpitaux depuis… toujours ? Ce lieu remplit d'aiguille… de sang. Je souffle une nouvelle fois, fermant les yeux quelques secondes, sortant de mes pensées aux dires de Bonaventure concernant notre présence en tant que couple ici. « Dans ce cas on va en profiter. » dis-je avec un petit sourire avant d'hocher la tête, concernant la boutique qu'il m'indique. Armani, lui donner mon avis. Connaissant ce centre comme ma poche, je trouve rapidement la boutique, celle du centre étant spécialisé pour les hommes ; au moins je ne craquerai pas pour une tenue et pourrai me concentrer sur Bonaventure. Je passe devant lui. « Alors tu as une idée de la couleur que tu veux, de la matière, chat ? »





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Les mots que prononçaient Mira avaient le don de lui arracher des frissons et surtout de lui donner envie d’y croire, de se laisser aller. Il se sentait tellement bien à cet instant précis, son regard perdu dans le sien, sa chaleur contre la sienne. Bonaventure n’avait pas eu ce sentiment de paix depuis bien longtemps, comme s’il était tout simplement à sa place. Il avait cru l’être un certain nombre de fois auprès de certaines femmes mais Mira était la seule à lui dire qu’il pouvait se lâcher, qu’il pouvait faire tomber les masques et cela pour la première fois depuis des années. « Je me demande quelle bonne action j’ai dû faire dans ma vie pour mériter une femme comme toi Mira » murmura-t-il. Le jeune homme se trouvait chanceux et pour rien au monde il ne souhaiterait céder sa place à un autre homme. Il ne trouva rien à redire à ses propos, peut-être trop ému pour le coup mais tous les non-dits, tout ce qu’il ressentait fut placé dans le baiser qu’il lui rendit. Il n’avait jamais été très doué pour exprimer ses sentiments, préférant se taire pour éviter de trop s’attacher et d’être abandonné au final car c’était irrémédiablement ce qui se passait. Il finissait par se faire jeter pour une raison ou une autre mais il ne voulait pas de ça avec Mira. Qu’est-ce qu’il voulait ? Techniquement, il n’en savait rien mais une chose certaine : il la voulait elle. Maintenant, demain, dans un mois, dans un an. Tout son être se tendait vers cette femme qui d’un sourire réussissait à rendre sa journée plus lumineuse tout comme il adorait la voir se mordiller la lèvre inférieure. Elle était si craquante dans ces moments là.

Il appréciait également de pouvoir parler de tout et de rien avec elle. C’était léger et en même temps, chaque occasion était bonne pour apprendre de l’autre. « Vraiment ? C’est génial ! Tu as déjà commencé à réfléchir à ton site internet ? Si tu as besoin d’aide.. n’hésite pas. Je pourrais te mettre en relation avec l’agence que j’ai prise pour mon propre site web » lui proposa-t-il aussitôt, toujours prêt à lui rendre la vie plus simple. Il aimait bien prendre soin d’elle si bien qu’il se demandait si elle n’allait pas en avoir marre un jour ou l’autre. Le problème c’est qu’il ne se voyait pas agir autrement : il voulait la chérir comme elle ne l’avait jamais été. « J’espère qu’à ce moment-là je serais en instance de divorce. La soirée a lieu fin novembre et j’aimerai beaucoup qu’elle soit la première d’une longue série de soirée auxquelles, je pourrais t’inviter » répondit-il en s’arrêtant de marcher pour pouvoir la regarder, l’attirer dans ses bras quelques instants. Il voulait y croire en leur avenir et se dire que fin novembre, son divorce serait sur les rails. « Oui.. tu sais, c’est le genre de soirée où l’hôpital invite du beau monde pour trouver des financements. Soirée barbante à souhait mais je pourrais te faire une visite très privée des lieux » s’amuse-t-il à lui répondre avec un petit clin d’œil, complétement inconscient de son état d’esprit. Toutefois, il voyait bien qu’elle était nerveuse. « Qu’est-ce qui se passe ? Tu n’aimes pas ce genre de soirée ? » tenta-t-il de savoir avant de reprendre le chemin vers la boutique Armani. « Humm aucune idée. En fait, je pensais me laisser faire pour une fois. Prends moi pour un client désireux d’avoir les conseils d’une grande styliste ! »

 


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la parole est quelque chose de sacrée, qu'il faut savoir utiliser à bon escient, ce qui n'est pas forcément mon cas. Je parle rarement de moi, ou plutôt de mon passé, que j'estime passer à la trappe la plupart du temps. Une période de ma vie, que je tente d'oublier, et la parole, la communication de ce dernier, n'est pas un bon moyen selon moi pour l'effacer de ma mémoire. Mais les sentiments et les émotions, c'est encore autre chose ; je n'ai pas l'envie de les refouler, de les laisser s'effacer au fond de mon cœur ; non, je veux pouvoir les dévoiler au grand jour à Bonaventure, même si, pour l'heure, notre relation reste encore secrète elle. Mais la peur de ses mêmes sentiments, me fait hésiter à les révéler, peur qu'il ne soit pas réciproque, qu'ils fassent fuir la personne face à moi, ou peut-être tout simplement qu'ils soient partagés. Mais avec Bon, j'ai l'impression que le manque de confiance et d'indulgence qu'il a envers lui-même, le fasse douter de lui, ou de mes propres sentiments pour ce dernier. Je me mordille légèrement la lèvre avant de laisser parler mon coeur pour l rassurer, lui prouver qu'il n'y a vraiment que lui qui compte pour moi, et que personne n'arrivera à me faire changer d'avis là-dessus ; pas même son mariage, qui ne m'a pas fait reculer, malgré ce que j'aurai pensé. « Peut-être simplement être toi-même . C'est quelque chose qui devient difficile dans ce monde de faux-semblant. » dis-je avec un petit rire en son intention. Parfois il n'y a pas besoin de grand-chose . Une personne simple, voilà la seule chose que je demande ; une personne avec qui je puisse être moi-même, avec qui je n'ai pas l'impression d'être un être inférieur, même si, par moments, je ne fais pas preuve d'une grande intelligence lorsque je confonds mécanique et informatique, ce qui semble le faire rire.Mais je continue à dire que pour moi : démonter un Pc portable et réparer une voiture, ce n'est pas très différent. Il suffit juste de trouver d'où vient le problème, de changer la pièce défaillante… et voilà ! « Oui, je sais à quoi je veux qu'il représente, les rubrique etc. Mais par contre, je n'y connais absolument rien n code etc., donc un ami va m'aider normalement. Mais après pour rendre un site payant, enfin que l'on puisse faire des transactions sur ce dernier, je ne sais pas du tout. Il me faut une autorisation il me semble, je dois me renseigner sur tout ça! » dis-je avec un petit sourire. Cela risque de me prendre du temps, mais je suis excité à l'idée de pouvoir enfin gagner d l'argent grâce à ma passion . Je m'arrête malgré tout quelques instants, me tournant vers Bona' faisant virevolter mes cheveux derrière mon épaule suite à ce mouvement, fronçant légèrement les sourcils à ses dires. « Tu veux m'inviter à la soirée de l’hôpital? » invitation pour être sa cavalière . Les hôpitaux m'ont toujours fichu la chair de poule, mais … je préfère qu'il m'invite à celle-ci plutôt qu'à la caritative. Non pas que je n'aime pas, bien au contraire, mettre une jolie robe hors de prix ( que je ne pourrai pas me payer donc je prendrai une bas de gamme ou d'une saison précédente ou deux en espérant que ça ne se voit pas) cela me plaît mais… ce n'est pas mon milieu social, me faisant me sentir très mal à l'aise, surtout en présence de ses parents. Alors même si je mourrai de jalousie que ce soit sa femme qui l'accompagne, cela serait tout de même mieux. « euh oui... ça semble pas mal ». dis-je d'un ton distrait à ses dires, ne tiltant même pas face à la visite privée, pensant bien trop aux salles de l'hôpital, ces murs blancs qui m'évoquent la mort pour ma part certains y voir la lumière mais pour ma part, c'est plutôt le vide… sans oublier le sang, les patients agonisants, les aiguilles présentent dans chaque chambre, que ce soit sous forme des piqûres ou de perfusions. Je repose mon regard clair sur Bonaventure, affichant un petit sourire. « désolé . Non ce n'est pas le genre de soirée qui me pose problème… Plutôt le lieu. » finis-je dans un murmure, détournant le regard et accélérant le pas pour rentrer dans la boutique avant qu'il n'est le temps d répondre. « Alors... » je me tourne vers lui, reculant d'un pas pour le regarder un peu mieux, ne me gênant pas pour détailler mon petit ami de la tête aux pieds. « je te vois pas dans un costume gris... Peut-être noir ou … » je fronce légèrement les sourcils regardant autour de moi, avant de lui reprendre pour qu'il me suive jusqu'à un costume « … Bleu ! » dis-je avec un sourire en me tournant vers lui . « regarde celui-là à des rayures qui viennent moderniser, je le trouve super moi. » évidemment, je ne me soucie pas de regarder l'étiquette de prix, pourquoi se priver d'essayer à cause d'un prix ! Sinon j'essaierai jamais rien dans les boutiques de luxe !








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Bonaventure plongea son regard dans celui de sa petite-amie, méditant ses paroles. Etait-il vraiment lui-même en sa présence ? Pouvait-il réellement se dire qu’en sa présence, son masque ne se fissurait pas ? Mira lui apportait beaucoup de choses, il ne le nierait pas mais pouvait-il être autrement que ce qu’il était dans la vie de tous les jours ? Pouvait-il réellement abaisser les murs protégeant son cœur pour elle ? Il avait envie d’en être capable mais la vie lui avait souvent appris qu’entre avoir envie et pouvoir, il y avait un sacré fossé. « Tu es bien trop précieuse pour quelqu’un comme moi mais je ne vais pas jouer les fous au point d’oublier de jouer les égoïstes » lui répondit-il sur un ton assez énigmatique. Pour Mira, il ferait l’effort de la laisser s’approcher parce qu’il en avait assez d’être seul. Bonaventure en avait assez de ses soirées à jouer les parfaits amis, heureux pour ses proches qui ont tous trouvé l’amour. Il ne voulait plus faire l’autruche parce qu’elle était entrée dans sa vie. Ses sourires avaient apporté de la lumière à son quotidien. Ses taquineries, ses sourires, cette fragilité qu’il sentait en elle quand elle ne le voyait pas l’observer. Mira l’intriguait, le touchait, le faisait vibrer. Elle n’avait pas besoin d’être parfaite pour lui plaire ou de s’y connaitre dans tous les domaines. Au contraire, il aimait ses imperfections, il aimait pouvoir se moquer gentiment d’elle car il était tellement agréable de se faire pardonner d’un baiser, d’un sourire. Mira le comblait simplement avec sa présence et le jeune Weasley se retrouvait frustré de ne pouvoir la réclamer comme sienne devant tous. Il voulait pouvoir se promener dans la rue main dans la main sans regarder par-dessus son épaule, nerveusement. Il voulait pouvoir l’accueillir d’un baiser, grogner quand un homme s’approche de trop près d’elle. Il voulait tout simplement un semblant de normalité. Il n’avait pas songé combien il serait difficile de rester dans l’ombre, lu qui pourtant, ne se plaisait que dans l’obscurité. Peut-être le Quincy souhaitait que leur relation reste lumineuse pour contraster avec son quotidien bien trop empreint de noirceur.

« Oui, j’aimerai beaucoup que tu m’y accompagnes » lâcha-t-il. Cette soirée serait pour eux, peut-être leur première en tant que couple officiel. Bonaventure voulait l’impliquer, la faire entrer dans son monde -sûrement une façon de s’assurer qu’elle ne s’éloigne pas de lui. Pourtant, il la sentait beaucoup plus distante, distraite dans sa façon d’être. Avait-il brûlé les étapes en lui proposant cette soirée ? Ils étaient passés d’une conversation passionnée du moins passionnante quant à son site web à cette hésitation. Aussi tenta-t-il de comprendre, de trouver ce qui la rendait si nerveuse d’un coup. « Tu n’aimes pas les hôpitaux ? » lui demanda-t-il en la voyant foncer dans la boutique. Par moment, Mira était une véritable énigme, lui faisant comprendre que s’il lui cachait des choses, il en allait de même pour elle. Distraitement, il répondit à ses questions concernant le costume qu’il souhaitait. Elle avait très bon goût, rien de bien surprenante pour une styliste. « J’avoue qu’il est super… je vais aller l’essayer » dit-il avant de se diriger vers les cabines pour mieux s’arrêter en chemin. « Si tu n’es pas à l’aise à l’idée de m’accompagner à cette soirée, je pourrais comprendre… Je veux dire, y a aucune obligation Mira. Je peux m’y rendre seul ou inviter une amie » précise-t-il afin qu’elle ne se force pas à lui faire plaisir ou quoique ce soit dans ce goût-là. Le jeune homme lui offrit un sourire tendre avant de se retourner pour aller dans une des cabines. Il ne perdit guère de temps pour se déshabiller et enfiler le pantalon. Torse nu, il regardait la coupe, la manière dont le pantalon tombait sur ses jambes. Ce n’était pas trop mal songea-t-il.
 


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Mon regard clair se pose sur celui foncé de mon petit ami, un léger sourire aux lèvres. Ayant réellement envie de faire comprendre au Quincy a quel point il est précieux pour moi, à quel point les autres hommes ne lui arrivent pas à la cheville, peut-être même pas à la plante des pieds, et ceux, malgré son mariage, qui reste malgré tout un obstacle dans notre couple, nous empêchant de nous afficher librement. Je soupire légèrement aux dires de Bonaventure, laisser mon visage se secouer de gauche à droite. « Pourquoi tu penses ça chaton ? T'es pas inférieur à moi, bien au contraire… J'aimerais que tu te voies, comme je te vois. » dis-je en faisant une légère moue. Bonaventure est réellement quelqu'un d'extraordinaire, qui ne se sent pas au niveau, ce que j'aimerais réellement changer mais… tant que je ne sais pas ce qui le tracasse, la raison pour laquelle il se sent aussi inférieur, je ne peux pas lui prouver le contraire. Je laisse un soupir s'échapper de mes lèvres avant d'hausser légèrement les épaules, lorsqu'il me parle de jouer les égoïstes. Esquissant un léger sourire. « évite de jouer trop les égoïstes avec moi… je suis sûr trop avare de câlin et de baisers ! » dis-je avec un sourire amusé à son intention non s'il y a bien quelque chose dont je ne peux pas me passer, c'est bel et bien de ses bras autour de ma taille, sa chaleur contre la mienne, ses lèvres contre les miennes, ses sourires, sa barbe de quelques jours – me rappelant qu'une séance d'épilation est bientôt au programme – son souffle chaud dans mon cou, le matin lorsque nous dormons ensemble . Toutes ses choses, si simple, font que la vie est si … belle, magique à ses côtés, qui me donnent l'envie d'arrêter le temps.

Je laisse aller mon imagination et surtout, mon enthousiaste lorsqu'il me questionne sur le site internet que je souhaite ouvrir, pour me faire connaître sur la toile. Même si mes études ne sont pas terminées, une réputation ne se fait pas en quelques heures, cela peut prendre du temps. Si je peux vendre quelques tenues sur le net, quelqu'une de mes créations, c'est toujours ça de gagner en argent. Le tissu n'est pas gratuit malheureusement. Mais lorsqu'il me parle d'une soirée à l’hôpital, mon sourire s’affaisse légèrement . L'accompagner à une soirée, m'afficher au bras de cet homme, pouvoir proclamer haut et froid aux autres invités qu'il s'agit de mon petit ami, que je suis tout simplement heureuse avec lui … oui une soirée formidable à l'horizon, si l'on oublie ma peur. Je ferme les yeux soufflant un coup pour effacer cette dernière pensée de mon esprit et ne garder que le positif ; ce n'est qu'un lieu après tout, rien de plus, rien de moins. Lorsque je rouvre les yeux, je vois son regard, et l'impression de l'avoir déçu, peut-être même vexé m'envahit. Je grimace légalement à sa question, resserrant mes doigts autour des siens. «  Non, je me sens mal à l'aise dans ces bâtiments . Les hôpitaux regorgent principalement de tout ce que je déteste... » dis-je en soupirant légèrement, avant de me mordiller la lèvre inférieure en avançant rapidement en direction de la boutique de vêtements, voulant changer de sujet de conversation. J'attrape finalement le sujet du petit relooking aux voles, ne le lâchant plus pour me diriger vers un des costumes dont la couleur me plaît beaucoup. J'adresse un sourire au Quincy lorsqu'il m'avoue le trouver pas mal . «  Je suis sûr qu'il sera encore mieux sur toi. » dis-je avec un sourire lorsqu'il se dirige en direction des cabines d'essayages. Le Bleu étant une couleur qui devrait lui allait très bien au teint selon moi , pensai-je lorsqu'il se retourne vers moi. Ses dires restent en suspens dans mon esprit tandis qu'il s'enferme , à son tour, derrière le rideau de velours, me laissant seule avec mes pensé Passant une main dans mes cheveux, et de l'autre écartant légèrement le rideau pour voir un Bonaventure torse-nu, restant quelques secondes à la regardant avant de reprendre  « Je ne tiens pas à ce que tu passes cette première soirée en tant que petit-ami officiel de Mira… loin de moi.. » dis-je en me mordillant la lèvre inférieure avant de reprendre. «  J'accepte avec plaisir de t'accompagner, et à tes côtés, je ne serai qu'à l'aise. » dis-je finalement pour le rassurer avec un petit sourire avant d'avancer d'un pas vers lui , laissant le rideau se refermer derrière moi » Tu sais qu'il te fait plutôt un bon cul. » dis-je avec un sourire amusé, avant de m'approcher encore un peu plus de lui pour déposer mes lèvres sur sa joue





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Mira venait de lui poser une colle en lui demandant pourquoi il pensait ainsi. Il avait tellement envie de le lui dire, de vider son sac mais il craignait tellement qu’elle se détourne de lui, qu’elle comprenne qu’il n’avait rien du prince charmant et encore moins du gendre idéal. Que penserait-elle de lui si elle connaissait ses plus sombres secrets, si elle voyait l’être qu’il était réellement une fois que le rideau de sa vie sociale tombait ? Il n’avait pas envie de le découvrir, pas envie de tenter le diable non plus. « Je ne me sens pas inférieur mais plutôt chanceux… Très chanceux » répondit-il simplement. Il était inutile de la bassiner avec le refrain habituel à savoir qu’elle aurait pu s’attarder sur un homme en pleine possession de ses moyens plutôt qu’un handicapé qui espérait bientôt pouvoir sortir du tunnel dans lequel, il s’était paumé des années auparavant. Mira voyait en lui des qualités qu’il n’était même pas certain d’avoir seulement, il était trop égoïste pour lui enlever ses illusions. Il la voulait à ses côtés et si pour cela, il devait continuer de porter haut et fort son masque comme un étendard, il le ferait avec plaisir. « Je note : être de temps en temps généreux avec toi… je veux avoir plein de câlins et de bisous » s’amusa-t-il à lui répondre peu après non sans lui voler un baiser au passage. Il aimait déjà ces quelques heures passées qu’ils allaient passer en compagnie l’un de l’autre sans que personne ne vienne s’imaginer le côté compliqué de leur relation.

Un jour, oui un jour, il pourrait s’afficher publiquement en sa compagnie et ce jour lui tardait. Peut-être que novembre allait devenir son mois préféré songea-t-il non sans humour. « Je vais aller l’essayer sans plus attendre dans ce cas » commenta-t-il en attrapant le costume qu’elle venait lui présenter. Mira avait bon goût, une autre passion qu’ils partageaient ensemble. Bonaventure avait toujours aimé la mode, sûrement parce qu’il avait toujours vu son père toujours bien apprêté. C’était quelque chose qu’il affectionnait et son dressing en souffrait. Bah il ferait un tri comme d’habitude pour au final, ne rien jeter ou rien donner. C’était plus fort que lui, il n’arrivait pas à se débarrasser de ses vêtements. Un jour, il allait être forcé de louer un appartement juste pour sa garde-robe. Toutefois avant de s’enfermer dans la cabine, il tint à ôter une certaine pression des épaules de sa petite-amie au sujet de cette fameuse soirée. Puis, il alla se changer pour mieux voir la petite frimousse de cette dernière se détacher dans le miroir. « Je te promets de te faire voir l’hôpital sous un autre angle et puis, techniquement, c’est une soirée, tu ne verras pas d’aiguille ni rien » lui dit-il en se tournant vers elle pour mieux l’accueillir contre son torse. « Ah oui ? Tu as tâter pour en être certaine ? » demanda-t-il en prenant ses mains pour les poser sur son fessier musclé. « Il est important que tu juges le tissu sur ton mannequin… » dit-il sur un ton amusé alors que ses mains remontaient le long de ses bras pour venir prendre son visage en coupe. « C’est pas à ce moment-là que je suis censé te repousser en dehors de la cabine comme tu l’as fait tout à l’heure ? » murmura-t-il avant de l’embrasser légèrement du bout des lèvres.

 


©TOWNTROTTER.
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Ma main vint doucement caresser les cheveux de Bonaventure, se perdant dans ces derniers, le coiffant, le décoiffant tout en le regardant en me mordillant légèrement l'intérieur de la joue, ayant l'impression que mon petit ami ne me dit pas toute la vérité, ou du moins, ce qu'il pense vraiment. S'il y a bien une chose que j'ai apprise en jouant avec lui au théâtre, c'est reconnaître lorsqu'il porte un masque, ou du moins qu'il joue un rôle, et par moments... je me pose la question de savoir s'il ne joue pas avec moi Je relâche la pression que j'exerce avec mes dents sur la peau de ma joue, essayant d'afficher un beau sourire aux dires du jeune homme, continuant ce petit mouvement de caresse dans ses cheveux. « D'accord … mais ... » dis-je avant de reprendre ma lèvre entre mes dents. Je veux qu'il me fasse confiance , mais pas seulement du point de vue de la fidélité, mais également qu'il soit capable de me parler, d'avoir confiance en moi pour se confier. Je ne suis peut-être pas le modèle à suivre mais même si je ne lui parle pas, je ne lui cache pas la vérité alors que lui, par moments j'ai vraiment l'impression qu'il porte un masque pour cacher peut-être une souffrance. « laisse tomber c'est rien. » dis-je avec un petit sourire. Ou c'est peut-être simplement moi qui me fais des films, n'ayant pas vraiment l'habitude de ce genre de comportement, je souffle un coup, retirant ma main de ses cheveux pour venir récupérer sa main contre la mienne. « et moi qu'est – ce que je peux t'offrir en retour ? .» demandai-je un sourire amusé ayant bien envie de savoir ce qui pourrait plaire ou faire plaisir à mon Quincy . Même si un baiser se partage à deux, je suis sur qu'autre chose pourrait lui faire plaisir, la question est de savoir quoi.

Je le regarde s'éloigner en direction de la cabine, puis s'enfermer dans cette dernière, alors que ses dires restent en suspens, tout comme ma réponse que je ne lui ai, au final, pas donnée. Je pousse un nouveau soupir, avançant jusqu'à la zone d'essayage faisant résonner le bruit de mes talons contre le parquet du sol. J'attends un peu derrière le rideau, mais ne tenant plus je finis par l'entre ouvrir, vérifiant malgré tout qu'il est habillé… torse nu, c'est habillé pour moi non . Je glisse le reste de mon corps à l'intérieur du petit espace réduit, cloisonnée. « Ouais mais… les patients seront toujours là, on va pas les virer pour la soirée ? » dis-je en faisant une légère moue, avant de déposer mes lèvres sur sa joue. « je rigole, mais oui si tu ne m'entraîne pas dans une salle opération, je pense que je tiendrai le choc. » dis-je en levant les yeux au ciel en laissant un léger rire s'échapper de mes lèvres, avant de faire un compliment sur son fessier qui ressort plutôt bien avec cette coupe de pantalon. Je pose volontiers mes mains sur ses fesses, collant mon bassin contre le sien, relevant mon visage vers lui, un sourire séducteur aux lèvres. « très ferme, dans un boxer CALVIN KLEIN Je suis sûr que tu ferais des malheurs » dis-je en souriant avant de reprendre. « oui le tissu est pas mal, même un peu trop … j'ai toujours rêvé de retirer un pantalon à la manière des chippendales…tant pis... ce fantasme sera pour une autrefois. » Je laisse malgré tout mes mains sur ses fesses, frissonnant légèrement lorsqu'il remonte les siens en caressant la peau de mes bras. « Oui en théorie, je devrais sortir...mais je voulais te voir avec ton costume. » dis-je en faisant une légère moue, sachant très bien ce qui peut se passer dans la tête du jeune homme, je capture dans un tendre baiser ses lèvres, mais ne faisant pas durer le baiser, n'ayant pas envié qu'il me saute dessus dans un magasin avec des caméras de surveillance aux coins«  Aller enfile cette chemise, et cette veste, que je vois si tu en vaut vraiment le coup ! »

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