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Spread my wings and make me fly

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FEAT. AMANDA | Le paradis existait et Isaiha se trouvait à ses portes, hésitant encore à franchir l’arche dorée pour aller jouer parmi les anges avec sa belle Amanda. Une jolie image pour exprimer les sentiments qui l’habitaient actuellement alors qu’ils se trouvaient allongés sur le lit. Il la surplombait de son corps massif mais veillait à ne pas l’écraser, prenant d’innombrables précautions malgré ses mains sur lui, son bassin qui s’emboitait au sien, ne laissant guère de doute quant à son désir d’elle. Le jeune amish avait l’impression d’être mis à nu bien qu’il portait encore son bermuda de bain. Ce contact de leur corps lui avait manqué et même ses rêves les plus fous, les plus réalistes n’avaient su retranscrire cette chaleur, cette sensation de bienêtre mais également cette fièvre qui s’emparait de lui. L’idée qu’ils trempaient les draps avec l’eau de mer ne lui avait même pas effleuré l’esprit. Isaiha n’avait envie de penser à rien d’autre qu’à cette femme qui attirait toutes ses convoitises.

Délicatement, Isaiha posa sa main sur sa cuisse qu’elle avait remonté contre sa hanche, laissant ses doigts effleurer cette peau chaude et encore empreinte d’humidité pour mieux trouver la rondeur d’une hanche. Il ne voulait plus interrompre le contact, il ne le pouvait plus. Il allait finir fou si le Destin s’acharnait encore à les repousser. Fou de douleur, fou de frustration et surtout fou d’un amour inachevé. Un amish n’était pas censé tomber à pieds joints dans la luxure mais il n’était plus un amish. Il n’était rien de plus qu’un homme qui avait goûté au fruit défendu et qui restait sur sa faim. Ses caresses étaient peut-être naïves mais elles avaient pris de l’assurance -suffisamment pour que sa main remonte le long de ses côtes pour venir prendre en coupe l’un de ses seins encore prisonnier de son haut de maillot de bain. Ses lèvres, elles, étaient bien trop occupées à livrer bataille avec les siennes dans des baisers tous plus enflammés les uns que les autres.



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FEAT. ISAIHA |
Sensuellement, je m’appliquais dans les baisers que j’offrais à mon petit-ami tout en passant et repassant mes mains dans son dos charnu que je convoitais indécemment. C’est ainsi que mes ongles, parfois plantés dans son épiderme, le décharnaient quelque peu bien que mon intention n’était pas vraiment de lui faire mal. La chaleur qui augmentait de seconde en seconde entre nous me faisait perdre la tête, si bien que je mordais parfois la lèvre inférieure du jeune homme pour lui signifier à quel point j’avais envie de lui. Un déferlante de picotements se mirent à danser au sein de mes viscères, comme si tout ce qui était en train de se passer était pour moi la chose la plus grandiose qui puisse être.

Ma respiration était haletante, elle ne me permettait pas d’oxygéner correctement l’intégralité de mes organes et c’était la raison pour laquelle de temps à autres mes baisers s’interrompaient sans vraiment couper cet élan que nous avions tous les deux. Je sentais par moment lorsque nos corps se touchaient un peu trop, par mégarde, l’excitation que pouvait éprouver Isaiha et cette sensation faisait écho à mon propre bien-être. Mon corps se cambrait sous le sien et sentant sa main se diriger vers ma poitrine, une seule chose se mit à clignoter dans mon esprit : Retire moi ce satané maillot ! Certes, il fallait que je lui laisse le temps, mais bon Dieu, j’avais tellement envie de me retrouver nue sur ce lit… Mes jambes tressautaient tant la tension dans ces dernières était forte. Et d’un seul coup, mes lèvres rompirent le baiser que nous étions en train d’échanger pour susurrer quelques mots : « Déshabille-moi. » Doucement, avec assurance et suavité, le regard reposé dans le sien. Mes dents se resserrèrent et ma salive coula le long de mon œsophage. Mes mains glissèrent seules vers le maillot de mon compagnon jusqu’à ce qu’elles puissent toucher la peau de son postérieur bien rebondi. Je me délectais d’avance de les chouchouter et de les cajoler mais j’attendais surtout qu’Isaiha exécute mes demandes, avec impatience…






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Encore plus excitée qu’à l’instant précédent, je me mis à gémir de plus en plus fort –bien que cela restait subtil et léger-. Je savais que ce genre de préliminaires me donnait extrêmement chaud et que sentir l’unification de mon corps avec les doigts gracieux et souples de mon amant allait énormément démultiplier mon plaisir. La main qui avait guidé la sienne restait paume posée contre cette dernière et je le guidais lorsque je le jugeais utile. Ma seconde main, elle, se trouvait en haut du dos de mon compagnon et enfonçait volontiers mes doigts dans sa chair aussi transpirante que la mienne. Je n’en pouvais simplement plus ; je voulais que son corps se lie au mien et que nous passions à l’acte le plus vite possible tant l’envie était présente. Mes yeux, toujours fermés, se plissaient davantage lorsqu’un spasme se confondait avec le plaisir et ma lèvre inférieure se faisait martyriser par mes dents qui ne cessaient de la hacher, voulant tempérer le mieux possible mes gémissements. Puis, d’un seul coup, sans vraiment me rendre compte de ce que je disais, emportée soudainement par le désir, ma bouche asséchée s’ouvrit et laissa s’échapper quelques mots : « Fais-moi l’amour… » Dis-je, complètement dévorée par l’envie et l’excitation, de manière suave et désireuse. Mes yeux se rouvrirent et délicatement je repris la main de mon compagnon pour mieux la serrer entre mes mains. Mon corps frissonnait et je me sentais par moment partir, l’esprit virevoltant, la respiration courte et coupée. Ma seconde main se dirigeait vers les lombaires de mon compagnon, insistant ainsi sur son bassin, remontant l’une de mes cuisses contre ce dernier. Mes paupières, lourdes, se refermaient et bien qu’Isaiha devait être perdu, je le laissais faire, sachant pertinemment qu’il n’était pas bête et que ce genre de chose était plus naturelle que ce que l’on pouvait croire.  






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