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Spread my wings and make me fly

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FEAT. AMANDA | Le rougissement d’Amanda lui arracha un sourire d’une tendresse inouïe. Isaiha oscillait entre l’âme pure et le pêcheur qui ne désirait qu’une chose : la faire sienne. Il n’avait pas l’habitude de se montrer entreprenant mais il ne pouvait plus cacher son émoi face à sa belle. Il la désirait, comment pourrait-il en être autrement alors qu’elle était la perfection incarnée à son regard. Pourtant, il n’insistait pas, ne provoquant guère de situation ambiguë car il était encore trop maladroit. Pour preuve, il n’avait pas pu s’empêcher de lui révéler son subterfuge. L’innocence ou l’honnêteté incarnée, rien de très sexy n’est-ce pas ?! Et pourtant, cela contribuait à son charme. Au moins, Amanda pouvait être certaine qu’Isaiha n’était pas un beau parleur et que le jour où ils franchiraient le cap de la relation charnelle, ce serait ni plus ni moins qu’un acte d’amour et non pour satisfaire un besoin primaire.

« Je crois qu’il n’y aura jamais rien de plus beau que ton sourire à mes yeux mais… j’avoue qu’une aurore boréale est quelque chose que je rêve de voir de mes yeux et non sur une photographie dans un livre » dit-il avec cette expression rêveuse d’un homme qui avait passé sa vie à rêver d’aventure sans oser en vivre une seule. Il la laissa quelques instants pour aller chercher le matériel de plongée qui s’avérait sommaire mais ils n’avaient pas besoin de plus pour une petite plongée. Il lui tardait de pouvoir à nouveau plonger dans l’eau tant il se sentait comme un poisson dans l’eau. C’était vraiment son élément. Avant cela, Isaiha s’amusa à soulever sa compagne dans ses bras pour l’amener vers l’arrière du bateau et de la jeter dans la mer non sans rigoler. « Tsss je ne suis pas méchant avec toi » dit-il avec un sourire en coin en secouant la tête pour mieux plonger à ses côtés et réapparaitre quelques mètres plus loin. « C’est qu’elle boude ? » se demanda-t-il, amusé, nageant vers le bateau pour attraper son tuba et son masque. Isaiha plongea à son tour et la rattrapa bien vite pour explorer les récifs aux alentours.



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FEAT. ISAIHA |
Un sourire radieux couvrit mes lèvres lorsque mon petit-ami se mit à expliquer que la plus belle des choses qu’il pouvait voir dans sa vie était mon sourire et c’est à ce moment que mon cœur se mit à battre encore plus la chamade. Mes yeux plongèrent dans les siens et d’un regard je le remerciais pour toutes les gentillesses qu’il ne cessait de me dire. Bien vite, je me retrouvai à l’eau, lancée par-dessus bord par mon compagnon à qui je faisais immédiatement la tête –pour rire, évidemment-. Je pris mon matériel de plongée et les enfilai à la suite. Je me mis à nager de mon côté, laissant Isaiha derrière, feintant de lui faire toujours autant la tête. Mes yeux parcoururent les fonds marins alors que mes pieds palmés me guidaient dans mon expédition. J’avais déjà vu le fond de l’océan et je savais à quoi cela ressemblait, mais ici, c’était différent, la faune était différente et la flore également. C’était une partie de l’Amérique que je n’avais jamais visité et j’adorais découvrir cette nouvelle terre, en l’occurrence, ici, nouvelle mer. Soudainement, je m’arrêtai, un peu inquiétée par Isaiha que je n’avais pas encore vu et je sortis la tête de l’eau pour me retourner. Je l’aperçus à quelques mètres de moi seulement, alors, je fis mine d’avoir eus à chercher quelque chose dans l’eau et replongeai immédiatement, faisant l’enfant jusqu’au bout et ne lui adressant pas du tout la parole, voulant surtout l’ennuyer jusqu’à la fin pour ce qu’il avait fait précédemment… Alors, j’attendis patiemment qu’il vienne s’excuser vaillamment pour ma jetée à l’eau.




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FEAT. AMANDA | Amanda jouait les enfants capricieuses et si venant d’une autre femme, cela l’aurait prodigieusement agacé, Isaiha reconnaissait que pour le coup, il s’amusait comme un enfant également. Elle semblait attendre des excuses de sa part si bien qu’il la rejoignit pour mieux enlacer sa taille avec l’un de ses bras, les ramenant vers le bateau pour mieux y déposer son masque et son tuba puis de s’y accrocher pour ne pas couler. « Amanda, si tes lèvres font la moue, tes yeux eux, pétillent de malice… Tu me boudes sans conviction » la taquina-t-il avant de l’embrasser légèrement au coin des lèvres. « Souhaites-tu réellement que je m’excuse pour t’avoir lancé à l’eau ? » reprit-il cette fois-ci en déposant un baiser sur ses lèvres, mordillant légèrement sa lèvre inférieure avant de coller son front au sien. « Je m’excuse pour avoir eu l’audace de te jeter à l’eau… mais je ne regrette pas car c’était très amusant, surtout quand tu affichais cette petite moue estomaquée » ria-t-il légèrement dans le creux de son oreille puisque tout le long de sa phrase, son visage avait trouvé refuge dans le creux de son cou qu’il se mit à embrasser à plusieurs reprises comme pour la ramener à de meilleurs sentiments à son égard. « Ne me boude pas… je préfère quand tu me souries car c’est ainsi que tu fais battre mon cœur bien plus fort » chuchota-t-il en s’éloignant pour plonger son regard attendri dans le sien et l’embrasser à nouveau, juste un effleurement de ses lèvres sur les siennes comme pour appeler l’un de ses baisers.



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FEAT. ISAIHA |
Mes lèvres s’étirèrent sans que je ne le veuille vraiment alors qu’Isaiha avait vu clair dans mon jeu. Je ne dis rien pour le moment et lorsqu’il me demanda si je voulais vraiment des excuses, je le regardai dans les yeux avec un sourire encore plus malicieux qu’à l’instant d’avant et mon visage se mit à hocher de haut en bas pour confirmer à Isaiha que j’exigeais des excuses. Puis ses lèvres se mêlèrent aux miennes, simplement et avec toute la délicatesse du monde. J’en souris davantage, mordillant à mon tour sa bouche délicieuse avant de garder mon front contre le sien, le sourire beaucoup plus attendri désormais. « Excuse acceptée… » Murmurai-je en levant le menton, sentant la barbe de mon petit-ami chatouiller la peau humide de mon cou. « Je n’arrêterai jamais de te sourire, promis… » Avouai-je la voix douce et posée avant d’échanger quelques regards amoureux pour enfin unir à nouveau nos lèvres impatientes. Mes yeux s’étaient machinalement fermés et un petit rictus se mit en marche sur ma bouche. Elles s’entrouvrirent et intensifièrent leurs mouvements pour créer un baiser bien plus passionnel et fougueux. Mes bras entourèrent la nuque de mon compagnon et mon corps se rapprocha instinctivement du sien, écrasant littéralement ma poitrine contre son torse bombé. Je le serrais du plus que je pouvais, comme si je ne voulais plus que nous soyons détachés, comme si je ne voulais plus jamais que nous nous séparions comme je l’avais engendré juste avant. Mon baiser se fit plus sensuel et plus désireux au fil des secondes et l’eau qui nous entourait nous enveloppait comme les draps d’un lit douillet. J’avais envie de lui sur l’instant, j’avais envie que nous nous unissions comme je l’attendais depuis le début et je voulais plus que tout que cet acte d’amour nous rapproche encore plus que nous ne l’étions déjà.




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FEAT. AMANDA | Un baiser était une façon très agréable de s’excuser, Isaiha l’apprenait aujourd’hui. Il adorait découvrir de nouvelles choses et surtout s’engouffrer dans cette complicité qu’il entretenait avec Amanda. Les jeux entre amants, les conversations, tous ces petits instants qui faisaient d’eux un couple à part entière, il adorait tout cela. Amanda était la première femme avec qui, il partageait autant. Même avec sa sœur jumelle Casey, il n’avait jamais développé une telle complicité. Ils étaient jumeaux pourtant mais avec Amanda, c’était plus profond. Quoi de plus naturel puisqu’il était amoureux de cet ange ?! « Je compte sur toi pour ne jamais trahir cette promesse alors car elle est importante à mes yeux mon bel ange » murmura-t-il avec un tendre sourire pour mieux l’embrasser. D’abord tendre, le baiser prit une tournure bien plus passionnée comme si leurs lèvres ne voulaient plus se détacher. Isaiha machinalement, la plaqua contre le bateau, son bras droit lui servant toujours à les maintenir hors de l’eau en s’agrippant au rebord, l’autre étant enroulé autour de sa taille. Isaiha se sentait tellement bien à ce moment-là, balloté légèrement par les petites vagues qui venaient le pousser un peu plus contre elle. Il n’y avait pas un autre endroit où il voulait se trouver présentement tant le cadre était idyllique. Ses lèvres se détachèrent pour venir se poser sur sa joue, sa mâchoire jusqu’à échouer au creux de son cou où elle était si sensible tandis que son bras gauche continuait de la maintenir contre son torse musclé.



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FEAT. ISAIHA |
Je lui souris et le regardais de manière attendrie. Cet homme représentait pour moi tout ce que j’adorais ; la gentillesse, la générosité et toutes les autres qualités que j’estimais importante chez un garçon. « Je ne trahis jamais mes promesses… » Avouai-je, le cœur battant la chamade et les yeux fixés sur ceux de mon petit-ami. Je lui offris un sourire tendre avant de lui donner mes lèvres de manière adoucie. Lentement mais avec sureté, Isaiha me plaqua contre notre navire et instantanément, des milliers de frissons se déposèrent sur ma peau blême. Cela s’intensifia lorsque je sentis les lèvres de mon petit-ami s’échouer sur ma joue, ma mâchoire et enfin mon cou que je tendis immédiatement. Ma poitrine pointait sous mon bikini et ma respiration s’intensifiait alors que j’avalai ma salive doucement. Inconsciemment mes joues s’empourprèrent et mes yeux se mirent à pétiller alors qu’aucune raison n’était apparente. Je me laissais simplement faire alors que dans mon esprit, tout commençait à s’imbriquer, l’envie, l’isolement, le rapprochement… Alors, d’un seul coup, mes lèvres s’entrouvrirent et sans vraiment réfléchir à ce que je disais, je lâchai : « Et si… On remontait ? » Je savais que ce n’était peut-être pas le bon moment mais la frustration était telle que je n’arrivais plus vraiment à maîtriser le désir que j’éprouvais pour cet homme.




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FEAT. AMANDA | « C’est une qualité que j’apprécie chez toi » répondit-il avant que leurs lèvres ne décident de s’unir comme si le temps de la parole était révolue et qu’elles attendaient qu’une seule et unique chose : pouvoir entrer en contact avec leurs jumelles adorées. Le baiser qui se voulait tendre et aimant au départ, céda bien vite aux sirènes du désir à croire que ces deux âmes étaient bien trop frustrées au point que le plus innocent des échanges en devenait passionné. Un léger soupire échappa des lèvres d’Isaiha au moment où son corps entra en contact avec celui de sa compagne. Il aimait tellement cette sensation, la sentir si proche de lui qu’il l’aurait bien gardé prisonnière toute une vie si seulement elle le lui avait permis. Le jeune homme avait besoin de ce contact, il n’en pouvait plus à croire qu’il avait atteint ses limites. Qui aurait pu penser qu’Isaiha Buchanan serait aussi vite soumis au démon de la luxure, lui qui n’avait jamais ressenti la moindre étincelle de désir pour un être humain ?! Et pourtant, avec Amanda, il était incapable de se contrôler, de maitriser le feu ardent qui ravageait ses reins à l’heure actuelle. « Oui.. » dit-il dans un murmure en se détachant pour mieux remonter sur le bateau et lui tendre la main pour la hisser à son tour. Toutefois, il ne tarda pas à la plaquer à nouveau contre lui, ne résistant aucunement à l’attraction qui se jouait d’eux. « Embrasse moi » demanda-t-il d’une voix rauque.



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FEAT. ISAIHA |
L’idée m’étais venue ainsi, comme ça, et mes lèvres avaient tout simplement suivi mon envie. Bien vite, je me retrouvai de nouveau sur le bateau, collée à mon amant et d’une manière douce mais franche, je l’attrapai par le cou pour mieux l’embrasser après qu’il me l’ai demandé d’une voix rauque et envieuse. Ma langue se mêla instantanément à la sienne et le baiser débuta de manière fougueuse. Mes ongles pénétrèrent certainement un peu trop dans la peau de sa nuque et ma respiration se fit de moins en moins ample. Des tas de picotements se joignirent à mon ventre alors que des millions de fourmillements me traversaient l’échine. Ma main droite se hissa jusque dans les cheveux de mon amoureux tandis que mes pieds se mirent sur la pointe des pieds, essayant tant bien que mal de rattraper sa hauteur. L’envie prenante de lui sauter dessus m’empêchait de penser rationnellement mais le moment était bon, et pour rien au monde je n’aurais voulu qu’une seconde de cet instant ne soit différente. Par moment mes dents se refermaient sur l’organe buccal d’Isaiha, juste par gourmandise et ainsi, la passion nous animait tous les deux. Malgré les gouttelettes qui retombaient le long de ma nuque, mon corps entier brulait sous les doigts de l’amish et mes joues se coloraient sans hésitation. Mes lèvres quittèrent les siennes un instant, les yeux toujours clos je dirigeais ma bouche vers son cou que j’embrassais volontiers et dont je mordillais la peau à foison. Mécaniquement, je fis reculer mon petit-ami jusqu’à ce qu’il se retrouve adossé à la cabine et retirai donc mes mains pour les déposer sur son torse délicieusement musclé. Mes lèvres se perdirent à nouveau contre les siennes alors que ma main droite descendait délicatement vers le maillot de mon compagnon. L’envie de le lui arracher était omniprésente mais cela semblait bien brutal au vue du fait qu’il s’agissait là de sa première –si toutefois l’acte devait bien évidemment arriver…-.





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FEAT. AMANDA | Il avait exigé un baiser d’une voix rauque. Une demande spontanée, dictée par une seule et unique chose : le désir. Isaiha n’arrivait plus à juguler cette soif, cette faim qu’il avait d’elle et Amanda semblait être dans la même situation car elle repoussa gentiment jusqu’à ce que son dos ne bute contre la porte de la cabine. Sans hésiter, il l’avait accueilli contre lui, prolongeant un énième baiser tandis que ses mains se poser sur son torse. Un million de frissons lui parcoururent l’échine tant la sensation était agréable. Ce n’était pas la première fois qu’ils se retrouvaient dans une telle situation, poussés par un élan sensuel mais à chaque fois, quelque chose était venu les interrompre. Isaiha ne le souhaitait plus et cela, malgré qu’il n’ait plus les idées très claires. Il ne se posait pas de questions, il vivait l’instant T comme s’il s’agissait de la fin de sa vie. S’il commençait à s’interroger sur les tenants et aboutissants d’une telle étreinte, il allait à nouveau être confronté à sa pudeur, à sa timidité. Là, il souhaitait simplement être cet homme qui n’hésitait pas un seul instant à poser ses mains sur les hanches de sa compagne. Ces mêmes mains qui remontèrent le long de son dos pour mieux se perdre dans ses longs cheveux mouillés. Puis, toujours porté par ce même instinct, il attrapa la poignet de la porte de la cabine pour mieux l’ouvrir et l’attirer à l’intérieur afin de la conduire vers l’imposant lit qui en dominait le fond. Aucune parole n’avait été échangée depuis sa demande et Isaiha craignait que s’il ouvrait la bouche pour autre chose que l’embrasser, le charme serait rompu, que son innocence ne se dresse à nouveau en travers du chemin de son désir.


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FEAT. ISAIHA |
Mes gestes et mes sentiments dictés par une seule chose : Le désir prenant qu’Isaiha m’inspirait. Mes doigts se crispaient sous l’envie et sa peau, dont je ne pouvais décemment plus me passer, m’appelait comme si le contact de nos deux corps devait être permanent pour pouvoir perpétuer notre concupiscence. Ma main se faufila volontiers jusqu’à la naissance de ses hanches l’avidité qui m’habitait concernant ce qui se tramait sous sa ceinture me fit perdre la raison plus que ce que je n’avais déjà perdu. Les yeux toujours fermés, je sentis sa main se faufiler dans mes cheveux, ce qui m’arracha un frisson délicieux. Quelques secondes plus tard, nous nous retrouvions dans la cabine et il me dirigeait doucement vers le lit, en tout cas c’était ce que j’avais pressentit. Je me retrouvai bien vite sur ce dernier alors que nos lèvres ne s’étaient pas quittées de tout le voyage. Ma main droite se dirigea instantanément vers ses lombaires que j’exploitai largement et mes doigts se mirent à glisser vers ses fesses que j’enserrai avec bestialité. Une de mes jambes se remonta contre sa hanche et je sentis mon estomac se resserrer ainsi que tous mes viscères. L’avidité était tellement grande que j’avais envie de sauter les étapes mais je me retenais grandement, je ne devais pas oublier qu’il s’agissait de la première fois de mon petit-ami. Ma langue valsait sans arrêt avec la sienne et ma main se mit à repousser le bassin d’Isaiha, emboitant ainsi parfaitement mes formes aves les siennes. Ma respiration s’accélérait encore jusqu’à former une tachypnée grandiose, faisant soulever ma poitrine à intervalle régulier et rapide. Ma peau, précédemment humide, devenait soudain transpirante tandis que les draps recueillaient ce mélange salé. Je ne savais pas si je devais le laisser faire, j’aurais adoré prendre les commandes, comme je le faisais souvent, mais intérieurement je croyais qu’il valait mieux laisser mon compagnon explorer le champ des possibles avant de le brusquer avec la bestialité qui m’habitait.





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