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HAPPASIYA ► so jealous...

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    Toute cette déferlante de mots désobligeants me figea sur place, j'étais complètement anéantie. Happy était l'une des personnes à qui je tenais le plus et j'avais vraiment l'impression d'avoir été trahie par un mensonge. Certes je faisais une belle crise de jalousie mais là n'était pas le problème. Ce qui m'avait choqué, c'était les paroles de Happy. J'étais si atterrée que je pris les choses un peu de travers. A mes yeux, pour qu'il réagisse si négativement c'est que notre amitié n'était qu'une façade et n'avait pour lui aucune valeur pour qu'il semble vouloir y mettre fin d'un seul coup. Je le regardai s'éloigner, restant plantée sur place un instant.

    -Tu es bien comme les autres... Tu me dégoutes !

    Je tournai les talons, faisant quelques pas avant de m'appuyer contre la barrière et regarder le lac jusqu'à l'horizon.
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Si Happy avait uniquement écouté sa fierté, il serait resté en retrait et aurait soigneusement évité Anastasiya pour le restant du Summer Camp… voire même encore après. Mais les derniers propos qu’elle prononça le poussèrent à la rejoindre près de la barrière, la colère encore bien présente dans les muscles tendus. « Je te dégoûte peut-être mais toi tu n’as rien à foutre de ce que je ressens. Lequel est le pire, hein ? Je ne t’ai menti sur rien. Tu m’as balancé des horreurs pour rien et poussé à faire de même. Où est la gloire, tu peux me dire ? Tu te sens mieux de m’avoir ramené plus bas que terre ? Tout ça pour quoi, parce que je t’ai embrassée, que j’avais envie de plus et que toi, tu t’en contrefous ? Moi je trouve pas ça glorieux ! »
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    Têtue comme j'étais et vexée, je n'étais pas prête à entendre les raisons de Happy, je voulais rester sur ma ligne, après tout, si il m'avait manipulée une fois, il pourrait le refaire...

    -Je m'en fous que tu m'aies embrassée, royalement ! Ce qui me dégoûte c'est que tu aies fait le malheureux à dire que tu te prostituais pour survivre alors qu'en fait, même en dehors de ton "boulot" tu ne peux pas t'empêcher de draguer mais tu me fais croire que tu en as marre de tout ça ! Baratineur !

    Je restai contre la barrière, ne quittant pas l'eau du regard.
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Happy leva les yeux au ciel. Il se trouvait borné de nature mais n’avait jamais rencontré quelqu’un le dépassant allègrement. Lui qui était revenu pensant lui faire entendre raison, il s’était bien planté. « Tu vois, j’aurais dû me tirer une balle au lieu d’être venu te voir pour te parler, parce qu’à la première occasion, tu t’en sers pour m’enfoncer ! Pour ta gouverne, c’est ELLE qui arrêtait pas de me coller et moi qui ne voulait pas la descendre en flamme. Maintenant si t’es trop jalouse pour voir la vérité, c’est pas ma faute ! Reste sur tes positions va, elles vont te tenir chaud l’hiver ! » vociféra-t-il, marre d’être le couillon de service dont on se sert pour le jeter. Ah elle ne risquait pas d’entendre à nouveau parler de lui car cette fois, la visite, c’était de l’histoire ancienne pour lui !
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    Mais n'importe quoi ! Soit j'avais vraiment touché un point sensible ce qui expliquait sa réaction soit... soit j'en savais rien ! Mais j'étais sérieusement blessée pour le coup si bien que les larmes me montèrent aux yeux. Je m'étais pourtant promis de ne plus jamais pleurer pour un homme...

    -Pour quelqu'un qui en a marre, tu as de la patience quand tu veux. Et puis m*rde après tout ! Mets donc toutes les filles d'Harvard dans ton lit, je m'en fous !

    Sur ces paroles, je partis en courant et en le bousculant légèrement.
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« Je t’emmerde avec ma patience ! » lança-t-il avant même qu’elle ne le dépasse, Happy ne cherchant pas à recréer une discussion. Anastasiya croyait bien ce qu’elle voulait après tout, c’était une grande fille, elle ne faisait que le prouver par a+b chaque jour à chaque seconde. Mais en le bousculant, elle lui offrit la possibilité de la retenir par le bras, le regard froid et distant. « Tu m’as vue la peloter la meuf ? L’embrasser ? La caresser ? Non. Tu as cru que c’était ça parce que ça t’arrange bien. Ca te permets de me mettre dans la même sale case que tous les enfoirés qui t’ont trahie. Merci Ana. Merci de ta confiance. Tu t’estimes blessée ? Ce n’est pas moi qui t’ai agressé. C’est toi qui me piétine, inverse pas les rôles ! Tu veux te barrer ? Barre toi. C’est la dernière fois que je te retiens parce que moi, au moins, je tiens à toi. Je t’insulte pas sous des prétextes fumeux ! C’est pratique la fuite, c’est moins facile de faire face aux gens après avoir balancé des choses débiles et FAUSSES EN PLUS ! Mais vas-y, je t’en prie, continue ta petite fuite bien pratique. Sauf que si tu le fais, c’est la dernière fois que tu me vois. Je veux bien être sympa, mais je ne serais pas le couillon dont tu vas te jouer des sentiments, hors de question. Ton choix. » conclut-il en lui lâchant le bras.
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    Tout se mélangeait dans ma tête : mes paroles, mes idées, la situation, les propos de Happy. Il était trop tard pour que je fasse demi-tour. Et puis, après tout, pourquoi faire ? J'en avais assez et lui aussi, tout devait se terminer comme ça. Pour ma part j'allais regagner mon cottage, me cacher d'Anabel et souffrir encore pendant des semaines de cette nouvelle trahison. Je m'étais pourtant promis de ne jamais plus aimer.
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La messe était dite, hélas. Happy avait espéré jusqu’à la dernière seconde qu’Anastasiya ne fasse demi tour, lui prouve qu’il avait tort de dire tout ce qu’il avait dit… mais non. Elle sonna définitivement sa non envie de visiter le site, et il se terra dans son propre cottage jusque tard le soir. Là, il se dirigea vers la première plage déserte, une bouteille de whisky à la main, qu’il buvait avec constance. Plusieurs soupirs échappèrent de ses lèvres mais il n’énonça pas un mot. Le silence lui rappelait ce qui serait sa vie dans quelques temps et pour ce soir… il préférait que cela reste ainsi, à la lumière de son propre désespoir.
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    J'étais rentrée décomposée au cottage. Contrairement aux fois précédentes, je n'avais pas réussi à me cacher, Anabel m'avait immédiatement vue dans mon sale état et il m'avait fallu lui raconter tout ça. Avec ses mots d'enfant, elle avait essayé de me réconforter, mais elle ne pouvait pas comprendre. J'étais allée m'enfermer dans ma chambre, les paroles de Happy raisonnaient dans ma tête. Je pris soudain peur : il avait parlé de se tirer une balle, peut-être serait-il capable de faire une bêtise ?! Et si j'avais faux sur toute la ligne ? Un élan de lucidité s'était emparé de moi. Rapidement relevée, j'avais dit à Anabel de rester calme et j'avais commencer à courir à gauche et à droite, jusqu'à une plage, habituellement bondée mais qui, cette fois, était déserte, ou presque.
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Le silence fut rapidement oppressant pour Happy. Et pour cause, il restait synonyme de beaucoup de choses désagréables, mais il valait mieux se concentrer sur ce dernier plutôt que sur les paroles atroces balancées par Anastasiya. Notamment le fait qu’elle se foute totalement de son baiser. Aussi étonnant que cela puisse paraître, il avait encore mal. Oui, ça lui faisait un mal de chien d’avoir voulu tenter quelque chose de sincère et de se l’être pris dans les gencives. Aussi, apercevoir la brunette non loin de lui, sur la plage déserte, ne le fit que soupirer plus encore. Mais il n’en bougea pas pour autant. « Si tu voulais la plage pour toi fallait venir avant, j’étais le premier » fit-il d’une voix à la fois désespérée et froide, s’enfilant une nouvelle gorgée. Il pouvait tomber dans un coma éthylique, il n’en n’avait rien à cirer.
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