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— with Bonaventure.

« Je vois, c’est super compliqué en faîte. Mais je pense que si vous êtes discrets, il n’y aurait pas de raison de se faire prendre, si ? » Tu espérais et surtout en demander un peu trop, mais c’était pour le bonheur de ton meilleur ami, c’était pour qu’il vive quelque chose de bien, de plus heureux de ce qu’il avait actuellement. Tu savais qu’il n’était pas forcément heureux, qu’il faisait sa petite vie tranquille, mais tout en ayant des barrières à cause de la femme qu’il avait épousée pour pouvoir rester ici. Puis ça te rendait dingue finalement, il ne faisait rien de mal, si ? Tant qu’il aimait la personne ce n’était pas le plus important, non ? Franchement, c’était étrange pour toi de dire une telle chose, mais dans la vie le plus important était l’amour et c’était évident qu’il n’y avait rien entre Bonaventure et sa femme. Bref, ça te rendait dingue de toute manière, tu ne comprenais pas du tout pourquoi la vie faisait ce genre de choses à ton meilleur ami parce qu’il faisait tous pour que cela se passe bien pour lui, limite cela aurait dû tomber sur toi. « Pourquoi elle te fuit ? Elle sait que t’es marié ? Enfin, je pense que tu ne lui as pas caché une telle chose. » Tu le connaissais ton meilleur ami et plutôt bien, tu savais qu’il n’aurait pas caché une telle chose à la jeune femme ne voulant pas lui faire de faux espoirs, ne voulant pas faire en sorte qu’elle finisse par souffrir, mais finalement, c’était lui qui avait le cœur brisé, donc où était la logique ? « Exactement, mon poussin ! Sans toi, ma vie serait tellement morose. »

Tu préférais rire avec le jeune Quincy, tu préférais faire en sorte de passer un super bon moment que de parler de tes soucis, de ce que tu as pu faire dans le passé parce que le passé était loin derrière toi. Tu devais faire en sorte d’aller de l’avant, tu devais penser à ton futur, à ce que tu voulais faire dans ta vie et tu savais ce que tu voulais alors, tu devais juste te concentrer sur cette chose. Mais sur le moment, tu pensais réellement qu’il n’était en train de tricher parce que ce n’était pas possible autrement, vraiment pas possible. « Bien sûr que je ne veux pas perdre, ça ne serait tellement pas juste que tu gagnes. Ouais, mais si on a match nul comment on fait ? » C’était une très bonne question tiens parce qu’il était hors de question que tu dises qu’il gagne alors, que pas du tout. « Ben non pas pour sa prochaine fois en tout cas. Surtout si elle a été capable de te dire comment elle voulait que ça se passe. » Malheureusement, Bonaventure était dans la merde et tu ne pouvais pas dire l’inverse. Tu laissas un grand sourire se dessinait sur tes lèvres visiblement très heureux de voir qu’il venait de perdre, pour une fois, c’était une bonne chose pour toi. « Qui te dis que ça ne me plairait pas ? Puis bien sûr, c’est de ma faute, t’es nul, c’est tout. » Au moins, toi, tu venais de le mettre, ce qui était une bonne chose. Tu marchas en direction du prochain trou en levant les yeux au ciel. « Moi aussi, je vais le mettre regarde. »

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29/12/2011

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FEAT. AEL | Pour être compliqué, ça l’était surtout qu’Ael était bien placé pour savoir que Bonaventure ne rimait pas avec succès sentimentaux. Combien de fois avait-il demandé à son meilleur ami de sortir pour oublier un énième déboire sentimental ?! Depuis sa rupture avec Lucy il y a trois ans, le Quincy galérait avec les femmes. A chaque fois, il s’attachait à une donzelle et se faisait friendzoné avant même le temps de se retourner. Ce n’était pas faute de faire des efforts mais comment dire, peut-être n’était-il pas un bad boy et du coup, les gentils garçons faisaient moins classe sur le tableau de chasse. Si seulement elles savaient que sous cette couche de gentillesse, se cachait une âme tourmentée, sournoise et colérique ! Mais voilà, cela faisait des années qu’il mettait un point d’honneur à passer pour le gars sympa et toujours de bonne humeur. Ce n’était pas un mensonge dans sa totalité car il était ce type sympa et sociable. Le seul problème c’est qu’il était trop brisé pour réellement s’accrocher à quelqu’un et pour se laisser totalement approcher. Ael était une des rares exceptions et encore, il lui cachait encore pas mal de choses. « Je me dis que c’est me foutre dans les emmerdes. Je finirais bien par retrouver ma vie et ce mariage ne sera plus qu’une plaisanterie… Mes parents pensent que d’ici la fin de l’année, je serais à nouveau officiellement leur fils aux yeux de l’administration américaine » lui apprit-il tandis que la conversation tournait autour de Mira. « Elle ne veut pas faire de moi un homme adultère. Mira a des principes et je la respecte pour cela. C’est une chic fille… j’ai juste omis de dire que c’était un mariage blanc mais c’est pas le genre de choses que je peux confier comme ça ! » reprit-il en secouant la tête. Sa morosité se fit tout de même la malle quelques instants plus tard grâce à Ael.

« Je t’ai dit, y a pas moyen qu’on reste sur un match nul.. au pire, on tirera à la courte paille le gagnant mais hors de question qu’on fasse égalité » bouda-t-il car même si c’était son meilleur ami, Bonaventure refusait de perdre ou de se contenter d’un score neutre. C’était la victoire ou rien, point final. « Non mais sérieusement… Dans ses conditions, je ne dois ni toucher sa poitrine, l’embrasser etc. On doit être dans le noir, nus et grosso modo, je dois simplement la pénétrer car elle ne veut pas de préliminaire. J’aime me sentir dans la peau d’un sextoy pas toi ?! Cette femme est juste maniaque du contrôle. Même sans sentiment, j’ai quand même besoin d’un minimum de contact et de désir pour coucher avec une femme… là c’est limite si je dois pas regarder un film pornographique pour me mettre en condition » expliqua Bonaventure qui ne comprenait pas où était le charme de coucher avec sa femme dans ces conditions. Suzanne voulait tout contrôler, un vrai glaçon sur patte. Toutefois, il éclata bien vite de rire face à la réponse de son meilleur ami au sujet de sa canne. « Je crois qu’au contraire, ça te plairait ! » rigola-t-il avant de tirer et de taper dans le mille. Le hic, c’est qu’Ael toucha également le bingo. « Eh merde… avoue, tu cachais bien ton jeu » grommela-t-il tandis que les deux zouaves se rendaient au trou numéro sept. « M’en fiche, je mène toujours » dit-il avant de taper dans sa balle en priant pour ne pas perdre son avantage.

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29/12/2011

Le membre 'Bonaventure S. Weasley' a effectué l'action suivante : Lancer de dés

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(La Doyenne)

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— with Bonaventure.

Franchement, tu ne comprenais pas pourquoi ton meilleur ami était célibataire. Ouais, tu ne parlais de pas de son mariage qui n’était pas réel, il en avait juste besoin pour rester ici et tu le comprenais parfaitement, tu aurais fais la même chose. Mais plus sérieusement, il était sympa, gentil et surtout très beau, tu pouvais le nier alors, pourquoi une jeune femme n’était pas capable de tomber amoureuse de lui. Puis faire en sorte qu’il ait une belle histoire, c’était tout ce que tu demandais pour le jeune homme parce que c’était vraiment ce qu’il avait besoin et à côté toi, tu ne méritais pas le bonheur parce que tu étais un gros connard dans le fond. Tu passas ta langue sur tes lèvres encore une fois ne pouvant pas faire autrement avant de reprendre la parole. « Tant mieux alors, si ton statut change bientôt, mais je pense pas que ça te donnera des emmerdes. Qui sera au courant ? Personne, ça sera juste entre toi et la personne. Franchement, c’est ce que tu mérites. Je comprends même pas comment c’était possible que tu puisses rester seul, tu mérites vraiment une jeune femme comparer à moi. » Tu souris en lui disant ce que tu étais capable de penser, ce n’était pas ton genre, mais c’était juste la vérité. « Oui je peux comprendre, c’est quand même dommage. J’espère juste que tu ne vas pas passer à côté d’un truc quoi. » Tu souris au jeune Quincy tout en posant ta main sur son épaule pour le soutenir, pour lui montrer que tu étais présent pour lui.

« Mais c’est que tu es un mauvais perdant en faîte. » Tu savais qu’il faisait cela pour ça, parce qu’il était mauvais perdant et qu’il n’avait pas envie de perdre contre toi. Il trouverait toujours une solution pour avoir cette victoire et sérieusement, ça te faisais réellement rire. « Ah ouais je vois, elle est vraiment malade et tu voulais que je sois sa première fois ? J’aurais finis plus frustrer que jamais. Je comprends ce que tu souhaites et ouais, vaut mieux pas que tu couches avec elle. » Même toi tu ne serais pas capable de faire une telle chose alors, que tu n’avais pas de limite. Tu ne pourrais pas coucher avec une personne comme ça, c’était juste horrible dans le fond de s’envoyer en l’air avec une personne avec qui tu ne pouvais rien faire. « Ah je sais, je sais pas. » Tu souris en coin tout en haussant les épaules super fier de toi, tu rattrapais son retard et dieu, que c’était cool de le rattraper. « Exactement, tu ne m’as pas assez sous-estimé. » Tu souris encore plus alors, que pas du tout. Mais bon, tu continuas ton parcours avec ton meilleur ami. « Tu as les boules que je te rattrape. » Tu le regardas faire tout en riant parce qu’il venait de rater encore une fois. « Pauvre lapin, tu vas perdre. » Tu te plaças pour tirer et faire en sorte de le rattraper.

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FEAT. AEL | L’amour, Bonaventure y croyait mais pour les autres. Cela faisait trop longtemps qu’il avait oublié combien il était agréable de serrer une femme dans ses bras, de prendre soin de quelqu’un d’autre que soit. Durant les deux années qu’il avait passé en fauteuil roulant, il avait perdu beaucoup de sa confiance en lui. Il lui était arrivé de coucher avec des femmes, quelques-unes, histoire de se rassurer mais personne ne voulait fréquenter un handicapé sur le long terme. Alors, il était devenu habitué à la phrase : je t’adore mais je préfère que nous restions amis. La malédiction du lendemain comme il l’avait appelé. « Arrête tes conneries mec, tu mérites aussi de trouver chaussure à ton pied et crois-moi, cette personne n’aura pas intérêt à déconner avec toi car je veillerai au grain » répliqua-t-il avec un léger sourire. Ael et lui étaient vraiment deux bras cassés, chacun trainant son lot de casseroles. « On verra bien et puis, je pars du principe que Cupidon tire sa flèche que lorsqu’il en a envie donc suffit juste d’être patient » haussa-t-il les épaules. Oui, il valait mieux laisser le temps au temps et voir ce que l’avenir lui réserve. Bonaventure ne voulait plus fonder d’espoir dans une relation car il avait été trop souvent déçu. A présent, il se contentait de savourer l’instant présent bien que ce n’était qu’une façon de plus de se rassurer, de se dire qu’il ne finirait pas sa vie seul, comme un idiot. En tous les cas, le soutien d’Ael lui faisait chaud au cœur.

« Attends ?! Qui aime perdre ? La phrase qui dit que l’important est de participer a été inventée justement par un perdant » s’exclama le jeune homme qui montrait clairement son esprit de compétiteur. Derrière ses sourires, oui, il se cachait un jeune homme qui détestait plus que tout l’échec et la défaite. « Ouais… cela m’aurait bien arrangé ! En prime, je n’ai pas envie de faire une connerie et qu’elle m’annonce une grossesse… Mon père me forcerait à rester son mari et j’ai franchement pas envie de condamner un enfant à subir ce genre d’atmosphère familial » dit-il avec un sourire amusé. Hors de question donc de coucher avec sa femme, ce qui tout de même était ironique. Un couple marié qui n’avait pas de relations sexuelles, c’était pas vraiment folichon. Cette conversation l’avait tout de même détourné un instant de la partie et Ael en avait profité pour grignoter du terrain. « Mouais… Mais va pas croire que tu vas gagner quand même. Ce gage est pour toi, pas pour moi » grommela-t-il même si le terrain de golf semblait prendre un malin plaisir à le narguer. « Arrête de me charrier, tu me déconcentres… tu fais tout pour que je rate, c’est antisportif ! » rigola-t-il de bon cœur en le laissant tirer bien qu’il manqua de se vautrer à cause de ses talons qui s’enfonçait dans l’herbe. « Vends pas la peau du lapinou avant de l’avoir tué chaton! »

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— with Bonaventure.

Tu n’étais pas du genre à tomber amoureux facilement, pas du tout même. À tes yeux, c’était seulement des conneries pour faire plaisir aux autres, c’était un truc pour que tout le monde pense que c’était beau, magique alors, que c’était juste de la connerie. Personne n’était fidèle de nos jours, c’était évident rien qu’en voyant ton père, tu pouvais le dire. Tu passas ta langue sur tes lèvres en pensant à Braxton, tu l’aimais bien, pas au point de dire que tu en étais amoureux, loin de là, mais ouais, elle comptait pour toi. Tu avais presque envie de le dire au jeune homme, de lui parler d’elle, mais étant donné que tu lui avais parlé de Robin ça serait étrange, non ? Ouais, enfin, tu n’en savais trop rien et tu n’avais pas envie de cacher ce genre de chose à ton meilleur ami de plus, pour l’instant ce n’était que de l’amitié entre vous et tu n’avais pas envie que cela change. « Tu racontes n’importe quoi qui finira avec moi aura un grand courage pour me supporter. » Tu laissas un rire sortir de ta bouche sachant que c’était vrai, tellement vrai. Tu passas ta main dans tes cheveux avant de reprendre tout en le regardant. « J’ai rencontré une fille et je l’aime bien. Je ne te dis pas que je vais me mettre avec elle hein, je suis déjà avec Robin. Mais disons que je me suis fait prendre à mon propre jeu avec elle. » Tu haussas les épaules tout en souriant en coin en pensant à la blonde, avant le bal, c’était étrange entre vous, tellement étrange et après, c’était plus calme, plus simple et surtout vous arriviez à rire ensemble ce qui était presque incroyable à tes yeux.

« Y’en a qui s’en foutent de gagner ou de perdre. T’es trop un mauvais joueur. » Tu ris de bon cœur après la phrase de ton meilleur ami, c’était juste hallucinant de voir ce que vous pouvez vous dire ensemble. « Ouais, je vois. Tu as totalement raison, de toute manière si elle a des règles comme ça, ça ne donne pas envie de la sauter, elle trouvera bien quelqu’un pour le faire. » Tu souris en coin en allant vers le dix-septième trou de ce terrain de golf, pour l’instant il y a avait une égalité parfaite entre ton meilleur ami et toi, mais tu espérais que les choses changent en ta faveur. Tu avais envie de gagner et tu allais le faire, tu allais gagner pour lui donner un pari par la suite, il était perdre c’était évident. « Non chéri, ce gaga va être pour toi et j’en suis certain. » Sourire en coin tu plaças ta balle tout en évitant de finir la tête la première sur le sol à cause de tes talons, bon au moins vous arriviez à jouer correctement et c’était une très bonne chose. « Tu dis réellement n’importe quoi pour gagner mon pauvre vieux. » Tu te plaças avant de repasser ta langue sur tes lèvres doucement avant de te mettre à tirer tout en priant pour que cela marche, pour la balle rentre dans le trou.

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FEAT. AEL | L’amour, les relations sentimentales, tout cela était compliqué aussi bien pour Ael que pour son complice de toujours : Bonaventure. Les deux hommes vivaient des histoires compliquées : lui avec Robin, l’autre avec /Mira. « T’inquiète, au pire, je me sacrifierai pour l’humanité et je te demanderai en mariage mon poulet » rigola-t-il tout en sachant, que ce serait marrant d’annoncer à son père qu’il s’était marié avec un homme. Gideon Weasley en ferait sûrement une syncope et sa femme, elle, traiterait leur fils de crétin tout en rigolant de la blague. Le jeune Weasley fut coupé de cette pensée humoristique par son meilleur ami qui lui annonça qu’il avait en fait rencontré une fille et qu’il l’aimait bien. Là pour le coup, ça commençait à se compliquer : Robin, l’autre mec et maintenant une autre fille. « J’ai le droit de dire que ta vie sentimentale et encore plus bordélique que la mienne ? Prendre à ton propre jeu ? Comment ça ? » demanda-t-il afin d’avoir plus de renseignements sur cette fameuse demoiselle qui semblait bien lui plaire. Bonaventure se demandait tout de même pourquoi Ael restait avec Robin pour le coup. C’était assez étrange tout de même, suffisamment pour qu’il s’interroge sur la question.

« Je ne suis pas un mauvais joueur, je dis juste que quand tu joues à quelque chose, c’est pour gagner, pas pour faire de la figuration… J’aime pas perdre, c’est tout » répliqua le Quincy tout en expliquant le problème « Suzanne » à son meilleur ami. Définitivement, ils étaient sur la même longueur d’ondes. « Ouais… je devrai peut-être passer une annonce. En même temps, ça m’énerve. Je veux dire, le mariage c’est pas un truc que je prends à la légère mais là, je ne peux pas. J’ai juste hâte qu’on valide mon adoption une bonne fois pour toute pour me tirer de ce merdier » soupira-t-il. Bonaventure n’aimait pas manquer de respect à une femme mais Suzanne le poussait à bout. Mine de rien, à force de discuter, de se charrier, les deux amis étaient arrivés au dix-septième trou. « N’en sois pas certain. Il ne faut pas vendre la peau du Bonaventure avant de l’avoir tué » rigole-t-il avant de grimacer. Ael venait de prendre l’avantage mais c’était à lui tirer à présent. « Mouais.. joli tir mais attends de voir, c’est mon tour… » dit-il en le poussant légèrement d’un petit coup d’épaule amical avant de se concentrer à son tour.

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29/12/2011

Le membre 'Bonaventure S. Weasley' a effectué l'action suivante : Lancer de dés

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(La Doyenne)

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