SO IT'S GONNA BE FOREVER OR IT'S GOING DOWN IN FLAMES + ALEZAEL

Ils étaient partit ici dans la seule optique d'arranger les cassures entre eux et maintenant, ils liaient leurs vies à jamais. En plus d'avoir eu un bébé ensemble ils se mariaient et même si la brune elle avait peur, elle était heureuse. C'était probablement ce qui comptait le plus. Sûre. qu'elle murmurait récupérant la robe qu'Alex avait choisit pour elle. Accompagnée par le chauffeur, elle allait enfiler celle ci ayant toujours du bal à réaliser ce qui était en train d'arriver. Elle portait une robe de mariée, elle. Et l'homme qu'elle allait épouser n'était personne d'autre qu'Alexander. C'était comme si tout ses souhaits étaient en train de se réaliser. Inspirant profondément, elle prenait le chemin du banc découvrant un Alex tout vêtu de blanc, beau comme un dieu. Souriant timidement, elle avançait vers lui petit à petit jusqu'à arriver à sa hauteur. Ils y étaient. Ils étaient tout les deux réunis dans la cérémonie la plus simpliste qui soit mais c'était sûrement le mariage dont elle avait toujours rêvée. Elle, au bras de l'homme qu'elle aime, à Paris, prêt à s'unir pour toute une vie. Comment demander mieux quand on atteignait déjà la perfection ? Le coeur battant bien trop vite, la brune elle repoussait une mèche de ses cheveux caramel derrière son oreille avant de plonger son regard dans le sien. Ils y étaient, vraiment.

Tout était précipité mais je me dis que comme ça, c'est fait. C'était innovant et on rentrerait tous les deux à Boston mariés. Pas de contrat de mariage, rien, je lui faisais confiance. J'osais espérer qu'on ne divorce jamais aussi, mon dernier divorce m'ayant quand même blessé. Bon, c'était pas un divorce pour se séparer mais pour récupérer la garde de ma fille. Cependant, c'était quand même non voulu et ... bref, je n'étais plus avec Billie de toute façon. Là, j'allais me marier avec Azraël, bien conscient qu'on allait faire jaser tout Cambridge à notre retour. Une fois prêt, je m'étais positionné dans le parc où j'ai fait ma demande et je l'attendais patiemment avec le Maire ici présent. J'étais stressé et je n'avais aucune idée de comment elle allait être dans cette robe. J'étais même pas sûr si elle lui irait, pour dire. Mais elle débarquait et.. mon dieu. Ouvrant la bouche, je n'arrivais pas à me remettre de sa beauté inégalée. Déglutissant, je ne pouvais pas défaire mon regard de celle qui allait devenir ma femme, le coeur battant, alors qu'elle s'approchait de moi. Que dire, que faire ? Je n'en avais aucune idée et j'en restais bouche bée. « Tu.. t'es magnifique » Et plus encore. Il n'y avait pas de mot pour décrire ce que je voyais en ce moment précis. J'attrapais sa main avant de me tourner vers Monsieur le Maire, qui pouvait débuter la cérémonie. Le photographe non loin capturait tous les moments et c'était vraiment magnifique. Il y avait de l'amour dans l'air, de l'émotion aussi. On a signé les papiers, on a mis les alliances. Et il y avait enfin le fatidique “Veuillez embrasser la mariée” Me tournant vers Az, sourire jusqu'aux oreilles, j'approchais mon visage du sien pour l'embrasser et sceller cette union, sous le soleil parisien.

Ils allaient se marier. Elle allait devenir sa femme et lui son mari. C'était.. Mon dieu, elle avait du mal à réaliser. Et pourtant, elle était face à lui, dans sa belle robe blanche, tout était prêt, il avait tout prit en main. Et toi alors. Il était à tomber, merveilleux, comme toujours. La brune, elle ne pouvait pas enlever son regard de sa personne, c'était impossible. La cérémonie débutait, elle écoutait à moitié bougeant au rythme d'Alex comme si elle était connectée à lui. Signer les papiers, écouter le blabla. Et il lui passait la bague au doigt, vraiment. Elle lui avait passé aussi et elle s'émerveillait devant le bijou qu'il avait choisit pour elle. “Veuillez embrasser la mariée” Elle regardait à nouveau Alexander et l'instant d'après, ses lèvres venaient se sceller au sienne tout comme l'engagement qu'ils venaient de prendre. Ils étaient mariés. Mari et femme, engagé jusqu'au divorce. Ouais non, pas de divorce pour eux. Elle avait juré de l'aimer toute sa vie et elle savait que ce serait le cas. Jamais elle ne cesserait, pas même un instant. Tu viens de m'épouser qu'elle murmurait encore ébahit par ce qui venait d'arriver. Ouais, il lui faudrait certainement un peu de temps avant de totalement réaliser tout ça. Parce que ça lui été tombé dessus et qu'elle avait besoin de temps pour se faire à l'idée. Mais maintenant, elle appartenait entièrement à Alexander et rien d'autre n'aurait pu plus la combler.

Elle était plus que magnifique, elle était resplendissante. Et en aucun cas je ne voulais détourner mon regard, préférant ne pas perdre une miette de sa beauté fatale. Je l'aimais et j'allais l'épouser, jusqu'à ce que la mort nous sépare. Un bout de papier, une belle cérémonie. La météo était avec nous qui plus est, puisque le soleil était au rendez-vous. Les photos étaient prises tout le long de ce moment intime et puis le Maire venait nous inviter à sceller cette union par un baiser amoureux. C'était sans hésiter que je venais capturer ses lèvres pour embrasser la mariée. C'était étrange comme sensation, que de se marier. Si je l'avais déjà fait une première fois, je n'en avais plus vraiment de souvenirs, vu l'état dans lequel j'étais. Là, tout restera gravé dans ma mémoire. Sa robe, son sourire, son regard. Tout. Elle était magnifique et c'était ma femme. Personne ne me la piquera. « Je viens de t'épouser » Un conte de fée qui allait bientôt prendre fin puisque notre avion nous attendait à l'aéroport. Il fallait juste prendre quelques photos afin que tout soit parfait avant de prendre la direction du Nord de Paris, rejoindre Roissy Charles de Gaulle. Nos affaires de l'hôtel ont été rapatriées là-bas à ma demande, afin d'éviter un détour inutile. Enroulant mes bras autour de sa taille, collant mon front au sien, sourire sur les lèvres, je glissais entre ses lèvres « Tu es ma femme » J'avais encore du mal à réaliser et autant dire que ça allait prendre plusieurs jours pour que ça soit encré dans mon crâne. Après tout, je percuterai à chaque fois que je verrai sa bague à la main. « Prête à rentrer chez nous ? »

Elle était sienne. Pas juste à ses yeux à lui mais aux yeux du monde. Elle était sienne et lui appartenais complètement. On est mariés. Non, elle arrivait pas à s'y faire. Elle en revenait pas. Elle était plus "la copine" d'Alex mais sa femme. Sa femme. C'était la plus belle des preuves d'amour qu'il venait de lui faire. Il l'avait choisit elle, pour la vie. Il avait choisit de l'emmener à Paris et de l'épouser. Il avait prémédité tout ça parce qu'il l'aimait. Elle avait aucun doute à avoir, il l'aimait. Je suis ta femme qu'elle répétait, collé contre son mari. Un sourire venait étirer sa bouche et elle venait chercher les lèvres d'Alexander encore une fois pour sceller leurs paroles. Elle était sa femme, il était son mari. C'était eux deux contre le monde, rien n'y personne ne pourrait changer ça. Il faut bien Ils n'avaient pas le choix de toute façon. Ils devaient rentrer, récupérer leurs bébé et commencer une nouvelle vie tout les trois. Sa main venait se poser sur sa joue qu'elle caressait doucement, perdu dans son regard. Oh, jamais elle n'aurait imaginé ça des mois plus tôt, quand tout partait en vrille entre eux. Et maintenant, ils étaient là, parents, mariés et amoureux. Elle ne pouvait rien demander d'autre, elle voulait se sentir tout les jours aussi complètement que maintenant. Son regard dérivait sur l'alliance qu'elle portait désormais à l'annulaire gauche. Preuve de leurs union. Mon dieu, ils étaient mariés, réellement.

C'était pour me rattraper, pour qu'elle cesse de douter. Ouais, c'était précipité mais... si c'est la bonne, alors pourquoi attendre ? Au moins, on verra bien ce que l'avenir nous réservera. On était mariés. Mari et femme. Une bague au doigt, un bout de papier signé. On était mariés. « On est mariés » Je voyais le sourire sur ses lèvres, je voyais le bonheur que cet acte venait de lui procurer. Elle était heureuse, elle était clairement heureuse et comblée de ce qui venait de se passer. Et c'était tout ce que je voulais, qu'elle soit heureuse. « Tu es ma femme » répétais-je alors que ses lèvres venaient retrouver les miennes. Bien sûr, nos proches n'allaient pas forcément kiffer, j'en étais certain. Mais je m'en fichais pas mal, c'était nous, c'était notre couple et ça ne regardait que nous. Donc voilà, il était temps de rentrer et quant bien même j'en avais pas tellement envie, tant cette bulle était vraiment parfaite, notre fils nous attendait ainsi que toutes nos obligations. « C'est parti alors. Et j'te préviens, la lune de miel, c'est dans l'avion... et aussi là, dans la voiture. C'est toi qui l'a dit » Petit regard pervers de monsieur le mari d'Azraël. Évidemment qu'ils allaient coucher ensemble à plusieurs reprises. Ils étaient mariés et tous les deux pervers. Donc forcément, ça donne des choses pas très catholiques. J'ouvrais donc la porte de la voiture, afin qu'elle pénètre dedans et je la contournais ensuite pour me mettre à côté d'elle, glissant ma main dans la sienne. On était mariés. On venait de se marier. Voilà pourquoi j'ai ce sourire aux lèvres constant.

Elle venait de lui promettre sous le soleil parisien qu'elle serait toujours sienne. Qu'elle serait là pour toujours et à jamais et que seul la mort pourrait les séparer. C'était pas des paroles en l'air, des futilités qu'on envoie sans en penser un piètre mot. C'était la réalité, aussi torturée qu'elle puisse être, elle dévouerait chaque seconde de sa vie à Alexander. Parce que l'amour qu'elle lui portait pouvait tout surmonter, elle l'avait déjà prouvé. Les blessures, les trahisons. Mais elle était toujours là, se tenant devant lui comme si rien d'autre n'avait d'importance. Il était sien et la brune ferait tout pour préserver l'amour qu'ils se portaient l'un à l'autre. Accroché à lui comme.. Une moule à son rocher ? (pardon) Elle plongeait ses yeux aux teintes si particulière dans les siens tentant de se rendre compte de la chance qu'elle avait. Et lui, fidèle à lui même, ne pouvait s'empêcher de remettre en avant les paroles qu'elle avait eu un peu plus tôt lors du réveil brutal qu'elle lui avait infligé. Je ne reviens pas sur mes paroles qu'elle soufflait amusée de la situation. Où il veut quand il veut. C'était toujours comme ça puisqu'ils avaient toujours cette folle envie d'éteindre leurs pulsions animal à tout moment. En parfait gentleman, il lui ouvrait la portière la laissant s'engouffrer à l'intérieur de la voiture où il venait la rejoindre peu de temps après. La robe est absolument pas pratique pour faire quoi que ce soit vu l'espace confiné. Pourtant elle venait poser ses lèvres rosées sur celle de son mari avec douceur laissant ses doigts s'infiltrer sous la chemise qu'il portait.

Mariage en comité réduit et même que pour le coup, j'étais quand même fier de moi. Si nos proches n'allaient pas forcément être d'accord avec ça, mais tant pis. C'était une volonté de ma part que de le faire ainsi, préférant la simplicité du moment que nous venions de vivre plutôt que l'organisation d'une cérémonie avec plus de cent personnes. Ouais, une volonté que nous avons du coup respecté. Et maintenant, on avait tous les deux la bague au doigt, on portait le même nom - comme d'hab en fait - et on avait cette étiquette propre aux jeunes mariés. Quoiqu'il en soit, je l'invitais à monter dans la voiture, non sans l'inviter à faire ce qu'on a dit tout à l'heure. Où je veux, quand je veux. Et là, j'avais envie de faire l'amour à ma femme dans la voiture qui nous mènerait jusqu'à l'aéroport où se trouvait l'avion qui nous ramènerait chez nous. Installé à mon tour après avoir fait le tour, porte claquée, je me mis à sourire à sa remarque. « Enlève-la complètement alors. T'as besoin d'aide ? » Je faisais en sorte de notifier au chauffeur qu'il n'avait pas le droit de nous regarder, parce que c'était un moment privé, quand même. Non mais très vite, j'étais distrait par les doigts de ma femme, glissant sous ma chemise et c'était parti, je ne répondais plus de rien. Je me mettais à l'embrasser avec envie, contrastant avec la douceur qui émanait de la jeune femme.

Où il voulait, quand il voulait. C'était le cas de le dire. Mais elle était prête à répondre au moindre de ses désirs. Il lui avait vendu du rêve pendant tout un week end, elle ne pouvait pas ne pas chercher à le remercier. Et puis elle lui en avait en quelque sorte fait la promesse quand elle l'avait tiré du lit pour voir cette fameuse tour Eiffel. Alors si c'était maintenant, elle n'irait pas contre ça. Elle souriait tendrement, passant ses mains derrière son dos pour défaire le fermoir. Et après une petite bataille avec les voiles qui composait cette fameuse robe, elle réussissait à la faire glisser jusqu'à ses jambes se retrouvant en sous vêtement. Chose bien plus pratique pour ce qu'ils avaient à faire par la suite. Retrouvant sa place sur ses genoux, elle profitait du baiser passionnée qu'Alex était en train de lui donner. La lune de miel à l'arrière d'une voiture, c'était pas vraiment dans le top dix de ses souhaits mais après tout ce qu'il avait fait, elle ne voyait pas comment est ce qu'elle aurait pu lui réclamer quoi que ce soit. Elle était juste bien là, elle n'avait besoin de rien d'autre. Un bouton, puis deux, elle défaisait toute la chemise de son mari l'aidant à la retirer de même que sa veste. De cette façon, elle pouvait profiter pleinement de sa peau dénudé laissant libre court à ses lèvres d'en explorer chaque partie.

Bien sûr que m'engager avec elle, c'était excitant. Et forcément que j'avais envie d'assouvir cette envie qui me consumait depuis tout à l'heure. Alors on était dans la voiture et sa robe gênait un peu trop. Déjà, j'avais fait signe au chauffeur de remonter la vitre teintée pour ne pas qu'il regarde, puisque ça restait un moment intime entre un mari et sa femme. Et donc, à ma demande, elle retirait complètement sa robe, se retrouvant rapidement en sous-vêtements et à califourchon sur ma personne. Mon dieu, sourire sur les lèvres, je n'arrivais pas à défaire mon regard du sien. Elle était mienne et j'avais encore du mal à m'y faire. Elle était mariée à moi, et c'était quelque chose que j'allais avoir du mal à assimiler je pense. Enfin, là, je m'en préoccupais pas tellement, préférant de loin apprécier le contact de ses lèvres sur les miennes, sa langue titillant la mienne d'une façon qu'elle seule savait faire. Assez rapidement, ma chemise était défaite et Az retirait cette dernière avec la veste qui était par dessus, me laissant alors torse nu, à son plus grand plaisir. Riant légèrement, je venais glisser mes mains dans son dos et l'embrassant encore et encore, je venais défaire l'attache de son soutien-gorge. Après tout, elle même savait à quel point j'avais des mains baladeuses. Et puis, pas besoin de faire un dessin en fait. Elle et moi avions passé un bon moment à l'arrière de cette voiture, pas vraiment discret au niveau sonore, mais je m'en fichais pas mal pour ma part. J'aimais quand les autres entendaient à quel point je pouvais faire grimper mes partenaires au rideau. « Je t'aime » glissais-je à la jeune femme entre ses lèvres, la respiration haletante et le sourire scotché sur les lèvres, avant de l'embrasser une nouvelle fois, avec bien plus de tendresse que d'habitude.