Jay ~Un chat ça remonte toujours le moral

J'ai toujours pris la fuite. Toujours... parce que j'ai jamais su faire autre chose. Je n'ai jamais su tenir tête a qui que ce soit parce que j'en suis incapable, et mon frère ma toujours protégé, c'est la première fois qu'on se parle vraiment et il veut que je lui tienne tête, j'arrive même pas a le regardé dans les yeux tellement je suis mal a l'aise. J'ai jamais haussé la voix, j'ai jamais répondu a quelqu'un. Quand il dit qu'il faut que j'arrête de réagir comme ça que je fais tout pour être la tête de turc. Je le regarde pas plus et je commence a passé la porte. J'ai plus rien a faire ici, ni plus rien a faire a la Winthrop j'aurais jamais du suivre mon frère. Je suis toujours la tête de turque et je le resterais ... JE le sais, je suis pas mon frère, c'est lui qui est au dessus pas moi. Même lui le dit, je n'ai jamais été personne d'autre, il a raison je serais jamais a la hauteur...

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Un chat ça remonte toujours le moral

Je ne quitte pas mon frère des yeux, mais le voir se diriger vers la porte de ma chambre pour sortir... C'est une chose que je n'apprécie pas. "Ne franchit pas cette porte !" M'exclamais-je alors pour le retenir, la voix toujours élevé sur lui pour être sûr qu'il m'entende et surtout, parce que je ne suis pas du tout désireux qu'il parte maintenant alors qu'on vient de s'embrouiller. Je veux pas me disputer avec lui comme ça. J'ai assez d'emmerde comme ça que pour en plus me prendre la tête avec lui, alors ouais, sur le coup, j'essaie de le retenir comme je peux. Je me lève d'ailleurs, prenant appui sur ma béquille pour m'avancer vers la porte et de lui également. "Ecoute, Judi." Repris-je plus calmement tout en boitant en m'approchant de lui. "Je dis pas ça pour te faire du mal, je veux pas me prendre la tête avec toi comme ça, tu le sais non... Mais j'ai pas envie de voir les autres se servirent de toi ou te prendre pour leur boniche comme il y en a qui savent si bien le faire... J'ai envie de te voir être capable de te débrouiller tout seul, non pas que je ne veux plus veiller sur toi, que du contraire, mais là, je ne peux pas, je ne suis pas en état de le faire... Alors, oui, je serais rassuré si tu étais capable de tenir tête aux autres, à dire non... A te faire enfin respecter."

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J'entends sa voix qui me dit de pas passé cette porte. Je sens mon sang se glaçé ... Il ne m'a jamais parlé comme ça, je suis simplement paralysé par la peur. Je l'entends se lever derrière moi pour me rejoindre. J'ai l'impression d'étouffé mais ses paroles me font repiré a nouveaux.
"Je..." J'arrive même plus a parlé tellement j'ai une grosse boule dans la gorge. J'ai horreur de se genre de situation. Il veut pas que je me fasse traité comme une bonniche, que je me fasse enfin respecté ....
"Je préfère être seul" Je fuie toujours les autres depuis que je suis arrivé ici. Je me cache, j'ai tellement peur que tout ça recommence. Je suis toujours incapble de le regardé. JE suis secouer, mon coeur bat un peu fort parce que je cogite trop et que en ce moment je suis censé être très calme.

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"..." Je regarde Oliver alors qu'il semble désireux de me fuir maintenant... Je ne sais pas comment je dois réagir maintenant, ni même quoi lui dire... Je suis paumé dans un sens, j'ai pas envie que mon propre frère me plante comme ça juste parce que j'ai un peu élevé la voix sur lui... Je détourne alors la tête, blessé dans un sens par ces propos, sur le fait qu'il désire être seul maintenant, donc partir et ne pas que l'on continue de s'expliquer... J'aurais pas du élevé la voix comme ça sur lui, j'aurais pas du l'engueuler, lui faire ses reproches et lui balancer en quelque sorte, ses quatres vérités sans de vraies raisons... Non, même avec de bonne raison, je n'aurais même pas à faire ça parce que merde il est quand même de ma famille, il n'est pas comme Romane ou même Leighan... Je soupire alors avant de murmurer. "Je suis désolé Judi..." Une excuse réelle de ma part, je suis mal à cause de ça et je retourne d'ailleurs m'installer sur mon lit, pour lui laisser le loisir de partir si c'est ce qu'il veut. Pour ma part, je lâche ma béquille, ma main venant se glisser sur ma nuque pour la masser un peu et tenter de me calmer à cause de tout ça...

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JE suis totalement perdu. J'ai tellement peur, je n'avance pas. J'ai l'impression d'être personne. Quand Jay me parle comme ça, j'ai l'impression d'être très nul, d'être un boulet pour lui. Je crois que j'aurais jamais du venir a la Winthrop.
"J'aurais jamais du venir a la Winthrop" Je respirais un peu fort pour me calmé, fin calmé mon coeur. J'ai du mal, beaucoup de mal a géré mon coeur surtout quand sa entour Jay. Surtout en ce moment la moindre petite chose le fait s'emballé. Je veux pas qu'il s'en rende compte il paniquerais bien trop vite. Je ne bougeais pas.

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Il ne part pas... Je relève la tête vers lui, posant mon regard sur son dos alors qu'il vient de dire cette phrase, crachant un peu sur la Winthrop au passage, du moins, c'est l'impression que j'ai... Je n'aime pas du tout le fait qu'il dise cela, qu'il n'apprécie pas la WH parce que pour moi, c'est un peu comme une deuxième familles, enfin, c'était surtout le cas avant, mais maintenant que j'en suis à la tête, je ne sais plus trop si c'est réellement le cas ou pas... C'est devenu compliqué en réalité... Je soupire un peu... "Pourquoi t'es venu à la Winthrop ?" Lui demandais-je alors en essayant de faire fit de mes sentiments et mes états d'âme pour jouer mon rôle de président et tenter de le convaincre de rester, même si j'avoue qu'en tant que frère de sang, je suis réellement désireux qu'il reste chez les rouges avec moi, parce que cela m'a réellement fait plaisir quand il a décidé de nous rejoindre nous plutôt qu'une autre confrérie qui lui aurait peut-être mieux collé, convenu... Je lâche alors enfin ma nuque, arrêtant de me la masser, celle-ci ayant un peu rougit à cause des frottements entre ma paume et elle... Je fixe mon frangin. "Tu ne te plais pas parmi nous ?"

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Je suis totalement contracté. Je suis pas a l'aise. Mon coeur ne veu pas se calmé non plus. Je viens de lui dire que je n'aurais jamais du venir a la Winthrop. Il commence a me questionner.
Je veux pas être un boulet pour toi J'ai l'impression d'être que sa pour lui. Je ne veux plus. Il me demande pourquoi je suis venu a la Winthrop... en fin de compte c'est des raisons stupide
J'y pas ma place, je suis venue pour toi , parce que je voulais changer mais c'est impossible je m'appuie contre la porte. Je suis bien trop tendu ppir mon coeur

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Je fixe mon frère. "Où et quand ai-je dis que tu étais un poids pour moi ? Je n'ai jamais dit, ni même pensé cela, alors arrête de te faire des films Judi' !" Lui lançais-je alors assez rapidement, agissant au final bien plus comme un frère que comme son président, en même temps, avec lui, c'était compliqué de n'être qu'un président, je ne peux juste pas renier mon lien de sang avec lui et en même temps, je n'en ai pas réellement envie... Je serais fou en même temps de vouloir ça, parce que c'est quand même mon petit frère, le seul de la fraterie que j'apprécie réellement alors tirer un trait sur lui, je ne pourrais pas. Avec Lei' et Romane ça à déjà été assez difficile comme ça, alors lui, ça risque de clairement être impossible. Je l'écoute donc. "Tu voulais ? Donc, ce n'est plus d'actualité ? Tu sais, ce n'est pas la maison où tu es qui te change, mais bien tes choix. Si tu estimes que tu n'as pas ta place ici, que la Winthrop ne peut pas t'aider à changer pour aller vers cette image de toi que tu aimerais avoir, je te laisserais partir, mais vois-tu, je doute que tu trouveras une autre maison mieux placé pour t'aider. Parce qu'au final, ce que tu cherches, je suis persuadé que tu le trouvera ici, même si cela ne sera pas facile, il faut de la persévérance tu sais ? On ne change pas en un jour, non plus." Je continue de regarder mon frère, bien moins énervé que tout à l'heure, après tout, on parlait de lui là, plus de moi, alors il est certain que je n'allais plus m'énerver sur lui.

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Je ne veux pas être un poids pour lui. Je ne suis pas du tout a l'aise. Je n'aime pas parler de moi même avec mon frère, j'ai beaucoup de mal. Je veux être dans ma bulle même si j'essaye d'évoluer. Sauf que je me rend compte que la Winthrop en demande trop. Les sorties, les soirées c'est tellement pas pour moi. Il me disait que je n'avais jamais été un poids pour lui. Je vais me rassoir sur le lit de mon frère, mais je suis recroquevillé dans mon coin. Je le regarde toujours pas. Il veu que je parle, mais j'ai pas envie...
Tous les rouges que je rencontre veulent me voir en soirée... mais jr vrux pas que sa recommence Jay. .. Je repense a la seul soirée ou j'avais été invité au lycée et on m'avais mi une honte monumental,c'est Jay qui m'avais récupérer dans tous mes etats....

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Je laisse Judicaël revenir vers moi, s'approcher et prendre place sur mon lit même s'il reste quand même à distance de moi. Je ne le quitte pas des yeux, attendant sa réponse, qu'il me parle, s'ouvre à moi comme il veut que je le fasse avec lui. S'il le fait maintenant, je le ferais ensuite normalement. J'hausse un peu les épaules, laissant même un soupire échapper de mes lèvres alors qu'il me parle fait repenser à cette fameuse soirée... C'est vrai que pour lui, ça n'avait pas été réellement terrible... "J'ai une proposition à te faire." Lui lançais-je alors. "Lors de notre voyage à New-York avec les Lowell, on va organisé une soirée, il n'y aurait que deux confréries, ça ne sera pas la mort à voir et puis, je serais là, alors t'auras cas resté avec moi. Puis, je suis certain que les autres rouges t'aideront à t'intégré et profité de cette soirée. Dois-je te rappeler les commandements de notre maison ?" Quoi ? Après tout, la solidarité était quelque chose d'important pour nous ici, on devait soutenir nos frères, les aidé en cas de besoin, etc. Alors, il n'avait pas réellement à craindre que les rouges se moquent de lui, même si je sais qu'il y a parfois des conflits entre rouges pour des conneries, mais en général c'est rien de bien grave et au final, c'est vite réglé. On se fait parfois des crasses aussi, mais c'est souvent pour rire, c'est jamais dans le but de les humilier réellement. C'est ça qui est bien chez nous, c'est justement cette solidarité.

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