Up all night || Lana

Cette invitation ce faire rare, comme si c'était un secret. Les invités ont été trié au volet, étant une soirée spéciale, pour des gens spéciaux. Bien évidement, étant le fils d'un des hommes les plus riches au Monde, j'y suis invité. Mon père est le PDG de LVMH, une entreprise qui regroupe les plus grande marques que ce soit dans la mode, le cosmétique, la joaillerie mais aussi le champagne. Autant dire que mon père peut se faire les couilles en or, pardonnez moi pour cette expression. Chez moi, dans mon immense villa, je me prépare donc pour cette fameuse soirée. Après une bonne douce, j'enfile un beau pantalon noir, une chemise bleu ciel puis me rend enfin à la soirée. Garant ma voiture devant la maison, je prend soins de la fermer à clé, avant d'entrée au sein de la villa. Là, je regarde autour de moi, essayant de voir si j'aperçois des amis. Et oui, je vois un petit groupe au loin et les rejoins. Un verre de Whisky à la main, nous entament une conversation, parlant de tout et de rien. La soirée se déroule plutôt bien, même si bon, pour le moment on ne peut pas dire que ce soit la soirée du siècle.

« Oh attend machine, t'as ta jupe qui est rentrée dans ta culotte. » merde. Tu te tortille pour tiré sur ta jupe, lançant un regard et un sourire de gentillesse envers ta patronne, qui semble être plus exaspéré qu'autre chose. T'avais trouver sur job sur job étudiant.fr et si au début tu ne te sentait pas de flaner entre des gens trop riche pour savoir ce que c'est que de galéré à trouver un boulot dans les petites annonces, tu as finit par te dire que ça en valait le coup, qu'au final tu pourrais ramener plein de reste chez toi et que bon, une soirée, ce n'est rien au final. Tu attrapes donc un plateau, et comme prévue, tu flanes entre les gens. Tu t'arrêtes parfois devant les groupes de personnes qui sont en pleine discussion pour proposer un petit four et les autres qui lève la main pour te demander un autre verre. Le grand bosse est présent ce soir, après tout c'est sa soirée, Bernard Arnault le grand patron. Il lève son doigt, et tu glisses jusqu'à lui. Son fils à ses côtés. Il te demande un verre, mais tes yeux sont rivé sur son fils, tu l'a déjà vu quelques part, il doit bosser à harvard, ou venir souvent à la bibliothèque. Sans faire exprès, tu renverse le verre destiner au grand bosse sur lui. Ça te glisse entre les doigts, atterrit sur sa chemise avant de se fracasser en grand boom sur le sol. Tu restes inerte, les yeux rivé sur le sol. « Pardon.. j'veux dire, j'vais nettoyer ça tout de suite. » dis-tu au fils, ou au père, ou à toute cette foule qui s'est retournée en entendant le grand boom.

Pourquoi faire la fête ailleurs, quand on peut la faire chez soit ? Enfin, plus précisément chez ses parents ?. Je me suis donc vêtu comme il faut, avant de me rendre chez mes parents. Ma mère me sourit au loin, voulant venir à moi mais je la stop d'un signe de tête. Il y a des amis autour de nous, il est hors de question qu'elle vienne à moi pour me pincer les joues, et m'appeler mon bichon. Je lui souris tendrement, tout de même, avant de rejoindre mes amis. On discute, avant de vitre être rejoint par mon père qui vient m'accueillir. Enfin m’accueillir et surtout parler d'argent, de son entreprise et de ce qu'il me reviendra de droit. Alors que je prend la parole pour lui dire que ce n'est pas le moment, que j'ai juste envie de m'amuser, une jeune serveuse vient à nous. Je la regarde tout juste, préférant regarder ce qu'il y a autour, mais visiblement, cette potiche a décidé de décorer mon pantalon tout en me retrouvant le cul à Terre. Putain, mais vous avez apprit à bosser où ?, je hurle, alors qu'on m'aide à me lever, les regards tourner sur la jeune femme, mon père et moi-même. Veuillez excuser mon fils mademoiselle, dit-il alors que je le regarde bouche bée. Depuis quand mon père défend le petit peuple ? Je regarde la jeune femme enfin, et là, je comprend bien pourquoi. Ouais, si il le pouvait, il la mettrait dans son lit. Pathétique !, je souffle tout en épongeant mon pantalon avec une serviette.

T'as fait exprès, c'est peut être le fait d'etre trop près du patron ou le faite d'être de nature maladroite qui te font faire n'importe quoi. Quoi qu'il en soit, t'étais vraiment dans la merde, et tu restes inerte pendant une dizaine de seconde avant d'avoir le reflexe de t'excuser. Monsieur Arnault, te pardonne et t'aide m'aide à te relever quand tu ramasses les morceaux de verre sur ton plateau, son fils lui, jure en reculant de quelques pas. Les regards sont sur vous et tu sent le rouge te monter aux joues. « Encore désolée. » dis-tu ç monsieur Aurnault qui a l'air d'être parfaitement d'accord.. OH PUTAIN MAIS CE VIEUX PERVERS TE MATTE LES SEINS LA ??? MES YEUX ONT PLUS HAUT ENCULER. En parlant d'enculer, le fils est pas mal dans son genre. « Je vais vous nettoyez ça, vous voulez bien me suivre ? » demande-tu, parce que c'est pas en frottant dessus comme un mongole que ça va s'enlever trou du cul. Tu lui adresses un sourire polie, alors que dans ta tête tu l'insulte de pauvre petit con, fils à papa. « Veuillez me suivre. » dis-tu au grand patron alors que tu fais signe au fils de te suivre dans la lingerie, tu te faufile entre les invités en faisant gaffe de ne renverser personne, et surtout que ce mec ingrat est toujours derrière toi.

No mais il embauche son personnel où mon père ? Lui qui aime tout ce qui est carré, parfait, là avec la serveuse il a bien merdé. Il a sûrement dû la prendre pour son physique, et ce qu'il imagine lui faire dans sa tête, parce qu'elle n'est pas très douée de ses mains. C'est bon ça va, je répond froidement à la jeune femme, tandis que mon père s'excuse pour moi. Ben voyons c'est ça, joue les patrons adorable alors que tu es un vrai connard. Je n'ai vraiment pas besoin de votre aide MERCI, je répond en frottant mon pantalon, tandis que mon père me pousse légèrement vers la serveuse. D'accord, d'accord ça va, j'ajoute en avançant vers l'autre pièce, avant de me faire emboîter le pas par la jeune serveuse. Oh ben finalement, cette empoté est aussi belle par devant que par derrière. Quoi ? On a jamais dit que j'étais un grand poète hein. Je suis donc la jeune femme, nous frayant un chemin entre les invités, tout en allant vers la lingerie. Nous descendons un étage, avant d'atteindre la pièce tant convoité par la jeune femme. Bien, à vous de jouer !, dis-je en lui montrant ce qu'il semble être les produits d'entretien.

PARDON ? Mais ce mec va tout de suite redescendre, parce qu'en plus d'être un fils à papa, qui se la joue je suis le roi du monde, il se permet de te parler froidement. Pas besoin de mon aide hein ? Essaie de retirer une tache de whisky en frottant comme un bourré. T'es pas capable de le faire, faut demander à ta nounou de s'en charger, pauvre petite bébé. Tu fronce les sourcils, mais affiche tout de même un sourire forcer et courtois. Faut vraiment que le vieux arrête de te reloooker parce que ça devient gênant. « Excusez moi. » dis-tu en poussant un peu tout le monde pour te frayer un passage, ils sont obliger de se parler aussi près ? Bref, tu emmène monsieur je suis le roi du monde de l'autre côté du décord. À peine entrée dans les escaliers de service, le décord change du tout au tout, une fois dans la pièce encore plus, ça pue la javel et le syrop pour la toux. Tu jette le verre et nettoie le plateau avant de te retourner vers lui. « Enlevez votre pantalon. » dis-tu tout simplement. Bah oui, tu vas pas te mettre à quatre patte pour lui nettoyer le zizi. Tu prend le pshit pshit pour les taches tenace et tend la main pour avoir son pantalon. « Sauf si vous êtes trop timide pour enlever votre pantalon devant moi. J'promet de pas me moquer. » dis-tu en haussant les épaules.

Si on était à la belle époque des rois, je l'aurais certainement fait pendre, ou brûler. Non, je ne suis pas horrible à ce point, mais elle a tout de même niquer mon beau pantalon. En plus de ça, ses excuses sont insupportables, excusez-moi par-ci, excusez-moi par là, argh la ferme !. Je roule les yeux en la suivant, alors qu'elle s'excuse à nouveau auprès de mon père. Mon dieu, mais faites la taire, je vous en supplie. On se dirige tout deux entre les invités, allant jusqu'à la lingerie qui se situe au sous-sol. Une fois dans la pièce, je la laisse prendre ce qu'elle doit prendre, tandis qu'elle me demande de retirer mon pantalon. Je arque un sourcil, avant de me mettre à sourire à ce qu'elle poursuit. Je n'ai que faire de ce que vous pouvez bien penser ma belle, dis-je en retirant mon pantalon, avant de lui jeter à la figure et m'appuyer sur la table qui se situe derrière moi. Bien, où avez-vous apprit à bosser ? Non parce que vu votre maladresse...ça craint, dis-je en faisant la grimace. Moi ? La provoquer ? Non, je n'oserais pas surtout que j'ai pas l'air con comme ça.

Ton regard se pose sur son entre jambes, y a pas de quoi se moquer, dommage. Mais tu laches tout de même un petit rire, juste pour le faire chier. « Ne m'appel pas ''ma belle'', j'suis pas une de tes putes, je bosses ici parce que j'ai un loyer à payer. » dis-tu en pshitant dans son visage, crétin. Tu fronces les sourcils quand il te lance son pantalon à la gueule, mais quel enfroirée. Tu le tue maintenant ou plus tard ? Quand il s'y attendra le moins et que tu le poussera dans les escaliers en disant : oops. Tu lui lance un regard noir et t'occupe de sa foutue tache. Tu te retiens de pas lui cracher à la gueule. « J'ai juste eu un moment de maladresse. J'imagine que vous ne connaissez pas, vous devez être tellement parfait que le mot ''erreur'' ne doit pas faire partit de votre vocabulaire. » dis-tu en frottant comme une bourrin sur son putain de pantalon, on s'en fou que ce soir une serpière à la fin, si tu pouvais tu le brulerais, mais t'aurais peut être pas de pour boire. « Si votre pantalon est foutue, vous avez qu'à en demandez un autre chez papa, j'imagine qu'il peut demander au gérant d'Hugo Boss d'ouvrir le magasin rien que pour vous. » tu le pshit encore une fois en te tournant vers lui. Le pire c'est que ce crétin est vraiment mignon.

Je pourrais être entrain de m'amuser, ou bien entrain de me faire une charmante jeune femme mais non, au lieu de ça, je me retrouve avec un manchot. Ah bon ? Pourtant...., dis-je en grimaçant de nouveau, faisant croire qu'elle me fait penser à une pute. Bon, d'accord, je vais me retenir avec que mon beau visage finisse en sang. C'est bien, c'est bien, j'espère que mon père vous paye bien, je répond en regardant ce qu'il se trouve derrière moi, après lui avoir balancer mon pantalon dans sa tête. Rien à regarder par ici, reposons les yeux sur la jeune femme dont la tenue lui va parfaitement, épousant ses courbes à merveilles. Faux, on a fait une belle erreur en vous s'engageant, vu la tâche de mon pantalon et ce qu'elle est entrain de lui faire subir. Le pauvre, mon petit Hugo Boss est entrain de souffrir le martyre, j'en ai limite mal au cœur. Non, celui là et mon préféré, d'ailleurs, vous ne frottez pas suffisamment, dis-je tout en agitant mon doigt vers la tâche. Je finis par lâcher un rire, alors qu'elle pshit le produit vers moi. Je pense que c'est bon là, non ?, je lui demande avec un sourire forcé, tout en venant derrière elle afin d'admirer.....mon pantalon.

« J'peut savoir ce que vous insinuez ? » tu rajouterais prèsque petit con, mais tu te retiens. Parce qu'il est quand même ton supérieur, mais que tu ne veux pas être une de ses victimes. D'ailleurs, il s'en prend à cœur joie en jouant avec les mots. Tu répères en l'imitant. « j'espère que mon père vous paye bien. » exagérant sur sa voix de tocard et la grimace qui va avec. Pas assez vu tout ce que tu doit subir. Ça aurait pu être une soirée normale ou tu aurais finit avec des reste de bière dans ta voiture, mais au lieu de ça, tu joue à la marraine la bonne fée avec ce crétin. Tu frottes d'ailleurs, encore plus fort quand il t'avoue que c'est son préférer. Le mieux c'est d'y faire un trou, avec une paire de ciseau et voir si ça reste son préféré. « Vous savez que je peut vous rendre aveugle juste avec un pshit bien visée ? » dis-tu en lui pshitant avant la gueule, crétin. Tu sent qu'il se rapproche de toi, regarde par dessus ton épaule, tu te retourne pour lui faire face, vos visage à quelques centimètres l'un de l'autre. Il joue à quoi là ? « Je suis marier. » dis-tu dans un élan de mensonge ; alors que loin de là, très très très très loin de là.