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(FF) Ten years later.

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Summer & Paris
« Tout ce que tu viens de décrire, je le ressentais. A chaque fois que je partais, je laissais une partie de mon âme à la maison. Je sais que c’était des sacrifices nécessaires pour réaliser mes rêves et aller dans l’espace mais cela ne signifie pas que je les ai faites de bons cœurs. Je sais aussi que je n’aurais jamais pu aller là où je suis allée sans toi. Tu as toujours été mon moteur dans la vie et c’est pourquoi je suis las d’être loin de toi. Summer, j’ai besoin de toi dans ma vie, j’ai envie d’être dans le même lit que toi, à te regarder si concentrée sur tes cours ou tes corrections. Je veux entendre toutes les anecdotes que tu auras à me dire. Je veux à nouveau partager ton quotidien comme lors de nos études. Cette époque me manque énormément » répondit-il avec tendresse. Il aimait cette femme et elle lui avait manqué plus que de raison mais désormais, toute cette souffrance appartiendrait au passé. « J’ai envie que nous laissions tout cela derrière nous et qu’on se concentre uniquement sur le présent et sur le futur qui s’offre à nous à Washington » reprit-il avant de l’embrasser encore et encore.

Paris ne se laisserait jamais de sentir ces mains sur son corps, ses lèvres contre les siennes mais il connaissait suffisamment sa femme pour savoir qu’à chacune de ses grossesses, elle se sentait la femme la moins désirable de la planète. Lui, il raffolait de ses courbes : sa poitrine généreuse, ses hanches pleines et ce ventre où poussait doucement mais sûrement, une petite vie, le fruit de leur amour. « Je veux bien un bain si tu acceptes de le partager avec moi Summer Maconahey » lui dit-il avec son sourire aguicheur. « Il y a même pas cinq minutes, tu voulais m’arracher mon uniforme et maintenant, tu fais machine arrière ? Dans tes rêves Maconahey ! Je te ferais l’amour quoiqu’il arrive, tu as simplement le choix du lieu car je suis bon seigneur » lui dit-il avant de l’embrasser bien plus passionnément. « Bébé, cela fait six mois que je me suis pas enfoui en toi alors compte pas sur moi pour rester sur la touche. Je te veux et je t’aurais…En même temps quel homme normalement constitué ne voudrait pas faire l’amour à sa femme enceinte ? Non parce que tu en doutes peut-être mais tu es toujours aussi bandante à mes yeux enceinte ou pas » lui dit-il en reprenant une ancienne formulation qu’il lui avait servi un jour.



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Summer & Paris
Comment Paris faisait-il après 10ans de vie commune, pour me faire encore vibrer de la sorte ?! Il trouvait toujours les bons mots à me dire pour me faire frissonner, pour me donner envie de sourire à nouveau et me sentir protégée, rassurée et aimée. Je lui avais fait part de mes manques dus à son absence et malgré le fait que je ne souhaitais ce genre de chose à aucun couple, une part de moi se sentait quelque peu rassurée de savoir que Paris avait éprouvé les mêmes difficultés que moi durant tout ce temps. Mais comme il disait si bien tout ça appartenait au passé ! Aujourd’hui seuls les présent et futur importait « Notre future vie à Washington…et pas loin de ta famille en plus ! Avec une maison…des clôtures blanches…un chien – deux – et une cabane en bois dans le fond du jardin pour les enfants… » Je souriais en imaginant tout ça, bien qu’une autre chose me donnait l’envie de sourire : Paris. Devant moi. Son corps. Sa bouche…

Malheureusement mon sourire disparait bien vite, trop vite…la dure réalité de mon apparence du moment me faisant clairement reculé dans mes envies d’ébats. Je proposais pour faire diversion un bain à Paris, mais après 10 ans – même s’il avait été souvent absent- restait un mari observateur qui me connaissait par cœur. Il avait bien compris pourquoi, soudain, je n’étais plus aussi pressée de lui sauter dessus. Rectification : pourquoi je n’étais plus aussi pressée de me mettre nue devant lui. « Si si je vais te l’enlever ton uniforme, j’en ai toujours envie, c’est que… » Tentais-je de dire avant de grimacer un peu et de me mordre la lèvre inférieure nerveusement. Pas besoin d’en dire plus que Paris vint m’embrasser passionnément, faisait taire un instant cette saleté de voix qui répétait *t’es trop grosse, qu’est-ce que tu veux qu’il puisse être ravie de te voir nue !* Je laissais échapper un petit gémissement contre les lèvres de Paris, et m’accrochais désespérément à son col d’uniforme, tandis qu’il s’écartait un peu de moi pour venir me dire que j’étais en train de me prendre la tête intérieurement pour rien. Il savait ce que je pensais de moi physiquement, et il me fit comprendre à sa façon qu’il n’allait pas se dégonfler de son côté ! Je me pinçais les lèvres en rougissant, dissimulant un sourire amusée parce qu’il y avait bien longtemps que je n’avais pas entendu Paris me dire de vive voix qu’il avait envie de moi, d’être en moi, et que j’étais encore à son goût. Oh je ne dis pas qu’il ne me complimentait plus, hein ?! Si, si, il le faisait toujours ; à chaque fois qu’on se connectait et que l’on pouvait mettre la caméra en route, il commençait toujours par me dire qu’il me trouvait belle…mais cela n’a rien à voir : C’est un compliment qui s’effaçait malheureusement bien vite dans ma tête, dès lors que l’on se disait au revoir, et que je réalisais une fois seule, que je n’aurais pas ses mains pour me consoler. Je n’aurais pas ses mains qui viendraient me confirmer qu’il me trouvait encore belle et attirante. « Regarde toi mon cœur » lui disais-je en boudant à moitié tout en désignant son corps d’Apollon « Toi t’es beau, incroyablement sexy, et dieu sait que j’ai envie de te sentir contre moi, en moi ! Oh ça oui j’en ai envie !...mais à côté, je passe pour une grosse vache à côté de toi… » et tout en disant cela, je commençais à défaire, les boutons du col de chemise de Paris, et tirait sur les pans de sa veste d’uniforme, avant d’observer le torse large et saillant de mon homme, en l’admirant par-dessus les vêtements, avant chouiner comme une gamine « Oh bon sang, comment je pourrais résister à ça moi….c’est trop tentant en même temps ! »



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Summer & Paris
« Tu sais, j’ai oublié de te dire que j’ai trois semaines de vacances ? On pourrait en profiter pour commencer à chercher des maisons. Bon, du moins, faire une première sélection sur catalogue et après, voir se faire un petit week-end à Washington rien que nous deux pour les visiter ? On confierait les petits à ton frère, suffit simplement de lui demander de venir ? » lui proposa-t-il avec un grand sourire. Oui, Paris était déterminé à passer du temps avec son épouse et surtout à organiser leur vie future à Washington. Il voulait tout ce qu’elle venait de mentionner -seulement si c’était qui construisait la cabane dans l’arbre. Il avait toujours rêvé d’avoir ce genre de choses quand il était gosse alors hors de question de priver ses fils et bientôt sa fille. Trois enfants. Le militaire était on ne peut plus heureux de cette situation même si Summer, elle, peinait à accepter les changements opérés dans son corps.

Elle lui avait déjà fait le coup les deux premières grossesses alors il commençait à y être habitué -et puis soyons honnête deux secondes, il adorait la rassurer. « Toujours envie peut-être mais c’est fou l’enthousiasme que tu y mets… Je m’en sentirai presque vexé si je ne te connaissais pas suffisamment » la taquina-t-il en venant pincer le bout de son nez entre son index et son pouce. A nouveau, elle se confiait à lui, lui faisant comprendre à demi-mot qu’elle ne se trouvait pas séduisante malgré toutes ses bonnes paroles. Paris fronça les sourcils avant de l’attraper par les poignets pour la faire se reculer dès lors qu’elle commença à chouiner. « Bébé, regarde-moi… tu es enceinte pas grosse ! Et même si tu l’étais, je m’en foutrai royalement car tu étais, es et sera toujours la femme la plus sexy à mes yeux. Entre toi et moi, ce n’est pas qu’une question de physique, cela va au-delà. C’est tout ce qui fait de toi la femme que tu es qui me plait » commença-t-il par dire en la forçant à s’asseoir sur leur lit. « Et puis, sérieusement, je te trouve pas grosse…. J’aime ta poitrine mais là pour le coup… franchement, je pourrais passer des heures à jouer avec Ben & Nut’s parce qu’ils ont pris deux bonnets et que j’adore quand ça me remplit les mains. J’aime tes hanches généreuses car je t’imagine à quatre pattes alors que je m’agrippe à tes hanches pour venir en toi. J’aime ce ventre rebondi parce que tu portes notre troisième enfant et qu’il me tarde de pouvoir lui parler durant des heures et des heures, de le caresser, de l’embrasser. Bébé, quand je te vois, ce n’est pas la fuite qui me vient en tête bien au contraire. J’ai juste envie de te prendre comme au premier jour. Et puis bon sang, y a pas qu’une histoire de cul entre nous, je t’aime mon ange de la tête aux pieds en passant par ce que tu es ici » lui dit-il en pointant du doigt sa tête. « Et ici » reprit-il cette fois-ci en désignant son cœur. Oui, il l’aimait et la désirait pour tous ces tas de raisons et pas uniquement parce qu’elle avait un joli petit cul. « Maintenant, sois tu me déshabilles et je te fais l’amour, soit je vais prendre une douche tout seul mais je te préviens… tu passeras à la casserole à un moment ou un autre car six mois, c’est très long et ma main droite t’arrive définitivement pas à la cheville » termina-t-il avec sa franchise somme toute personnelle.


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Summer & Paris
J’écoutais religieusement mon Mari me rassurer alors qu’il me faisait asseoir sur le lit. Si au départ, j’avais arboré une moue boudeuse de femme dégoutée de ne pas laisser une belle image d’elle à son mari, j’avais bien vite fini par sourire tendrement alors que Paris m’assurait qu’il continuait d’aimer ce qu’il voyait. Ses mots rassurant – bien que parfois direct – m’avaient tellement manqué. Avec lui pas de surprise : il me disait tout, dans sa version la plus brute, mais qui ne laissait finalement aucun doute. Alors peut-être que d’autre femmes auraient joué les choqués en entendant leur mec leur dire qu’ils aimaient leur seins devenus plus gros, ou leur hanches plus voluptueuse parce qu’il s’imaginait les pétrir à mesure qu’il allait et venait en elle ! Moi, je prenais ça pour ce que c’était : une marque de désir évidente, et c’est tout ce qu’il me fallait en ce moment…me sentir désirable. « J’avais presque oublié à quel point tu avais le don de me donner le sentiments d’être la plus belle de toutes » lui avouais-je en rougissant timidement. « Merci mon amour… »

Malgré tout ça, Paris n’hésitait pas à me rappeler qu’il n’y avait pas que l’apparence et le sexe qui nous tenait unis tous les deux. Pour lui, ma tête et mon cœur rendait le tout encore plus désirable, et je comprenais parfaitement ce qu’il voulait dire par là. Moi-même je n’imaginais pas les choses autrement : je me disais d’ailleurs bien souvent que bien que doué sexuellement, j’aurais sans doute été lassée par Paris s’il n’avait eu que cela à me proposer. J’aimais tout ce qu’il était depuis tant d’années, et même encore aujourd’hui, il continuait de me surprendre par sa capacité à se montrer à ce point si tendre et si romantique (bien qu’il pense le contraire). Alors qu’il venait de pointer mon cœur, et que je comprenais la symbolique de ses paroles, je me mis à sourire en coin avant de répondre : « J’ai compris ce que tu veux dire…mais avoue quand même qu’en 6 mois d’absence, avec abstinence totale, tu ne te dis pas qu’en rentrant tu n’as envie que d’une chose : ma tête et mon cœur….parce que je je t’assure Paris, je t’aime, VRAIMENT…mais dieu sait qu’en ce moment, c’est le sexe qui est en train d’envahir ma tête. Comme une obsédée…rien d’autres ! » Bon c’était peut-être pas cool de le dire, mais je savais Paris suffisamment au courant de ce que je ressentais pour lui, pour qu’il comprenne que oui, j’aimais aussi son cœur, sa tête et son âme…c’est juste que mes hormones elles, n’avaient pas envie de s’y attarder tout de suite. Alors je me relevais du lit, et me plantais devant mon mari, finissant de déboutonner les boutons de sa chemise, et tirait sur cette dernière pour la dégager du pantalon et écarter les pans « Tu ne peux pas m’en vouloir hein ?! Quand je vois ça…forcément, je pense juste à une seule chose, tu comprends ? » Je me mettais alors sur la pointe des pieds pour venir embrasser délicatement Paris du bout des lèvres, avant d’enfouir mon visage dans son cou pour y dévorer sa peau. Tandis que ma main gauche s’attardait sur la boucle de ceinture de l’uniforme, ma main droite elle s’était posé sur son torse, et glissant sur le flanc de Paris, juste sous son bras, pour venir caresser mon dos, et descendre dangereusement dans le creux de ses reins. Entre deux succions dans son cou, j’acceptais finalement l’idée de prendre une douche avec Paris, souriant contre sa peau alors que je repensais à cette histoire de main droite moins douée que moi « C’est dingue quand même…ta main droite est censé te connaître sur le bout des doigts… » Déclarais avec un jeu de mots plus que douteux. « Je suis partante pour une douche avec toi, bien que malheureusement elle devra être rapide : Ethan tiendra pas longtemps en place, et si ni toi ni moi n’ait dans sa ligne de mire, il risque de s’impatienter et nous interrompre… » concluais-je avant de lâcher le cou de mon homme et de venir l’embrasser passionnément resserrant mon étreinte autour de sa taille alors que la boucle de ceinture était enfin retirée.


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Summer & Paris
« Peut-être parce que tu es la plus belle de toutes les femmes à mes yeux et que cela m’ait d’autant plus facile de te faire voir les choses ainsi » lui dit-il avec un tendre sourire. « Tu n’as pas à me remercier surtout que tes rougissements même après dix ans, sont toujours un merveilleux cadeau » lui confia-t-il avant de tout simplement l’embrasser. Paris aurait tant aimé être un homme bien plus poétique avec les années. Un homme capable d’offrir des mots raffinés à sa épouse pour qu’elle sache combien elle était formidable et vitale à son existence seulement voilà… Il n’avait toujours pas changé sur ce point et Summer devait s’en contenter. Un grand éclat de rire le prit alors qu’elle lui avouait qu’elle était bien plus intéressée par un homme en rut que d’un homme qui souhaiterait simplement un amour platonique à ses côtés. « J’ai toujours dit que tu étais une femme perverse mon petit démon » rigola-t-il avant de reprendre. « Ne t’inquiète pas, je ne t’en veux pas parce que j’ai autant d’envie peu catholique dans le crâne à leur actuelle… mais bon, il fallait bien que je rassure ma femme » la taquina-t-il alors qu’elle se plantait devant lui pour mieux le débarrasser de sa chemise et s’attaquer à la boucle de son pantalon.

Il n’était pas vraiment en reste non plus, s’attardant sur son T-shirt pour mieux le lui enlever et apercevoir sa poitrine qui, comme à chaque grossesse s’était vue magnifier par la force de la Nature. De ses mains, il vint la plaquer contre son corps, l’une d’elle s’attardant au creux de sa nuque pour mieux plonger dans cette rivière dorée alors qu’elle continuait de suçoter son cou. « Je suis trop habitué à tes lèvres ! Il n’y a aucune comparaison possible » grogna-t-il avant de râler complétement contre ses lèvres. « Mais moi je veux prendre ma douche avec toi alors rien à battre, Ethan peut bien attendre une vingtaine de minutes. Bouge pas… » lui dit-il avant de se diriger vers la chambre de l’ainé où il était certain de trouver les deux en train de jouer. « Mes champions, si vous êtes sage jusqu’à ce que cette aiguille se trouve là… papa et maman vous emmènent manger McDo et on ira après au cinéma » leur dit-il en confiant sa montre pour qu’ils puissent surveiller l’heure. « Mais si j’entends un hurler ou faire des bêtises, on ira nulle part d’accord ? » les prévint-il avant de retourner chercher sa femme. « On a une demi-heure alors toi et moi, va falloir qu’on se dépêche » lui dit-il avec un grand sourire victorieux.


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Summer & Paris
Paris et moi commencions à prendre nos habitudes à plaisanter sur nos habitudes sexuelles, ou et sur notre addiction à l’un et à l’autre, quand je rappelais tout de même l’urgence e la situation : Si on partait dans l’optique de faire l’amour sous la douche, il était évident que les gosses allaient poser un petit problème. Leur impatience, je la connaissais par cœur à force, et j’étais sûre que le plus grand de nos deux fils, pourtant bien concentré sur ses jouets, allait soudain se rappeler qu’il avait des parents et que ces derniers n’étaient plus dans sa ligne de mire.

Je fis par de la remarque à Paris et lorsque je le voyais partir en direction de la chambre d’Ethan pour aller nos enfants, je ne pus m’empêcher de faire quelques pas dans le couloir pour écouter ce qu’il allait leur dire en croisant les bras devant ma poitrine. Et quand il revenait sur ses pas, pour venir me chercher et m’embarquer avec lui dans la salle de bain, je le regardais en souriant puis levait les yeux au ciel avant d’éclater de rire « j’y crois pas ! Tu leur a promis un MacDo….espèce de père machiavélique » lui lançais-je alors que je fermais la porte de la salle de bain derrière nous. « Et dis-moi, qu’est-ce qu’est-ce que tu vas leur promettre la prochaine fois que toi et moi, on aura envie d’un petit truc rapide alors qu’ils ne sont pas loin ?....un séjour à Disney ?! » lui demandais-je ironiquement, bien que dans le fond je m’intéressais bien plus à ce qu’on allait faire ici et maintenant. Je m’approchais alors de mon mari d’un pas lent et aguicheur, tout en revenant poser mes mains sur sa veste et sa chemise. Mes doigts glissaient de part et d’autre de ses brans pour descendre jusqu’à ses poignets ou je retirais délicatement les boutons de manchettes et les desserraient la manche en son extrémité. « Je sens qu’ils vont être deux fois plus heureux de retrouver leur père ces deux-là ! » ajoutais-je en penchant la tête sur le côté alors que je tirais sur la manche droite pour qu’il sorte sa main, et sur celle de gauche pour en faire de même. Précautionneusement, je prenais la chemise et la veste ensemble en la soulevant des épaules de mon homme et lui sommait de pivoter sur lui-même pour se défaire de l’emprise de ses vêtements, que j’allais apposer à un cintre qui attendait justement des habits non loin.

Quand je me retournais pour affronter la vision de mon mari, torse nu devant moi, je loupais un battement, tant son corps me faisait toujours autant d’effet : « Je t’envie, et j’ai envie de toi…tu comprends la subtilité de mes sentiments à l’heure actuelle ??! » le questionnais en riant légèrement alors que je m’approchais à nouveau de Paris, posant mes mains à plat au-dessus de ses pectoraux à la naissance de ses épaules et que je venais embrasser le bas de sa gorge, en suivant la ligne que formais les muscles saillant de son haut de buste. « Ce que ta peau m’a manqué, mon cœur… »



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Summer & Paris
« Quoi tu vas tout de même pas me reprocher de lutter avec mes propres armes et puis, je croyais que tu voulais du temps avec moi sous la douche » lui dit-il en arquant un sourcil de manière malicieuse. Certes, proposer McDo a des enfants n’étaient pas la manière de leur donner une nourriture équilibrée mais de temps en temps, cela ne pouvait pas faire de mal n’est-ce pas ?! « Tu sais que le séjour à Disney ce n’est pas une mauvaise idée ? Je le note sur ma liste… je pourrais aussi leur promettre tout un tas de truc : faire du karting etc. Je ne suis jamais à court d’idées pour corrompre mes fils… Six mois que j’y songe » rigola-t-il alors qu’elle les enfermait dans la salle de bain. Sage décision car leurs petits monstres avaient pour habitude d’ouvrir toutes les portes de la maison, chose qui rendait par moment, des situations pour le moins gênante.

« Pour le moment, j’avoue que je serais bien plus intéressé par le fait que leur mère est contente de me retrouver » lui dit-il alors qu’elle venait de finir d’ôter ses boutons de manchette. Docilement, il se laissait dévêtir, patientant même sagement quand elle prit le temps de tout mettre sur un cintre. Paris avait appris à savourer ces petits instants avant de le sexe et il devait admettre que voir sa femme prendre toutes ces précautions la rendait que bien plus attirante à ses yeux. Ce petit rituel achevant même de l’exciter. « Tu m’envies de quoi ? D’avoir des tablettes de chocolat ? Tu sais que j’aime pas ça chez une femme » haussa-t-il les épaules avant de lui tendre une main pour qu’elle vienne près de lui. « Par contre que tu aies envie de moi, ça, ça me plait énormément » lui dit-il avec un large sourire qui se mua rapidement en soupire de plaisir dès que ses lèvres entèrent en contact avec sa peau. « Crois-moi, tu lui as manqué aussi bébé » murmura-t-il en glissant ses mains sous son large pull pour le lui ôter. « Bon sang, tu as combien de couche ? »grogna-t-il car il lui tardait de pouvoir enfin sentir sa peau contre la sienne, sa poitrine contre son torse. Pour le coup, Paris avait limite envie de mettre au placard toutes ces belles paroles quant à trouver érotique ce petit rituel. Non, d’un seul coup, la faim était revenue, dévorante, et il était limite à deux doigts de lui déchirer son débardeur. « Tu y tiens à ce bout de tissu ? » lui demanda-t-il en remontant ses mains vers son cou pour quémander un baiser des plus langoureux.


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