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if i had to die, would you pray for me ? {r. Thomas}

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IF I HAD TO DIE, WOULD YOU PRAY FOR ME ?
— with Thomas.

Ziggy détestait mettre des mots sur ce qu'il ressentait. D'ailleurs, c'était tellement brouillon dans son cerveau qu'il avait lui-même du mal à comprendre ce qu'il ressentait réellement. Bien sûr, il s'était inquiété. Mais ça avait été au delà. Et plus Zig avait angoissé, plus il s'était senti ridicule. Et maintenant qu'il voyait Thomas se porter comme un charme, il se sentait encore plus con de s'être inquiété de la sorte. En fait, il s'en voulait aussi à lui-même. C'était de drôles de sentiments et Ziggy détestait les ressentir. Bien sûr Thomas avait toutes les excuses du monde et pas forcément des mauvaises. Ziggy savait que ses réactions étaient démesurées mais voilà, il n'arrivait plus à se raisonner. Il avait l'impression de remonter des années en arrière. Il avait peur de prononcer à nouveau des paroles qu'il regretterait. Comment pouvais-tu être certain que j'allais bien ? Tu me connais assez bien pour savoir que j'aurais pu changer d'avis sur un coup de tête et aller à l'une de ces sorties organisées à la con. Thomas s'était rapproché et Ziggy se balançait d'un pied à l'autre, ne sachant pas quelle position adopter. Quand il posa sa main sur sa joue, Ziggy ferma les yeux un quart de seconde. Il tourna pourtant la tête, laissant la main de Thomas retomber. Ziggy fixa un lampadaire de l'autre côté de la rue comme pour éviter le regard de l'étudiant. La lueur éclatante lui faisait un mal de chien mais il s'en moquait, il n'était plus à ça près. Sa tête était déjà sur le point d'exploser. Je déteste ce que tu me fais ressentir. C'était lancé. C'était un peu brutal et agressif. C'était du Ziggy Carstairs tout craché.

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Il ne pouvait pas juste me pardonner ? Quand il s’est barré comme un voleur après avoir passé la nuit avec moi, je lui ai pardonné. Quand il a fait le mort pendant trois jours sans me donner aucune nouvelle, je lui ai aussi pardonné. Et maintenant, il me faisait une crise pareille et il ne me croyait pas quand je lui disais que je savais qu’il allait bien à ce moment-là ? « Je te connais, t’es une vraie tête de mule et tu en fais toujours qu’à ta tête. Tu n’aimes pas entrer dans le moule et tu refuses tout ce qui te paraît débile comme les sorties de groupe avec des cons. » dis-je en augmentant le ton de ma voix. J’avais essayé de l’approcher, je m’étais excusé une nouvelle fois alors que je disais que très rarement ce genre de mot. Il m’avait repoussé, enfin je l’ai pris comme cela et je sentis mon cœur se serré ainsi qu’une boule dans la gorge se former. « Très bien… J’ai compris Ziggy. » dis-je en le fixant. Il savait le faire mais moi aussi par moment, je savais montrer un regard accusateur. « Rentre chez toi. » dis-je en continuant de le fixer. Ce n’était pas une suggestion, c’était un ordre. J’allais en faire de même, je n’avais plus la tête à faire la fête ce soir. « Prend soin de toi. » dis-je en détournant le regard avant de commencer à partir en direction de mon quartier.
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IF I HAD TO DIE, WOULD YOU PRAY FOR ME ?
— with Thomas.

Ziggy ne pleurait jamais. C'était l'un de ses principes. Il détestait quand les larmes ne demandait qu'à rouler sur ses joues. Et là en cet instant, il ne savait plus si c'était la lumière du lampadaire ou juste la tristesse qui lui donnait envie de pleurer. Ses yeux étaient bien plus brillants que d'habitude et il sentait une boule de larmes se former dans sa gorge. Voilà dans quel état le mettait Thomas. Et personne n'avait été capable de ça. Personne à part lui. Et plus il parlait, plus il se montrait agressif, plus la boule de larmes grandissait. Il se sentait fébrile, presque capable de fondre en sanglots dans les minutes qui suivraient. Il l'écouta parler, lui donner l'ordre de rentrer chez lui. Ziggy n'avait pas de chez lui. Il voguait de maisons en maisons, parfois même squattait des chambres étudiantes. Il vivait au chevet des autres, n'avait jamais vraiment nulle part où se réfugier. Prend soin de toi. Ziggy le regarder tourner les talons et ferma les yeux quelques instants. C'était bien une promesse qu'il était incapable de faire. Ziggy ne savait pas prendre soin de lui, il ne l'avait jamais su. Il avait cette capacité autodestructrice affligeante. Alors qu'il avait avancé de quelques mètres, Ziggy se mit à dire d'une voix forte : T'as rien compris justement. Ziggy profita du fait qu'il se soit retourner pour marcher les quelques mètres qui les séparaient. Arrivé à sa hauteur, il se rendit compte qu'une larme avait roulé sur sa joue malgré lui. Il la balaya d'un coup de manche. T'as rien compris, Thomas. répéta-t-il d'une voix beaucoup plus douce, presque dans un souffle. Je me suis senti tellement impuissant quand tu ne donnais pas de nouvelles. Je... Tu me fais me sentir faible. C'était dit de manière tendre, c'était plus vraiment sur le ton du reproche. De toutes façons, Ziggy s'en voulait plus à lui-même qu'il n'en voulait à Thomas.

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Je ne pourrais dire ce que je ressentais actuellement, j’étais juste déçu et énervé de cette situation. J’étais aussi triste, terriblement triste au point que je sentais ma gorge me faire mal tellement je retenais toutes les larmes et les sanglots qui voulaient sortir. J’avais préféré le laisser ça car ses paroles voulaient clairement dire que c’était fini même si cela n’avait jamais commencé en soit. Je préférais fuir et passer ma nuit à sangloter seul dans mon coin, comme un con –comme toujours, con. Je m’arrête net en entendant ses paroles, je me retourne vers lui en évitant de le regarder. Je n’avais pas compris alors que son ton et ses paroles étaient pourtant bien clair à mes yeux. Je le regardais s’approcher et je ne fus pas surpris de voir une larme sur sa joue, même si l’efface rapidement. Je savais qu’il était sensible et qu’il jouait au gros dur mais j’espérais que devant moi, cela change. « Cela paressait pourtant clair… » dis-je simplement avant d’avaler ma salive avec quelque difficulté. J’avais les boules, c’est le cas de dire. « Etre faible n’est pas quelque chose de mauvais, Ziggy. Je sais que j’ai été nul pour le coup mais… Je ne peux rien faire d’autre que m’excuser. » dis-je en levant les bras d’impuissance. Je sais que j’ai été con mais il voulait que je fasse quoi, c’est la dixième fois que je m’excuse. « A ta réaction… J’ai l’impression qu’au final, ce n’était rien tout ça. » dis-je en le regardant avec tristesse. S’il s’est inquiété c’est une chose mais je n’aurais jamais voulu le blesser ainsi.
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— with Thomas.

Il a mal au coeur, le Ziggy. Il a l'impression que quelqu'un s'amuse à venir lui attraper le palpitant et le serrer pour en faire de la chair à saucisses. Son pauvre coeur est compressé dans sa poitrine, sa tête lui donne des vertiges et sa gorge le brûle tant il essaye de rejeter ses sanglots. Putain, il allait quand même pas chialer ? Pas lui, bon dieu. Pas Ziggy Carstairs, celui qui fait le fier dès qu'il en a l'occasion. Pourtant, il se sent à deux doigts de craquer. Il pourrait se laisser aller s'il en avait envie. Mais il en est tout bonnement incapable. Oui, Ziggy était un soit disant gros dur. Il était en réalité trop sensible pour ce monde. Thomas le savait et Ziggy savait que Thomas savait. Pourtant, il était toujours impossible pour lui de montrer ce qu'il ressentait réellement là, au creux de sa poitrine. Il y a des choses qui ne changent pas. Les paroles de Thomas lui faisaient un peu plus mal encore. Il avait l'impression d'être dans une impasse. Je t'ai pardonné à la seconde où tu as passé la porte de ce pub, Thomas. Et il était peut-être là le problème au fond. Thomas pouvait lui faire faire tout ce qu'il souhaitait. Les sentiments de Zig étaient si forts qu'il ne se maîtrisait plus réellement. Et dans le fond, Ziggy avait besoin d'avoir un certain contrôle de ses sentiments. Dans la vie quotidienne, il prenait mille et un risques mais dans ce cas précis, il aurait voulu être capable de contrôler chacune de ses réactions. Une nouvelle larme roula sur la joue pâle de Ziggy. Il ne prit pas la peine de l'essuyer cette fois. Il détourna simplement le regard, gêné que Thomas le voit ainsi. Putain, c'est toujours moi le con dans l'histoire. Je... Je fais vraiment tout foirer. C'était comme si tout ce qu'il touchait devenait une véritable catastrophe.

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Je ne savais pas comment arranger les choses, je m’étais excusé et pas qu’une fois. J’étais venu le voir quand j’ai vu qu’il était aussi dans le bar, j’aurais pu l’embrasser certes mais j’ai vu son Aura sombre et j’ai su qu’il ne fallait pas que je m’approche de trop. J’avais fui parce que je n’aimais pas cette situation, j’avais l’impression qu’on revenait au point de départ. Je m’étais pourtant arrêté car je voulais comprendre et je ne voulais pas que cela se termine sur un malentendu. Je cligne plusieurs fois des yeux quand il me dit qu’il m’avait pardonné depuis le début. « Je ne comprends pas… Pourquoi t’es comme cela ? Pourquoi tu n’acceptes juste pas les choses, Ziggy ? » dis-je en soupirant. Oui, j’avais dû mal à comprendre mon premier amour, je me demande même si je l’ai compris un jour. Je m’approche de lui d’un pas et lui attrape le menton pour qu’il tourne la tête en ma direction. Je souris légèrement en voyant la petite larme sur sa joue, je n’en avais jamais vu sur son visage avant ce soir et ça… Ça me fait plaisir. « Il faut que tu trouves à moi Ziggy. Il n’y a que comme cela que cela peut fonctionner. Tu n’as pas tout fait foirer, il faut juste que tu apprennes à t’ouvrir… » dis-je en souriant. Je passe une main dans ses cheveux avant de l’attirer contre moi pour un câlin, je pense qu’il en a besoin comme moi en fait.
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Thomas essayait encore de comprendre l'incompréhensible. Et d'un côté, c'était terriblement attendrissant. Ziggy savait que c'était peine perdue car ce pauvre idiot de Carstairs était totalement contradictoire. Il ne se comprenait plus lui-même et ce depuis longtemps. Un jour, sa vie avait été simple. Il avait été un enfant banal avec une vie banale. Puis tout avait basculé et il était devenu ce qu'il est aujourd'hui. Cet espèce de clown qui amuse la galerie, fait des conneries plus grosses que lui et envoie chier les gens quand bon lui semble. Cet espère d'énergumène qui avait relégué ses émotions au second plan. Il avait décidé que l'amour n'existait pas parce que c'était plus simple pour lui. Thomas était arrivé une première fois pour envoyer ses convictions valser. Et le revoilà une nouvelle fois dans sa vie. Le revoilà en train de marcher sur son cœur et n'en faire que quelque chose de vulnérable. Ziggy n'aimait pas ce sentiment de vulnérabilité. Il savait que c'était la porte ouverte à la souffrance. Et il ne pouvait pas accepter de souffrir comme ses parents avaient souffert. Je ne sais pas. Je... Sa voix se brisa, incapable de continuer à parler. Thomas parla pour lui et finit par le forcer à le regarder en lui attrapant le menton. Il sourit à son tour en se rendant compte que Thomas avait un regard bienveillant sur lui. Thomas attira Ziggy contre lui pour lui offrir un câlin. Putain, c'était juste ce dont il avait besoin. Ziggy le serra très fort contre lui, comme s'il avait besoin d'être certain qu'il ne lui filerait pas entre les doigts. Je crois juste que... J'ai peur. souffla-t-il simplement à son oreille.

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Je n’aimais pas baissé les bras, j’étais quelqu’un de coriace et encore plus quand il s’agit de Ziggy. Il en fallait après tout, bien d’autre personne seraient déjà parti pour le coup. Moi, je ne pouvais pas faire cela, j’avais pourtant essayé mais je m’étais retourné –comme toujours. Au fond, j’étais beaucoup plus attaché à lui que je ne le pensais. J’essayais de lui faire comprendre qu’il fallait qu’il s’ouvre à moi, même si ce n’est que moi ça serait déjà une bonne chose. Je l’avais pris au final dans mes bras, parce que j’en avais besoin et aussi car je voyais qu’il allait craquer et qu’il ne le voulait pas. Je ne pus m’empêcher de sourire quand il me sert un peu plus fort. « Je suis totalement effrayé également Ziggy… » dis-je en lui faisant un sourire au coin. J’étais le plus peureux des hommes depuis toutes mes histoires d’amour de merde. « Tu devrais savoir que la peur n’évite pas le danger et je ne pense pas être un criminel. » dis-je avec un sourire au coin. Je me moquais légèrement de lui mais j’espérais d’étendre l’atmosphère. Je dépose un baiser sur sa joue en souriant légèrement, caressant sa joue par la suite.
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IF I HAD TO DIE, WOULD YOU PRAY FOR ME ?
— with Thomas.

Dans les bras de Thomas, Ziggy se sentait bien. Il en oubliait les larmes qui roulaient sur ses joues. Il se sentait en sécurité. Protégé d'un monde parfois trop cruel. Une larme roula jusqu'entre ses lèvres et il ferma les yeux en tentant de se remémorer quand il avait senti ce goût salé pour la dernière fois. Cela remontait à bien des années. Cette étreinte était douce et virile à la fois, il adorait sentir les bras imposants de Thomas s'enrouler autour de lui. Zig aurait pu rester ainsi toute la nuit. Il n'avait pas besoin de maison quand il avait les bras de Thomas. Et c'était bien ce genre de pensées qui l'effrayait. Il ne voulait pas voir ses convictions sur l'amour voler en éclats. Il aurait simplement avoir raison, prouver que l'amour n'était qu'un leurre. Mais comme souvent, il avait tout faux. Ziggy l'écouta parler, buvant chacune de ses paroles. Peu à peu, sa migraine se calmait. Un sourire se dessina sur ses lèvres lorsque Thomas dit ne pas être un criminel. Cela restait encore à prouver... Voilà que toi aussi tu sors des grandes phrases... se moqua Ziggy qui était celui habitué à sortir des phrases philosophiques. Cette fois, quand il lui caressa la joue, Zig n'eut aucun mouvement de recul. Au contraire, il posa sa main sur la sienne. La fuite évite le danger. soupira légèrement Ziggy d'un air sérieux. C'est ma façon de me protéger. Mais... Je crois juste que je n'ai plus envie de fuir. Mais Zig restait plein de doutes, plein d'angoisses. Il s'approcha un peu plus de Thomas et posa doucement son front contre les siens tandis qu'il entrelaçait leurs mains.

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Je me sentais bien dans ces bras, je lui en voulait d’être ainsi mais on ne pouvait pas changer une personne aussi facilement. Je lui avais fait comprendre que je n’étais pas un criminel et qu’il n’avait pas besoin d’avoir peur. J’avais surtout dis cela pour l’embêter en fait, pour qu’il retrouve son sourire. « J’aime bien cela, sortir des grandes phrases comme toi. » dis-je lui faisant un grand sourire. Le voir sourire me faisait le plus grand bien. Je savais que fuir était la meilleure des choses mais c’était pourtant lâche. « Je sais mais tu ne pourras pas toujours fuir. » dis-je en le regardant dans les yeux. « Ne fuis pas alors, laisse juste les choses se faire comme elles viennent… » dis-je en fermant les yeux alors que son front est contre le mien. Je viens lui caresser sa main en souriant avant de me pencher vers l’avant pour lui déposer un court mais tendre baiser sur les lèvres. « Franchement, j’aurais pu ne pas me retourner tu sais. » dis-je en penchant la tête sur le côté. Nan mais c’est vrai quoi, imagine je ne m’étais pas retourné.
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