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if i had to die, would you pray for me ? {r. Thomas}

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IF I HAD TO DIE, WOULD YOU PRAY FOR ME ?
— with @T. Thomas Darling.

C'était finalement assez rare les soirées que Ziggy passait seul. Généralement, il trouvait toujours un ami pour aller boire un verre ou bien un inconnu pour combler sa solitude. Pourtant, ce soir-là, Ziggy n'avait pas envie de compagnie. Il voulait simplement boire un whisky, peut-être la bouteille. Il allait sans doute finir par se faire virer du bar à coup de lattes dans le cul. Zig s'en moquait. Ce ne serait pas la première fois et sans doute pas la dernière. Il n'avait pas l'humeur des grands jours, le pauvre Zig. Il était là, assis comme un con au comptoir de ce pub. Il avait le vague à l'âme, l'air maussade en bandoulière. Même Roxy n'avait pas réussi à le faire parler. C'était pour dire à quel point il avait besoin et envie d'être seul. Il commanda un deuxième verre et soupira un long moment. Il venait tout juste de rentrer du Chili. Et le Spring Break de rêve s'était transformé en cauchemar. Ce fichu tremblement de terre. Ziggy aurait du participer à cette sortie mais finalement, il avait trouvé mieux à faire et de là où il était, il n'avait ressenti que d'assez faibles secousses. Pourtant, il restait une inconnue au tableau. Thomas. Malgré ses multiples sms et appels, Ziggy n'avait eu aucune nouvelle. Avant de partir de l'hôtel, Ziggy avait même tenté de le voir dans sa chambre d'hôtel mais il n'y était pas. Alors oui, Zig avait commencé à se faire un tas de films. Il se détestait de ne penser qu'à ça, si ça se trouve il se faisait du sang d'encre pour rien. Comme pour lui donner raison, la porte du pub s'ouvrit, Zig se retourna et aperçut parmi la foule un Thomas en pleine forme. Il crut rêver un instant. Il détourna cependant bien vite le regard. Alors quoi ? Ziggy s'inquiétait comme un dingue et Monsieur Darling venait faire la bringue ? Ziggy l'avait mauvaise. C'était peu dire. Alors, il fit ce qu'il savait faire de mieux : ignorer.

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Le Spring Break était terminé, et pas forcément de la meilleure manière quand on regarde bien. Pourtant, il avait été des plus intéressants et très bizarre par la même occasion. J’avais retrouvé une bonne complicité avec Ziggy et cela me faisait le plus grand bien. Je ne voulais pas non plus me lancer trop vite, j’étais toujours méfiant et valait mieux prendre son temps. Le tremblement de terre aura fait une victime, mon téléphone portable qui n’a pas survécu quand j’ai voulu sauver Dana. J’avais donc perdu la totalité de mes biens, il fallait que je retourne chercher une carte sim et un nouveau téléphone mais je n’ai pas eu le temps. On venait juste de revenir du Chili et j’avais cherché à trouver Ziggy mais sans mon téléphone… Difficile. Mes potes voulaient qu’on sorte ce soir, puisque la plupart bossait au lieu d’étudier, j’avais accepté de bouger mon cul malgré la fatigue. Si je m’attendais à trouver Ziggy à ce fameux bar où ils m’ont emmené. Le voir me rassurait tout de même, je sais qu’il n’y a pas eu beaucoup de grand blessé et étant en médecine, je savais aussi qu’il n’avait pas été touché puisque j’avais passé le dernier jour à l’hôpital à aider. Je ne savais pas s’il m’avait vu mais je décide d’aller le voir. « Zig ! Je suis content de voir que tu vas bien. Je n’ai pas pu te contacter mon téléphone est mort durant le tremblement de terre. » dis-je en grimaçant. Je sentais que la tension était plutôt froide entre nous, ça change de la dernière fois qu’on s’est vu… Ça risque de chauffé mais pas dans le bon sens.
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IF I HAD TO DIE, WOULD YOU PRAY FOR ME ?
— with @T. Thomas Darling.

Ziggy avait mal au crâne. C'était toujours comme ça quand il pensait trop et se faisait du mouron. Il était victime de terribles migraines ophtalmiques qu'il calmait à coups de shots de vodka. Autant tuer le mal par le mal. Cette fois, il tentait le whisky même si cette boisson lui rappelait un peu trop sa mère. Parfois, il se disait qu'il allait terminer comme elle. Alcoolique et terriblement seul. C'était peut-être ça le destin du Ziggy grande gueule. Lui qui faisait le fanfaron n'était peut-être pas voué à une grande destinée. Peu importe... Il sentait la présence de Thomas dans son dos. Ca avait quelque chose d'électrique et Ziggy était incapable d'expliquer pourquoi. Tandis qu'il parlait, Ziggy serra sa mâchoire et ses doigts se resserrèrent aussi autour de son verre à whisky. Il ne jeta pas un regard à l'étudiant. Ziggy était doué pour ignorer les gens. Il regardait le contenu de son verre qu'il faisait un peu tourner d'une main agile. S'il paraissait ne pas écouter, il écoutait pourtant d'une oreille très attentive. Il savait cependant qu'il avait tout intérêt à se taire. S'il se mettait à parler maintenant, Ziggy allait dire des choses qu'il regretterait sans doute. Lui, si impulsif, préférait se mordre l'intérieur de sa joue pour s'efforcer à ne rien dire. Mais n'était-ce pas encore pire de rester là, près de Thomas, et ne rien dire ? Bien sûr, Ziggy était rassuré de voir Thomas en pleine forme. Pourtant, quelque chose gênait Zig. Il avait comme une sensation de trahison. Et il savait pertinemment que c'était démesuré. C'était pourquoi il préférait se taire.

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C’était à prévoir, Monsieur Carstairs n’en faisait qu’à sa tête en faisant comme si je n’existais pas. Je le fixais en attendant une réponse mais rien, je le sentais pourtant crispé et il semblait m’en vouloir… Ce que je pouvais comprendre en effet, mais j’avais une raison et puis je n’avais aucun moyen de le joindre après tout. « Je n’ai pas eu le temps d’apprendre ton numéro par cœur tu vas m’en vouloir, c’est ça ? » dis-je en secouant la tête. Il n’était pas possible. Je soupire une nouvelle fois en voyant qu’il ne réagissait pas. J’allais simplement attendre que Monsieur lâche son string. « Tu me feras signe quand t’auras fini de faire la gueule. » dis-je en me levant du tabouret. Je partis en direction de la table de mes potes et commande un jaegger redbull. Je n’aimais pas qu’on me snobbe, alors ça ne va pas commencer avec lui, même si c’est Ziggy.
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IF I HAD TO DIE, WOULD YOU PRAY FOR ME ?
— with Thomas.

C'était sans doute con mais oui, Ziggy en voulait à Thomas. Il avait quelque chose sur le coeur comme un poids qui l'oppressait. Il se sentait puéril d'agir comme ça, il aurait voulu être capable d'être pleinement heureux, de le prendre dans ses bras et de ne pas lui en vouloir. Mais non, une certaine rancœur le pourrissait de l'intérieur. Et la certaine agressivité dans la voix de Thomas n'arrangeait pas les choses. Il sentait que Thomas n'aimait pas le voir agir comme ça. En même temps, Ziggy savait que dans le fond, il n'avait pas tort et que Thomas aurait pu trouver à le joindre d'une autre manière. Mais bien sûr, Ziggy était bien trop énervé pour le dire à Thomas. Du coup, il faisait la gueule comme un gamin de cinq ans. Il ne répondit pas quand l'étudiant rejoignit ses amis. Il ne se retourna même pas. Il avait peut-être besoin de digérer ça tout seul. Même si le fait de parler à Thomas, de l'envoyer chier une bonne fois pour toutes, lui aurait fait le plus grand bien. Un double. demanda-t-il simplement au serveur en tendant son verre. Il entendait les rires derrière lui et ça l'énervait encore un peu plus. Il ferma les yeux quelques instants. Il pourrait quitter le bar. C'était peut-être la chose intelligente à faire. Ou bien peut-être pouvait-il faire face à ce qu'il ressentait dans cette situation et aller en faire part à Thomas. Ou bien il pouvait continuer de cuver comme un trou. Lorsqu'il retendit son verre au serveur, celui-ci lui signala : Ce sera le dernier. Bien sûr, Zig ne l'entendait pas de cette oreille. En se penchant sur le comptoir, il attrapa le col de la chemise du serveur et lui glissa à l'oreille d'un ton menaçant : Je paye mes consos, tu me sers. C'est pas plus compliqué que ça. Voilà qu'il allait encore se retrouver dans les emmerdes. A croire qu'il cumulait. 

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Si on me demandait qui était la plus tête de mule de l’histoire, je ne pouvais que crier le prénom de Ziggy sans aucun problème. J’avais décidé de le laisser seul dans son coin, le temps que celui-ci se calme. Ce qui n’était pas prêt d’arriver au final. Je m’étais installé à table avec mes potes et commence à discuter avec eux tout en regardant autour de moi, je le surveillais tout de même. Je ne pus m’empêcher de réagir quand il commanda un autre verre d’alcool. Avait-il l’attention de se foutre une mine ou quoi ? Je lève les yeux au ciel avant de boire une gorgée de mon verre. Je ne faisais clairement plus attention à ce qui se passait autour de moi. Je me lève d’un coup en voyant qu’il était en train d’agresser à moitié le serveur, je lui attrape le bras et le fait se lever. « Je suis désolé, je vais m’en occuper. Voici de quoi payer ses consommations et la mienne. » dis-je avec un regard désolé. Il valait mieux ça que le mec appelle les flics. Je pris Ziggy et l’emmène dehors avec ses affaires. « T’es clairement con comme mec ! C’est dingue tout de même ! » dis-je en le regardant d’un œil mauvais. Je le jugeais du regard et je ne pouvais m’empêcher de le détester à ce moment précis.
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IF I HAD TO DIE, WOULD YOU PRAY FOR ME ?
— with Thomas.

Ziggy déconnait clairement et au fond, il le savait très bien. Le serveur ne faisait que son boulot et il comptait bien éviter de servir un mec qui allait jouer les piliers de bar. C'était tout ce qu'il y avait de plus normal et c'était le plus logique pour ce pub qui était tout à fait respectable. Il aurait mieux fait de choisir un vieux bar glauque où trainent de vieux pervers d'une soixantaine d'années. Parfois, l'image que Zig avait de lui-même tombait bien bas. En tout cas, il n'était carrément pas fier d'agresser ce serveur qui d'après le regard qu'il lui lançait allait très certainement appeler les flics. Ziggy s'en foutait, ce ne serait pas la première fois qu'il passerait une soirée en cellule de dégrisement. De toutes façons, il n'avait nulle part où dormir ce soir. Quand il sentit quelqu'un lui attraper le bras, Zig comprit immédiatement qui c'était. Forcément. Ziggy tenta de se défaire de son emprise mais apparemment, Thomas serrait plutôt fort pour l'empêcher de faire des conneries. Putain, lâche-moi. Mais bien sûr, Thomas n'écoutait pas, il était aussi têtu que Ziggy. Une fois dehors, Thomas lui lança un regard dégoûté et l'insulta au passage. Encore une fois, chacune de leur rencontre se déroulait exactement de la même manière. T'as l'air de faire la découverte du siècle. Oui, j'suis con comme mec. Ziggy lui lança un regard mauvais même si dans le fond, le fait de le voir assurer ses arrières lui avait fait plaisir. Mais là, Zig était bouffé par un sentiment de rancoeur qu'il n'avait que très rarement senti.

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J’avais très clairement envie de le tuer, je n’ai jamais vu un gamin pareil. Il était censé être plus mature que moi mais même pas. Je l’avais sorti du bar en m’excusant auprès du serveur et en payant pour lui. Je prenais soin de ses arrières et je n’avais pas spécialement envie de le voir partir avec les flics non plus. Je ne pouvais empêcher mon regard noir, il m’énervait pour le coup et ces paroles continuaient à faire monter la moutarde en moi. « Le roi des cons, je te l’ai assez souvent dit. » dis-je simplement. Je secoue la tête avant de passer une main dans mes cheveux. Je faisais quoi de lui maintenant ? Il m’énervait autant qu’il me rendait fou, c’est tout de même dingue quoi. « Tu vas finir par me dire ce que tu gardes au fond de toi ? J’attends Ziggy et je te jure de te faire chier jusqu’au bout. » dis-je en le fixant. Je me doutais qu’il était comme cela pour une raison, je savais aussi que j’étais sûrement le principal concerné par la situation. « C’est à cause du tremblement de terre et du fait que je ne t’ai pas contacté ? Si je savais où te trouver, je l’aurais fait ! Mais comme t’arrives toujours comme un fantôme et que je ne connaissais pas le numéro de ta chambre, tu voulais que je fasse comment au juste ? » dis-je en levant les bras quelque peu énervé par la situation.
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Ziggy savait qu'il se ridiculisait et qu'il allait continuer de le faire un moment. Il avait en lui toutes sortes de sentiments contradictoires et ça le gênait au plus haut point. Il détestait se sentir ainsi. Il avait sensation de n'être qu'une pâle copie du Ziggy qu'il était habituellement. Il avait l'impression de revoir son père dans ses mauvaises passes et sa mère dans ses soirs de déprime. Quel parfait mélange... Putain, il venait à en se détester en ce moment-même. Et plus Thomas parlait, plus il sentait que ça lui faisait mal. Il avait mal partout. Pas une celle de son corps ne se taisait en cet instant et l'alcool exacerbait le truc. Zig se passa une main sur le front qui était brûlant. Sa fichue migraine ne le lâchait pas. Et Thomas continuait de parler. Si sa voix avait d'habitude quelque chose d'apaisant, là, c'était l'inverse. Ça le ramenait à sa connerie et ce n'était pas d'une très grande aide. Pourtant, Thomas semblait décidé à comprendre. Ziggy était-il réellement compréhensible ? Après tout, il n'était pas certain de se comprendre lui-même. Pour une fois, Ziggy évitait clairement le regard de Thomas. Lui qui était habitué à fixer les gens sans gêne était incapable de soutenir le regard noisette de Thomas. C'était d'un ridicule... Ziggy avait mille et une réponses à ses questions mais aucun mot ne sortait de sa bouche. Il fit quelques pas sur le trottoir comme s'il allait partir. Mais bien sûr, il se retourna. Il ne laisserait jamais Thomas de cette manière, il en était incapable. Ne rejette pas la faute sur moi. dit-il d'une voix étonnamment calme malgré ses poings serrés. Oui, il était du genre à apparaître comme un fantôme. Mais pour une fois, il estimait ne pas être à blâmer. Tu sais combien de fois j'ai frappé à la porte de ta chambre ? J'ai même fini par aller voir la réceptionniste en lui demandant si elle avait vu un mec correspondant à ta description. La ton de voix de Zig monta un peu sous l'énervement. Alors voilà, je suis peut-être le roi des cons, mais tu vois, t'aurais au moins pu aller te renseigner sur mon numéro de chambre à la réception ? Ou alors, ça n'avait juste aucune importance de me tenir au courant du fait que tu étais sain et sauf. Je peux l'entendre. Non, en réalité, il serait bien incapable d'entendre Thomas lui dire que ça n'avait aucune importance.

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Il fallait que je le fasse parler, sinon j’allais le tuer, j’en étais certain. Je savais bien que c’était de ma faute, sinon il ne m’aurait pas ignoré ainsi. J’essayais de crever l’abcès mais ce n’était pas gagné. Je le fixais en attendant qu’il daigne parler, ce qu’il fit. J’avais bien compris la situation, je le connaissais assez pour savoir comment il réagissait. « Je savais que tu t’inquiétais pour moi. J’étais à l’hôpital pour aider, ils étaient déborder à cause du tremblement. J’aurais dû te prévenir mais je t’ai dit que mon téléphone était mort. » dis-je en me mordant la lèvre. Oui, j’ai été con pour le coup mais je n’y ai pas pensé et je savais qu’il allait bien alors je ne me suis pas posé de question. « J’ai passé la nuit à l’hôpital et le lendemain on partait donc j’ai juste eu le temps de prendre ma valise et la réception était blindée de monde. Je sais que je suis en tort … Mais le principal est que l’on va bien tous les deux nan ? » lui demandais-je en approchant un peu de lui. Je l’interrogeais du regard et si j’avais envie de le prendre dans mes bras. Il allait me recaler nan ? « Je suis désolé Ziggy, mais je savais que tu allais bien. » dis-je en posant ma main sur sa joue. Il n’allait pas me repousser n’est-ce pas ?
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