TG ELIOTHER-This means war

Lancement des hostilités pendant le Spring Break, impossible d'oublier la petite guerre opposant les bleus aux verts, même en vacance au bout du monde les rivalités font rage et hors de question de louper une activité comme le paintball. Non pas que j'étais vraiment impliqué dans ce conflit, hébergeant même une Mather de temps en temps à la maison et ma propre soeur les ayant rejoint, mais je ne pouvais pas laisser tomber mes chers Eliots dans un moment pareil, surtout que j'avais toujours adoré faire ce genre de sport. J'étais passé par la case équipement, ressortant comme un véritable soldat prêt à faire couler le sang, ou plutôt la peinture sur les adversaires. Je reconnaissais au loin des garçons Eliots avec lesquels je n'avais pas encore parlé, mais justement les activités sont faites pour créer et ressouder les liens. Je me dirigeais donc vers les trois bleus (Keeran, Cole & Misha) en les saluant, arme en main comme un commando d'élite. En arrivant j'entendais la remarque de l'un d'eux (Misha), me faisant sourire face à cet esprit de compétition. « Je ne sais pas si ils seront bien nombreux, la plupart doit décuver des soirées qu'ils ont fait » Autant taper dans les clichés, bien que juste avec les arrivées tardives de ma soeur dans notre chambre je savais qu'ils s'en donnaient à coeur joie. La première fille bleue se joint à nous (Valentine), elle aussi prête à déclarer la guerre. « C'est fort possible comme explication aussi » Néanmoins je m'attendais à voir le troupeau de vert débarquer d'un moment à l'autre.

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Un paintball contre les bleus, la confrérie ennemie ? La bonne blague. Situation plutôt ironique que de passer du temps en leur compagnie lors du springbreak non ? M'enfin, c'était surtout là l'occasion de montrer une fois encore, qui étaient les meilleurs et surtout de frapper les Eliot en plein dans leur égo, en somme, the place to be. Tout bon mather qui se respecte se devait d'être présent et de participer, question de solidarité déjà, mais surtout pour se faire un plaisir d'écraser l'équipe adverse. Ce serait probablement un gros bordel, c'était certain même, mais il n'y avait pas de quoi être effrayé, à la guerre comme à la guerre n'est-ce pas ? Jules était là pour gagner, pas juste pour participer. Avançant sur les lieux, le De Lacroix se dirigea directement vers les autres mathers déjà présents qu'un Eliot venait d'aller voir apparemment. "Dommage qu'on soit dans la même équipe, moi qui voulais te refaire le portrait." lança-t-il à Sage, un petit sourire aux lèvres. Puis il releva les yeux vers l'autre mather, Austin, s'adressant aux deux cette fois : "Qu'est-ce qu'il voulait l'autre abruti ?"

Je pense que je venais de la rassurer, car être entouré de pleins de bleus il n’y a rien de très rassurant. Si elle pensait qu’aucun vert n’allait se pointer, les verts ne loupent jamais une telle activité. « ça va ! » Du moins ça allait avec que l’autre vienne nous prendre de haut pour nous adresser la parole. La petite avait bien envoyée, j’esquivais même un petit sourire, alors que je le jugeais fortement du regard. Il avait eu beau essayer de la remettre à sa place juste après, il l’avait tout de même écouté en repartant avec ses petits copains. « Et le petit reparti la queue entre les jambes » Me moquais-je doucement en riant. Je regardais un autre vert s’approcher, alors qu’il vint directement aborder la demoiselle avant de s’adresser à nous. « Comme d’hab’, nous exprimer leur peur du vert » J’haussais les épaules. En réalité, les bleus nous craignent un peu je suis sûr après toutes les crasses qu’on leur a fait malgré qu’ils savent parfois très bien nous le rendre.

@SOREN CASTEL @J. Sage Lewis @Jules De Lacroix  

Tu soupires en écoutant les conneries sortir de la bouche du jeune bleu. Lui, c'était certain il était déjà dans ton viseur. Tu baillais grossièrement en lui tournant le dos. Signe que tout ce qu'il pouvait bien raconter t'intéresser tellement. Il tourna enfin les talons pour rejoindre son troupeau de moutons bien dressé. - Bon vent ! Tu lâches un rire mesquin avant de lever les yeux vers Jules, il venait tout juste de vous rejoindre. - Pff, tu sais très bien, au fond, que t'as pas besoin de refaire quoi que ce soit chez moi ! Tu lui lances un petit clin d'oeil. Tu jettes un coup d'oeil derrière toi après la question de Jules, puis tu lèves les mains au ciel. - Oh rien, encore un fan, il voulait un autographe ! Tu souris, et ton sourire devient plus large en entendant la suite d'Austin. Tu hochais la tête pour confirmer. Tu fronces les sourcils en regardant derrière les deux mather, y'avait tout un attirail d'installer. - Et si on prenait nos armes ?! Tu regardais Jules et Austin à tour de rôle, et ses mots tu te dirigeait vers le matériel en tâtant une arme de paintball que tu gardais en main.

@Jules De Lacroix @Austin J. Da Silva

Un paintball avec des Mathers, afin de remettre en place la guerre des confrérie? Voilà enfin du positif dans le voyage haha. Tu le sais déjà que les enfoirés de Mathers n'auront aucune chance, parce que bon ils n'ont jamais été doués contre vous, c'est connu. Tu arrives avec ton pote Nemo. Une personne que tu apprécies encore plus, parce que vous avez beaucoup d'intérêts communs, ce qui inclue les Mathers. Tu fais un signe de menton, vers les gens déjà présent avant de te tourner légèrement vers l'Eliot. '' Tu vois une crèche? '' Alexys a oublié de prévenir les bizuts qu'ils ne pouvaient pas avoir accès à cette activité réservée qu'au grande personne. D'ailleurs, tu n'es pas vraiment ravis qu'elle se fiance à ton meilleur ami. Tu gardes espoir que leur statut mari et femme tiendra quelques mois haha. '' On pari combien que les Loosether ne sont pas en état de jouer, là maintenant? '' Tu fais un clin d'oeil à Nemo avant de lui faire signe de te suivre vers le petit groupe. Tu passes à côté d'un mec (Jules) qui est déjà en train d'insulter un bizut Eliot (Soren). Tu le regardes en haussant un sourcil. '' Descend d'une marche petit, c'est le terrain des grands ici. Regardes les plus vieux faire. ''  

Faire un paintball au Chili ? Tu disais oui. Faire un paintball au Chili contre les Mathers ? Tu acceptais avec encore plus d'entrain. Une activité en toute amitié – bien sûr bien sûr évidemeeeeeent - vous étiez d'abord là pour vous amuser tous ensemble, à tenter d'oublier vos animosités envers les uns et les autres afin de se concentrer sur la partie de paintball qui désignerait la confrérie grande gagnante – à quoi cela servirait de faire une activité de groupe sinon ? Ou peut-être que t'étais le seul à penser comme ça, c'était con de prévoir une partie de paintball et de ne même pas en profiter pour s'éclater, à ton sens. Tu étais prêt, tes joues peintes de deux traces de bleu chacune, pour donner l'air d'un petit guerrier et montrer ton appartenance aux Eliots, déjà dans ta tenue, ton casque avec les lunettes de protection dans l'une de tes mains. Tu en voyais déjà certains qui se lançaient des pics – arf, t'espérais au moins pouvoir commencer la partie. Tu arrivais dans le camp Eliot avec ton poto @Caesar S-Belobrova, et tu riais à sa remarque. « Faut croire que la plupart des membres officiels se sont caguer d'ssus par peur de venir... De toutes manières, tu les connais, ils vont à peine réussir à tenir debout, défoncés comme ils le sont tous. » Tu lui répondais dans un petit sourire en coin, tes yeux détaillant le quelques Mathers présents. Tu voyais @Jules De Lacroix, avec qui tu avais l'habitude de travailler au club de natation et tu lui faisais un signe, tes deux doigts contre ta tempe ( retournés, pas comme un pistolet ) tel un walker texas ranger mais qui vient pas trop du Texas. Tu riais aux paroles que lui lançait Caesar – c'était drôle parce qu'il parlait de petits et grands et qu'ils avaient le même âge voyez ? Bref. « On est tous là pour s'éclater de toutes façons non ? Et après grosse partoooooouze, j'ai hâte ! » Tu t'exclamais comme si c'était la meilleure des nouvelles.

• Petit à petit, les gens commencent à arriver, que ça soit les meilleurs, les plus forts, mais aussi les plus beaux, donc les Eliot, mais aussi les autres clodo, les Mathers. Ces petites vannes sont lancées, mais rien de bien méchant, pour l'instant, tout reste bon enfant. Pour combien de temps, je n'en ai aucune idée, vous savez, quand vous mettez des Eliot et des Mathers ensemble, ça finit automatiquement par partir en couille, c'est un cercle vicieux, un cycle naturel, qu'on le veuille ou non, ça part toujours en couille, constamment. Et, j'suis l'un des premiers à savoir que les amitiés Eliot/Mather, c'est voué à l’échec. Je vois @Oksanna T. Petrova arriva, un sourire se dessine mes lèvres, même si j'aime pas trop la voir dans ce genre d'endroit, alors, directement je vais lui chercher un casque, ouais, ça serait dommage d'abimer son beau visage. Arriver à sa hauteur, je lui dépose entre les mains sans trop lui laisser le choix, et je dépose un baisé sur son front. "Fait gaffe à toi quand même..." Et là, j'entends @"Rainier "Nemo" Grimaldi" parler de partouze finale, j'fais le mec choqué un peu. "AAAAAHHH ça va pas, c'est des zombies, t'en touche un tu choppes une MST, faites pas les con là !" J'avais un jugement sur les Mathers assez... Fermé, je le sais bien. •

Tu tournais ton visage à l'entente d'une réaction sur tes propos très enthousiastes, et tu mordais ta lèvre inférieure dans une tentative de retenir tes rires devant le jugement très extrême de @MISHA V. IENCHENSKI. Tu essayais de rester sérieux quelques secondes, le temps de lui répondre. « Mais... T'as pas du bien lire le mot qu'on devait signer que nous a passé Tate et Victoria... Il y avait pourtant écrit en petit caractère que si on participait, c'était sous réserve de faire la plus grosse partouze jamais vu entre harvardien... Pourquoi t'es là si t'étais pas d'accord avec la clause ? » Tu lui faisais remarquer, ton air candide et innocent ne trahissant rien, comme si tu te demandais vraiment comment il pouvait dire non à ça. T'aimais t'amuser des gens à leurs dépends.