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Céleskho ▲ Jusqu'au bout du monde

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Célestine & Nekho
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Samedi 12 mars C'était peut-être une grosse erreur que de se rapprocher comme cela après une dispute aussi improbable, c'est sûrement ce que penserait mon père. Pour lui l'amour existe bel et bien, mais il y a des manières de le vivre et même si il ne m'avait jamais encourager à partir de ce côté là avec Célestine, il ne m'avait pas non plus interdit d'explorer cette piste. Je peux dire qu'il s'en moque, que je tombes amoureux de la Canadienne ou pas ça ne change rien pour lui, même si mon bonheur compte un minimum et que malgré tout, il m'avait confié avant mon départ que si jamais cela ne collait pas, il avait mon soutien pour poursuivre le mariage tout en entretenant une autre relation en parallèle, mais discrètement. Tout le monde pensait cela, que j'allais finir par me rendre compte que finalement dans mariage arrangé, il y a surtout "arrangé" et qu'à aucun moment des sentiments n'entrent en compte et que par conséquent j'allais tourner le dos à Célestine pour choisir par moi-même une fille me correspondant mieux. Ma mère était beaucoup plus optimiste, me racontant au moins une dizaine de fois l'histoire de sa cousine aussi fiancée de force et qui avait vu en son époux l'homme parfait, l'amour de saviez et qu'elle ne regrettait en rien d'avoir tout abandonner pour le rejoindre et ainsi débuter sa nouvelle vie. Dans ma tête il était clair que je n'allais pas jouer au volage même si pour le moment il n'y avait rien de concret niveau attachement, j'avais signer des engagements et j'étais quelqu'un de parole, impossible pour moi de m'intéresser à une autre, aussi parfaite soit-elle. Et maintenant que tous ces évènements s'enchainaient à une vitesse folle, je me voyais encore moins repousser ma fiancée au profit de quelqu'un d'autre, peut-être le déclic que je pouvais m'attacher à elle en dépit de ses sauts d'humeurs et ses paroles tranchantes. Parait-il que les opposés s'attirent, et là nous en avions une démonstration en puissance. À présent je ne pouvais nier qu'effectivement, il était impossible de cacher que Célestine me plaisait, qu'il s'agisse de son physique tout comme son caractère indomptable, relevant du challenge pour l'amadouer et accéder à ses faveurs. Je voyais cela comme une sorte d'énigme à résoudre, un casse-tête chinois vivant qui ne cessait de se compliquer lui même pour interdir l'accès à son véritable coeur. Je fronçais les sourcils quand elle esquissa l'hypothèse d'une manipulation de sa part, la Célestine qui serre la main pour saluer les gens et refuse qu'on lui prenne ses valises aurait tout manigancer pour que je lui apporte de l'affection ? C'était bien trop gros et déconcertant pour que j'y crois, mais en y repensant elle était tellement surprenante, que ça en devenait possible. Si c'était le cas je m'étais fait avoir comme un bleu, je n'avais rien vu venir bien trop focalisé sur les sensations que je pouvais éprouver en étant aussi près d'elle, quelques centimètres seulement séparant nos deux visages. « Tu as gagné sur ce coup là alors » Je m'étais laissé prendre au piège sans m'y opposer, après tout un peu de douceur dans ce monde ne faisait pas de mal. Elle semblait reprendre du poil de la bête, utilisant à nouveau ce fameux ton rappelant qu'elle n'était pas n'importe qui, ce qui ne pouvait que m'amuser puisque quelques minutes auparavant elle semblait avoir perdu tous ces moyens, c'était un véritable caméléon. Mais c'était à mon tour de diriger un peu les évènements, de voir jusqu'où moi aussi je pouvais et je voulais aller, tout en respectant les limites les plus évidentes. Depuis Lilia je n'avais plus connu cette exultation et ce sentiment d'être transporté ailleurs, d'avoir enfin recoller les morceaux de quelque chose que j'avais perdu depuis longtemps. Si Célestine se voyait interdir les rapprochements par son éducation, je m'étais moi-même imposé cette discipline pour être sur de rester focaliser sur mes études, entièrement ma propre volonté et aujourd'hui je réalisais que je m'étais interdis de ressentir des choses extraordinaires. Tout se passait comme dans un film, il ne manquait que la musique de fond et la pluie pour le coté dramatique, mais mon appréhension s'envolait quand je compris que Célestine n'allait pas s'y opposer. Seulement il ne fallait pas trop rêver, malgré son air ravi elle eut vite fais de se dégager pour retourner dans sa zone de sécurité, me laissant un peu ... Idiot, c'était relativement brutal comme fin, mais c'était Célestine après tout. « Si tu veux oui, on va y aller » D'accord, changement radical de comportement, on repart découvrir la nature comme si de rien n'était, pourquoi pas. J'étais un peu gêné, il ne fallait pas s'attendre à des miracles, mais tout de même. Je la laisser prendre l'appareil photo avant de comprendre qu'elle immortaliser ce moment, enfin plutôt solennellement puisque nous restions sagement l'un à côté de l'autre sans montrer le rapprochement ayant eu lieu. Je me contentais de sourire avant de remercier la personne ayant pris la photo, peut-être plus humainement que Célestine. Il était visiblement l'heure de partir à en juger l'impatience de ma fiancée, je rangeais l'appareil photo avant de mettre mes lunettes de soleil tout en reprenant la direction de la sortie où nous aurions du être depuis quelques minutes déjà. « Tu as envie de voir quelque chose en particulier ? J'ai déjà exploré, il y a des endroits intéressants » Comme le lac avec les oiseaux marins, la forêt plus danse abritant des papillons. Je marchais tranquillement en attendant sa réponse, un peu chamboulé par tout ça mais je ne laissais rien paraitre, il semblait clair que tout redevenait comme "avant" maintenant, ne poussons pas les choses.


     
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Samedi 12 mars Y a deux mois, jamais je n'aurai pensé être dans les bras de Nehko, surtout de mon plein gré. J'aurai imaginé un malaise pour être dans cette situation mais il faut croire que la vie est surprenante. A Noel, quand j'avais appris la nouvelle de mes fiançailles je m'étais directement demandé si il était capitaliste ou socialiste, que c'était la chose la plus importante dans notre union, la façon de fonctionner dans notre entreprise, en espérant qu'on serait tous les deux du même point de vue. Mais il fallait croire que cette priorité numéro une ne l'était pu désormais. Maintenant, le caractère était beaucoup plus primordial. Je pense que notre première rencontre avait été primordiale dans ce choix des "voeux" pour cette union. Nehko avait été doux, tendre, cherchant à faire de l'humour et n'avait été un mec qui parlait tout le temps de business. Ca avait joué énormément pour le long terme et pour le moment qu'on était en train de vivre. « Tu as gagné sur ce coup là alors » Je lui souris, ravie d'avoir le dernier mot pour notre petit fight verbal. Forcément. Je suis une gagnante moi mes amis, et même dans la séduction, je veux avoir le dernier mot, c'est comme ça. La suite des événements s'avéra plus... imprévue, moins contrôlée, moins tout en fait. Un baiser. Lui et moi. Moi et un arabe. Oh my gosh. Si j'avais vu cette scène y a quelques mois, je me serai suicidée tellement elle m'aurait été intolérable. Mais c'était pas n'importe qui en face de moi. C'était quelqu'un auprès de qui j'envisageais de me confier et c'était pas un détail futile cela. C'est mon futur époux, c'était la personne avec qui j'allais devoir m'entendre le mieux possible et avec qui une relation saine devait se faire. Sentir ses lèvres contre les miennes me faisait ressentir tout un tas d'émotions comme.. la tendresse, la protection. Deux émotions dont je ne me souvenais même pu de leur existence. C'était perturbant. J'avais peur de ça. Peur d'être faible et lâché toutes mes défenses. J'étais encore ridicule. Cet adjectif revenait fréquemment dans mes pensées et c'était tout à fait normal. J'aurai voulu continuer, j'aurai voulu avoir encore et encore ce contact, mais je ne pouvais pas me laisser aller, je ne voulais pas qu'il soit blessé par ma mère. J'étais paniquée à l'idée de décevoir ma boss en fait. Je sentais bien que par ma réplique, je venais de tout détruire, mais c'était un mal pour un bien je suppose.. on venait tout de même de faire une avancée énorme. Une avancée que j'aurai jamais pensé faire dans ma vie. « Si tu veux oui, on va y aller » J'acquiesçais, souriant toujours un peu, avant de faire en sorte qu'on prenne une photo souvenir quand même, parce que sinon, on en aurait jamais et je sentais que nos familles respectives allaient vouloir voir à quoi on ressemblait tous les deux. J'avais les joues encore un peu plus rouges que d'habitude mais on dira que c'était la chaleur. Comment nos parents pourraient croire que nous venions de nous embrasser alors que nous nous connaissions depuis même pas deux mois ? Voilà, ils y penseront pas et c'était compréhensible. Qu'est-ce qu'on avait fait.. ? « Tu as envie de voir quelque chose en particulier ? J'ai déjà exploré, il y a des endroits intéressants » On finit par s'avancer dans la forêt, et je découvrais un paysage incroyable, tellement changé par rapport à tout ce que j'avais pu connaître. Si l'ambiance avait été assez spéciale au début, avec énormément de non-dits, de malaise, de gêne, au fur et à mesure de l'après-midi, on a pu apprendre à se connaître avec Nehko. Le jeune homme m'avait raconté alors tout ce qu'il avait pu faire au spring break jusqu'à présent, j'lui avais parlé de mon stage, on avait causé études, entreprises aussi un peu forcément, de la nature, du monde, du chili, de sa soeur, d'harvard, des états unis. De plein de choses en fait. Ca faisait du bien de le découvrir comme ça, sans limite de temps, sans rien et surtout dans un tel environnement. C'était enchanteur. Et c'était le retour dans l'hôtel. Dans notre chambre. Et là, j'repensais encore une fois à notre baiser que je n'avais pas oublié de l'après midi même si je n'avais pas fait de remarques. On pensait tellement toujours à ça ? Ou c'était juste moi qui avait un soucis ? Ca te dérange si j'utilise la douche en premier ? Je me sens vraiment comme un sdf là et si je peux éviter la sensation d'être en bas de l'échelle sociale. dis-je tout en allant vers mon sac. Je récupérais alors une robe pour mettre pour après et quelques affaires de toilette. Je serai pas longue. Le moment de la douche fut le parfait moment pour essayer de mettre au clair tout ce que j'avais sur le coeur. Cette balade n'avait fait que confirmer que je ressentais énormément d'attachement vers Nehko, ça ne servait à rien de le nier. J'aimais être avec lui, partager des instants, apprendre à le connaître alors qu'en général, les gens je les supportais une heure maximum. Là, on avait passé au moins six heures dans la forêt, près des lacs etc. C'était un indice plutôt flagrant sur comment j'étais face à l'étudiant. Néanmoins, je ne savais toujours pas comment me comporter avec lui. Je ressortais de la salle de bains une quinzaine de minutes plus tard, robe sur moi, les cheveux encore un peu trempé. Tu peux y aller. Il aurait sûrement aussi envie de se laver. J'commençais à sécher mes cheveux en attendant. Fallait que je me maquille aussi.


     
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Samedi 12 mars Même si sincèrement passer le reste de la journée avec Célestine dans les bras ne m'aurait pas déplu, cette pause promenade était sûrement le moment de réfléchir à tout cela chacun dans sa tête et sans trop importuner l'autre. Quelques minutes avaient suffit de nous faire passer du rang de deux jeunes fiancés par arrangement coincés, à premier baiser avec la passion qui allait autour suivant une dispute. Dans mon esprit tout était un peu flou, je savais maintenant que non toute cette histoire n'était pas juste résumée à un mariage arrangé où il faut apprécier la personne pour la bonne cause. Très sincèrement cette séduction mêlée à une incompréhension, ça avait éveillé en moins des vieux sentiments mis de coté depuis que j'avais eu l'interdiction de revoir Lilia, aujourd'hui je reprenais ma revanche sur une vie amoureuse inexistante car mise à part pendant bien longtemps. Certains penseraient sûrement qu'il s'agit de désespoir, que faute d'avoir mieux sous la main je profitais de Célestine, et ça aurait pu être le cas si j'avais été quelqu'un d'autre, seulement j'étais incapable de feinter des tels actes même avec la meilleure volonté au monde. Tous ces gestes tendres avaient été consentants et voulus, j'avais largement pris du plaisir à voir que ce que je pensais être la fin de notre aventure n'en était que le début en réalité, et pendant le reste de la journée je n'avais pas pu m'empêcher de revoir la scène dans ma tête. C'est un peu comme un livre que l'on aime bien, on ne peut pas s'empêcher de lire et relire son passager favoris, c'était la même chose lors de ce chamboulement, chaque actions de Célestine se repassait dans ma tête et la même palpitation bousculait mon coeur. J'aurai pu croire que c'était le fait qu'une fille aussi froide se dévoile ainsi, ou tout simplement que quelqu'un me porte de l'attention, mais c'était juste Célestine qui me rendait comme ça, totalement à la merci de ses décisions quand il s'agissait de jouer plus dangereusement. Paradoxalement j'étais soulagé de ne pas avoir remis le sujet sur le tapis pendant notre expédition, nous avions échangés comme si il ne s'était rien passé alors que cet évènement était à marqué au fer rouge dans nos chairs, je me demandais si je n'avais pas rêver mais la sensation des lèvres chaudes de Célestine sur les miennes revenait comme une piqure de rappel. Parler d'autre chose, de mon programme ici et du sien chez elle permettait de remettre les choses dans un contexte plus calme, détaché des dernières heures et ainsi permettre à nouveau un échange plus simple et amical. Je mentirais si je disais qu'à certains moments je n'avais pas eu envie de l'attirer de nouveau contre moi pour sentir la chaleur de son corps et simplement la savoir dans mes bras, proche comme jamais. Mais il faut savoir se contrôler et c'est aussi ce qui fait le charme dans la séduction, savoir céder au bon moment et pas à chaque envie irrépressible de le faire autrement on se lasserait vite. De retour à la chambre je n'avais qu'une hâte, pouvoir me reposer, j'aurai dû prévoir l'arrivée de Célestine dans mes horaires et me coucher moins tard la veille, mais je ne voulais pas pour autant la délaisser à cause de ma fatigue. « Je t'en prie, en principe il y a même les produits de toilette » Ce n'était pas un hôtel bas de gamme, il était assez luxueux pour offrir à ses clients ce qui touchait aux gels douches et autre, mais avec Khali nous avions nos habitudes et elle n'avait pas pu s'empêcher d'apporter une trousse entière laissant donc ceux fournis encore inutilisés. Je profitais de l'absence de Célestine pour faire une énième fois le point, revenant toujours à la même conclusion ; beaucoup de gestes, des sous-entendus mais rien de bien concret, pas les mots précis pour qualifier ce qu'il s'était passé. Mais nous devions nous remettre de nos émotions, autant laisser couler. J'allais à mon tour dans la salle de bain, appréciant l'eau fraiche puisqu'ici la chaleur était lourde en fin de journée, surtout après de longues heures de marche dans une atmosphère humide à cause des arbres. J'avais opté pour une tenue simple encore, je ne m'étais pas encombré des costumes ou autre pour le Spring Break puisque de toute manière je passais mes journées en maillot de plage. J'étais tellement ailleurs et épuisé que je n'avais même pas pris la peine de me coiffer comme habituellement, laissant mes cheveux se bouclaient naturellement. En ressortant je déposais mes affaires dans mon armoire, remarquant sous mon lit un foulard qui n'appartenait pas à Khali, mais que je reconnaissais, Lilia avait dû l'oublier l'autre soir en venant, je l'attrapais. « Ça ne te dérange pas si je passes par la chambre de quelqu'un d'autre avant ? Je n'en ai pas pour longtemps, c'est juste histoire de le rendre » Lilia ne me l'avait pas encore réclamer mais je me doutais qu'elle en aurait besoin à moment donné et autant ne pas laisser trainer. Je mis le foulard dans ma poche avant de me diriger vers la porte, la chambre de Lilia n'était pas loin, je n'en aurais que pour cinq minutes aller-retour. « Tu veux aller à notre table en attendant ? » Je n'allais pas la trainer derrière moi comme un petit chien, ou du moins qu'elle le prenne comme cela.


     
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Samedi 12 mars Je n'avais pas forcément l'habitude de ces grandes journées d'expédition, à découvrir le paysage et tout ça. La nature, j'en étais pas forcément très sensible. Enfin si, c'est joli, mais bon, quand t'es l'héritière d'une entreprise qui se charge de déforester pour avoir plus d'argent c'est compliqué d'être toute niaise face à une nature démesurée. Tout ça pour dire qu'une randonnée comme celle que j'avais effectuée cette après-midi avec Nehko, c'était plutôt inattendu et j'étais obligée de prendre une douche en rentrant, définitivement. Je ne pouvais pas rester dans cet état là, j'avais l'impression d'être une pauvre dans la misère. Très peu pour moi. Puis, même si j'avais profité de chaque instant en compagnie de l'égyptien, j'avais eu besoin d'un peu de.. solitude pour faire le point dans ma tête entre ce que je ressentais, ce qu'on avait fait, ce moment qui n'arrêtait pas de tourner dans ma tête, ces sensations qui ne voulaient pas partir. C'était un cercle vraiment vicieux mais que j'aimais. J'étais par contre l'idée de nouveau retourner dans les bras de mon fiancé, j'avais même envie de vraiment le retrouver pour de bon. On était de retour dans notre chambre après tout, cette fois-ci ma mère n'avait vraiment pu aucun moyen pour me pister et m'espionner et donc faire du mal à mon fiancé. Je pouvais cesser de paniquer. Peut être qu'il faudrait que je parle avec lui de ça, qu'il faudrait qu'on reste cacher, que c'était dans mon esprit, que je ne pouvais pas m'exposer comme ça.. Ouai j'vais le faire au repas. C'était décidé. Je terminais de me préparer, commençant déjà à préparer un discours sur mon enfance, mon adolescence, sur ma mère. Des confessions ultimes en quelques sortes qui allaient permettre à Nehko de me comprendre de A à Z, c'était une sorte d'immense privilège que je lui accordais mais je pense que je lui devais bien ça. Une fois le jeune homme en dehors de la salle de bains, je terminais de me maquiller. Une fois prête, je me tournais vers l'égyptien, l'attendant pour le dîner. J'avais faim et j'osais espérer que le service de l'hôtel valait le coup. Je n'avais pas vu Nehko quand il était ressorti de son brin de toilette, trop occupée à dompter mes cheveux mais mon coeur s'arrêta un instant de battre dans ma cage thoracique. Oh my gosh. Dieu existe et il est devant moi. Je craquais définitivement pour lui. Sa coiffure "sauvageonne" lui allait tellement bien, même si ça ne faisait pas vraiment chef d'entreprise, mais on s'en fichait royalement là. C'était limite si je ne l'entendis pas reprendre la parole, j'avais l'impression d'être à notre première rencontre quand j'étais restée muette face à son regard. « Ça ne te dérange pas si je passes par la chambre de quelqu'un d'autre avant ? Je n'en ai pas pour longtemps, c'est juste histoire de le rendre » Je baissais le regard vers sa main pour voir ce qu'il devait rendre, me crispant en reconnaissant alors un foulard de.. femme. Un foulard de femme. Okay. Ne vas pas aux conclusions hâtives Célestine, ça va aller, ce n'est rien du tout, mais je n'y pouvais rien, un tas de scénarios défilait déjà dans ma tête sans que je ne puisse cesser cette douleur. Ce foulard n'était pas à sa soeur. Ce foulard traînait dans sa chambre. Si c'était une personne qui était juste venue parler, elle se serait rendue compte en quelques minutes qu'elle avait oublié son vêtement. Si cette personne a fait des choses moins catho, forcément qu'elle s'en souvient pas. Mon coeur si animé cette après-midi reprenait sa carapace de glace. Ma mère avait raison. Quoiqu'il arrive, tu te fais duper par les hommes. « Tu veux m'attendre à notre table en attendant ? » Je laissais échapper un rire froid. Ah parce qu'on va vraiment aller dîner après ça ? Je ne suis pas une personne qu'on fait attendre. Non, ça ne va pas être possible donc. Désolée Nehko. C'est à qui ce foulard ? Fais attention à ta réponse, fais attention vraiment. Protèges la personne en face aussi, parce que j'ai les moyens de la faire plonger.


     
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Samedi 12 mars Ça allait être le premier repas en tête à tête avec Célestine, décidément ce week-end était l'invitation à tout essayer si l'on ne comptait pas le mois dernier au Mamma Maria avec nos familles respectives. Mais non, cette fois-là n'était pas comparable puisqu'en fin de compte j'avais davantage parler à Jordan et Samson en laissant Khali et ma fiancée se découvrir, c'était plus un prétexte pour se présenter aux personnes les plus importantes de l'autre. Si on ne savait pas quel genre de "couple" nous étions je suis certain que notre séjour paraissait banal, des retrouvailles un peu houleuses mais finalement sceller par une marque d'affection, une longue promenade paraissant romantique dans un des lieux les plus beaux du coin et maintenant ce repas aux chandelles, au restaurant de l'hôtel plutôt. Je n'avais pas demandé à ce que quelque chose de spécial soit préparé, je ne savais pas si une attention particulière ferait plaisir à Célestine ou si au contraire, elle serait plus gênée ou alors indifférente. J'espérai ne pas croiser des personnes que je connaissais trop bien, même si il y avait de grandes chances que cela arrive, je n'allais pas faire privatiser l'endroit pour les deux jours.  Nous ne nous étions jamais afficher publiquement, qu'il s'agisse à Boston ou à Harvard, nos rencontres se résumer à mon appartement ou la Lowell House, mais jamais de rendez-vous où nous pourrions être accostés par des gens. Je voyais déjà la scène si jamais Zakhar ou Sloan étaient là ... Non je ne donnais pas cher de ma peau, les remarques iraient de bon coeur pour me déstabiliser et rendre ce repas encore plus difficile à vivre, mais je partais l'esprit serein, tout le monde devait sortir ce samedi soir. Mais à moment donné il faudrait peut-être se la jouer Kate Middleton et Prince William en sortant aux yeux de tous, puis il ne restait que trois mois avant le mariage, même si je n'avais pas encore posé de questions à mon père. Voilà de quoi parler aussi, mais ce soir je ne voulais pas voir Célestine comme cette fiancée que l'on me poussait à épouser, mais plus comme une fille me plaisant chaque jour plus et que je mourrais d'envie de connaitre dans les moindres détails. Savoir que j'étais tranquillement couché sur mon lit tandis qu'elle se douchait, c'était une réalité bien trop étrange, comme si tout devait concret, qu'un jour ce qui me paraissait incroyable deviendrait mon quotidien du moins si nous venions à vivre ensemble, après tout beaucoup de couples vivait chacun de leur coté. Mais ce soir j'étais plus tenté par l'idée de reprendre ce que nous avions commencer plus tôt dans la journée, juste avoir de nouveau cette sensation aussi puérile soit-elle, de papillons dans l'estomac. Cependant cette image idyllique fut rapidement réduite à néant quand à nouveau Célestine s'emporta, ce qui me glaça le sang tandis que je relâchais lourdement la poignet pour lui faire de nouveau face, abasourdi par cette facilité à passer du stade d'ange à démon. Cette fois-ci oui, je reconnaissais qu'il y avait de quoi réagir, mais pas de cette façon là. Je fixais Célestine, comme pour m'empêcher de la remettre à sa place une bonne fois pour toute, mais je préférais lui donner les explications avant de m'engager sur cette voie là. « Une amie de longue date, elle est venue il y a quelques jours car elle a des problèmes et qu'elle voulait mon avis » Lilia avait découvert que son père était infidèle à sa mère et qu'elle avait un demi-frère, de quoi chambouler une vie entière et briser l'image du couple parfait que forme les parents. Je savais ce que Célestine pouvait penser, mais le fait qu'elle croit que j'étais capable de déjà la tromper avec une autre, me blesser oui, je n'étais pas comme ça. « Je préfère te le dire maintenant, si jamais tu penses que je te ment et que j'ai eu une aventure avec elle, tu te trompes, jamais je ne ferais ça » Je restais silencieux un instant, sortant le foulard de ma poche pour le déposer sur mon chevet avant de m'assoir sur le lit, désespéré par ce qu'il arrivait de nouveau. Je mis un instant ma tête entre mes mains, c'était épuisant comme rythme à tenir de devoir se justifier sans arrêt surveiller ses mots. Je relevais la tête, passant la main dans mes cheveux comme pour éclaircir mes idées. « Je sais que tu ne me fais pas confiance, mais tu peux être sure d'une chose, je suis incapable de faire ça » Je savais déjà que mes paroles allaient rentrer d'un coté pour sortir de l'autre et je n'étais pas certain d'avoir la force de lutter cette fois-ci, la force de Célestine pour créer des tensions me vider, je n'avais pas envie d'une autre dispute même si elle semblait partie pour recommencer, autant s'avouer vaincu maintenant et ne même pas riposter tant cela m'agaçait.


     
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Samedi 12 mars ÇLa tromperie était un phénomène bien trop fréquent de nos jours et en fait, je ne devrais même pas être étonnée et même en parler. Pour plusieurs raisons. Tout d'abord, nous n'étions pas en couple Nehko et moi. Certes, les fiançailles avaient été prononcées, elles étaient officielles et j'avais toujours la bague qu'il m'avait offert début Janvier, mais jamais je nous avais considéré comme un couple. Plutôt un duo. Est-ce qu'avec le baiser de cette après-midi nous étions devenus de ce fait un couple ? Aucune idée. J'étais novice dans ce domaine là, j'ignorais les conventions et codes. Par la suite, je ne devais même pas être étonnée de cela car peu de couples aujourd'hui arrivaient à survivent. Rien qu'à la fac. Y a quelques années, j'avais entendu cette histoire de tromperie qui m'avait glacé le sang. Car elle provenait d'une personne énormément respectée, du moins de mon côté, le président de la eliot house. Il avait trompé sa femme avec une meuf minable de la mather house, la présidente qui plus est, l'allégorie de l'adjectif minable en fait. A partir de ce moment là, dès que ce jeune homme que j'admirais de part sa position dans la société, ses responsabilités dans Harvard et dans le monde du travail, sa vie de famille qui avait l'air respectable malgré son enfant à 21 ans, tout était tombé en lambeaux. Si lui avait pu tromper sa femme, pourquoi est-ce que Nehko ne le ferait pas ? On était un mariage arrangé. On était que ça. Une romance en plus de ça ? Come on. On est pas un film, dans un livre ou une série. Le baiser de toute à l'heure était une simple erreur de notre part à tous les deux et plus jamais ça n'allait se reproduire, croyez moi. Pas après cette révélation, celle que Nehko pouvait aller voir d'autres filles sans problème. Non, je ne faisais pas confiance, vraiment pas. Je le voyais agacé mais j'en avais rien à foutre. Je voulais des explications à ce foulard. « Une amie de longue date, elle est venue il y a quelques jours car elle a des problèmes et qu'elle voulait mon avis » Oh et enlèves son foulard, le met dans ton armoire et tout ça ? Oui naturellement. Arrêtes juste de rigoler de moi et donnes moi le respect que je mérite ne serait-ce qu'un peu. « Je préfère te le dire maintenant, si jamais tu penses que je te mens et que j'ai eu une aventure avec elle, tu te trompes, jamais je ne ferais ça » Et d'où est-ce que je peux le croire ? Je me base sur quoi pour oser le croire ? Comment je suis censée te croire ? Ca faisait mal dans le coeur, c'était fourbe. Je comprenais mieux toutes ces femmes pathétiques qui pouvaient frapper leurs maris en apprenant la trahison. Je n'étais pas amoureuse de Nehko, mais c'était déjà blessant comme jamais personne avait réussi à me blesser. « Je sais que tu ne me fais pas confiance, mais tu peux être sure d'une chose, je suis incapable de faire ça » Je ne le croyais pas, je n'arrivais pas. Je sais que je devrais. Il avait l'air d'être quelqu'un d'honnête et droit, mais pourtant c'était le "il avait l'air" qui me donnait le doute. Je ne le connaissais pas encore assez pour savoir quels étaient ses traits de caractère dominant, même si il n'avait pas l'air spécialement volatile. Du moins, je ne le sais pas.. Tu te prives de quelque chose pourtant. Aussi bien à Harvard qu'ici. L'exotisme devrait te plaire, dépaysement total, pourquoi se priver ? lâchais-je, froidement. Nous ne sommes pas en couple, tu fais ce que tu veux Nehko. Je suis qui pour te dicter ta vie ? Personne, juste ta collègue. Voilà, je venais de résumer notre situation en l'espace de quelques mots. Mais ais au moins l'honnêteté de me dire ce qui se passe au lieu de m'inventer des histoires comme ça. Une amie qui perd un foulard ? Vraiment ? Avec Khalilah qui sort tous les soirs et qui te laisse la chambre libre ? Me prends pas pour une demeurée Nehko, ne penses pas que tu puisses jouer avec moi, surtout sur ce terrain là, car c'est quelque chose que tu pourrais énormément regretter. Je n'arrivais pas à stopper mon coeur d'agoniser avec douleur dans ma poitrine. J'avais mal au ventre. Comment est-ce que tu veux que je te crois ? Peut-être que tu dis la vérité, t'as l'air en tout cas, mais je ne peux pas te croire. Je te connais pas, je ne connais pas tes traditions, la polygamie est autorisée non ? Tu vois, je sais rien de la personne que tu es, je peux pas me laisser berner par des mots. Vas rendre ce foulard à ton "amie", passes la soirée avec elle si tu veux. J'étais déçue, et triste. Mais je ne pouvais pas le montrer. J'étais perdue dans ma tête, entre ce que ma raison me disait, mon coeur, tout. J'aurai voulu être cassante avec lui, mais je n'y arrivais pas, c'était impossible avec Nehko.


     
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Célestine & Nekho
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Samedi 12 mars Cette après-midi me semblait loin à présent, à peine Célestine avait-elle hausser le ton que je savais que je n'aurai pas la paix tant convoitée depuis que nous étions rentrés. Sérieusement, c'était quoi son problème pour qu'elle en arrive à voir le mal partout ? Je veux bien que la société d'aujourd'hui et nos parents nous ont forgé pour que l'on soit méfiant, mais parfois il faut savoir ouvrir les yeux par sois-même et se rendre compte que le monde entier ne nous veut pas du mal et qu'il existe encore du gens capable de nous tendre la main pour nous élever vers le sommet et nous aider à prendre notre envol. Pourquoi plus personne ne croyait quelqu'un quand il disait ne pas fumer, boire, se droguer ni coucher à tout va ? J'avais déjà subis ces préjugés, à partir du moment où l'on est considéré comme un "beau garçon" et que loin est célibataire, forcément c'est qu'à notre réveil il y a trois filles nues encore soules, et que le soir on remet ça. J'avançais comme argument ma religion m'interdisant tout cela, mais qui respecte un livre aussi vieux que le monde de mon jour ? Je reconnais ne pas être parfait et je n'y prétends pas, je ne suis pas tous les préceptes à la lettre, mais je respecte les bases les plus importantes, pas celles qui empêchent le monde d'avancer comme la soumission des femmes ou la liberté d'expression. Malgré mon consentement je portais sur moi cette image de fils de riche qui pouvait obtenir n'importe quelle fille à ses pieds parce qu'il le voulait, or je n'avais jamais usé de cela, ma seule relation se limitant à un flirt de quelques semaines à peine sorti de l'adolescence. Pourquoi tout le monde s'obtenait à croire que parce que j'avais un certain style je pouvais me permettre de trainer n'importe où, même si j'avais des valeurs et que je ne voulais pas faire honte à ma famille. J'aurai au moins cru que Célestine passerait au delà de ses préjugés, qu'elle comprendrait que tout comme elle je ne voulais que le meilleur dans cette union et que je ferai mon possible pour que l'on y parvienne, quitte à mettre mon bonheur personnel de coté pour la réussite. Elle doutait de moi, je le savais, c'était évident, et elle ne se cachait pas pour me le faire savoir, provoquant cette déchirure au plus profond de mon être, j'en avais marre d'être considéré comme l'arabe importé du Caire et qui est venu dans l'unique but de ramener chez lui toutes les américaines pour des nuits de folie. Je reposais un regard mitigé quand elle aborda justement ce sujet là, me faisant passer pour le casanova de service qui profite d'être exilé ici pour renflouer son palmarès de conquêtes sans se soucier du reste. « Tu ne sais même pas de quoi tu parles, j'ai l'air d'être venu ici pour jouer au don juan ? » J'étais presque humilié qu'elle pense ça, comme si j'avais besoin de faire le tour du monde pour finalement décider de faire le bachelor ici, après toutes ces années à totalement me désintéresser des filles pouvant me tourner autour. Mon coeur manqua un battement lorsqu'elle nous qualifia de "collègues", même après ce baiser signifiant tout pour moi. Je baissais les yeux, reprenant ma respiration pour ne pas regretter quelque chose, mais Célestine poussait ma patience à bout, si c'était ce qu'elle pensait, d'accord. J'avais l'impression de me faire attaquer de tous les cotés tant Célestine ne s'arrêtait pas, elle aimait ça les monologues et savait parler, mais je n'étais plus d'humeur à tourner proprement mes phrases pour me justifier, je trouvais qu'elle gâchait tout sans même chercher à m'écouter, m'ayant déjà juger coupable. Je me levais à la suite de ses propos me rapprochant d'elle pour lui faire face, en ayant marre de cette attitude de grande méchante alors qu'elle se trompait depuis le début, c'est ça qui faisait mal, qu'elle puisse encore m'attaquer après ce que j'avais fais. « Et toi ne me prends pas pour quelqu'un que je ne suis pas. Je me serai amusé à te faire venir ici si par derrière je pouvais profiter des autres filles ? » A mes yeux, inconsciemment il n'y avait que Célestine, les autres pouvaient être jolies, gentilles, je n'en avais rien à faire, je voulais seulement que ma fiancée me rejoigne au Chili pour partager ces moments là avec elle et non pas une potiche de service. Je crois que c'est à sa dernière répartie que là, toute la retenue que j'avais fut réduite à néant, on y venait donc, comme j'étais un arabe et de plus musulman j'avais forcément un harem derrière moi ... « Bravo » Je la fixais un court instant, pesant le pour et le contre de ce que je m'apprêtais à faire. « Je comprends que je pourrais faire n'importe quoi je resterai comme tu l'as décidé, un gars venu d'Afrique et qui a déjà trois épouses derrière lui, belle mentalité » Je me dirigeais vers mon placard, prenant la première veste qui me passait sous la main, balançant mes clés sur mon lit avant de me tourner vers Célestine. « Je te laisse avec tes préjugés, gardes la chambre le temps que tu restes, mais si c'est pour comprendre qu'en fin de compte tu te fou bien de qui je peux être au delà de tes préjugés, ce n'est même pas la peine. » Je sortais en claquant la porte, très théâtrale oui, en fin de compte j'avais tout laissé, même le foulard de Lilia qui m'était sorti de la tête. Je pris la direction des escaliers pour finalement finir dans la rue longeant l'hôtel, le ventre encore retourner par ce que j'avais compris, c'était dans ces moments là que je regrettais de ne pas fumer ou boire pour me vider l'esprit. Je m'étais assis sur le trottoir à repasser en boucle les paroles de Célestine, à deux doigts de demander à être rapatrié au Caire, s'en était trop.


     
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Samedi 12 mars J'aurai dû écouter ma conscience, celle qui me rappelait toute à l'heure de ne pas faire n'importe quoi avec Nehko, qui me disait que dans tous les cas, j'allais perdre car c'était écrit de cette manière. Mais je ne l'avais pas fait car j'avais le sale défaut de toujours me croire au dessus de tout. Et si c'était vrai la plupart du temps, pour le coup non. Il ne voyait pas que moi comme je ne voyais que l'égyptien et c'était déroutant de ressentir une telle douleur dans mon coeur, qui me donnait envie de partir loin d'ici, loin de cette chambre, de lui. J'étais tellement insécure que je ne lui accordais même pas le bénéfice du doute. Je n'avais jamais eu à gérer de telles situations, j'allais forcément faire une bêtise à un moment donné, mais je n'étais pas le genre de personnes à revenir sur mes mots. Mes pensées sortaient l'une après l'autre à l'oral et je voyais que l'attitude de mon fiancé était en train de se modifier, devant plus frigide. J'arrivais à le voir, le percevoir, ces petits détails que d'autres ne verraient peut être pas. Ou alors que je n'avais jamais pris le temps d'observer jusqu'à présent. J'avais trop à apprendre de l'égyptien. Tout même. « Tu ne sais même pas de quoi tu parles, j'ai l'air d'être venu ici pour jouer au don juan ? » J'haussais les épaules face à cette répartie qui était juste une excuse bidon pour tenter de se justifier. Les terres américaines ont pu être plus accueillantes que prévu. prononçais-je sans aucune émotion, car je me fermais complètement. J'étais dégoûtée d'avoir commencé à m'ouvrir au jeune homme pour me faire humilier de cette façon. C'était tellement une mauvaise idée de faire, je regrettais amèrement ma bravoure. C'était plus sécurisé de rester dans les chemins tracés, de faire ce qu'on me dit depuis que j'suis toute petite: un robot. Etre humaine, ça craint. « Et toi ne me prends pas pour quelqu'un que je ne suis pas. Je me serai amusé à te faire venir ici si par derrière je pouvais profiter des autres filles ? » J'ignorai tout de la logique masculine. Alors je ne pouvais émettre aucun jugement. Je n'étais pas censé dormir dans la même chambre que toi, alors pourquoi pas ? Et le foulard était la raison pour aller voir sa maîtresse, il l'aurait alors prévenu que j'étais dans le coin et voilà, comme ça la situation est sauvée et je ne la vois pas débarquer en sous vêtements dans la chambre. J'avais mal. Alors je déversais quelques mots haineux, mon racisme ressortant vraiment, moi qui avait essayé de toujours le cacher jusqu'à présent pour ne pas vexer Nehko. Mais c'était une partie de moi qu'il devait connaître. « Bravo. Je comprends que je pourrais faire n'importe quoi je resterai comme tu l'as décidé, un gars venu d'Afrique et qui a déjà trois épouses derrière lui, belle mentalité » C'est pas faux. Enfin si c'est faux, il est différent, mais c'est vrai que tous les autres gars, je les voyais comme ça. Je l'observais de là où j'étais, tendue et crispée, prendre une veste et me jeter des clés sur un de lits, sans que je comprenne ce qui était en train de se passer. « Je te laisse avec tes préjugés, gardes la chambre le temps que tu restes, mais si c'est pour comprendre qu'en fin de compte tu te fou bien de qui je peux être au delà de tes préjugés, ce n'est même pas la peine. » La porte claqua jusque dans mon coeur qui était dorénavant une entité vide. Entièrement vide. Et pas que par choix. Nehko venait d'emporter avec lui tous mes espoirs que j'avais fondé. J'étais au bout. Je sentais que j'étais capable de craquer sous différents facteurs comme le stress, la fatigue, la pression mais surtout sous l'émotion que me procurait le jeune homme. Je dis l'émotion car je sais même pas quel adjectif mettre dessus tellement c'était inédit. Je regardais les clés et j'allais les récupérer, sentant encore la chaleur de l'étudiant dessus, me faisant déglutir avec difficulté. Il m'avait laissé avec le foulard en plus, c'était dégueulasse. Je voulais hurler. Mais je travaillais sur ma respiration, je tentais de me calmer pour apaiser mes peines. Réfléchis Sam. Je prenais le temps de ralentir mon rythme cardiaque, j'écoutais de la musique un coup, cherchant une sérénité que je n'arrivais pas à obtenir. Parce qu'il n'était pu là. Je prenais une veste à mon tour, n'oubliant pas les clés, avant de sortir. J'étais prête à aller dans les rues de la ville pour retrouver Nehko et soupirais de soulagement en le voyant sur les marches. Cette expression faciale ne va pas donner envie aux gens de t'héberger. dis-je tout en descendant les escaliers pour me mettre debout face à Nehko. J'allais pas m'excuser. Une Weasley ne faisait jamais ça. Mais fallait quand même qu'on est une explication. Parce que c'était malsain qu'on reste sur ça et que les vingt minutes qui venaient de passer m'étaient parues extrêmement longues. Trop. Quand je connais pas, je perds tous mes moyens okay ? Je déteste quand je ne contrôle pas quelque chose. Et ce qui s'est passé cette après-midi, c'était définitivement pas prévu et forcément ça a des répercussions sur comment je peux me comporter. Je détournais le regard un instant, avant d'être focus à nouveau sur mon fiancé. Ne dis pas que je veux pas apprendre à te connaître, alors que j'ai fait ce trajet uniquement pour cela. Par contre, je contredis pas les préjugés racistes, car je l'ai encore et ce, pour encore un trèèèèès long moment, jusqu'à ma mort m'voyez. Je sais pas si toi t'arrives déjà à me faire confiance, mais dans mon cas, ce n'est pas le cas. Ce n'est pas contre toi, j'ai toujours fonctionné de cette manière et si jamais ça a pu te blesser.. je ferai en sorte que tu ne le ressentes pu trop à l'avenir. Mais dans ce cas, faut qu'on arrête d'aller sur ces terrains là. Peut-être que tenter d'être plus proches est une vraie erreur. J'en avais aucune idée et ça me déchirait rien que d'imaginer d'être de retour au "collègue" Nehko uniquement et pas plus loin. Pas après ce qui s'était passé, pas après le baiser, après le déclic.


     
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Samedi 12 mars Outré, il n'y avait pas d'autres mots pour qualifier l'état dans lequel j'étais. Si la dispute de ce matin m'avait déjà bien agacé parce que à mes yeux Célestine ne savait juste pas se contrôler en plus d'un manque de communication, à présent ses accusations me briser en quelque sorte le coeur. J'avais compris à force de l'entendre et la voir agir que tout ce qui n'était pas comme elle, représentait un ennemi à abattre. Nos visions sur le monde étaient bien différentes si l'on commençait déjà par notre avis sur les homosexuels. C'était à elle, la fille venant d'un pays qui prône la paix avec sa réputation de terre promise qui devait défendre avec ferveur cette égalité et la normalisation de ce genre, tandis que l'égyptien et musulman que j'étais aurait dû se révolter contre cela et protester contre la légalisation des droits de ces gens là. Mais non, Célestine vivait avec un esprit étroit et la différence n'y avait pas sa place, il fallait rentrer dans le moule qu'on lui avait imposé depuis sa naissance et cela s'arrêtait là. Si mon père n'était pas particulièrement pour ce genre de pratique, je m'étais renseigné seul et j'avais eu ma propre réflexion à ce sujet, venant à la conclusion que le monde entier était libre d'agir comme il le souhaitait et que seul le bonheur et l'épanouissement pouvait compter, le jugement des autres n'avait rien à faire ici. Peut-être qu'en défendant cette cause, je m'y retrouvais ici. Les arabes étaient mal vu, surtout aux Etats-Unis depuis le 11 septembre, et en plus de cela les coutumes étaient diamétralement opposées à celles des Amériques. Oui les hommes pouvaient avoir plusieurs épouses, ils pouvaient frapper leurs femmes, ils passaient leur temps à chasser les sorcières et autres, mais ça il y a un siècle, aujourd'hui la nouvelle génération prenait la relève mais ça Célestine ne voulait pas le voir et elle me mettait au même niveau que les autres qui vivaient encore dans cette époque malsaine. Tout ce que j'avais pu pensé et éprouvé cette après-midi me revenait en pleine face comme pour m'achever davantage et me mettre plus bas que terre. J'avais ressenti de la joie et cette chaleur humaine qui pouvait être si agréable quand on savait la partager, mais à présent c'était la froideur des mots de la Lowell qui me rappelait aussi que l'homme pouvait se montrer destructeur. Je n'avais pas tout laissé derrière moi et traverser la moitié du globe pour me faire insulter comme ça par quelqu'un qui ne me connaissait pas et qui me jugeait en fonction de ses préjugés, je ne pouvais pas le tolérer. Mon départ pourrait aussi bien être interprété comme une fuite, mais je n'avais pas envie de faire un scandale en plein dans l'hôtel et que mon énervement dérape, prenant des conséquences bien trop importantes. Abandonner Célestine comme cela dans ma chambre ne me déranger plus, j'étais bien trop irrité pour me soucier de ce qu'elle allait faire, tout retourner, partir ou alors rester sur place à attendre, c'était mon dernier soucis maintenant. L'air frais de la soirée me calmait, je respirais profondément en m'asseyant sur les marches, tenant mon téléphone entre mes mains, hésitant à faire quelque chose qui mettrait un terme à tout ça, mais qui me tentait terriblement après cette seconde dispute disproportionné d'après moi. J'avais envie de faire comme si il ne s'était jamais rien passer, d'oublier le plaisir que j'avais eu en sentant le corps de Célestine contre moi et le moment où je m'étais autorisé à l'embrasser, me remémorant cette douce sensation que je me forçais à oublier. Je ne m'y attendais pas, mais elle était là, sûrement pour continuer à passer ses nerfs, m'annoncer qu'elle retournait à Toronto ou je ne sais quoi. Sa remarque ne m'amusait même pas, je n'avais même pas envie de lui porter de l'importance en la regardant, mais je ne pouvais empêcher cette expression froide de prendre place son mon visage, relevant les yeux vers elle. Elle se justifiait, accusant les évènements de cette après-midi qu'ils l'auraient perturber, pauvre petite ... Elle échangeait les rôles, m'accusant d'être le trouble fait. Je ne voulais même pas lui répondre et continuer cette conversation, je voulais être seul ou retrouver Khali, mais pas être avec elle à écouter ses excuses. « Ce n'était pas ça l'erreur » J'articulais lentement, retenant cette colère qui faisait presque vibrer mon corps, j'avais rarement été dans un tel état et je ne m'y plaisais pas, la rage ce n'était pas fait pour moi, je préférais la paix, mais pas ce soir visiblement. Je continuais de jouer avec mon portable, hésitant à finalement le déverrouiller une bonne fois pour toute. Je savais qu'elle ne se considérait pas en tord et qu'elle ne s'excuserait pas, c'était un dialogue de sourds. « L'erreur c'était d'accepter ce mariage, de venir à Boston, de te rencontrer, t'inviter ici et finalement subir deux caprices en une seule journée. Mais le pire, tu as raison, c'est ce rapprochement idiot » Très bonne tactique de que renier tout ce qu'il s'était passé comme quelqu'un d'immature, mais à croire que Célestine déteignait sur moi et même si j'avais aussi mal en prononçant cela, je ne laissais rien paraitre gardant une attitude distante. « Ça n'arrivera plus, pour la simple et bonne raison que je vais rentrer au Caire » Je lâchais cette bombe, sûr de ma décision en fixant dans les yeux Célestine pour lui prouver que je ne bluffais pas et que là, les limites étaient dépassées. Même si m'éloigner d'elle après tout cela et l'attachement que j'avais pour elle malgré tout, allait me faire souffrir, je ne me voyais pas vivre ce scénario tous les jours. Ce n'était pas possible.


     
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Samedi 12 mars Mon éducation avait toujours été tournée vers l'efficacité, vers l'apprentissage des bonnes manières, d'un socle de connaissances assez important. Mais également vers une enfance volée en quelques sortes. Jamais je n'avais jamais vraiment eu l'occasion d'aller me rouler dans l'herbe avec mes amis, de manger une glace dans un parc avec je sais pas un oncle ou une tante, ou même juste regarder la télévision, rien de plus banal. Néanmoins, quand ma mère partait en voyages d'affaires quand j'étais plus petite, une dame s'occupait de moi et malgré qu'elle soit embauchée pour me faire faire mes devoirs, mes leçons et tout ça, elle me mettait également devant des disney. Oui des disney. J'ai un minimum de culture dans ce domaine là donc et je sais pas pourquoi mon inconscient était en train de jouer ce tour là, mais la situation actuelle avec Nehko me faisait penser à une musique. Pas forcément le film en entier, il n'y avait pas une vraie concordance, mais voilà. Hercule. Avec la chanson de Megara "Sentimentale". C'est tellement dégueulasse de me faire songer à ça dans ce moment là alors que j'suis en train d'essayer de me calmer. Ca avait juste le don de m'énerver encore plus.
MEGARA : S'il y a un prix pour manque de jugement,
Je crois que j'ai le ticket gagnant !
Nul homme ne vaut de souffrir autant,
C'est de l'histoire ancienne,
Je jette, j'enchaîne !

MUSES : Qui crois-tu donc tromper,
Ton coeur en feu est amoureux.
N'essaies pas de cacher,
La passion qu'on lit dans tes yeux.

Pourquoi donc le nier,
Il t'a envoûté, il t'a ensorcelé !

MEGARA : Non, non, jamais je ne le dirai !
Non, non !

MUSES : Ton coeur soupire,
Pourquoi mentir ? Oh, oh !

MEGARA : C'est trop banal d'être sentimentale...

J'avais pourtant appris la leçon,
Mon coeur connaissait la chanson.
Mais tout vacille, accroche-toi ma fille !
T'as le coeur trop fragile,
Évite les idylles !

MUSES : Pourquoi nier, c'est dément,
Le tourment de tes sentiments ?
Remballes ton compliment,
Quand tu mens c'est passionnément !
Tu l'aimes, et c'est normal,
La passion t'emballe,
Et çà fait très, très, très, très mal !

MEGARA : Non, non, jamais je n'avouerai !
Non, non !

MUSES : Même si tu nies,
Tu souris car tu l'aimes.

MEGARA : Laissez tomber, je ne suis pas amoureuse !

MUSES : Lis sur nos lèvres,
Lis ton coeur, car tu l'aimes !

MEGARA : Jamais, jamais je ne vous dirai...

MUSES : Jamais, jamais, non !

MEGARA : Jamais, jamais, je n'oserai !

MUSES : C'est pas la peine d'hésiter car tu l'aimes !

MEGARA : Oh, Oserai-je un jour t'avouer comme je t'aime ?

Les paroles ne m'allaient pas toutes car je suis très loin d'affirmer que j'étais amoureuse de Nehko, vraiment loin. Mais y a certains points que je ne pouvais pas réfuter comme celui où je tentais tant bien que mal de ne pas laisser échapper des propos racistes même si y en avait un qui était sorti, celui où il me manquait déjà et que j'essayais d'évacuer toute ma colère alors qu'en général, je me serai juste cassée loin d'ici, celui où j'étais venue pour le voir, celui où j'avais énormément appréciée de prendre du temps avec lui cet après-midi ce qui était plutôt rare une telle tolérance. Je pouvais continuer comme ça pendant longtemps. Je pouvais pas me cacher d'un fait: je m'étais attachée à Nehko, qu'importe notre relation. J'avais pas envie qu'il dorme autre part, que je ne le revois pas. J'étais égoïste. Je voulais pas qu'il soit pas bien par ma faute également mais je ne savais pas comment me débrouiller pour être en accord avec moi même aussi. Parce que c'est bien gentil de retourner le voir, d'essayer de lui parler, mais je ne pouvais pas m'excuser pour ce que je pensais, non ? Voilà on est d'accord. Je tentais de m'expliquer, mais c'était pitoyable. Je le voyais dans son regard que c'était fini, je l'avais perdu. J'observais des nuances dans ces yeux que je n'avais jamais vu jusqu'à maintenant et qui me montrait qu'en fait, il était bien un Eliot, un vrai chef d'entreprise. Il n'était décidément plus aussi doux qu'avant. Son aspect joueur et taquin me manquaient vraiment en cet instant. « Ce n'était pas ça l'erreur » Je ne quittais pas son regard, hors de question de battre un battle de regard qu'importe le message qui était en jeu. « L'erreur c'était d'accepter ce mariage, de venir à Boston, de te rencontrer, t'inviter ici et finalement subir deux caprices en une seule journée. Mais le pire, tu as raison, c'est ce rapprochement idiot » C'était violent, c'était vraiment dur à entendre mais je n'en montrais pas une miette. Hors de question que ça arrive ça. Il n'avait pas l'air plus perturbé que ça également, alors vas voir ailleurs si j'y suis. « Ça n'arrivera plus, pour la simple et bonne raison que je vais rentrer au Caire » Je ne disais rien pendant quelques secondes, surprise alors par cette annonce qui détruisait le coeur que j'avais commencé à construire depuis son arrivée sur le continent américain. Il allait retourner au Caire.. ? Mais non, je veux pas moi. Vas y, retournes pleurer dans les jupons de ta mère. J'étais tendue et crispée, tellement que ça m'faisait mal. C'était ça être attachée à quelqu'un ? Mon dieu, c'était douloureux, plus jamais les gars. Je ne rajoutais rien, contrairement à mon habitude de toujours en faire trop, d'exprimer par mille mots plein de choses qui étaient vide de sens. Là, en une phrase, je venais de faire passer toutes les émotions que je ressentais avec la colère en major. Il abandonnait. Okay. Je voulais être loin de ce lâche alors je m'éloignais, en entrant de nouveau dans l'hôtel. J'avais toujours les clés sur moi, j'allais certainement pas les lui laisser. J'entrais dans notre chambre, mal au point. J'étais énervée certes, mais surtout.. décue ? Choquée ? C'était un électrochoc de savoir qu'il envisageait de partir. Il avait pas le droit, je le refusais. Pas maintenant, pas après tout ça. C'était dégoûtant de jouer ainsi avec les autres. Il devait se douter que j'étais pas le genre à faire ça tout le temps et maintenant qu'il avait eu ce qu'il voulait il s'en allait ? J'sortais mon ordinateur pour bosser, la seule chose qui pouvait me changer les idées.


     
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