Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilitylove is an open door (weaslacce) - Page 2
Le Deal du moment : -50%
Friteuse sans huile – PHILIPS – Airfryer ...
Voir le deal
54.99 €


love is an open door (weaslacce)

Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Je souris légèrement. " Un sexiste et une raciste, le couple d'enfer ! " Je ris légèrement. C'est faux tout ça, on est ni l'un ni l'autre mais je trouve quand même ça super drôle quand j'y pense... On fait une sacré paire tous les deux. Un sourire se dessine sur mon visage quand il dit qu'il a une préférence pour l'argentique. Étonnement, ça ne me choque pas, loin de là. Je trouve même ça plutôt cool pour tout dire... Je ne sais pas du tout comment ça fonctionne. Je lui demanderais un jour. Et peut être qu'un jour, il me laissera entrer dans la chambre noire avec lui. Pas pour faire des bêtises mais pour voir comment ça fonctionne. Dans les reportages que j'ai vu, on dit souvent que c'est un endroit sacré alors bon... Le chemin jusqu'à l'hôtel est rapide. À moins que je me sois endormie en chemin, je ne sais pas trop. Tout ce qu'il me dit me fait rougir. " Arrête, je vais prendre la grosse tête " Riais-je en l'embrassant. Ses mots sont comme des pansements, comme une crème qui apaise après des mois de souffrance et de doutes. Ça me fait du bien, il me fait du bien. Pas trop vite que j'ai dis. Mais c'est peine perdue. Je suis à deux pieds dans cette relation, dans cet amour, pieds et poings liés même. Mais ce n'est pas un supplice, loin de là. " C'est dommage ça... Mais on fera une chasse aux coquillages au Chili alors " Je souris légèrement. Tout se passe tellement bien. Je n'ai même pas envie de penser au Chili alors qu'on est que là, en Argentine. Je me retrouve rapidement nue et lui aussi. Mes quelques habits sont en boule en plein milieu de la salle de bain mais je m'en fiche pas mal. J'entre dans la douche, règle bien l'eau comme il faut et lui souris légèrement. " Pas trop froid ni trop chaud ? " Soufflais-je contre ses lèvres, glissant mes mains sur son dos. Je l'embrasse et ferme les yeux quelques secondes, mes lèvres sur les siennes, nos langues se caressant doucement. Je me décale légèrement, sourire sur le visage. " Je suis contente d'être ici avec toi... " Soufflais-je en me décalant légèrement de lui, attrapant le gel douche. " Et je serais encore plus contente quand mon corps s'écrasera contre le matelas " Je ris légèrement et lui tends le gel douche. L'eau un peu fraiche me fait un bien fou mais je n'aime pas ça non plus... Allez, un peu de chaleur.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Love is an open door
Andrea & Bonaventure
« Je trouverai un moyen de te la dégonfler » ria-t-il de concert avec elle. Andrea ne pourrait pas y échapper, il comptait bien lui dire chaque jour que dieu fasse combien elle était importante et magnifique à ses yeux surtout si au final, elle l’embrassait de cette façon. Cette femme n’imaginait pas combien elle lui apportait une paix qui ne pensait plus mériter ou même ressentir. Auprès d’elle, sa colère fondait comme neige au soleil. Bonaventure naviguait en eaux troubles depuis tellement d’années qu’il ne savait plus vraiment ce qu’était réellement de se sentir bien, en paix. Andrea lui apportait cela. Auprès d’elle, il se sentait vivant et heureux de l’être. « Tout ce que tu voudras tant que tu me demandes pas de faire de la plongée sous-marine » grimaça-t-il. Il avait toujours un petit problème avec l’eau même si désormais, il arrivait à garder la tête en dehors.

Le couple se dénuda et pénétra dans la cabine de douche. Le métisse prit la température de l’eau. « Je veux bien un poil plus chaud si cela te dérange pas » lui demanda-t-il, habitué à prendre des douches presque brulantes d’ordinaire. Il aimait quand l’eau lui mordait la peau, détendait ses muscles en faire rougir sa peau. Enlaçant sa petite-amie, il déposa une suite de baisers sur ses lèvres. « Moi aussi je suis content d’être ici, de partager tout ça avec toi » répondit-il en prenant le gel douche pour y déposer une noisette sur la fleur de douche. « Tu lis dans mes pensées, je rêve de dormir ! Je crois que nous sommes les seules personnes à être nus dans une douche et à se dire : mon dieu que je veux aller dormir » rigola-t-il en commençant à la laver, glissant la fleur de douche sur ses épaules, puis ses bras. Un moment d’une rare intimité qui lui plaisait infiniment.
electric bird.

 
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Je souris largement. Bonaventure est un amour, un petit coeur en sucre et tous les autres surnoms mignons et mielleux qui puissent exister. Voilà ce dont j'avais besoin dans ma vie : d'un homme qui sache où aller, qui réagisse avec sa tête et non pas avec son entre jambe. Il pouvait me taquiner, me tacler, je ne disais rien. Tout ça, c'est gentillet, c'est rigolo et ça fait du bien. Pas la peine d'être sérieuse tout le temps, de contrôler tout ce qui sort de ma bouche. Je suis spontanée alors, forcément... Mais nous deux, c'est un sacré truc. On est nus, dans une douche et... on se frotte le corps et c'est tout. J'ai augmenté un peu la température de l'eau mais pas trop non plus... Il fait déjà assez chaud comme ça. Je sens la fleur de douche sur mon corps et je ris quand il pointe du doigt ce à quoi j'étais entrain de penser. " Mais c'est ce qui fait de nous un couple aussi... extraordinaire " Je souris légèrement, passant mes mains pleines de savon sur son corps. La fleur de douche, tout ça, pas trop mon truc. Je l'embrasse en glissant mes mains sur ses bras. " Franchement, c'est cliché de s'envoyer en l'air sous la douche et puis... J'ai pas envie de tomber " Je ris légèrement. Mais ça glisse sous la douche alors autant faire le minimum de mouvement. On reste là de longues minutes et je sors de l'eau, m'enroulant dans une serviette. " Il se peut que je n'ai pas pris de pyjama " Lançais-je en riant légèrement. Je l'embrasse et sors de la salle de bain, serrant la serviette autour de ma poitrine. Il se peut aussi que ma valise contienne essentiellement des sous vêtements plus affriolants les uns que les autres. J'appuie sur la commande pour fermer les volets, pousse ma valise et me mets assise sur le lit. " Je te pique quelque chose ou ça te gêne pas que je dorme nue ? " Pas que je le tente, il faut qu'il dorme le petit loup ! Et moi aussi.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Love is an open door
Andrea & Bonaventure
« Extraordinaire ? J’aurais plutôt dit atypique » rigola-t-il mais dans le fond, c’était ce qui faisait leur charme. Le couple continuait de se laver, une situation qui aurait pu s’avérer très érotique pour la plupart des couples mais pour eux… non. Ils se préparaient mutuellement à dormir dans un lit douillet, sous la clim pour ne pas mourir de chaud. C’était bien la première fois que le métisse vivait ce genre d’expérience et cela l’amusait autant que cela l’attendrissait. Auprès d’Andrea, la vie était pleine de mystères, d’imprévus et surtout de situations totalement cocasses -et qu’est-ce qu’il adorait ça. « Doués comme nous sommes, on finirait par se casser quelque chose, tu as raison, vaut mieux se montrer raisonnable » rigola-t-il en haussant les épaules. Il y avait tellement d’autres endroits où il rêvait de lui faire l’amour qu’il pouvait passer sur la douche. Le métisse se demanda soudainement si un jour, il arriverait à convaincre Andrea de le suivre dans un voyage pour simplement lui faire l’amour sur le Kilimandjaro ? Bonne question. Elle risquerait peut-être de le prendre pour un taré mais il ne pouvait pas s’empêcher de l’imaginer dans les lieux les plus paradisiaques de la Terre, totalement offerte à lui.

Le couple termina de se doucher et Bonaventure attrapa une serviette qu’il enroula autour de sa taille et une plus petite pour se sécher le torse. « Mince… Quel affreux oubli… Comment allons-nous faire pour survivre à ce terrible drame ? » lui demanda-t-il le plus sérieusement du monde avant que son regard ne pétille à nouveau de malice. « Sans vouloir te vexer trésor, je crois que là pour le coup, tu peux dormir nue sans craindre que je ne te saute dessus… Je suis trop crevé pour être opérationnel et puis personnellement… j’aime quand tu es nue contre moi » lui dit-il en se penchant vers elle pour l’embrasser langoureusement. « Et puis, je dors toujours nu ! » dit-il avant de retourner dans la salle de bain pour étendre les serviettes, revenant dans la chambre pour s’asseoir de l’autre côté du lit. Le jeune homme détacha sa prothèse, passant une main sur sa cuisse. « Je suis totalement mort » râla-t-il avant de pousser un profond soupire de plaisir en s’allongeant sous les draps frais grâce à la clim.
 
electric bird.

 
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
" C'est pareil ! Joue pas sur les moooots ! " Bon, non, c'est pas vraiment pareil mais je trouve qu'on est extraordinaire tous les deux. Deux êtres ordinaires qui font un mélange détonnant ensemble... Oui, j'y crois dur comme fer. Mais avec Bonaventure, j'ai l'impression de tout pouvoir faire, d'être n'importe qui et c'est plutôt sympathique comme sensation. Je souris et acquiesce ce qu'il me dit. Oui, aucun doute, on risquerait de faire un sacré carton à s'envoyer en l'air dans la douche. Pas de tapis anti dérapant, rien pour se tenir... Autant éviter toute expérience désastreuse ! Je ne veux pas être cassée - voire hors service - dès mon arrivée en Argentine. Je suis sûre que Bona a prévu un plan d'enfer pour ces quinze jours en plus alors hors de question de tout foutre en l'air parce qu'on décide d'être un peu trop... casse cou. C'est sur le ton de la déconade qu'il me parle de drame parce que je n'ai pas pris de pyjama. Je l'ai un peu fait exprès, je dois bien l'avouer. Je l'écoute et souris légèrement. " Bon et bien tant mieux si tu es trop fatigué alors " Je souris, fronce le nez et lui lance la serviette sur l'épaule pendant qu'il part vers la salle de bain. " Tout le temps ? Ah ouai ? Vous êtes nudistes monsieur Weasley ? " Demandais-je le plus sérieusement du monde. Il a peut être de la volonté pour ne pas me sauter dessus, même fatiguée. Mais je ne suis pas sûre de pouvoir faire de même personnellement. J'enlève ma prothèse, passe de la crème hydratante sur mes jambes ainsi que mes bras, attends quelques secondes et le rejoins sous les draps frais. " Ça va ? Pas trop mal ? " C'est pas toujours pratique les avions quand on a une prothèse. " Tu veux que je te masse un peu ? " Je sais y faire. Et puis, les amputés qui ont mal à leur non-membre, on me les a toujours envoyé à l'hôpital. Comme si vivre la même chose qu'eux allait me faire comprendre où ils ont mal, pourquoi ils ont mal et tout ce qui va avec... Si seulement... J'attends sa réponse avant de réellement m'allonger, de me mettre dans ses braS. Parce que si ma tête touche l'oreiller, c'est mort, je ne me relève plus...
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Love is an open door
Andrea & Bonaventure
Bonaventure n’avait pu s’empêcher de rigoler alors qu’elle fronçait le nez. Savait-elle que cela lui donnait une véritable tête à connerie ? Et qui plus est, qu’il n’en tombait que plus amoureux d’elle ? Si le jeune homme ne s’épanchait pas sur ses sentiments vis-à-vis de la principale intéressée, c’était justement pour ne pas gâcher leur histoire. Andrea voulait qu’ils prennent leur temps et il était totalement d’accord avec cela seulement, il l’aimait déjà. Bonaventure ne se voyait pas sans cette femme à ses côtés, sans la voir sourire, entendre son rire. « Oh mais si tu veux me sauter dessus, je suis certain de réussir à me motiver » rigola-t-il. Un rire qui redoubla quand elle lui demanda s’il n’était pas nudiste. « Non, juste pour dormir… quoique, quand tu me regardes comme ça, j’en serais presque à oublier mes principes et ma pudeur » avoua-t-il d’un ton léger. Le regard d’Andrea… Un regard qui pansait ses cicatrices les plus profondes, qui lui permettait à nouveau de s’accepter en tant qu’homme. Ce n’était jamais évident de se regarder dans un miroir mais lorsque vous étiez soutenu par le regard d’une personne que vous aimez… tout devient plus évident, plus simple.

Le jeune homme ôta sa prothèse, la calant contre sa table de nuit avant de se glisser sous les draps, un petit soupire de plaisir s’échappant de ses lèvres. « C’est supportable et toi ? » lui demanda-t-il tandis qu’elle venait se blottir dans ses bras. « Cela ira pour cette nuit. Je t’avoue que la fatigue me fait oublier la douleur par moment » déclina-t-il l’invitation. Qui sait, peut-être que demain matin, il changerait d’avis en attendant, il avait juste envie de profiter de ses bras. « Andrea… loin de moi l’envie de revenir sur ce sujet épineux mais je sais que c’est plus facile d’exprimer les choses que de les enfermer… Est-ce que tu ressens l’envie de prendre quelque chose ? » lui demanda-t-il. Ce n’était pas une question piège ou une question destinée à la juger. Non, simplement l’expérience d’un ex junkie qui sait que se priver de médicament brutalement n’était pas la meilleure des solutions. Aussi voulait-il savoir comment elle se sentait vis-à-vis de cela. « Parce que si tu souffres, je préfère que tu me le dises, que je puisse t’aider » ajouta-t-il avec tendresse. Il espérait qu’elle ne prenne pas mal sa question car tout ce qu’il voulait, c’était savoir si elle allait bien.

 
electric bird.

 
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
" Réussir à te motiver... Non mais c'est moi qui vais te motiver ! " Enfin plus tard... Peut être au réveil après avoir lavé mes dents ! Je souris légèrement et le taquine sur le fait qu'il joue au nudiste une fois la lumière éteinte et le drap sur la peau. Je souris largement. " Je vais fermer les yeux pour ne pas trop te perturber alors " Concluais-je en souriant largement. Ce n'est quand même pas de ma faute si mon petit ami est tout ce qu'il y a de plus agréable à regarder non ? Chaque centimètre de son corps me donnait envie de l'embrasser, de le mordre, de laisser ma trace et mon parfum sur lui, sur sa peau brûlante. Totalement nue - parce que la prothèse reste un artefact, un 'habit' pour moi - je me glisse dans ses bras et lui souris légèrement. Si ça va, qu'il n'a pas mal, c'est le plus important pour moi. Vraiment. " Ça va oui... J'ai l'habitude de la porter longtemps comme ça. En opé, j'ai pas le choix " Je suis obligée de rester pendant des heures debout et ne pas vaciller. Parce que le premier faux mouvement, le premier vacillement et je peux tuer mon patient. Et ça, c'est hors de question. Que ce soit ici - enfin à Boston - ou en Afghanistan, j'ai toujours pris mon mal en patience, prenant l'habitude de faire avec. Prenant un médicament quand ça n'allait vraiment pas mais là, aucun soucis. De toute façon, je n'ai rien avec moi. Ma main sur son torse, ma tête sur son épaule, je dessine ses muscles sur son torse. Jusqu'à ce qu'il me parle de médicaments. De ce sujet épineux qui m'avait fait le mettre à la porte de chez moi l'autre soir. " Non, j'en reçois pas le besoin. Plus depuis que t'es revenu du Maroc " Mais avant... Dans ce couloir, assise, j'avais rêvé de sauter sur la pharmacie, de m'enfiler de l'oxy comme on s'enfile des bonbons. " Ça va je te jure. J'en reçois plus le besoin ni l'envie. Je suis bien comme ça. J'en prenais pour tout oublier, pour me sentir mieux mais j'ai plus besoin de ça maintenant " Je l'ai lui, pour tout oublier, me sentir bien. " J'ai pris la solution de facilité mais ça va, je te promets " Souriais-je avec un large sourire. Embrassant son épaule avant de me tourner, me décalant légèrement de lui. Je baille fortement et soupire " À toute à l'heure.. " Oui...
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Love is an open door
Andrea & Bonaventure
« Cela ne doit pas être facile tous les jours » nota-t-il en caressant des petits dessins sur son épaule, glissant de temps à autre sur son bras puis dans ses cheveux. Qu’est-ce qu’il aimait simplement la tenir dans ses bras, discuter comme tout couple le ferait sans se prendre la tête. Est-ce pour cela qui s’enhardit, posant une question risquée à Andrea ? Sûrement. Il se sentait en confiance, libre d’aborder le moindre sujet avec elle notamment celui de son addiction aux médicaments. « Tu ne peux pas savoir combien cela me fait plaisir d’entendre cela » avoua-t-il en déposant un baiser sur son front. Il était fier d’elle, fier de ce combat qu’elle menait contre l’envie de prendre de l’oxy. « Tu n’as pas à me jurer quoique ce soit Andrea, je te crois et je t’envie également. Je veux dire, si je posais cette question, c’est parce que je n’ai pas réussi moi-même à me sevrer aussi vite… sûrement parce que je n’avais personne à qui me raccrocher ou pour me faire me sentir bien. C’est pour ça que je veux être là pour toi. Juste être ton roc, la personne sur laquelle t’appuyer » lui dit-il en toute simplicité. Andrea pouvait tout aussi bien lui confier qu’elle voulait un médicament, il ne la jugerait pas. Non, il était même prêt à réguler sa consommation petit à petit s’il le fallait mais elle n’en avait pas besoin.

Andrea se décala après s’être tourné et il fit de même, déposant un baiser au creux de son cou. « Bonne nuit trésor, fais de beaux rêves » murmura-t-il au creux de son oreille avant de poser la tête sur l’oreiller et de s’endormir d’un coup d’un seul, signe qu’il était vraiment crevé. Ce n’est que quelques heures après, en début de soirée qu’il s’éveilla. Andrea dormait toujours à ses côtés et il l’observa durant de longues minutes avant de se décider à se lever, attrapant sa prothèse pour l’enfiler et se diriger vers la salle de bain. Première action à faire : se laver les dents ! Monsieur voulait être prêt pour le réveil de sa douce même s’il essayait de se faire le plus discret possible afin de la laisser se reposer.
 
electric bird.

 
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
C'est pas facile tous les jours d'être médecin mais c'est ce que j'aime faire, c'est ma passion quoi.. Et je ne me verrais pas faire autre chose, faire quoi que ce soit d'autre. La médecine fait partie entière de moi et celui qui essayerait de m'en écarter n'était pas encore né. Je souris légèrement quand il avoue que ça lui fait plaisir d'entendre ça. " Tu sais quand tu m'as vu dans le couloir en rentrant du Maroc... Je rêvais d'utiliser ma carte pour aller dévaliser la pharmacie. J'étais tellement mal que je voulais juste tout oublier " Mais c'est dans ses bras que j'ai tout oublié. Que j'ai oublié que j'étais une femme meurtrie, brisée, anéantie par ce qui arrivait à sa grande soeur. Au lieu de ça, je lui assure que tant qu'il est là, ça ira. " Tu l'es Bona... Et je veux plus rien prendre. Je veux pas prendre quoi que ce soit devant toi. Je veux être ta seule tentation, pas ces cachets " Et je sais que là, ça va bien, mais que ça risque de ne pas toujours être le cas. Un jour ou l'autre, je ressentirais à nouveau cette envie comme j'avais envie de me bourrer la gueule de temps en temps... Mais ma motivation, ma force sont bien plus grandes que mon envie de me défoncer d'une manière ou d'une autre. Je me décale légèrement de lui pour m'endormir. Ça ne me gênerait pas de dormir dans ses bras mais sa question m'a mise très légèrement mal à l'aise. J'ai pas envie de parler de tout ça, ça me ramène aux US et je ne veux pas. Je m'endors rapidement et tourne pas mal dans le lit. Lorsque j'émerge, je gémis légèrement, cherchant mon petit ami en glissant ma main sur le drap. Rien. Personne. J'ouvre grand les yeux. " Bona ?! " Demandais-je en me redressant rapidement. Je me tourne et le voit dans la salle de bain, brosse à dents en bouche. Je souris et file le rejoindre. Je fais de même. Je n'ai rien manger mais bon... Je m'immisce à côté de lui et me brosse rapidement les dents. À peine fini, je me glisse entre lui et le lavabo frais. Je glisse mes bras autour de sa nuque et colle ma peau à la sienne. " Alors, on fait quoi ce soir ? " Un bar argentin, une petite balade ? Je ne sais pas trop... On fait ce qu'il veut. Je l'embrasse tendrement, glissant ma langue sur ses lèvres. On peut aussi rester ici... Commander un service d'étage, manger un petit plat local et rester au lit à s'embrasser, se câliner... On aura le temps de visiter demain.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Love is an open door
Andrea & Bonaventure
« Tu l’es depuis des mois… ma tentation. Tes mots à travers l’écran de mon ordinateur, si tu savais combien ils m’ont fait du bien. Tu m’as fait rire alors que je ne pensais plus savoir le faire… Tu m’as aidé sans même le savoir » lui confia-t-il voyant bien qu’il avait jeté un micro froid entre eux avec sa question. Bonaventure ne voulait pas se voiler la face et faire comme si les problèmes d’Andrea n’existaient pas. Il ne serait pas ce genre de petit-ami à se mettre des œillères pour protéger son petit couple parfait. S’il fallait mettre ce dernier en danger alors ce serait dans l’unique but qu’Andrea aille mieux. La drogue avait eu raison de lui par le passé, il avait laissé cette pourriture tout saccager dans sa vie, il l’avait laissé le mettre plus bas que terre. Il ne referait pas cette erreur, pas avec cet amour en jeu. Aujourd’hui, il était prêt à se battre pour elle, pour eux et également pour lui. Néanmoins, il accepta de lui laisser une certaine distance, comprenant qu’elle en avait besoin pour dormir sereinement bien qu’il aurait aimé la tenir dans ses bras.

Quelques heures plus tard, le jeune homme se réveilla auprès de sa douce, un tendre sourire aux lèvres. Qu’il aimait la regarder dormir, elle paraissait si sereine. Sans faire de bruit, il se leva et se dirigea vers la salle de bain pour se brosser les dents, fidèle disciple de « tes dents tu brosseras, si petite-amie embrasser toi vouloir ». A l’entente de son prénom, il sortit la tête de la salle de bain, lui souriant malgré la présence de la brosse à dents. Rapidement, le couple se retrouva tous les deux dans la salle de bain, l’haleine convenablement traitée. « Eh bien, je pensais que l’on pourrait rester là pour ce soir, nous commander un bon repas, étudier rapidement ce que l’on pourrait faire le lendemain, un truc sympa, sans se presser mais on peut sortir si tu veux ! » lui répondit-il en enlaçant sa taille de ses bras avant de capturer sa langue joueuse entre ses lèvres et l’embrasser d’un langoureux baiser. « On peut également visiter le lit… il est très grand, ce serait dommage qu’on se perde la nuit… vaut mieux prendre nos marques, tu ne crois pas ? » lui demanda-t-il taquin alors que ses lèvres déviaient vers son cou et que ses mains atterrissaient sensuellement sur ses fesses rebondies pour les caresser. Oui, Bonaventure avait plein d’activités à lui proposer !

electric bird.

 
(Invité)

Préférences de jeu
veritas
Contenu sponsorisé
est en ligne
(Contenu sponsorisé)