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i love to hold you closer in one or another way (weaslacce)

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" Quatorze heures ? Bon, ça va... Pas d'escale ? " Parce qu'il faut faire attention à ça... Je me souviens la première fois que j'ai fais Kaboul-Cambridge. Une journée entière de voyage ! Mais il y avait eu un escale. Je ne sais plus où.. Mais c'était passé vite au final. On avait passé tellement de fuseaux horaires que j'avais fini complètement lessivée et endormie la moitié du voyage. Sans compter que mes poumons étaient vraiment fragiles.. " Pour aller à Kaboul en septembre dernier, mon voyage à durer 28 heures... Bon, on s'est arrêté à deux reprises mais bon... " J'avais traversé une sacré partie du globe. Et il y avait dix heures de plus dans la capitale afghane. Pas facile tout ça. On part il fait nuit, on arrive et il fait jour. J'avais suivi le soleil, en quelque sorte. " Je te chanterais une berceuse avec ma voix de casserole si tu veux " Soufflais-je avec un léger sourire. Oui, rien que ça. Je n'ai aucun talent caché. Je ne sais pas dessiner, pas chanter, pas jouer un seul instrument. Rien. Une vraie calamité quoi. Moi je préfère le titiller, l'enquiquiner et lui répondre avec un large sourire, comme je l'entends. Je ris à sa réflexion. " J'ai été une très très mauvaise fille " Soufflais-je avant de l'embrasser à nouveau, mes deux pieds touchant le sol. " Oh non, quelle terrible punition ! " Soufflais-je avec un large sourire. Tu parles d'une punition toi ! C'était tout ce que j'attendais, enfin pouvoir me retrouver dans ses bras, l'embrasser, le chérir, ne faire plus qu'un et s'emboiter comme des légos.. De très beaux légos. Je file rapidement vers le premier mini magasin que je trouve et achète un sandwich au poulet pour Bona, un wrap au poulet pour moi ainsi que deux boissons gazeuses. Light pour moi, parce que je ne bois que ça. Je ne fais pas attention à ma ligne, c'est juste que je n'aime pas l'aspect pâteux que peut avoir le coca normal avec moi. Je me pose sur Bonaventure et commence par ouvrir le magasine avant de manger. On a été super vite au final et il nous reste une bonne heure et demi à patienter. D'ici une demi heure, on pourra se diriger vers la porte d'embarquement et attendre à nouveau. Sauf que mes yeux tombent sur une photo de moi, en sous vêtements et talons à paillettes. Sans oublier les ailes d'anges... Le Quincy me taquine parce qu'il n'a pas eu le temps de lire. " Y avait que des images " Soufflais-je en souriant alors qu'il mord dans son sandwich. Mange ton sandwich homme et penses pas à ça. Sauf que mon visage doit montrer ma surprise. J'étais pas au courant qu'il y allait avoir une telle photo... Des pages quadri, pourquoi pas... Mais une pleine page de la sorte... Non, non. Je le regarde et attrape son sandwich des mains. " Tu déchantes pas ok ? " Et je garde le sandwich pour pas qu'il le fasse tomber. Et j'attends aussi qu'il ait fini sa bouche parce que j'ai pas envie qu'il crache sur les pages. Je compte le lire ce magasine quand même... Je cherche à nouveau la page et lui tend la magasine, me cachant, rouge de honte. Je devrais pas avoir honte, cette photo est magnifique mais je me sens un peu trop exposée pour le coup... C'est la surprise qui me perturbe le plus. La surprise de me voir dans un magasine, avec une photo qui n'est pas 'officielle'. Je me demande ce que raconte la page d'article juste à côté. Je verrais plus tard. Pour le moment, j'attends la réaction de mon petit ami.. Et c'est assez stressant.
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Non pas d’escale, un vol direct pour son plus grand plaisir car Bonaventure voulait bien supporter le vol mais si en prime, il devait subir plusieurs décollages et atterrissages, il allait mourir au fond de son siège comme un pauvre malheureux. « Il n’y a rien de pire que l’avion… à moins que tu chantes si mal que ça, là, je vais peut-être revoir mes positions » plaisanta le jeune homme reconnaissant envers sa petite-amie de lui changer les idées et surtout de ne pas se moquer de cette peur. Il appréciait vraiment sa façon d’agir car il n’était pas certain que son égo aurait pu s’en relever facilement si elle avait passé son temps à se moquer de lui. Cela lui fit penser à cette vdm qu’il avait lu il y a quelques jours : un homme qui vexé de ne pas faire partie du voyage entre copines de sa petite-amie lui avait envoyé des photos de crashs aériens sachant la phobie de sa chérie. « Je savais que ce serait une punition terrible pour toi » s’exclama-t-il quelques instants plus tard alors qu’ils partaient dans un délire propre à leur couple. Bonaventure aimait vraiment leur complicité, le fait de pouvoir la charrier gentiment sans qu’elle ne s’en vexe pour un rien. C’était libérateur car l’américain était très joueur et surtout très taquin avec son entourage. « Je vais d’ailleurs m’en donner à cœur joie » murmura-t-il avant de l’embrasser. Oui, il avait même déjà hâte de mettre en pratique cette punition.

Pour l’heure, ils devaient encore patienter avant de prendre leur avion si bien qu’ils se retrouvèrent bien vite un sandwich au poulet pour l’un, un magazine pour l’autre, Andrea sur ses genoux et lui, un bras autour de sa taille. « Et qu’est-ce qu’elles avaient ces images ? » lui demanda-t-il perplexe tandis qu’elle lui ôtait le sandwich des mains. Bonaventure fronça les sourcils et ouvrit le magazine pour tomber sur une image qui lui fila aussitôt des frissons et une folle envie de lui faire l’amour. « Oh ! Tu es… très belle sur la photographie » commença-t-il à dire tout de même gêné à l’idée que des milliers d’hommes et de femmes puissent l’admirer ou même fantasmer sur elle. « Très sexy même… tu fais très angélique » continua-t-il de commenter la photo, un peu mal à l’aise mais c’est en la voyant rougir qu’il s’en attendrit. « Tu n’as pas à rougir, tu es vraiment magnifique Andrea et je suis fier d’être ton petit-ami » lui dit-il avec un sourire charmeur. Oui, ce ne serait pas tous les jours évident pour lui mais il voulait vraiment faire un effort pour partager son métier, pour la soutenir également.
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" Tu vas adorer prendre l'avion une fois que tu m'entendras chanter, c'est moi qui te le dis " Je ris légèrement. Je ne sais pas chanter, c'est pas ma faute... Je n'ai absolument aucune fibre artistique. Les trois quart des étudiants arrivent toujours à se débrouiller avec quelque chose. Oui la plus part des gens que je connais chantent bien, jouent d'un instrument, sont passionnés par le septième art... Quelque chose quoi ! Mais moi, non, rien. Défaut de fabrication peut être, allez savoir. Mais on va dire que lorsque l'on passe seize ans en Afghanistan, on a pas forcément la possibilité de jouer de la musique ou même d'en écouter... Mais je ne regrette rien de ma vie passée. J'aime qui je suis et même si ce n'est pas facile tous les jours, je fais avec. Je souris quand je suis dans ses bras et tente de jouer la fille qui ne veut pas du tout se faire punir. Mais passer une journée dans des draps frais c'était déjà une de mes occupation préférée mais s'il y a Bonaventure en plus.. Ça ne peut qu'être parfait. " Oh tu peux t'en donner à coeur joie.. Tu dois me fatiguer c'est bien ça ? " Je ris légèrement. Non mais sérieusement, on est vraiment entrain de parler de parties de jambes en l'air en plein dans un aéroport ? Personne ne nous entend - la moitié des personnes ici ne doivent même pas parler anglais - et puis, c'est ça qui fait de notre couple ce qu'il est. De la taquinerie, des bons moments passés ensemble et de l'humour... Je ne suis pourtant pas une grande rigolote mais j'essaye de changer. Pas pour Bonaventure, mais juste parce qu'il faut que je prenne sur moi. Tant qu'il ne fout pas un serpent dans mon lit pour me faire hurler et grimper au plafond, tout ira bien. Encore que, les serpents ne me font pas tant peur que ça... Je crains beaucoup plus les araignées et les vers de terre ! Mais là, j'ai d'autres chats à fouetter. Enfin pas littéralement, bien sûr. Mais je tombe face à une photo de moi, une page entière et je panique légèrement. Non, je panique comme une folle. Parce que je sais que Bona est un peu gêné de tout ça. Il ne me le dira pas mais je me doute qu'en bon musulman qu'il est, une femme en petite tenue placardée en ville, visible aux yeux de tous dans les magasins, c'est moyen... On en a jamais vraiment parlé, on a juste abordé le sujet et... Je peux comprendre. Mais du coup, je redoute pas mal sa réaction alors je le préviens, ça risque de le choquer. Donc je garde son sandwich et tout et tout. Je suis très belle. Je sais pas si ça me rassure ou me tords l'estomac. Parce que je suis sensée être plus que belle sur ce cliché... Je déglutis et ne le regarde pas. J'en viens même à fermer les yeux, fuyant son regard et ce qu'il pourrait dire de plus. Je souris légèrement et sens mes joues rosirent quelque peu quand il me dit que je suis même sexy et que j'ai l'air d'un ange. J'ose enfin poser mon regard sur lui. " C'est parce que je suis un ange... " Je souris largement avant de le regarder et de l'écouter me dire que je suis magnifique et qu'il n'a pas honte d'être mon petit ami. Je me demande si tout ça est vrai à cent pour cent... J'ai vraiment peur de le décevoir. Il n'y aura pas de nues, jamais, j'ai été bien clair là dessus avec la marque et ses représentants juridiques. " T'es sur que ça ne te gène pas ? Je suis mal à l'aise à l'idée que quelqu'un puisse me reconnaître là, tout de suite... " Je ne suis pas la seule à avoir acheté une copie du magasine, je le sais bien. Et je ne sais pas comment je réagirais si un fan venait vers moi, vers nous. Je reprends le magasine que je ferme et glisse sous mes cuisses - et donc sur les siennes - et lui rends son sandwich. " Des fois, je me demande si j'ai vraiment bien fais d'accepter ce job... Pour le moment c'est plutôt calme mais quand j'aurais fais mon premier défilé, ça risque de devenir impossible... J'ai pas envie de devoir arrêter ce que j'aime faire pour ça.. " Je parle de la médecine, du bénévolat que je fais de temps en temps... Et puis, comment est-ce qu'il réagira si ses amis me voient à moitié nue dans un magasine et lui en parle ? Je serais du genre complètement jalouse moi. Je suis déjà jalouse qu'il ait été modèle devant des nanas il y a quelques semaines... Enfin, là, on ne voit pas mon intimité ni ma poitrine, lui elles ont tout vu !
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Pour être tout à fait honnête, Bonaventure était vraiment gêné de la voir ainsi, exposée aux yeux de tous mais il l’aurait été également si cela avait une femme lambda. Le jeune homme avait un vrai problème avec la nudité même partielle. C’était un vrai handicap dans notre société actuelle où les femmes veulent toujours en montrer davantage comme si, être à moitié nue était une revendication sociale et féministe. Pour sa part, il trouvait cela vulgaire… Non pas que de voir Andrea ainsi vêtue l’était… Il parlait d’un point de vue général : les gros décolletés, les jupes si courtes qu’elles ne cachent rien.. Il avait vraiment un problème avec cela. Sûrement sa religion le forçait en quelque sorte à penser ainsi mais ce serait mentir ou du moins exposer une partie de la vérité. Bonaventure était un homme pudique et il trouvait bien plus attrayant une femme qui ne faisait que suggérerez à celle qui livrait directement toute la marchandise. « Je ne vais pas te mentir, oui cela me gêne un peu. Je veux dire, tu connais mon point de vue sur la question mais je sais reconnaitre quand une photo est belle et tu es un modèle tout ce qu’il y a de plus exquis » avoua-t-il avec un léger sourire. « Je veux que l’on soit bien clair sur le sujet trésor… je ne m’opposerai jamais à quelque chose que tu veux faire tout comme je ne t’imposerai pas mes principes. Si tu veux faire ce métier alors je te soutiendrai mais cela ne signifie pas que je suis totalement ravi que des hommes puissent te voir en lingerie seulement je saurais vivre avec. Ce n’est pas non plus catastrophique » haussa-t-il des épaules, relativisant la situation. « Je pense qu’il te faudra bientôt faire avec cette célébrité car de ce que je vois, tu es vraiment magnifique et sexy. Forcément, tu risques d’attirer de nombreux fans » rétorqua-t-il avec un petit rire avant de secouer la tête. Bonaventure allait devoir apprendre à vivre avec et museler sa jalousie pour ne pas virer « casse-couille ascendant dictateur » avec sa petite-amie. Son rôle était de la soutenir, de l’aider à s’élever et non de la tenir en laisse ou même de museler son envie de vivre.
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Je ressens un léger pincement au coeur quand il me dit que ça le gêne. Je ne veux vraiment que rien ne le gêne chez moi, qu'il n'ait pas honte, qu'il ne se sente pas obligé de 'faire avec'. On ne s'impose rien, on fait nos vies. Mais ensemble. Je sais que je dois le prendre en considération dans mes choix maintenant. Je ne peux plus dire "allez, vous me saoulez tous alors je me casse" maintenant que je suis avec Bonaventure... Mais je ne sais pas trop comment gérer tout ça. C'est encore nouveau et là, ce sont des clichés que l'on pourrait considérer comme 'volé'. Rien d'officielle, pas de publicité. Mais ça va arriver. J'ai déjà vu quelques photos en 4 par 3 en plein centre ville. La photo ne montre que mon visage et ma poitrine - dans un très beau soutien-gorge - mais ça me perturbe un peu... J'ai vécu tellement de choses dans mon enfance, je n'ai jamais accepté mon corps, ma féminité. Jamais jusqu'à aujourd'hui. Je lui souris et dépose mes lèvres sur les siennes quand il me dit que ce ne sera pas catastrophique non plus. " De toute façon, il n'y a que toi qui a le droit de m'enlever ces sous vêtements et de me toucher... " Je souris contre ses lèvres et glisse ma main sur sa joue. Des tas de gens vont me voir dans cette tenue. Que ce soit du public lambda - comme ses parents OHMONDIEU - ou bien les professionnelles qui retouchent les sous vêtements, qui me coiffent, me maquillent... Parce que oui, je porte du maquillage sur le corps pour cette photo. On a légèrement éclairci la cicatrice que j'ai sur l'abdomen pour ne pas faire trop 'robocop' dès le début... Je le regarde et souris. " Tu seras mon fan numéro 1 ? " Demandais-je, sérieusement. Bonaventure semble prêt à me soutenir mais à quel point ? J'aimerais tellement que ce soit à hauteur de l'infini +1000. Oui, son avis compte et pas qu'un peu... J'ai déjà mis super longtemps avant d'accepter l'offre que l'on me proposait. J'en ai parlé à Sienna, Talya et Nina. Puis à mon ex. Ils étaient tous derrière moi et même si je n'ai plus que l'écossaise, le jeune Quincy pourrait très bien faire la pompom pour tout le monde. " Je sais que tu m'empêcheras jamais de faire ce que je veux mais... Ça ne risque pas d'amener des ennuis à ton père ? Je veux dire... Il y a mieux comme belle fille qu'une mannequin victoria secret quand même " Je n'y connais rien en politique mais je doute que ce soit courant... Les femmes sont plutôt super classes dans ce milieu. Tailleurs, talons hauts et tout ce qui va avec. Et moi, j'ai ce qu'on porte en dessous mais clairement pas au dessus ! " Tes parents vont me détester " Soufflais-je, complètement défaitiste en attrapant mon wrap et en mordant dedans. Je veux qu'ils m'apprécient à ma juste valeur même s'ils risquent de voir mes fesses en photos avant de me voir en vrai. Bordel. Et voilà que je stress !
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« Et je compte bien user et abuser de ce droit » lui dit-il en déposant un baiser sur sa joue. Il n’y avait pas de problèmes particuliers, Bonaventure était gêné ? Et alors ? Il finirait bien par s’y habituer et puis, Andrea ne posait pas nue. Si cela avait été le cas, oui, là, ils auraient eu un énorme problème mais tant qu’elle gardait couverte les parties qu’elle lui réservait exclusivement, il saurait très bien vivre ses photos. Il était tout de même amusant de la voir paniquer quant à sa future célébrité. « Bien sûr que je serais ton fan numéro 1 ! Je ne compte pas céder ma place et puis même que je pourrais jouer les gardes du corps pour tes beaux yeux… Laisse-moi juste quelques années pour apprendre à me battre et après, je serais rodé » rigola-t-il avant de reprendre son sérieux et de la couver d’un regard attendri. « Je suis à 100% derrière toi Andrea… quoique tu fasses, je serais toujours avec toi parce que je veux que tu sois épanouie et heureuse… pas uniquement à mes côtés ou dans notre couple. Je veux que tu aimes ta vie même si tu pourras également compter sur moi pour te dire si certaines choses ne me plaisent pas » ajouta-t-il afin de la rassurer pleinement quant à son opinion sur la question. Il saurait être à la fois son fan mais également son garde-fou pour qu’elle ne s’égare pas en chemin.

« J’avais complétement oublié mon père ! Fais-moi penser à lui envoyer une photo de toi pour lui dire : tu vois cette femme merveilleuse ? Si tu la croises sur un panneau publicitaire ou dans un magazine… prière de te rappeler qu’elle est ma petite-amie et que je t’interdis de la voir autrement que comme ta propre fille » grimaça-t-il. « Je ne fais pas ma vie en fonction de mon père… Et cesse de dénigrer ton métier. Tu vends du rêve Andrea et puis, tu ne fais rien d’illégal. Mon père saura très bien s’en accommoder et s’il advenait l’envie de s’en plaindre, crois-moi, ma mère lui rappellera la réalité des choses mais tu n’as vraiment pas à t’en faire… Mon père aura sûrement un scandale bien plus compliqué à gérer » soupira-t-il. Si cette histoire de fille biologique arrivait aux oreilles de la presse, nul doute que le sénateur Weasley aurait du souci à se faire. « Ils vont t’adorer… et rends-moi mon sandwich, j’ai faim » râla-t-il en le lui piquant. « Tu sais pourquoi ils vont t’adorer ? Parce que tu me rends heureux et que pour eux, c’est le plus important et puis mince Andrea, tu es une femme extra ! »
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Je souris largement quand il me dit qu'il compte bien user et abuser du droit de me déshabiller. Droit que je ne partagerais avec aucun homme. Non, non. Je pose en sous vêtements mais je ne suis pas une prostituée, une femme qui fait des coups dans le dos de son petit ami, loin de là... Ça s'appelle avoir des valeurs et ça, c'est clairement une qualité en voie de disparition depuis quelques années. Je souris et l'embrasse. Ça fait tellement de bien de se sentir soutenue, acceptée comme on est. Même si je ne lui laisse pas vraiment le choix. C'est 'take me or leave me'. Je me connais, je sais de quoi je suis capable, ce que je peux supporter et, au contraire, ne pas supporter. Un homme trop jaloux, trop possessif qui me tien enfermé dans une cage dorée, c'est mort. Je lui souris légèrement. " J'aime ma vie... Et encore plus avec toi dedans " Lançais-je en baissant légèrement les yeux. Je n'ai pas pour habitude de parler de mes sentiments comme ça, avec des milliers de gens autour de moi, je ne suis pas le genre de filles qui s'ouvre aussi facilement. Enfin, je ne suis plus ce genre de filles. Ma dernière expérience m'a laissé un goût amer dans la bouche et je préfère donc me contrôler. Je rougis quand il parle de moi comme si j'étais le plus précieux des diamants sur terre. Mais je fronce les sourcils quand il parle d'être considérée comme sa fille. Je lève les bras dans sa direction. " Non, non, pas comme sa fille... Je veux pas qu'on dise que notre relation est incestueuse moi ! " Je ris légèrement mais c'est le cas ! À moins qu'ici, le terme de 'fille' ait deux significations. Je sais trop moi... Mais je veux rester à ma place et ne pas faire de vagues. Je veux qu'ils m'apprécient, qu'ils m'acceptent au sein de leur famille. Qu'ils me voient comme la femme qui rend heureux - je l'espère ! - leur fils plutôt que comme celle qui se fait du fric en se dévoilant... Si j'avais d'autres moyens de gagner autant d'argents, je le ferais, c'est sûr... Mais ce contrat me rapporte tellement... Tellement de dollars que j'ai pu m'acheter l'appartement dans lequel je vis au comptant après seulement sept mois à leurs côtés. Je ne suis pas dépensière, ça aide. Mais tout de même... Cumulée à mon nouveau salaire, à mes indemnités pour mon passage par l'Afghanistan. Mon compte n'avait plus fin depuis un bon bout de temps. " J'veux pas être un scandale ni un problème pour vous.. " Soupirais-je en faisant une petite mine, mordant dans mon wrap, ayant toujours son sandwich dans l'autre main. Je peux choisir quoi manger comme ça. Et pourquoi pas me goinfrer ? Mais il reprend son bien et je lui adresse un sourire, dégustant mon wrap. La galette c'est bien meilleure que le pain et ça ne fait pas gonfler ! " T'es sûre de ça ? " Demandais-je sérieusement. " Ta grand mère t'a pas demandé si tu t'étais servi de son cadeau de noël d'ailleurs ? " Lançais-je en souriant légèrement. Je n'avais d'ailleurs rien pris de tel avec moi... Ce qui veut dire qu'il va falloir en acheter ou être sûre de n'avoir absolument aucune maladie.. Mais je vois mal l'arrivée en Argentine en tant que "allons se faire dépister pour le sida pour ne pas devoir user de préservatif"... Je lève les yeux vers le panneau électrique devant moi et souris. " On part du quai d'embarquement F " Soufflais-je en lui montrant le panneau. " C'est normal que je stress ? " Demandais-je, riant comme une enfant. Ouuuh, j'ai des cafards dans le bidou ! Zen Andy, tout va bien se passer.
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Bonaventure lui avait sourit, conscient que c’était une grande avancée dans leur couple. Quelque chose lui faisait penser que si déclaration il devait y avoir, il serait le premier à la faire. Cela ne le gênait pas, il était bien plus expansif qu’elle du moins sur le papier. Dans la réalité des faits, c’était moins sur car si le jeune homme détestait bien quelque chose, c’était de s’épancher sur ses sentiments. Andrea lui avait dit qu’il était secret une fois, elle n’avait pas tort mais c’était surtout pour se protéger. Il avait beau aimer la vie, il n’en oubliait pas moins qu’il avait eu son lot de problème. Comment réagirait-elle face au racisme ? Après tout une blanche célèbre avec un noir ou un métisse, pour certains, c’était le comble de l’horreur. Pour l’heure, sa petite-amie s’inquiétait des problèmes qu’ELLE pouvait provoquer dans sa vie, dans celle de ses parents mais il en allait de même pour elle. Est-ce que leur couple serait accepté de sa famille ? De ses amis ? Est-ce qu’on n’allait pas la mettre en garde parce qu’il était musulman ? Il voyait déjà leurs propos : tu n’as pas peur qu’il veuille te mettre la burqa ? Et puis, tu sais, ces gens-là, ce n’est pas franchement le droit des femmes leur priorité. Bonaventure était tout autant stressé qu’elle mais il ne le montrait pas parce qu’il n’avait jamais montré ses sentiments à quiconque. Il se cachait derrière son sourire, son optimisme et son humour. « Aucune chance que notre relation devienne incestueuse mais j’ai pas envie que mon père te scrute sous toutes les coutures s’il te voit dans un magazine ! » rigola-t-il à son tour. Son père était amoureux de sa mère mais depuis qu’il avait appris l’existence d’Isabel, le jeune homme n’était plus sûr de rien concernant l’homme qui autrefois, lui était apparu comme un héros.

« Andrea, je ne vois rien de honteux dans ce que tu fais ! Tu es un mannequin… Tu ne serais ni un scandale ni même un problème… Sinon il faudra me dire en quoi une étudiante en médecine, qui paie ses études en faisant du mannequinat, peut-être jugé comme scandaleuse » rétorqua-t-il, essayant de la rassurer. « Et puis, tu verras, mon père a beau être sénateur, ce sont des gens vraiment adorables et simples. Bon, je ne te cache pas que le cabinet de mon père risque de te faire passer un interrogatoire s’ils jugent notre histoire sérieuse mais ce sont les rouages de la politique » soupira-t-il. Bonaventure en avait souvent souffert par le passé : chaque ami était passé aux rayons x pour savoir s’il n’était pas une menace pour son père ou sa carrière. « J’en suis sûr et elle me l’a demandé. D’ailleurs, j’ai oublié de te dire mais nous sommes convoqués après le Spring Break car elle veut faire ta connaissance » lui dit-il avec une grimace d’excuses.

Andrea lui confia alors qu’elle commençait à stresser et il arqua un sourcil. « Bien sur, tu vas monter dans un avion, c’est normal de stresser… à moins que tu commences à regretter notre voyage ? »
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Je n'ai absolument pas l'habitude d'être regardée, d'être mise en avant et tout ce qui va avec. Je ne vais pas jouer la pauvre fille pleurnicharde qu'on a jamais regarder, non non, mais je ne me suis jamais vue de la seule. J'ai toujours été la bonne copine, la copine plutôt jolie mais qui se planquait derrière des tuniques bien trop grandes, derrière des cheveux mal coiffés... Parce que je n'ai pas grandi comme la plus part des femmes de l'université. Je n'ai jamais passé des heures dans la salle de bain et tout ce qui va avec. J'ai plutôt grandi dans mon coin, avec un temps d'accès à la salle de bain minimum... Mais je ne regrette pas ma vie, rien. Loin de là. Parce que c'est elle qui a fait ce que je suis et il n'y a rien à jeter. Sauf peut être les six ans de viol que j'ai subit là haut. Ça, si je pouvais l'enlever de mon esprit, ce serait vraiment pas mal. Mais je n'y pense plus. Quand Bonaventure je n'y pense plus, ça ne me revient pas en plein visage et c'est le plus important. Je le regarde et me sens un peu gênée... " Il ferait ça ? " Son père est ce type d'hommes qui bave devant les jolies filles dans les magasines ? Non... Impossible ! En tout cas, le ton qu'il use me met le doute. J'espère que ce n'est pas le cas parce que ça serait vraiment très embarrassant quand même... Je l'écoute et hausse les épaules. Oui, je sais pas... Je crois qu'il pourra me dire tout ce qu'il veut, tant qu'on ne sera pas officiellement ensemble aux yeux de sa famille, j'aurais toujours peur d'être l'objet de trop, la jolie nana qui va foutre la merde dans la famille parfaite. Je fronce les sourcils, légèrement vexée quand ils me parlent d'interrogatoires si son père - et son cabiquoi ? - juge notre histoire sérieuse. J'ai donc bel et bien un homme politique, sa femme et toute son équipe à convaincre. Ok. Merci Bonaventure pour le coup de stress. Sans compter qu'il m'annonce que sa grand mère veut me rencontrer après le Spring Break. Je le regarde et sens mon rythme cardiaque s'accélérer. Rien à foutre qu'on embraque porte F pour le coup, je commence à paniquer. Non, non, non... Ça va un peu vite là quand même. Pas que ça me gêne, loin de là parce que je sais que mon histoire avec le métisse n'est pas un 'coup de pub' ou bien être ensemble pour être ensemble... Mais bordel. Mon estomac se retourne encore plus. " Bona, je ... " Olala... Il a une famille qui semble être merveilleuse et moi, je n'ai que ma mère. Parce qu'il connait déjà Leanne, que je ne connais pas les gens avec qui elle a grandi et que mon père est décédé. " Je regrette rien... Je suis heureuse d'être là, avec toi, de partir ... " Aucun doute là dessus. Mais je panique à l'idée de faire une connerie devant sa grand-mère, devant sa mère, son père... Oh mon dieu. " Quand on ira la voir, tu me promets de rester avec moi à chaque minute ? " Non parce que la petite mamie ça a l'air d'être un sacré numéro quoi ! Je finis mon wrap et soupire légèrement. J'ai tellement peur de ne pas plaire à sa famille et qu'il décide de les choisir. Ça me met vraiment mal à l'aise. Je me lève et commence à tourner en rond, passant ma main dans mes cheveux. " Tu crois qu'ils vendent des trucs genre anti stress ? " Chimiques ou à base de plante, je sais pas. Mais je crois que je vais avoir une crise de panique là... Je ne me sens pas bien mais alors pas du tout. Au point que je me glisse entre ses genoux et plonge mon visage entre mes genoux. Ses jambes sont au niveau de mes bras. Inspire, expire. " Bona, s'ils m'aiment pas... " Je devrais pas penser comme ça mais c'est plus fort que moi.
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« Aucune idée. Je pensais connaitre mon père il y a encore deux mois alors je me dis que tout est possible » rétorqua-t-il avec une certaine amertume qui ne lui était pas coutumière. C’était simple, Bonaventure n’était jamais aussi prompt à montrer lorsque quelque chose le tourmentait ou l’agaçait. Mais là, il en avait gros sur le cœur mais il ne savait pas comment l’exprimer. La seule fois qu’il en avait parlé à quelqu’un, c’était à l’une de ses meilleures amies Dana qui lui avait conseillé de ne rien dire au principal intéressé mais le secret le rongeait assurément, le poussant à s’éloigner de son paternel. Sa mère ne s’y était pas trompée, elle avait bien senti le changement d’attitude en son fils, ce qui l’avait poussé à se rapprocher de lui. Il s’en sentait coupable d’ailleurs car inconsciemment, il avait provoqué des dissensions dans leur couple. Le métisse était un homme entier, il ne savait pas faire semblant et faire comme si son père n’avait pas trompé sa mère, c’était au-dessus de ses forces. Il en voulait à son paternel tout en lui cherchant des excuses, en essayant de se convaincre que peut-être qu’Isabel avait menti. Or, tant qu’il n’en parlait pas à son père, il restait dans ce flou qui l’énervait et le rendait malheureux.

Au moins, parler de sa famille, dire que sa grand-mère était impatiente de rencontrer Andrea le poussait à voir les choses sous un autre angle. Il avait tellement hâte que l’une des femmes les plus importantes de sa vie rencontre celle qui avait su capturer son cœur mais là encore, il se rendit rapidement compte de la panique de sa petite-amie. Jugeait-elle que tout allait trop vite entre eux ? « Bien sûr que je resterai avec toi… Andrea, j’ai l’impression qu’il y a quelque chose qui cloche ? Je veux dire, si tu juges que cela va trop vite, elle comprendra hein ! Je te promets que tu te retrouveras pas fiancée à moi parce que tu vas la voir » tenta-t-il de plaisanter pour la détendre mais sa question lui arracha un sourire attendri et confiant à la fois. Sa petite-amie se glissa de ses genoux pour mieux se recroqueviller entre ses jambes. « Hey… » murmura-t-il en passant sa main dans ses cheveux dans un geste réconfortant. « Pourquoi voudrais-tu qu’ils ne t’aiment pas ? Au contraire, ils vont t’adorer, aucun doute là-dessus. Qu’est-ce qui se passe chérie ? » lui demanda-t-il en se penchant vers déposant un baiser sur sa tempe en lui massant les épaules. « Tu n’as pas à t’inquiéter et si cela te stresse trop, on peut attendre, rien n’est obligatoire »
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