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i love to hold you closer in one or another way (weaslacce)

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" Même pour me faire plaisir ? " Demandais-je avec un large sourire en battant des cils. Allez, craque, dis moi que j'ai fais un parcours de malade, que je suis une vraie déesse dans mes baskets roses adidas ! " Faut pas se précipiter dans ces moments... " Je souris légèrement et embrasse ses lèvres. Oui, ne jamais se presser quand on s'embrasse, quand on découvre le corps de l'autre sous un nouvel angle, d'une manière tout aussi charnelle... Et puis, on était franchement pas pressé avec Bona... On a laissé le temps avant de passer à l'acte et ça n'a rendu les choses que plus intéressantes, plus excitantes.. La première fois qu'il m'a touché, dans cette chambre... Je m'en souviens comme si c'était hier. Mais ce qu'il s'est passé pour que je débarque à l'improviste aussi. Et c'est ça qui fait hurler Priape. Ça et l'oxycodone qu'il a trouvé dans ma chambre. Je n'en prends plus, mais il n'a pas voulu y croire. Les boites étaient bien trop vides pour que ce soit possible... Elles ont pris un sacré coup après le départ de Bonaventure. " J'ai aucun doute Bona ! Si je doutais, je serais pas ici dans une robe a plus de sept mille dollars. Je serai dans mon lit entrain de regarder un film et de manger de la glace.. " Je ne doute pas de lui, loin de là... C'est de moi dont je doute. J'ai peur d'être avec lui pour les mauvaises raisons. Même s'il n'y a aucune raison. Je l'apprécie tellement, je pourrais mettre mon coeur dans sa main et je sais qu'il en prendrait soin. " Je l'ai chopé entrain de fouiller dans ma chambre avec une copine. Ils sont tombés sur l'oxycodone que j'avais dans ma table de nuit et n'ont pas voulu me croire quand je leur ai dis que j'en prenais plus... " Je soupire légèrement. Non, je n'ai pas tout jeter. Je n'éprouve plus le besoin de me défoncer, alors je ne fais plus attention à rien. Si l'atmosphère sembla se tendre quelque peu, la proposition de Bonaventure me fit changer d'un coup d'un seul. J'étais debout, contre lui et je l'embrassais. Mais il file rapidement préparer un sac et passer quelque chose sur le dos. Oui, monsieur est toujours torse nu. Ce n'est pas pour me gêner mais je doute que la sécurité à l'aéroport apprécie fortement ça... " Merci.. " Soufflais-je en l'embrassant avant de filer de la Quincy House vers mon appartement. On monte et j'ai un large sourire sur les lèvres. C'est comme si je venais d'avoir le plus beau cadeau qu'il puisse exister au monde. J'attrape ma petite valise de cabine et regarde Bonaventure. " Pays chaud ou froid ? " Non parce que je ne vais pas prendre robe et short si on part en Alaska... Il me faut un minimum d'information. Et en attend, il faut que je me change. Je me tourne et soulève mes cheveux. " Tu peux me la dézipper s'il te plait ? " Je laisse glisser le tissu sur mon corps et soupire légèrement en regardant mon dressing. Pyjama ? Inutile. Je dormirais nue, je m'en fiche. DEs sous vêtements. Ça c'est quand même important...
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« Pour te faire plaisir, je veux bien te laisser un peu d’avance la prochaine fois » répondit-il avec un sourire charmeur mais terriblement malicieux dans un même temps. Andrea enchaina sur le fait que pour les moments crapuleux, il vaut mieux prendre son temps et il hocha la tête, pleinement d’accord avec elle. Il aimait prendre son temps, la déshabiller, voir les réactions de son corps quand son souffle effleure sa peau, lorsque ses doigts se font tendres et caressants. Et puis, rien ne pressait, à quoi bon se donner si ce n’était que pour un instant vite fait, vite oublié ?! Non, le sexe en amour demandait du temps, de l’implication, de l’intimité. En parlant d’intimité, visiblement, son ami avait décidé de fourrer son nez où il ne devait pas le faire. Cela énervait effectivement Bonaventure mais pas pour les raisons auxquelles, elle pensait. Il se fichait bien d’être pris pour un homme qu’il n’était pas. Depuis qu’il était né, il avait dû se battre contre le racisme, la discrimination alors pourquoi pas maintenant contre l’opinion faussée d’un homme trop protecteur ?! Non ce qui l’agaçait, c’est que ce genre d’attitude ne ferait que mettre de l’eau dans le gaz dans sa relation et donc de faire souffrir Andrea. Or, il s’était promit de ne jamais la faire souffrir. « J’avais besoin de te l’entendre dire… C’est juste que je sais que l’amitié est une chose précieuse » répondit-il en haussant les épaules.

Est-ce qu’un jour, elle serait confrontée entre devoir choisir entre lui et Priape ? Il espérait que non mais si cet homme persistait, Bonaventure serait bien obligé d’intervenir. Il ne voulait pas perdre la femme qu’il aimait. Pas à cause de la jalousie ou de l’idiotie d’un homme qu’il ne connaissait pas. Sa petite-amie lui avoua alors qu’elle les avait surpris une amie et Priape en train de fouiller dans sa chambre. « Je suis désolé pour toi mais je m’étonne qu’ils soient toujours en vie » tenta-t-il de plaisanter pour dédramatiser la situation. « Laisse leur du temps, ils finiront bien par comprendre que tu ne te drogues plus.. Et je suis prêt à être ton témoin d’honneur » lui dit-il mais il comprenait d’autant mieux son besoin de se changer d’air et ça, il était prêt à le lui offrir sur un plateau d’argent. « Tu n’as pas à me remercier, il n’y a rien que je ne suis pas prêt à t’offrir »

Le couple se hâta de passer à l’appartement d’Andrea et Bonaventure opta pour un pays chaud. « Pourquoi pas l’Argentine ? Nous ne serons pas loin du Chili et nous pourrions retrouver les autres au moment du Spring Break » lui proposa-t-il tout en dézipant sa robe, déposant un baiser sur une de ses épaules, caressant ses bras avant de la laisser se changer.
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" Un peu d'avance ? Dix minutes d'avance ça devrait le faire ! " Je dois l'avouer, mon petit ami est un grand sportif, il a une endurance digne de ce nom et c'est pas moi qui vais m'en plaindre, loin de là. Je souris largement. Je ne veux pas qu'il me laisse de l'avance, qu'il me laisse le temps de faire un score moins pitoyable. Non, je veux être traité de façon fairplay. Je ne serais jamais aussi rapide que lui, je le sais bien. Mais il ne sera jamais aussi doué avec un bistouri que je le suis. C'est comme ça. C'est un sportif détective et je suis médecin.. Chacun son domaine de prédilection. Et l'un de mes domaine de prédilection, c'est aussi les embrouilles entre amis. Je suis quelqu'un de passionnée, qui se donne corps et âme dans quelque chose... Alors forcément, quand on me demande ce que je fous avec un homme qui a couché avec ma soeur, je m'énerve. Je n'ai pas besoin qu'on me rappelle ce moment. De toute façon, il semblerait que partager ses petits amis avant ou après se mettre en couple avec eux est l'une de mes spécialités. " Oui... Mais je comprends pas sa réaction. Il devrait être contente pour moi d'être avec un homme comme toi... Je ne cherche même plus à comprendre. De toute façon, c'est pas à lui que je veux plaire alors... " Je soupire et pose mes lèvres sur celles du beau métisse. J'adore Priape, je lui ai dis 'je t'aime' il y a quelques jours mais je pouvais me transformer en vraie casse couille s'il venait à me titiller un peu trop. Trop bonne, oui, mais surement pas trop conne. Et puis, il y avait eu cette histoire d'oxycodone qui avait rajouté de l'huile sur le feu. Parce qu'au final, nos échanges de SMS n'avaient pas été trop virulents, j'avais coupé court à l'embrouille dès son commencement. " Ils ne le comprendront jamais Bona... Si tu savais les tas de personnes que j'ai vu passer aux urgences pour overdose et dont la famille était persuadée que la drogue serait toujours là et qui ont baissé les bras pour leurs propres enfants... " Je soupire. Il a eu de la chance de s'en sortir, de ne pas sombrer encore plus, d'avoir des gens pour lui, à ses côtés. Se sortir d'un tel truc, c'est pas facile et on a besoin de soutien. Je n'avais plus l'envie de me droguer. Je n'en ressentais plus le besoin, loin de là... Mais je savais aussi très bien qu'un jour ou l'autre, l'appel de la petite boite de pilules oranges serait plus fort qu'auparavant. C'est comme ça... Mais j'avais le Quincy à mes côtés et je ne changerais ça pour rien au monde. Les moments avec Bona étaient plus chers les uns que les autres à mes yeux. J'étais bien avec lui, ses lèvres sur les miennes, sa main dans la mienne. Tout. Je l'écoute et souris largement quand il parle d'Argentine. " On part donc quinze jours " Soufflais-je en me tournant vers lui, un léger sourire sur le visage, toujours en petite culotte et talons hauts. " Ça me va.. " Soufflais-je avant de l'embrasser tendrement, collée à lui. Je souris contre ses lèvres, caresse sa joue gauche et dépose un baiser très furtif avant de me tourner vers mon placard et d'entasser les vêtements d'été. Short, robe, jupes, tshirt. Sans oublier les sous vêtements et les maillots de bain. J'enfile un jeans à la va vite, avec un tshirt par dessus. " Si tu veux boire un coup n'hésite pas. Il faut juste que j'appelle l'hôpital, que je prévienne Sienna de mon départ et on pourra y aller " Je souris au jeune homme, ramassant ma robe que je pose sur mon lit. Ça attendra mon retour dans trois semaines, je m'en fiche pas mal.
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« Il s’inquiète pour toi, que tu tombes sur le mauvais gars. Il ne me connait pas, peut-être qu’en apprenant à me connaitre, il changera d’avis… Les amis veulent toujours notre bien mais comme on dit : l’enfer est pavé de bonnes intentions » lui dit-il inconscient qu’il avait lui-même creusé sa tombe en rencontrant ce fameux Priape -du moins, lors de leur rencontre, il se nommait plus Preston que Priape. Bonaventure ignorait également que le meilleur ami de sa compagne n’avait fait que chercher un bon prétexte pour être contre cette relation. Comment voulez-vous lutter contre les préjugés des gens ? Si vous en aviez la réponse, prière de l’adresser à ce jeune homme, il l’attend toujours. Priape devrait toutefois se méfier d’une chose : lorsque le métisse est amoureux, il ne recule devant rien pour protéger son amour. Bonaventure avait trop morflé dans la vie pour perdre son bonheur sans se battre alors, si cet homme voulait la guerre, il l’aurait à coups sûrs. « Je sais trésor mais tu m’as moi. Je veux te soutenir dans ce combat qui ne sera pas un parcours de santé. Je sais que même si tu es clean, il y a un risque de rechute. Je ne me voile pas la face, on n’arrête pas d’un claquement de doigts mais je serais là, à tes côtés pour te tendre la main aussi longtemps qu’il le faudra parce que tu es très importante à mes yeux » tenta-t-il de la rassurer en l’embrassant délicatement sur la tempe. Oui, Andrea pourrait compter sur son soutien dans les bons comme dans les mauvais moments.

Leur voyage se profilait doucement à leurs consciences : la durée, la destination. Il ne manquait plus que de s’envoler. « Je compte sur toi pour être patiente avec moi dans l’avion car j’ai beau l’avoir pris souvent, j’ai toujours peur dans ce tas de ferraille » grommela-t-il tandis qu’elle l’embrassait, collée à lui. Ses bras s’enroulèrent autour de sa taille, ses mains allant et venant sur son dos nu. S’ils n’avaient pas été aussi pressés de partir, sûrement l’aurait-il convaincu de s’allonger avec lui sur son lit et plus si affinités. « Je dois prévenir aussi quelques amis de mon départ sinon ils vont faire une syncope » lui dit-il en sortant son portable pour distribuer quelques sms. « Sienna… C’est fou mais ce prénom me dit quelque chose » lui dit-il en fronçant les sourcils. Où est-ce qu’il en avait entendu parler ?!

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Je l'écoute et hausse les épaules. Oui, Priape veut mon bien mais là, il y a des limites. Il suffit de se diriger à la Quincy House et de demander aux gens qui est Bonaventure pour se rendre compte qu'il ne ferait pas de mal à une mouche. Il couche avec qui il veut, ça ne me regarde pas. Enfin, il couchai avec qui il voulait. Maintenant, ça me regarde et je n'accepterais pas qu'il me trompe ou même qu'il pose ses lèvres sur celles d'une autre. Embrasser c'est pas tromper. Mon cul, c'est tout aussi pire. Après, quand on est une pute, on est une pute. Mais je doutais vraiment que ce soit le cas de Bonaventure. Je le connais depuis quelques temps maintenant et il n'a jamais été que douceur et gentillesse avec moi. Même quand nous discutions via ordinateurs interposés.. Je l'écoute et souris. " T'es vraiment l'homme parfait... Tu veux pas aller lui dire ça ? " Lançais-je sur le ton de la déconade mais pas tant que ça non plus. J'avais besoin d'aide pour faire ouvrir les yeux à mon ami, que je considérais comme mon meilleur ami à vrai dire. Il avait réussi à s'immiscer dans ma vie petit à petit et à avoir une des place les plus importantes qu'il puisse exister... Il avait la place la plus importante dans mon petit coeur avant que Bona ne débarque. Il doit bien exister un proverbe qui dit qu'un seul être peut bousculer votre vie et devenir le plus important en un claquement de doigt. Bon, ça n'a pas été aussi rapidement que ça avec le jeune Quincy... On s'est cherché, on s'est trouvé. Séparés puis retrouvés. Et je ne regrettais ça en rien... Un peu de piment dans cette vie trop plate. Je me retiens de rire à cette réflexion. Comme si ma vie n'était pas assez mouvementée ! Je le regarde avec de grands yeux quand il me dit qu'il risque d'être un peu flippé. " Oooh, c'est trop mignon " Je fais une petite bouille bien mignonne, comme ces peluches aux gros yeux globuleux qui ont la côte ces derniers temps. D'ailleurs, on a oublié monsieur nounours chez lui. Et les roses aussi.. Merde. De toute façon, ici ou là haut, elles auraient fini dans le même état : fanées. Et ça me gêne qu'il ait dépensé de l'argent pour rien... Même s'il n'était pas dans le besoin, lui. Je me détache de lui et enfile une tenue simple. C'est juste pour ne pas avoir à me balader seins nus à l'aéroport quoi ! Exhibitionniste, voilà ma prochaine occupation ! Il a des amis à prévenir et moi, je n'ai que Sienna à prévenir puisque les autres... C'est tendu. Il y aurait Leanne aussi mais je crois qu'elle a autre chose à penser que de savoir que je pars... " Je t'en ai déjà peut être parlée, c'est ma meilleure amie depuis qu'elle est arrivée à Harvard il y a quelques années. Une grande blonde dont la réputation de coureuse de caleçon l'a précède " Faut dire que Sienna elle s'éclate avec les hommes. J'espérais juste qu'il ne me balancerait pas qu'il y avait eu quelque chose avec elle parce que là, c'était direction le bûcher !
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« Je suis loin d’être l’homme parfait… Je cherche juste à faire de mon mieux pour te rendre heureuse, là est la nuance » rétorqua-t-il avec un léger sourire. La perfection n’existait pas mais s’il devait retenir quelque chose de sa relation passée, c’est que dans un couple, il faut faire des efforts. L’amour n’est jamais acquis, c’est un travail quotidien pour faire comprendre à l’être aimé que l’on pense encore à lui, que l’on a toujours cette volonté de le séduire. Cela pouvait sembler naïf, qu’au bout d’un moment la routine s’installe. Et alors ? Cette dernière n’avait jamais tué personne mais là où elle était fatale pour de nombreux couples, c’était justement parce qu’ils se reposaient sur leur laurier. Où était-le mal d’avoir une vie douce et calme auprès de l’être aimé ? Au contraire, c’était tout ce à quoi il aspirait dans la vie. En dehors cela, rien n’empêchait de pimenter le couple avec quelques petites attentions, des voyages, des passions en commun. « Mais je veux bien aller lui parler si tu en ressens l’envie » ajouta-t-il bien qu’il n’aimait guère parler de son passé de junkie -pas certain d’ailleurs que cela joue en sa faveur auprès de Priape.

Bonaventure ne put s’empêcher de lever les yeux au plafond tandis qu’Andrea s’extasiait sur sa phobie des avions. « Tu trouveras ça nettement moins mignon lorsque je te broierai la main quand l’avion décollera » râla le métisse avant de secouer la tête, allant simplement s’asseoir sur le lit pour la regarder s’habiller et faire son sac. D’une main, il attrapa un maillot de bain qu’elle avait négligemment jeté sur ce dernier. « Joli… j’ai le droit d’exiger que ce soit la première chose que tu portes ? » demanda-t-il avec un sourire taquin avant que le sujet de Sienna ne vienne sur le tapis. « Peut-être mais je suis certain de l’avoir entendu ailleurs ! Je sais ! Summer ! Une de mes meilleures amies… Il me semble que son actuel petit-ami a eu une brève liaison avec elle » s’exclama-t-il, ravi d’avoir pu se sortir cette obsession de la tête. C’était un grand malade de temps en temps, capable de rabâcher un truc jusqu’à ce qu’il le remette dans le contexte. « Trésor, nullement mon intention de te presser mais si on veut pouvoir profiter des derniers vols, on a intérêt à se dépêcher tout de même un peu » lui dit-il après un bref coup d’œil à sa montre.
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" Tais toi pour voir ? " Demandais-je en souriant. Si je dis que c'est l'homme parfait, c'est que c'est le cas. Et là, les mots de Priape me frappent en plein visage. Ne pas lui accorder le bon dieu sans confession, ne pas aller trop vite. Et là, c'est clairement ce que je suis entrain de faire, aller trop vite. On va partir en vacances ensemble alors qu'on est ensemble depuis moins de dix jours. Je suis entrain de brûler les étapes et le stress que j'avais réussi à contrôler jusque là reviens petit à petit. Je peux lui faire confiance, le soucis n'est pas là. C'est juste que j'ai peur de faire mal, de me brûler les ailes. " Non, laisse tomber... Ça ne servira à rien " Et puis, j'ai beuglé sur Priape parce qu'il racontait tout à sa copine et qu'elle était venue me faire la morale... Alors si on pouvait éviter de faire la même chose, ce serait sympa. Il finirait par revenir, on finir par s'excuser et tout ira bien dans le meilleur des mondes... C'était toujours comme ça de toute façon avec le jeune papa. Et si cette fois dérogeait à la règle, ce ne serait pas pour rien. J'ai besoin de gens qui croient en moi autour de moi... Et Bona est de ceux là. De ceux qui foutent un large sourire sur ton visage, qui te font te sentir bien.. Et c'est tout ce dont j'ai besoin pour le moment. Et puis, il y a plus important. Comme préparer sa valise pour partir ensemble faire un petit voyage en amoureux. Se retrouver à deux loin de tout, former un cocon, se découvrir, s'oublier, ensemble... " J'étais phobique avant aussi, je sais ce que c'est... Tu ne me fais pas peur " Riais-je légèrement. Dans l'avion pour aller au Summer Camp, ma voisine m'avait broyé la main, tellement elle avait eu peur. Et pourtant, nous n'avions que traverser le pays. Pas de vol international, non non... Rien de bien dramatique. Même si, vol national ou pas, un accident est un accident. Je lui arrache le maillot de bain des mains et l'enfonce dans ma valise. " T'as rien le droit d'exiger de rien du tout oui " Soufflais-je en souriant largement. Ce serait le premier maillot de bain que j'enfilerais, juste pour lui. Si on était pas pressée, je le passerais même maintenant pour qu'il voit l'effet de ce une pièce plus que révélateur... Et puis je termine cette valise, je prépare mon sac à main. Lunettes de soleil, passeport, un livre pour le trajet... Et je l'écoute tout en préparant mes derniers essentiels. Je file dans la salle de bain et m'arrête nette. " Tu connais Summer ? Sienna a eu une aventure avec Paris ? Elle ne m'a donc pas tout dit ! " Alors elle, elle va se faire engueuler quand je mettrais la main dessus au Spring Break. En tout cas, ça m'arrache un sourire de savoir qu'il connait Summer. On a bossé ensemble l'année dernière et elle est géniale comme nana... Je lui passe devant, attrape un gilet que je passe et l'embrasse. " Ça va... Je regarde juste si j'ai rien de périssable au frigo histoire de descendre la poubelle et on y va " Je tire ma valise victoria secret en cuir noir jusque devant la porte et file dans le frigo. Rien à part du jambon. Bon, je ne vais pas lui faire l'affront de lui demander s'il veut manger du porc... Le paquet est ouvert, je le prends et le mets à la poubelle. Du lait. Je le vide dans l'évier et hop. Poubelle dans une main, valise dans l'autre, je le regarde. " Hop hop hop, on y va ! " Je ris légèrement. Oui, je le presse maintenant, c'est drôle.
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Bonaventure avait hoché la tête. Si Andrea ne souhaitait pas qu’il s’en mêle, il n’allait pas le faire jusqu’à une certaine limite, il va de soi. Hors de question que de rester spectateur de la démolition de son couple. Priape avait le droit de donner son avis mais le métisse lui interdisait de salir ce qui se passait entre Andrea et lui sinon, il allait rapidement comprendre que derrière sa façade angélique, c’était bel et bien un démon qui s’y cachait. Le jeune homme se força alors de ne plus y penser car lui-même allait se mettre à douter. Oui, comme par exemple se demander si Andrea ne choisirait justement pas Priape au lieu de lui, l’amitié contre un amour naissant. C’était idiot mais cela lui faisait peur, qu’au final, on arrive à lui monter le bourrichon contre lui et qu’il la perde. Ce voyage tombait à pique, il aurait quinze jours pour lui donner la force de croire en eux, de croire en lui et surtout des souvenirs pour lutter contre les mauvaises pensées, les mauvaises paroles. Bonaventure s’était trouvée une nouvelle mission : protéger leur amour naissant.

« Alors je dois me taire et maintenant ne rien exiger ? Femme, rappelle toi qui est l’homme »s’amuse-t-il à dire avant de rigoler, ne perdant pas à l’esprit que ce maillot de bain était déjà en haut de son top 10. La conversation se poursuivit et il hocha à nouveau la tête. « Je ne sais pas si aventure est le mot exact mais pour moi, une personne qui couche plusieurs fois d’affilé avec une autre personne… c’est ce que j’appelle une aventure qu’elle soit de nature exclusive ou non mais je suis un peu trop terre à terre » haussa-t-il des épaules. « Mais effectivement je connais Summer, nous faisons souvent de la photographie ensemble… Avec Amanda, nous formons même un sacré trio » lui dit-il en gardant pour lui que la première l’avait embrassé sur un coup de tête et qu’il avait couché avec la deuxième. Les deux actions se déroulant bien avant qu’ils se mettent en couple, il partait du principe que cela ne la regardait pas surtout qu’il n’y avait aucune ambiguïté dans le trio. « Et toi ? tu connais Summer également ? » lui demanda-t-il avec curiosité tandis qu’elle vidait le frigo des denrées périssables. Puis, sa petite-amie eut le culot de le presser et il rigola. « J’y crois, elle manque pas d’air celle-là » s’exclama-t-il en lui chipant la poubelle des mains. « Tiens, prends les clés de la voiture, je vais jeter la poubelle » lui dit-il en lui tendant les clés de sa voiture garée sur le parking devant son immeuble.
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Je fronce les sourcils quand Bonaventure tente de me rappeler qui est l'homme dans le couple. Je sais très bien qu'il rigole alors je ne dis rien, absolument rien. " Tu vas voir toi, qui est l'homme. On vit plus à l'âge de pierre mon beau " Et je continue de l'enquiquiner, de le titiller et tout ce qui va avec. Oui, je fais ce que je veux, je suis une femme libre. Je sais très bien que Bona sait à quoi s'attendre avec moi s'il devient à être enquiquinant, à me dire quoi faire et ne pas faire. Il peut donner son avis, aucun problème là dessus mais ça s'arrête là. La petite copine écervelée, c'est pas moi. Et je lui mettrais dans la tête s'il le faut. Enfin, je sais bien qu'il dit ça pour détendre l'atmosphère, pour me faire sourire et il y arrive. " Moi je veux que tu te balades torse nu toutes les vacances si c'est ça " Allez, on peut faire un deal. Lui torse nu et moi en maillot de bain à me dorer la pilule... Je ne connais pas l'Argentine mais je doute qu'on ne va faire que ça. Je me demande même où est-ce que l'on va dormir ce soir pour le coup... C'est quand même pas mal inconscient de partir comme ça non ? J'ouvre la bouche pour lui en parler et me ravise. Aucun doute Andrea. Même dormir sur le sable dans ses bras, ça m'ira parfaitement. Et puis, je pourrais porter ce maillot sur la plage. On arrive rapidement à parler de Sienna et je souris. Oui, c'est ce que je qualifierais d'aventure mais on parle de Sienna là. Ce serait plutôt un plan cul régulier pour elle. À moins que ce qu'elle ressente pour lui date de cette époque.. Je me demande si tout ça n'est pas arrivé quand je n'étais pas là parce que je trouve ça vraiment étrange qu'elle ne m'en ait pas parlé. Elle ronchonne encore après Chase mais elle a eu une aventure après ? Sacré miss Rose ! Je l'écoute et me concentre bien quand j'entends qu'il forme un trio avec ces deux jeunes femmes. Inspire, expire Andy. Je suis jalouse, je l'ai toujours été et le serais toujours. Mais je sais que Summer est accroché à Paris comme un koala à son bambou. C'est cette Amanda qui attire plus mon attention. Il faudra vraiment que je fasse mes recherches. " On a bossé ensemble l'année dernière à l'hôpital. Elle était en traumato pendant quelques temps " Lançais-je pour répondre à sa question. On a bien sympathisé à l'époque, on se dit bonjour quand on se voit, on discute un peu mais rien de bien sérieux et d'intimes. Mais il faudrait peut être que je passe par elle pour apprendre qui est cette Amanda et si je dois me faire un quelconque soucis... Je n'ai vraiment pas envie de me lancer dans quelque chose où je vais devoir passer mes journées à me battre, vraiment pas... " J'ai de l'air plein les poumons " Lançais-je en inspirant un bon coup, faisant remonter ma poitrine. J'éclate de rire et ferme la porte derrière nous, presque pressée de partir. " Tu sais pas où c'est, laisse moi y aller " Lançais-je en tendant la main pour qu'il me prenne la poubelle en attendant l'ascenseur. Il est bien capable de prendre les escaliers pour me paumer sur le chemin. Je ne peux vraiment pas le suivre avec des talons pareil. " Bona... " Soufflais-je alors que j'entrais dans l'ascenseur, attendant sur lui. J'ai du mal avec les surnoms affectifs mais je pense que si je l'avais appelé chéri ou mon amour, j'aurais récupéré ce plastique noir en un claquement de doigt.
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« Ah bon ? Nous ne sommes plus à l’âge de pierre ! Mince… on me dit jamais rien à moi, faut toujours que je devine tout » plaisanta le Quincy car c’était bien là une plaisanterie. Il n’avait aucune prédisposition au machisme. Entre sa mère et sa grand-mère, il n’avait pas eu le temps de développer ce travers sous peine de se voir pendu par les deux oreilles aussi sec. Mme Weasley était une féministe convaincu et son mari avait intérêt à filer droit sous peine de se voir obligé de coucher sur le canapé. Combien de fois Bonaventure avait surpris son père à dormir sur le sofa ? énormément de fois et pourtant, ses parents s’aimaient comme au premier jour signe que les conflits ne signifiaient pas la fin du monde. « Je sais pas… on peut négocier ça contre ce merveilleux maillot de bain » proposa-t-il avec un grand sourire non sans lui voler un baiser. S’il ne l’embrassait pas de temps en temps, il allait y perdre la raison.

Inconscient des pensées de sa petite-amie sur Amanda, le métisse lui souriait. « Le monde est vraiment petit mais je me doute que vous soyez toutes les deux en médecine fait que les probabilités d’une rencontre sont plus grandes » lui dit-il avant qu’elle ne le presse à son tour pour quitter l’appartement. « Mouais fais la maligne… je devrais peut-être réserver des chambres séparés en Argentine » la taquina-t-il même si de vous à moi, il serait bien incapable de s’endormir loin d’elle. En quelques jours de relation, Bonaventure avait pris goût aux rares nuits qu’ils avaient passé ensemble et le moins qu’on puisse dire, c’est qu’il avait apprécié de s’endormir en la tenant dans ses bras. « D’accord mais laisse-moi ta valise que je la mette dans le coffre en attendant » capitula en lui tendant le sac poubelle et en s’emparant de la fameuse valise. « Fais-moi penser à l’aéroport de prendre un guide sur l’argentine ! J’ai envie de voir du pays » lui dit-il. Avait-il précisé que rester à ne rien faire si ce n’est se dorer la pilule n’était pas son truc ?! « On pourrait profiter du voyage pour visiter, changer de ville et d’hôtel chaque soir ? Je te promets que tu dormiras toujours dans le confort le plus total » lui assure-t-il, se rappelant qu’elle lui avait expliqué qu’elle n’appréciait pas de dormir en dehors d’un lit et loin du confort.
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