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J'enfile ma robe dorée et ronchonne parce que je n'arrive pas à la fermer. Non mais c'est pas possible putain ! Je m'énerve comme une dingue et finis par la laisser glisser le long de mon corps. Je pars chercher un lacet dans le placard à chaussures à l'autre bout de l'appartement. Je suis nue, presque complètement. Mais ce n'est pas comme si quelqu'un allait venir me gêner. J'ai vu Priape et Zoya fouiller dans mes affaires hier et je leur ai dis ma façon de penser. Oui, je me drogue et ? Enfin, me droguais. Parce que je n'ai plus rien pris depuis ma dispute avec Bonaventure, le même jour où je me suis disputée avec Priape. J'ai décidé d'arrêter pour mon petit ami, pour nous donner une chance parce que je sais que moi et oxycodone, ça ne le fera pas pour lui. Mais aucun n'a voulu me croire. Je soupire et commence mon mic-mac pas possible. Il est dix-huit heures et je suis sensée être à la salle à dix-huit heures trente. Je vais devoir me dépêcher et plus vite que ça ! Je remonte la fermeture à l'aide du lacet, je pose une légère touche de rouge à lèvres rosée, presque nude, une touche de parfum et j'enfile mes talons hauts. Je porte une robe de chez Elie Saab, une offre publicitaire et même si elle date d'il y a deux ans, je n'imagine même pas le prix qu'elle vaut toujours... Ces créations montent jusqu'à 7 000 dollars, c'est pour dire. J'enfile un pardessus de la même marque, couleur et collection et quitte l'appartement avec hâte. Je suis déjà bien en retard. Je monte dans ma voiture et me dirige près du campus pour aller aider aux derniers préparatifs de la soirée. Seulement, une fois devant le bâtiment, j'hésite grandement. Les soirées Dunster sont toujours intéressantes. Les soirées qu'on ouvre au public du moins. Et cette histoire de Cinquante Nuances de Dorée me tente vraiment. Surtout la pochette de paillettes. Oui, ça me tente mais je n'ai pas envie de les voir, absolument pas. Je ne prends même pas le temps de réfléchir plus, je fais demi tour et me dirige vers la Quincy House. On avait rendez-vous à dix-sept heures avec Bonaventure alors j'espère qu'il sera toujours à sa chambre. J'arrive rapidement devant la Quincy, je me gare et monte rapidement les marches qui mènent à leur résidence. J'attends qu'on m'ouvre, souris largement à la personne face à moi et file vers la chambre de mon petit ami. Je connais le chemin, je suis déjà venue une fois. Je frappe à la porte et attends qu'il m'ouvre. " Bona ? C'est Andy " Peut être qu'il est entrain de se préparer et qu'il ne m'a pas entendu frapper... Je ne sais pas trop. Je tourne la poignée et la porte s'ouvre. " Hey, y a quelqu'un ? " Demandais-je en passant la tête. Pourvu qu'il ne soit pas avec quelqu'un... Je ne m'en remettrais pas. Oui, Priape a réussi à me retourner le cerveau. Merci l'ami. Mais j'ai confiance en mon petit ami. Oui. C'est lui que je dois croire. 
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Ce soir, Bonaventure avait rendez-vous avec sa petite-amie pour le bal des Dunster. Pour l’occasion, il avait été mettre son plus beau smoking chez le pressing. Monsieur désirait se faire classe et beau pour sa douce et tendre moitié car après tout, ce serait leur première sortie officielle. Il ne voulait pas la décevoir et malgré lui, s’était mis la pression. Le pire, c’était que nous étions le jour de la Saint Valentin et c’était leur première en tant que couple. Le métisse avait donc essayé de prévoir quelques surprises notamment un énorme nounours, des chocolats et un bouquet de rose rouges. Bref, il avait sorti la grande panoplie mais à présent que tout s’étalait sur son lit sous ses yeux, il commençait à douter. N’en faisait-il pas trop tout simplement ? Andrea lui avait confié qu’elle n’aimait pas cette fête et lui, qu’est-ce qu’il faisait : il l’abreuvait de cadeaux ; mais c’était plus fort que lui, Bonaventure aimait gâter ses proches alors sa petite-amie, l’élue de son cœur… Autant dire qu’il ne lésinait pas sur les moyens.

Pour être tout à fait honnête, il adorait la voir sourire et même rougir. Dans ces moments, elle était plus qu’irrésistible à ses yeux. « Bon, maintenant je fais quoi si elle m’invite à danser ? » se demanda-t-il car elle lui avait rapidement expliquer le coup de la pochette à paillettes et depuis, il en faisait des cauchemars. Bonaventure n’avait aucun sens du rythme, il était même un piètre danseur. Demandez-lui de jouer du piano ou même de chanter, et à la limite, il pouvait s’en sortir… mais danser ! C’était franchement lui demander la lune. « Bon une douche et on verra plus tard » grommela-t-il avant de partir prendre sa douche. Vingt-minutes plus tard, il était en chaussette, boxer et pantalon de costume. Sa chemise blanche, sa cravate et sa veste de costume noire reposaient sur le lit à côté des présents. L’optique de devoir danser continuait à le travailler. Qu’avait-il reçu comme conseil ? Ah oui, cette histoire de 1-2-3. Il ne perdait rien à s’entrainer n’est-ce pas ? Personne ne le verrait, il était seul dans sa chambre et Andrea ne risquait pas de débarquer à l’improviste puisqu’il était censé la retrouver à 17h. Aussi attrapa-t-il l’imposant nounours et commença à danser en marmonnant des « 1-2-3 et 1-2-3 ».

Perdu dans ses pas et surtout concentré sur la musique qui se diffusait à travers ses écouteurs, il ne prit pas garde à la porte qui s’ouvrait sur sa petite-amie. Non, il continuait de valser avec le nounours quand il tourna sur lui-même pour se retrouver face à face avec elle. « Euh… salut… » lâcha-t-il connement tant il avait franchement honte.
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Mon choix est rapide et je ne réfléchis pas trop. Non, je n'ai aucune envie d'aller à cette soirée et je ne vais pas passer la saint valentin avec mon petit ami et une gueule de quinze culs. Je préfère passer un bon temps avec lui, quitte à rester seul à la Quincy House. J'arrive rapidement à la maison des oranges d'ailleurs. On a pris une salle pas trop loin et c'est pas plus mal...  Je remonte ma robe sur mes chevilles alors que je monte les marches de la quincy house pour aller jusqu'à la chambre de mon petit ami. Je suis grande mais cette robe est tellement longue. Je n'ai pas envie de me casser la binette dans les escaliers, ce serait vraiment le comble. Je toque et attends. Rien. Ça m'inquiète. J'espère qu'il n'est pas déjà sur le chemin, il va croire que je le plante s'il ne me voit pas à la soirée. Certes, on a des masques mais bon... Je pense qu'il me reconnaitra quand même sans soucis. Enfin, je n'ai plus besoin de me poser cette question puisqu'il ne me verra pas avec mon masque. Je pousse la porte et je le vois de dos, un énorme ours en peluche dans les bras entrain de danser. Je ris légèrement et attende qu'il se rende compte que je suis là pour pas qu'il ait peur. " Euh… salut… " Je lui fais un signe de la main avec un large sourire sur le visage " Salut Patrick Swayze " Un peu plus foncé que Patrick Swayze mais bon, c'est trop ça. Je ris légèrement et ferme la porte derrière moi. " Je dérange ? " Demandais-je en souriant au jeune homme. Je pose mon sac à main près de la porte et me place à côté de lui pour l'embrasser sur la joue. " Cher nounours, si tu pouvais me laisser mon petit ami, ce serait sympa " Riais-je, me prenant totalement au jeu. Je suis pas jalouse d'un ours en peluche, loin de là, je trouve même ça super mignon pour tout dire... J'attrape l'ours en peluche et le pose parterre près du lit du jeune homme auquel je n'ai absolument pas fais attention à mon arrivée ni même là. Mes yeux glissent dessus mais c'est tout. Je me tourne vers Bonaventure et lui adresse un large sourire. " Bonsoir vous... " Je glisse mes mains sur ses abdominaux avant de les poser dans son dos. Je l'embrasse. Un vrai baiser sur les lèvres cette fois-ci. J'ai un large sourire sur les lèvres. Il me suffit d'être dans ses bras pour me sentir bien, pour me sentir mieux. " Ça va ? " Il a le corps tout chaud, cet ours en peluche a du lui tenir chaud. Bien. Je préfère ça à une femme ou autre. Je glisse mes mains sur son dos en lui souriant légèrement. Depuis qu'on s'est mis en couple, je vais bien, je me sens bien... J'espère que ça va durer, lui et moi, même s'il ne connaît pas la moitié de mon passé... C'est le présent qui compte non ? 
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Comment avoir la honte en même pas dix secondes par Bonaventure Weasley ? Laisser votre petite-amie vous surprendre en pleine valse avec un nounours aux proportions énormes. Oh il n’en menait vraiment pas large mais le sourire amusé d’Andrea vint le réconforter. Bah, comme on dit, le ridicule ne tue pas songea-t-il avant de rigoler. « Je vais prendre ça pour un compliment ! C’était un fichu bon danseur… Attends, tu ne serais pas fan de ce film ? Dirty Dancing ? » lui demanda-t-il sur un ton taquin avant de secouer la tête. « Oh que non, tu tombes même à point. J’étais en train de me dire que tu me manquais affreusement » répondit-il par la suite alors qu’elle approchait pour déposer un baiser sur sa joue et le débarrasser du nounours. Il rigola à nouveau, n’ayant pas le courage de lui dire qu’il était son cadeau pour la Saint Valentin, Andrea devait l’avoir compris, elle était loin d’être bête. « Bonsoir vous… Laisse-moi te dire que tu es plus que ravissante dans cette robe » la complimenta-t-il en prenant son adorable visage en coupe pour l’embrasser plus longuement encore. C’est fou comme elle lui manquait dès qu’elle n’était pas à ses côtés. Aujourd’hui, il en avait encore la preuve : sa voix, sa présence, ses mains sur son corps… Il était en manque dès qu’elle lui tournait le dos. « Je vais bien et toi ? Je te manquais tant que ça pour que tu arrives en avance ? » lui demanda-t-il après avoir consulté rapidement sa montre, de peur d’avoir été en retard.

Bonaventure serra sa petite-amie dans ses bras, frottant son nez contre le siens. « Bonne Saint Valentin trésor » lui dit-il en se détachant juste le temps pour lui, d’attraper le bouquet de roses rouges et de le lui tendre. « J’ai peut-être un poil abusé avec les cadeaux mais je ne savais pas quoi t’offrir… Je sais que tu n’aimes pas vraiment cette fête mais qui sait, avec les années, je finirais par te faire changer d’avis » ajouta-t-il avec un grand sourire, un bras autour de sa taille. De sa main libre, il lui releva le menton pour l’embrasser à nouveau, langoureusement. Il ne se laissait toujours pas de ses baisers et que dieu lui en soit témoin, il espérait que cela ne serait jamais le cas.

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La Saint-Valentin... C'est quand même une drôle de tradition. J'ai toujours fêté la saint valentin seule ou avec des amies. Oui, rarement de garçon invités, sauf Jules. Parce que Jules, c'était mon meilleur ami et qu'on a tout fait ensemble. Je suis même peut être tombé un peu amoureuse de lui à un moment où un autre. Mais ça n'a jamais été réciproque, notre amour n'est pas comme ça, pas comme ce que je partage avec Bonaventure. Je ris légèrement quand je le vois comme ça, à danser avec un ours en peluche. Franchement, si je n'avais pas envie de le vexer, je me moquerais bien de lui ! Ça fait tellement de bien d'être souriante, heureuse alors que je me voyais déjà pleurnicher dans ses bras pour toute la soirée. " Touchée ! C'est mon film préféré " Soufflais-je en parlant de Dirty Dancing. Patrick Swayze... Cette histoire, Time of my life ! Ça fait tellement longtemps que je ne l'ai pas regardé... Ça me donnerait presque envie d'embarquer Bona dans un marathon Dirty Dancing. Ok, il n'y a que trois films mais on pourrait très bien reproduire les scènes les plus connues de ce film. Celle de leur première fois tiens ! " T'es pourtant en très bonne compagnie " Soufflais-je en posant l'ours en peluche plus loin. Oui, il était en très bonne compagnie mais la mienne n'est que meilleure. Je l'embrasse et souris légèrement. " Oui, tu me manquais depuis notre petite séance de sport ce matin " Un petit message et on était parti courir au parc pour se voir et faire notre sport. Il court bien plus vite que moi, il a beaucoup plus d'endurance que moi mais bon... Un jour je finirais par le rattraper, on y croit ! " Bonne saint Valentin à toi aussi " Soufflais-je avec un large sourire sur les lèvres. Avec le quincy, tout semblait tellement plus facile. Je m'avance pour déposer une nouvelle fois mes lèvres sur lui mais il me contourne et enlève ses bras de moi. Je fronce le nez avant de me tourner et de le regarder, un énorme bouquet de roses rouges dans les bras. " Un poil abusé... C'est rien de le dire " Soufflais-je en prenant le bouquet dans les bras, comme un enfant. Je l'embrasse et souris contre ses lèvres. " Cet ours en peluche aussi est pour moi ? Ou c'est à lui que tu fais des câlins quand je suis pas là ? " Demandais-je avec un large sourire. " Pas que je sois jalouse mais je pense qu'il pourrait tout aussi bien me servir " Oui oui, moi aussi j'ai déjà pris l'habitude de passer des soirées avec lui. Une semaine de couple et il me manque quand il n'est pas là. J'ai promis à Priape de ne pas me dépêcher, de ne pas me précipiter mais c'est peine perdue. " Toi aussi tu es très sexy dans cette tenue... " Oui, il m'a fait un compliment tout à l'heure mais j'ai préféré l'embrasser que de lui répondre. " J'suis venue parce que... J'ai pas envie d'aller au bal au final... Je préfère rester avec toi " Une saint valentin tranquille entre amoureux. Et avant qu'il me demande, je soupire. " Je me suis peut être encore disputée avec Priape... Ce type m'use " Certes c'est la journée des amoureux mais bon, on peut bien parler de tout non ?  
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Bien que cinéphile, Bonaventure n’avait jamais vu le moindre Dirty Dancing. Il savait simplement que cela avait fait un carton dans les années quatre-vingt mais sans plus. Le métisse admettait qu’il était bien plus branché thriller, film d’aventures et d’action. De temps en temps, il vrillait sur un film d’horreur mais très peu. C’est un peu bête à le dire mais après, il se tapait souvent des nuits blanches. Le pire ? C’était d’avoir vu le film Saw tout seul comme un grand, les lumières éteintes -car c’était ainsi qu’il appréciait de mater un film ; Pour le coup, il avait dormi avec les lumières allumées. Elle était belle la virilité mais personne n’a jamais dit qu’il n’y avait que les femmes qui pouvaient jouer les froussardes. « Un peu trop silencieuse et poilue pour moi comme compagnie » plaisanta-t-il avant qu’elle ne l’embrasse et qu’il lui rende son baiser. « Tu as réussi à t’en remettre d’ailleurs ? » la taquina-t-il. Bonaventure avait essayé de réduire sa foulée pour la calquer à celle de sa petite-amie mais cela avait été assez ardue dans l’ensemble -non pas qu’Andrea ne courrait pas assez vite. En réalité, le métisse était un sportif et surtout un coureur confirmé. Avant les attentats, il avait même intégré la ligue nationale d’athlétisme pour concourir sur le 100 et 200 mètres. Aussi, l’endurance était quelque chose qu’il travaillait depuis des années, depuis qu’il avait commencé à courir lorsqu’il était enfant. Néanmoins, il devait admettre qu’il avait apprécié cette séance de sport. Tout était bon pour la voir de tout de manière.

Le métisse termina par lui souhaiter la bonne Saint Valentin, lui offrant un bouquet de roses un peu trop majestueux. A la réponse de la jeune femme, il grimaça un sourire d’excuse. « Désolé, j’ai pas pu résister à l’envie de te gâter… Et oui, ce grand bonhomme est pour toi, pour qu’il me remplace quand je ne suis pas là. Tu m’as confié que tu n’aimais pas être seule à l’appartement alors je me suis dit qu’il ferait une agréable compagnie » lui répondit-il avec un sourire tendre, la reprenant tout contre lui avant de froncer les sourcils. « Qu’est-ce qu’il s’est passé exactement ? Je veux dire si tu as envie d’en parler » reprit-il en s’installant sur le lit, pour mieux l’attirer sur ses genoux, déposant simplement un baiser au creux de son cou, comme pour l’inviter à se confier à lui.


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" Un peu trop silencieuse et poilue pour moi comme compagnie " Je ris légèrement en secouant la tête de droite à gauche. Non mais sérieusement ? Il ne faut vraiment pas qu'il vienne me voir à l'imprévu après une semaine de garde parce qu'il risquait de trouver un grizzli pour guise de petite amie ! Je ne me suis jamais épilée en seize ans en Afghanistan. Je me souviens encore bien la première après midi piscine après ma chirurgie cardio-pulmonaire... Qu'est-ce que je pouvais en savoir moi, qu'avoir les jambes douces c'était primordial ? On allait pas nager pour les jeux olympiques non plus, alors mes petits poils ne gênaient personne. Jusqu'à ce que je sois la risée de la classe et que Jules fasse une connerie encore plus grosse pour qu'on arrête de m'enquiquiner... Je le regarde et lui tire la langue. " Je te battrais à plat de couture un jour ! Je suis rentrée en courant un peu, j'ai cru que j'allais mourir en allant sous la douche.. " Mais la douche ça libère, ça décrasse, ça fait du bien fou après une longue séance de sport. Après, j'ai du aller bosser parce qu'il y a eu un problème aux urgences. Jour de repos, que nenni. Et ce soir, le bal de la confrérie. Bal auquel je ne souhaitais absolument pas aller après tout ce qui s'était encore passer dans ma vie ces dernières quarante huit heures. Un jour, je passerais une semaine tranquille sans soucis aucun. " Très agréable compagnie oui... Merci beaucoup " Et moi j'avais rien. Sauf une joli robe dorée et une petite culotte en dentelle vraiment très subjective. Je le laisse attirer sur lui et soupire quand il pose ses lèvres dans mon cou. " J'ai pas très envie d'en parler... Ça t'énerverait et j'ai envie de te voir heureux avec moi... En tout cas, je veux pas aller au bal. Je veux rester avec toi, dans tes bras " Soufflais-je en fermant les yeux quelques secondes. " Pourquoi cette putain de saint valentin est un dimanche sérieusement ? J'aurais tellement voulu partir un week end, partir d'ici. J'ai l'impression d'étouffer " Et lui, c'est ma bouffée d'oxygène. Oui, carrément... Mais c'est la vérité. Je ne me sens bien que lorsque je suis avec lui et ça... Ce n'est pas rien. Doucement Andy. Ou peut être pas... Parce que se limiter, se retenir, ça ne mène qu'à des questionnements inutiles, des occasions manquées. Et je ne veux rien louper avec Bonaventure, aucune aventure, aucun moment, rien...  
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« Mais ma chérie, libre à toi de rêver et d’y croire aussi fort que possible » s’amusa-t-il à lui répondre au sujet de la course, un sourire effronté étirant ses lèvres. Bonaventure avait l’âme d’un compétiteur donc autant dire qu’il voyait en sa petite réplique, un défi à relever. Cet homme était un cas désespéré pour la science que voulez-vous. « C’est dommage que mon cours de crimino m’attendait, je serais bien venu me glisser sous ta douche » soupira-t-il d’un air totalement dépité. C’est qu’il aimait les câlins sous la douche le monsieur enfin avant… A présent, c’était un peu plus délicat pour lui sans sa prothèse mais bon, dans certains cas, il pouvait faire un effort et la garder songea-t-il non sans humour. De tout de manière, Andrea avait du aller bosser, le temps avait joué contre eux. Au moins, il avait pu partager une petite heure avec elle, à discuter tout en courant car en dehors du sexe, des câlins etc. ; le métisse adorait échanger avec elle et cela ne datait pas d’hier. Depuis leur première rencontre virtuelle, Bonaventure avait apprécié la verve de cette femme, sa manière de s’exprimer, de plaisanter, d’argumenter. Aujourd’hui, le fait qu’elle soit devenue sa petite-amie ne faisait qu’accroitre cette envie de converser avec elle.

« Tu penseras un peu à moi comme ça » la taquina-t-il au sujet de la compagnie de l’ours en peluche. Toutefois, la légèreté de l’ambiance se teinta d’inquiétude quand elle lui apprit qu’elle s’était à nouveau fâché avec son colocataire et ami. « Mais je suis toujours heureux avec toi, c’est juste que je m’inquiète et que je n’ai pas envie que tu rumines… Par moment, parler fait du bien » tenta-t-il sans trop insister, la laissant lui confier son besoin de s’évader. Il la comprenait tellement. Depuis sa cure de désintoxication, le métisse avait la bougeotte. Il ne tenait guère plus de deux mois en place. « Rien ne nous interdit de partir… je veux dire, on passe à ton appartement, on prend un sac de voyage et on s’en va. Peu importe la destination, on prend le premier vol qui s’offre à nous et on s’en va ! On aura tout le temps de rattraper nos cours… Nous sommes jeunes, on a toute notre vie devant nous pour étudier, travailler. On pourrait tout simplement partir, toi et moi. Qu’est-ce que tu en dis ? » lui proposa-t-il soudainement. Bonaventure n’avait aucun souci d’argent alors offrir un voyage à celle qu’il aimait était une bonne façon de se faire plaisir. « Rien ne nous retiens… » ajouta-t-il comme pour la convaincre. Si Andrea voulait voyager, prendre l’air, elle avait trouvé le compagnon de route idéal : un homme passionné d’aventures, de voyages et de découvertes. Son homme.

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" Tu sais que tu devrais plutôt me faire croire que je vais y arriver ? Quel piètre petit ami fais-tu ! " Riais-je en fronçant le nez. Oui, un petit ami doit vouloir faire plaisir à sa douce... Mais je pense que Bonaventure a compris que je ne suis pas comme les autres, que j'ai pas envie qu'on me fasse croire monts et merveilles. Je veux de la vérité, de l'honnêteté... J'ai pas envie de vivre dans les faux semblants, loin de là. Je mords légèrement ma lèvre quand il parle de venir me rejoindre sous la douche. " Oui effectivement... Mais j'ai été appelée à l'hôpital dès que j'en suis sortie... On serait pas resté longtemps " Je souris légèrement. C'est ça quand on est d'astreinte... J'avais eu un coup de téléphone et hop, jeans, tshirt et direction l'hôpital. Je suis bien heureuse d'avoir mon appartement proche de l'hôpital quand j'y pense... Parce que les kilomètres - et les bouchons - c'est franchement pas cool quand on t'attends au travail... Déjà en temps normal c'est un calvaire mais quand il y a une urgence... Je l'écoute et soupire. Parler fait du bien, c'est vrai... " Il m'a pris la tête parce que je suis avec toi.. C'est le seul à qui j'ai dis pour nous deux et sa réaction a été... moyenne. Leanne lui a dit pour vous deux " Je déglutis avec difficulté. Il va vite comprendre que Priape a du me mettre en garde contre lui et tout ce qui va avec. Je baisse la tête. Je ne suis vraiment pas sûre que ce soit l'idée du siècle de lui en parler mais avec la prise de tête de Priape, je ne suis pas bien... Je l'écoute et le regarde. " C'est vrai ? " Soufflais-je en glissant une main sur sa joue. Je me lève et lui souris. " Alors on part. Ou tu veux " Je souris légèrement et l'embrasse. Il a le don, la facilité de mettre un sourire sur mon visage, de me faire me sentir bien. " T'es sur que ça ira avec les cours ? " Avec l'hôpital, je sais qu'il n'y aura aucun soucis puisque j'ai encore des jours de vacances et que les étudiants font un maximum d'heures avant de partir au Spring Break au Chili. " J'peux être très chiante. Au bout de quarante-huit heures avec moi, tu vas avoir envie de me tuer, tu le sais ça ? " Je ris légèrement avant de le tirer vers moi et de l'embrasser. " Au diable Priape et ses conneries, il n'y a qu'avec toi que je suis bien " Lançais-je en le regardant droit dans les yeux. Je ne suis vraiment pas le genre de fille à se mettre ses potes à dos pour un petit ami ou à les oublier... Mais là, ma vie est un vrai champ de bataille et j'ai besoin de mon pilier...
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« Si j’étais un petit-ami parfait, oui, il faudrait bien que je le fasse mais non… Et puis, je t’ai promis de ne jamais te mentir mon trésor… Ce serait mal de commencer maintenant » rigola-t-il, fier de sa connerie. Bonaventure pouvait être un amour, vraiment. Le genre de mec à vous apporter le petit déjeuner au lit, à vous complimenter, à vous faire vous sentir dans la peau d’une reine mais quand il s’agissait de compétition, il n’y avait plus d’amour qui tienne. Heureusement d’ailleurs qui ne se lançaient pas dans une partie de jeu de société car il était un affreux mauvais perdant -comme quoi, personne n’est parfait. Et puis, il aimait bien trop taquiner Andrea, la charrier, la faire rire qu’il ne s’imaginait pas être tout le temps parfait. Elle s’ennuierait bien vite. « Je sais et toi comme moi, nous aimons prendre notre temps » soupira-t-il car c’était vrai. Il n’aimait pas l’idée de la prendre à la sauvette et de s’en aller. Andrea était une femme qu’il aimait savourer point final.

En parlant de savourer… Il était servi mais cette fois-ci pas dans le bon sens du terme. Priape, son ami avait visiblement des réserves concernant leur relation notamment à cause de son aventure avec Leanne. Bonaventure ferma les yeux quelques secondes. « Il s’inquiète pour toi, c’est tout à son honneur » commença-t-il avant de soupirer à nouveau. « Est-ce qu’à cause de lui, tu as des doutes… sur nous deux ? » lui demanda-t-il prêt à sortir THE argumentaire pour qu’elle comprenne qu’il était bien trop amoureux d’elle pour songer à aller voir ailleurs ou même à ressentir l’envie de la blesser. Aussi, termina-t-il même par lui proposer cette idée de voyage. Qu’ils partent loin de tout, loin des commérages, des donneurs de leçons, qu’ils soient simplement libres de s’aimer sans qu’on vienne se mêler de leur histoire. « Oui ! Je veux voyager avec toi ! Ecoute, on verra sur place, à l’aéroport » s’exclama-t-il avec un sourire ravi, l’embrassant passionnément avant de l’aider à se relever pour mieux se diriger vers son placard et sortir son sac de voyage. « Je devrais bosser deux fois plus après le SB mais tant pis, ça en vaut la peine ! Qui te dit que ce n’est pas toi qui voudra me tuer ? De tout de façon, je prends le risque ! Je veux partir loin de tout ça avec toi » reprit-il alors qu’elle le tirait vers elle pour l’embrasser. « J’adore quand tu dis ça car je ressens la même chose… Allez, dépêchons-nous » lui dit-il après avoir déposé un baiser sur le bout de son nez. Son sac se fit en quatrième vitesse si bien qu’ils se retrouvèrent bien vite chez Andrea pour qu’elle puisse se changer et préparer des affaires. « Prends le minimum, on achètera tout sur place au fur et à mesure » Et quand il disait « on », il voulait bien sûr dire « JE ».
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