je suis pas bien du tout. J'ai besoin de lui. Il me dit qu'il ma pas demander quoi que se soit. J'aime pas du tout se genre de situation. Je le vois sortir. Avec le mal de crâne que j'ai mon cerveau a du mal a réfléchir a la situation. Je sais qu'il a mi du temps. Il ne prend pas place a coter de moi, mais sur le fauteuil. Je vien glissé mes doigts dans les siens.
t'eloigne pas ... je pourrais pas non je pourrais le perdre.
Je fixais à présent le sol, buvant tranquillement mon café et cherchant comment je pourrais changer la situation. J’étais carrément mal à l’aise et pourtant avant, je n’aurais pas pu me sentir mieux. Je la sens venir prendre ma main et je relève mon regard sur elle, pinçant mes lèvres. Je ne peux faire que m’éloigner présentement, j’ai franchi un pas de trop alors je préfère y aller au ralenti à présent. Toutefois, pour la rassurer, je m’efforce de lui sourire. « Je ne m’éloigne pas, je suis là… » Juste un peu plus loin en effet, mais je crois que j’en ai besoin et elle aussi apparemment.
Je suis si fatigué, avec la scéne qui vien de se passé, j'ai juste envie d'explosé en larme en le voyant s'éloigné. Je ne lui dirais pas pour autant. Je ne veux pas qu'il s'éloigne on était si bien. Je viens prendre sa main. Il me dit qu'il ne s'eloigne pas, J'ai tellement envie qu'il revienne sur le lit pour que je puisse mieux. Je crois que c'est trop demandé. Je me met sur le coté en le regadant, je lâché pas sa main. J'ai besoin de contact. Mes yeux sont plein de larme.
"Je sais que je l'ai pas dit Phil... mais je veux pas que tu t'éloigne pour autant, je sais que je ressens des choses très forte pour toi, mais voila j'ai toujours eu énormément de mal a en arrivé a ses deux mots... Il faut juste que tu me laisse du temps, mais je veux pas du tout qu'on ralentisse ou que tu t'éloigne, je sais une chose c'est que je pourrais pas avancé sans toi, je pourrais pas, j'ai passé des jours horrible depuis la dernière fois. J'ai besoin de toi plus que tout..." Oh oui
Je la regarde, je l’écoute et malgré tout, je ne peux me convaincre que je vais faire cela. Certes c’est de ma faute après tout, je n’avais qu’à voir comment elle agissait et pensait, mais là, il était trop tard pour revenir en arrière. Je devais simplement assumer et probablement m’éloigner un peu, bien qu’on vienne tout juste de se retrouver… C’est con dis donc. « Oui oui, prend tout le temps que tu veux. » Et d’ici là, j’allais mettre ce que je ressens de côté. De toute façon, j’étais plutôt bon pour faire cela, me mettre de côté. « Pas si horrible que ça si tu n’es pas revenue. » Après tout, c’était elle qui était partie, alors si elle avait tant voulu être à mes côtés, je m’aurais attendu à ce qu’elle essaie au moins de me recontacter. Je me recule un peu alors dans ma chaise, lâchant sa main et sortant mon téléphone de mes poches pour voir si j’ai des messages. Peut-être que je vais retourner chez moi finalement.
Oui j'ai passé un moment horrible. JE venais de lui dire que j'avais besoin de lui. Il me disais de prendre tout le temps que je voulais. MAis il resculais encore, il me disais que sa ne devais pas être si horrible que sa si j'étais pas revenue il lâchais ma main pour s'éloigné. Je me redressais brusquement. Je m'en foutais d'avoir mal fallais que je réagisse. J'avais la tête qui me faisais attrocement mal mais je m'en foutais, ce que je veux c'est lui et je compte bien lui faire comprendre. Mes larmes coulaient seul sur mes joues.
"Je suis pas revenue pour te laissé t'occupé de ta fille. Parce que je préfère me faire du mal et souffrire que te faire du mal, je ne peux même pas supporté cette idée... Tu es la personne la plus importante de ma vie, et si sa veu dire qui faut que je m'éloigne pour pas que tu souffre je le ferais j'en est rien a foutre de me faire mal, tout ce qui compte c'est toi! Sa toujours été toi, j'en tire aucun plaisir de m'éloigné de toi. J'ai pas dormi, j'ai presque rien mangé quand je le suis éloigné, mais cette douleur je voulais plus la voir." Je parlais bien plus fort qu'au départ, mes larmes coulait, j'étais entrain de m'enervé. J'étais assis sur le lit en le regardant.
En l’entendant, je remonte mon regard sur elle. Elle s’emporte et c’est de ma faute, je m’en veux. Je me redresse alors un peu et viens poser ma main sur son épaule. « Calme toi Mia, ça n’aide en rien les choses… » Se tenir et s’emporter ainsi ne devait vraiment pas aider son état, en plus de me faire sentir coupable de tout. Je n’aimais pas sa manière de parler. J’avais l’impression qu’elle ne se souciait pas assez d’elle, ce qui était certainement le cas d’ailleurs, mais comment le changer? « Je te crois, je te crois… mais tu ne peux pas tout laisser tomber ainsi. Tu dois faire attention à toi aussi, parce que ça n’ira pas toujours et tu ne devras pas te mettre de côté ainsi! Pour moi, c’est toi qui compte, alors je ne veux pas que tu te mettes dans cet état, que tu ne dormes pas, que tu ne dormes pas pour moi! Je ne crois pas que j’en vaille la peine… » Je baisse le regard, si je lui faisais autant du mal, pourquoi continuait-elle à croire qu’elle avait besoin de moi? Ce n’est pas sain.
Il posais sa main sur mon épaule il voulait que je me calme
"Si tu veux que je me calme arrête de dire des choses comme ça" Oh oui j'étais tendu après ce qu'il venait de dire. Il me disais qu'il fallait que je prenne soins de moins. Il osais me dire qu'il en vallait pas la peine. Je suis mal mais je rassemblait mes force. Je passais mes mains sur sa joue et je l'attirais vers moi pour l'embrassé avec passion même si sa me faisais mal j'avais besoin de l'embrassé. A la fin du baisé je le regardais dans les yeux
"Après sa tu crois vraiment que tu en vaut pas la peine . Je prenais sa main pour la serré dans la mienne.
"Tu en vaut la peine, je le sais Phil"
Je soupire un peu. Voilà encore que c’était de ma faute. J’avais l’impression d’être le pire homme au monde de lui faire vivre tout cela, de lui faire mal. Merde. « Je suis désolé… » Apparemment, je devrais aussi garder mes pensées pour moi. Conclusion : ne plus rien dire. Cela me semble plutôt une bonne option en effet. Je la regardais tandis qu’elle m’attire vers elle, finissant par m’embrasser. Je ne posai aucune résistance à cela, je prolongeai même jusqu’à ce qu’elle se détache. J’avais envie de recommencer cela encore et encore, mais je me doutais que cela lui faisait un peu mal, donc j’allais m’abstenir. Je serre à mon tour sa main dans la mienne. « Mais je ne t’amène pas que du bien, c’est ça que je déteste Mia… » Je ne pouvais pas tout régler non plus dans sa vie, je n’étais même pas capable de le faire avec moi-même.
Il s'excusait . Je venais de l'embrassé, il avait appuyé. J'étais clairement folle de lui. J'avais pas envie que sa s'arrête mais ma tête me lançais tellement que j'allais pas arrivé a appuyé se baisé. Il continuait en disant qu'il m'amennais pas que du bien.
"C'est faux Phil... je veux pas que tu penses ça." Je sers ma main dans la sienne encore un peu plus fort. Je l'attire vers moi. Je caresse doucement sa joue.
"Je veux juste que tu reste, j'ai besoin de toi, plus que personne d'autre..."
Je finis par revenir m’asseoir à ses côtés. Bien sûr que j’ai envie d’être proche d’elle, de la serrer –doucement- dans mes bras, mais j’étais toujours un peu blessé de ce qui c’était passé plus tôt, mais ce n’était pas sa faute. J’embarquais pleinement dans cette relation, peut-être trop mais apparemment, je n’avais pas de retenu. Soit j’essayais de tout repousser, soit je prenais tout. Pas de juste milieu et c’était à mes risques et périls. « Je veux que ton bien… ton rire, ton sourire, tes beaux yeux illuminés. » Je souris alors, c’était vraiment tout ce que je désirais et j’espérais que je réussirais à atteindre cela. « Maintenant? Parce que je dois dire à ma mère si elle garde Summer pour la nuit ou non là… » Si elle n’était pas prête après tout, j’allais attendre et certainement pas la forcer.
