Un accident qui sert Philia

J'avais tellement besoin de lui. Il me disais que lui aussi a besoin de moi. Il vien s'assoir a coté de moi. C'est la que je retrouvais la place qui m'avais manqué depuis des jours entier je venais me blottir dans ses bras. Il me disais de lui dire s'il me faisais mal.
"Je suis bien mieux maintneant..." Oh oui.
"Tu ma terriblement manqué..." Je n'avais pas arrêté de pensé a lui d'ailleurs il m'avait gené dans ma réfléxion pour travaillé, mais sa c'était ma faute je m'étais un peut barré quand même.

Je souris en l’entendant, elle est adorable et j’adore l’entendre ainsi. Ma main caresse doucement son bras tandis que je la regarde toujours. Elle est là. Je ne cesse d’ailleurs de me le répéter, comme si je n’arrivais pas à y croire. « Alors on reste comme cela… » J’avais toute la soirée devant moi et même la nuit si je demandais à mes parents de garder Summer. Ça lui ferait plaisir, j’en suis certain, et ça me permettrait de veiller sur Mia. « Je… je peux être heureux de l’entendre? » Je ris un peu, en effet, suite à la dernière fois qu’on s’était vu, je m’étais mis à douter de cela, dont le fait que je pouvais lui manquer.

Quand je lui disais que j'étais trop bien comme sa il me disais alors de ne pas bouger. Quand je lui disais qu'il m'avait terriblement manqué il était content que je lui dise.
"Plus jamais sans toi..." C'st pas possible. Je sentais les caresse sur mon bras. J'étais beaucoup moins tantdu maintenant que je suis dans ses bras.
"Tu sais quand le médecin repasse? Pou savoir un peu combien de tmeps je suis bloquer ici ce genre de chose." Je voulais pas le maniqué loin de la . Je me resserais contre lui un peu plus.

« Alors ne pars plus jamais comme cela… » Ce n’est pas moi qui avais voulu qu’on s’éloigne après tout, je n’avais eu aucun contrôle là-dessus, même si je comprends un peu pourquoi elle l’a fait. Mais si c’est le seul problème qu’on a, je sais très bien qu’on peut le régler, j’ai déjà commencé à travailler là-dessus. « Ils passaient te voir une fois à l’heure environ… et c’est certain que tu restes ici au moins pour la nuit. Mais je suis là, je te lâche pas. » Si je pouvais au moins lui faire ne serait-ce qu’un peu de bien, je vais clairement profiter de cette occasion. Je veux qu’elle sache que je vais toujours être là, même quand ça va moins bien.

J'étais la dans ses bras, enfin je l'avais retrouvé. Je lui disais que je voulais plus jamais être sans lui. Il me disais de plus jamais partir. Il continuait en disans que le médecin allait repassé, surtout que je restais la nuit ici, en même temps vu que j'ai la tête qui va un peu explosé je m'attendais pas aavoir le droit de sortir.
"Comment va Summer?" Oui je pose la question, elle reste le principal barrage au faite qu'on soit pas ensemble. Je me serais contre lui, j'avais besoin de son contact, de lui pour aller mieux.

Elle me parle de Summer et je souris alors. Même après ce qu’il s’est passé, elle s’en soucie encore et bien sûr, c’est important pour moi. Je sais que ça ne sera pas nécessairement facilement, mais je sais également que ma petite blonde est capable de s’adapter, s’habituer tout comme Mia qui doit aussi le faire de son côté. « Elle va bien… elle pose beaucoup de questions. Mais je crois qu’elle comprend enfin… qu’Amelia ne va jamais revenir. C’est un concept difficile à cet âge. » J’avais essayé d’être délicat avec elle en lui parlant de cela, mais il ne fallait pas non plus lui donner de l’espoir. « Je lui ai aussi rappelé tout ce qu’elle avait aimé chez toi, que tu resterais la même… » Après tout, il était clair que ma fille avait apprécié Mia au départ, quand elle ne la sentait pas comme une menace, alors il fallait simplement revenir là.

Il me disais que Summer allait mieux, qu'elle commence a comprendre.
"Rappel moi de ne plus prendre les devant pour lui parlé..." Oh oui, je voulais pas encore gaffé a nouveau, j'aurais bien parlé de Disney avec la petite, mais a chaque fois que les maman meurent bah la suivante elle est super maéchante, j'allais m'abstenir quand même.
"Tu crois vraiment qu'elle va m'accepté? Je veux pas lui faire du mal Phil..." Oh non je voulais pas blesser sa fille, je ne voulais jamais revoir cette douleur dans leur yeux... Je ne bougeais plus contre lui, j'étais enfin apaisé. J'étais a ma place.

« Il y aura de meilleures occasions Mia, ne perd pas confiance stp… » Je l’avais trouvé plutôt pas mal personnellement et on ne pouvait pas savoir comment Summer allait réagir, elle pouvait être très imprévisible. Je ne voulais pas non plus qu’à présent, elle n’ose rien faire avec elle, ça me dérangerait tout de même… Enfin je lui en demandais sûrement beaucoup. « Tu ne lui as pas fais de mal, c’est la situation… Et je crois bien que oui, elle s’adapte rapidement. » Qu’à voir comment elle avait agi ces derniers mois, cela ne faisait que le confirmer. Je tourne ma tête vers Mia et vient embrasser sa joue. J’espère qu’elle aura confiance en moi et me croira. Je veux vraiment qu’on essaie.

Il venait de me dire de ne pas perdre confiance.
"C'est a toi que je fais confiance" J'ai bien plus confiance en lui que moi même. C'est de la follie quand même. Il me disais que je lui avait pas fait de mal, surtout qu'elle allait s'adapté.
"Je... je peux pas m'enlever cette image quand elle c'est mi a pleuré, et votre regard a tous les deux. Je veux plus jamais le voir ..." Une larme coulait sur ma joue, la fatigue le stress, un peu de tout ça. Il venais embrassé ma joue. je venais prendre sa main et la serré dans la mienne un peu plus fort.

Je comprenais très bien quand elle disait qu’elle avait confiance en moi, puisque c’était réciproque. Toutefois, cela n’allait pas nous aider à avancer. « Et si moi j’ai confiance en toi, tu peux donc avoir confiance en toi aussi? » J’affiche un petit sourire. Probablement que mon argument ne fonctionnera pas, mais j’aurai essayé au moins. Puis je trouverai un autre moyen sinon pour qu’elle ne prenne pas de recul par rapport à Summer. « Ça arrivera plus… j’ai été surpris de la voir penser ainsi. Mais elle a déjà changé… » En effet, ça m’avait brisé le cœur de savoir qu’elle pensait ainsi, mais depuis, on avait beaucoup parlé. Je remarquai une larme couler sur sa joue et je viens la faire sécher. « Nous on te fait pleurer, ce n’est pas mieux dis donc. »