Home sweet home || Luska

Tu ne comptes pas me les offrir ?, je lui demande, faussement choqué. J'ai bien fait de jeter ça alors..., dis-je en regardant l'un des paquets de la poubelles, celui qui aurait la forme d'un album. C'est vrai qu'elle évite le sujet break, parce qu'il faudrait qu'on reparle de ce qu'on a fait pendant ces quelques jours. Et comme le dit Alaska, ou comme je l'ai entendu à la radio derrière mon volant en rentrant chez moi : Cauet à dit qu'être en break ne veut pas dire voir ailleurs. Et bien, on est dans la merde, on a pas respecté la règle. D'accord, d'accord, on en parlera plus tard, je répond avec un petit sourire, avant de lui dire que j'ai faim. Comment ça, moi pas faire de sport ? Tsss, tout le monde sait très bien que je suis le roi du sport, de la salle de muscu, la natation etc...Bon ok, mon seul sport c'est de manger. Ce n'est pas de ma faute si je ne grossis pas puis bon, je suis entrain de mentir, puisque je vais à la salle de sport...deux fois par....mois. Mais j'ai faim !!!, je répond à nouveau comme un bébé, à qui on viendrait de le priver de bonbon. Bien, pas de bouffe, alors ça sera la clope. Je me dirige à la fenêtre, l'ouvre, puis allume ma cigarette, ça va me détendre.

Tu secoue négativement la tête, avant de rire un peu, et poser un baiser sur ses lèvres. De toute façon ce sera ton fan #1 alors il va carrement en acheter un carton. « On a pas respecter les termes du break, que ce soit toi ou moi, alors à quoi bon en discuter ? » couple de l'année moi je dit, entre celle qui copule parce qu'elle est pas sûre de ses sentiments et celui qui se fait sa soit disant sœur de cœur, on est bien entouré. Le plus con dans cette histoire c'est qu'au final, vous vous aimez quand même. Deux fois par mois ? Laisse moi rire deux fois par an ouai. « Tu devrait t'entraîner plus souvent, ça te ferais du bien un peu sport plus d'une fois par an. » tu fronces les sourcils, depuis quand il fume ? Ou alors t'as jamais fait gaffe, ou alors il évite juste de fumer devant toi, tu te redresse pour prendre sa cigarette. « Boire oui, fumer non. Faut que tu m'aides à cacher les trucs que j'ai casser dans le salon. » dis-tu en lui faisant un signe, histoire que Sixteen se rende pas compte de tout ce qui a été endommager pendant la guerre.

Putain, au prix où elle va les vendre, ils ont intérêts à être bons ses bouquins, parce que sinon, je lui fou les livres en suppositoire. Hm...histoire que je sache si je peux te présenter entant que copine, ou seulement la femme qui aime me baiser, je lui dis en remuant la tête. Pas top, les gens aimeront la première option, tout comme moi mais bon, Alaska seule sait ce qu'il se trouve dans sa petite tête d'hamster. Quoi ? Attend c'est naturel tout ça madame, dis-je outré de ce qu'elle me dit, tout en relevant mon t-shirt pour lui montrer mon semblant de tablette de chocolat. Bref, je vais me détendre à la fenêtre profitant de l'air frais et ma clope. Sauf que non, Terminator est de retour et me prive de mon calmant. Euh non, je compte bien te regarder te faire détruire par Six, dis-je en rigolant, la suivant tout de même jusqu'au rez-de-chaussé. Voyant le bordel qu'elle a foutu, je regarde le vase éclaté au sol, et lui dis tout en faisant la grimace tu sais qu'il a coûté 759 000 $ ?. C'est officiel, Six va la tuer.

« Tu peut dire : hey, j'vous presente Alaska. Sans devoir mettre un titre sous mon nom, Watson. » quoi que si c'est à Madi ou Athéna qu'il compte te présenter, ce serais bien de savoir. Mais bon, c'est pas dès demain que tu envisageras de rencontrer la dite Madisson, encore moins en sachant ce qui s'est passer en Maroc. Bah quoi elle prend soin de lui en lui disant de faire un peu de sport, toi t'en fait pas mal quand t'es avec Maggie et ça te réussi plutôt bien, alors il devrait faire de même. Fin pas avec Maggie, quoi que tu peut lui prêter Maggie. « Avec ma sœur on court le dimanche matin, quand je décuve pas, si ça te dit. Comme ça tu vera à quoi je ressemblerais si jamais j'ai un gosse, un mari et soixante chat. » c'est à dire vous dans trois ans et quelque, parce que Nikkagie ça avait commencer comme ça aussi, et regardez où elle en est maintenant, elle se coltine son gosse – qui est aussi le gosse de cody, j'vous laissez imaginez le monstre – le gosse de Nikolaï et leurs 4 chats. Tu tire une latte pour éviter de penser à tout ça, toi t'as le droit, pas lui. D'ailleurs t'as besoin de son aide. « ça te ferais plaisir hein, comme ça j'irais en taule et tu pourras te tapper trois fois toutes les filles de la cabot house. » dis-tu en descendant les escaliers, tu manques d'ailleurs une marche en entendant le prix du vase. « COMMENT UN VASE PEUT COUTER AUSSI CHER ??? » le truc est fait avec des larmes de dragon ou bien ?

Okay..., pourquoi parler, quand je n'aurais pas ce que je veux ? Bref, si on me demande "tu as une copine", je répondrais seulement "je ne sais pas, allez demander à Alaska Granger", au moins eux, ils auront une réponse. Voilà, qu'elle continue de me casser les bonbons, en me parlant du sport, du fait qu'elle court avec sa sœur et que je pourrais venir avec elles. Merci mais non merci ! Généralement, le samedi c'est soirée entre potes DONC le dimanche, je suis entrain de faire un coma sur mon lit, répondis-je à sa proposition, tout en la regardant tirer sur ma cigarette. C'est ça, nargue moi va. Tsss, il est temps de jouer Cendrillon, parce que bon Six ne va pas tardé à arriver, et si elle voit l'état du salon, elle va piquer une crise. Je sais juste qu'il a été fait il y a je ne sais combien de siècle au Japon, parce que ouais, je m'en moque de l'histoire de ce vase. Ayant bon cœur, je m'accroupi enfin pour l'aider à ramasser les bouts de vases. Heureusement, il n'y en a pas tant que ça, mais bon.

« Tu peut pas reserver un samedi à ta probale-copine-alaska-granger ? » parce que bon, il avait fait des efforts et arrêter de sortir avec ses potes pour te faire plaisir, mais autant que couple, maintenant que c'est plus le cas, il peut tout de même te reserver un samedi dans le mois, non ? Vous descendez pour voir le massacre, en fait non, massacre été un mot trop faible. Tout les coussins été éparpiller un peu partout dans la baraque, un vase était en pièce, et un tableau été tomber à cause du poid des projectile. Tu grimaces et essaie d'imaginer le mentant des degats. « Je paierais si jamais elle est vraiment énerver, ou alors je vendrais un rein, ou je serais mère porteuse pour un couple de gay, ça paie bien. » et tu as un très bon utérus, d'après le gyneco. Tu ramasses les coussins et range ce que tu peut ranger. « La prochaine fois, tu peut aussi me dire de me calmer, je pense que ça éviteras tout ça. » dis-tu en essayant de voir les dégats du tableau.

Te réserver un samedi pour quoi faire ?, le sport c'est le dimanche matin, pourquoi lui réserver mon samedi ? Puis non merde, entre la fête, l'alcool et le sport, je préfère largement me torcher toute la nuit. Continuant notre chemin au salon, je vois une Alaska devenir blanche quand je lui dis le montant du vase. Mais non, t'inquiète pas je rembourserais, je lui répond en haussant les épaules. Puis bon, connaissant Six, suffise que je lui fasse les yeux de chiot pour qu'elle oublie tout et ne demande rien en échange. Surtout, si je joue la carte du "mec qui a le cœur brisé". C'est parti pour le ménage, chose que j'adooore faire. Morceau, par morceau tandis qu'elle s'occupe des coussins. Erreur Granger, si je t'avais dit ça, c'est le vase que j'aurais reçu dans la tête, dis-je en hochant la tête. Voir même, elle m'aurait sauté au cou pour m'étrangler. Ramassant tout les morceaux, j’atterris dans la cuisine pour jeter les bouts de vase, avant de vite jeter le sac dans la benne à ordures qu'il y a à l'entrée de l'allée. Voilà, terminé, dis-je tout en soufflant, après avoir tout nettoyé.

« Pour joué au monopoly avec moi ? » dis-tu en fronçant les sourcils, pourquoi reserver un samedi soir sinon ? Soirée pizza, monopoly et se dire des secret au creux de l'oreille. MAIS A TON AVIS ??? SERIEUSEMENT A TON AVIS ? Tu secoue la tête, pour chasser l'idée de faire une pyjama party avec Lucas mais aussi pour lui dire non. « Les Granger paie pour ce qu'ils ont fait. Je m'appelle pas Charline, je prend pas le fric du premier venue. » tu l'aime pas parce qu'il est riche, non, tu l'aimes pour bien d'autre chose et être riche n'est qu'un plus, parce que t'as pas a payer le cinéma et la bouffe. Tu ramasses les coussins, range comme c'était avant le cyclone Alaska, et rit quand tu entend sa réponse. « Vrai, tu me connais bien. Dans les deux cas, ce truc serai en miette. » tu réussi même à remettre le tableau à sa place, sans égratignure. Quel idée aussi de mettre autant de chose de valeur dans son salon. Quoi qu'il en soit, tu n'attend même pas que Lucas soit de retour dans le salon pour lui sauter dessus, l'embrasser à pleine bouche, sur la pointe des pieds et jouer avec sa ceinture. « On peut fêter nos retrouvailles maintenant ? » dis-tu d'un petit ton amuser.

Ooo ouais, lequel de Monopoly ? Oh je sais, je spécial Star Wars !!, parce qu'il n'existe pas celui d'Harry Potter. Tsss. Non, je dis ça pour la taquiner, faire semblant de ne pas comprendre sa réponse. Bien, elle veut copuler comme elle aime tant le dire. Je sais pas, on verra, je serais peut-être en mode "je te boycotte. Bien, je te réserve mon samedi, soit la vieille de la Saint Valentin et son anniversaire. Enfin, je dis ça, je dis rien. Olala, elle est son obsession de ne pas vouloir me laissé payer pour être. Bref, je roule les yeux alors qu'elle fait sa réflexion en faisant une comparaison à sa sœur, Charline. Ah ouais, elle je la connais bien. Enfin, elle aime faire chier sa sœur avec moi, en me faisant boire en soirée. Tu vois, je pourrais écrire le bouquin sur les Granger à ta place, dis-je tout en rigolant, allant jeter tout le bordel à la poubelle. Je n'ai même pas le temps de revenir dans le salon, qu'elle me saute déjà dessus. Elle est en chaleur ou bien ? Un air amusé sur le visage, je la regarde titiller sur ma ceinture. Hmm, je ne sais pas.....enlève ça pour voir, je lui répond avec ma voix de charmeur, tout en lui tirant sur son haut.

Si ça existe mais ça s'appelle pas Monopoly ! Quoi qu'il en soit, tu lui adresse un sourire, l'avoir pour la saint valentin et ton anniversaire devrait être cool, bien qu'il y est le stupide speed dating auquel tu vas participer. « On se fera un truc le lendemain aussi si tu veux, après le speed dating. » parce qu'il s'est inscrit aussi, pour toi. Pour que vous puissez vous foutre de la gueule des célibataires déséspéré au point de se faire un speed dating. C'est pas de ta faute si t'aimes pas qu'on te paie des trucs, tes parents sont des voleurs et des pieurs et tu préfères être leurs contraire que suivre leurs pas, sinon la voiture de Lucas serais déjà sur le boncoin. « Fait donc, je le dédicacerais pour les fans. » c'est qure qu'avoir cotoyer les Granger pendant le quart de son adolescence ça l'aide pas mal dans le sujet. Trève de bavardage, ton petit Lucas t'avais manquer. Ta baise avec Aaron été sympa, mais.. sympa sans plus. Avec Lucas c'est différent, c'est passionnelle et excitant à la fois. Tu ris et t’exécute, en virant ton tee-shirt de l'autre côte de la cuisine. « ça aussi, peut être? » dis-tu en laissant glisser ton jean au sol, pendant que tu te met sur la pointe des pieds pour l'embrasser. Un jour faudrai penser à inverstir dans un escabot.