Home sweet home || Luska

Je n'aime pas la voir, c'est horrible de la voir dans cet état. Je suis un bon acteur ? Ah merde, je savais que je n'avais pas choisit la bonne voix....tsss...Pourtant, tout en essuyant ses larmes, je continue de parler, de lui expliquer mon point de vue avant de finir par l'embrasser. Au diable la varice, elle va pas me casser les bonbons à me crier dessus pendant dix ans. Là, elle me perd deux fois plus en retirant son t-shirt, me demandant de faire de même. Hein ?, j'ai pas tout suivit là, pourquoi je dois me mettre à poil alors qu'on est entrain de discuter de nous, de ce qu'il s'est passé. Elle veut copuler, tellement romantique tout ça. Copuler pour mieux me plaquer ?, je lui demande tout en arquant un sourcil, alors qu'elle défait la ceinture de mon jean. Bon, bien, si ça la fait sourire, je veux bien lui donner mon corps. Un sourire aux lèvres, je retire enfin mon t-shirt, que je balance sur la porte, avant de venir l'embrasser.

Pourquoi vous torturez à parler quand vous pouvez faire autre chose. Pour être honête ta tête te faisait un mal de chien à force de penser à tout ça, tu revoit Madisson, tu le revoit lui, le soleil se couchant sur les dromadaire du Maroc, le thé vert, le calme. Et ça te donner clairement la gerbe. « J'ai plus envie de déclaration d'amour et de je veux que toi pour le reste de mes jours, j'veux de l'action. » il semble surpris, qui ne le serais pas ? Tu retires tout de même ton tee-shirt et ton jean par la même occasion, avant de littéralement lui sauté dessus. Après tout ce n'était qu'un petit bout de femme d'à peine un mètre cinquante, il survivra. « Je t'ai déjà plaquer, on est plus ensemble, mais on peut tout de même copuler n'est-ce pas ? » ami avec des bénéfices, ou juste avec des bénéfices. C'est comme faire du sport à deux après tout. Tu passes tes mains sur sa nuque et l'embrasse sauvagement, en l'aidant à retirer ses couches de vêtements au trop.

Bon, apparemment, elle ne veut pas parler, ou me comprendre. Enfin, à moins qu'elle en ait marre de tout mes longs discours qui expriment mes sentiments. Ou alors, elle est une handicapée des sentiments, et ne veut toujours pas en dire plus. Oh que non, elle préfère faire l'amour, enfin, vu qu'elle me saut dessus elle veut juste baiser. Elle confirme donc ne plus vouloir parler, mais vouloir de l'action, tout en me retirant tout mes vêtements. QUOI ?, je m'exprime en reculant légèrement, en étant seulement en boxer. Non, désolé je ne veux pas qu'on est d'action dans ce cas là, je lui répond tout en remettant mon jean. Non mais, madame vient se plaindre mais elle veut me sauter en simple ami ? Désolé, mais je ne veux pas de toi pour te soulager...non...pas comme ça, je lui dis en secouant la tête négativement. Alors là ma petite non, nope, je ne ferais pas d'elle un simple coup, une amie avec bénéfice. Il ne manque plus que ça.

Pas de discussion, juste de la baise, parce que sinon tu vas te remettre à pleurer, ou angoisser ou je ne sais quel autre réaction qu'Alaska Granger pourrais avoir. Alors tu lui fait comprendre, il semble être réactif au premier abord, il t'adresse même un sourire qui te donne chaud au cœur. Et ça te fais un bien fou, juste de pouvoir l'embrasser sans te dire : je vais encore foiré les choses, mais tu dit un truc qui va pas, et il se stoppe, il se rhabille, tu roule des yeux en rester sur le canapé. « Bien. » dis-tu en te redressant. Tu le pousse pour ramasser tes fringues. « PAS D'ACTION ALORS PAS D'ALASKA. » tu te rhabille, tout en lui jetant des regards noir, il t'enerve plus qu'autre chose, et tu te remet à pleurer sans savoir pourquoi. « J'veux pas parler de sentiment, tu m'aimes, c'est ton problème, apprend à vivre avec. Pour ma part, je n'aime personne, je n'ai jamais aimer personne et ça commencera pas avec toi. » c'est faux, tu l'aimes, mais tu doit avoir un système d'auto-défense pour les sentiments non avouer.

Putain, mais parfois, je me dis qu'on s'est trompé de maison. Elle qui aurait du être Mather, et moi chez les Lowell. Alors que je veux discuter, mettre les choses au clair, Alaska préfère s'envoyer en l'air, baiser sur le canapé. Sur le coup, je ne suis pas contre, bonne façon de se retrouver mais elle dit une chose qui me refroidit. On est pas ensemble. D'accord, dans ce cas elle n'aura pas gros Lulu. BIEN, pas d'Alaska dans ce cas, je répond en levant les yeux au ciel, tout remettant ma ceinture en place. Là, elle reprend la parole et dit des mots dur, difficile à entendre. Bien, je sais désormais que je peux me mettre la Saint Valentin au cul, et que je peux jeter mon premier exemplaire de mon album à la poubelle, en plus de la cassette de mes anciennes EP. Tu sais quoi Alaska ? Va te faire foutre, va te faire niquer par ce connard et ne m'adresse plus jamais la parole, j'en ai fini avec toi, je m'exprime en levant la voix, bien que cette dernière se mette à trembler à cause des larmes, de la rage qui monte en moi.

On aurait dû échanger effectivement, parce que la bitch qui prise des cœurs sur son passage, c'est toi. Alors qu'il fait une tonne d'effort pour que vous soyez ensemble. Le truc c'est que t'arrives pas à avaler le fait qu'il est coucher avec Madisson, c'est sa meilleure amie, sa sœur, ou sa je ne sais quoi d'autre qui serais incestueux. « TU PIGES QUE DAL LUCAS. Tu dis que c'est rien, que c'était qu'une fois, mais t'en sais rien. C'est ta meilleure amie, elle a toujours été là pour toi, alors dès que ça ira pas bien avec elle, t'ira la voir et ça se refera. » crois moi, t'en sais un rayon sur les relations entre meilleur ami, vu que t'as épouser le tiens. Tu lui crache ta haine au visage, parce qu'il doit comprendre, que les sentiments c'est pas très Granger et que de te pousser à en avoir, ne font que tu pertuber encore plus, comme maintenant, quand tu te met à trembloter en remettant ton jean. « J'y cours Lucas, c'est sûre que c'est pas toi qui va me baiser, tu la garder pour Madisson. » tu lui balance un coussin, vive les coussin du salon qui sont assez lourd pour heurter quelques chose. « ET ATHENA. » un autre coussin. « ET MARLEY ET J'EN PASSE. »

Non, mais je commence à en avoir plus que marre là. Elle va me parler de Madisson pendant combien de temps ?. Je ne vais pas me répéter, je ne vais pas encore lui cracher à la gueule mon amour pour elle puisqu'elle n'en veut pas, étant persuadée que je vais retourner vers ma meilleure amie. Ah ben si elle continue à me pousser vers elle, c'est sur que je vais y aller. Arrête avec Madisson ARRÊTE !, je lui hurle à la tronche, comme si Madi était devenue son obsession. Elle ne m'écoute pas, continue de partir dans son délire en mentionnant Athéna...What the fuck ? La seule qui n'a rien fait se retrouve mêlée à notre histoire, et Marley....ma femme pas bien aimé du tout. TANT MIEUX BONNE NIQUE ET OUAIS, JE VAIS PEUT-ETRE MÊME ME FAIRE LA TROIS EN MÊME TEMPS, je réplique, tout en essayant d'éviter son attaque de coussins géants. Secouant la tête, je la laisse là, dans le salon, remontant dans ma chambre, avant de péter tout ce qu'il y a dans le salon.

NON T'ARRÊTERA PAS. C'est même pas envisageable, à chaque fois que tu le regarde, tu les voit s'enlacer à l'aéroport, t'avais tellement peur que ce soit elle, ça aurait pu être n'importe qui, et il a fallut que ce soit elle. Il pouvais pas plus moche, plus petite et plus grosse que toi, non fallait que ce soit la parfaite Madisson, qui a aussi le titre de meilleure amie. Tu lui balance des coussins à la gueule, faisant tomber des cadres photos et des vases poser dans le salon, mais tu t'en fou, en fait tu voit plus grand chose à cause de tes larmes et ta voix se fane à force de crier. « FAIS LE, FAIS TOUT CE QUE TU VEUX, J'AI ARRETER DE ME SOUCIER DE TA PERSONNE QUAND TU M'AS SALEMENT TROMPER. » tu gueules jusqu'au escalier alors qu'il file dans sa chambre tel un enfant qu'on aurait gronder. Tu reprend ton souffle, et finit de te lamenter sur les marches de l'escalier. La maison est dans un été pas possible, finit de chialer, range et rentre chez toi. Bien que tu espère qu'il redescende pour nettoyez ce bordel avec toi. T'sais vraiment pas ce que tu veux, toi.

SI ELLE VA ARRÊTÉ SES CONNERIES ! Elle hurle encore et toujours, je crois que je ne l'ai jamais autant entendu hurler en cinq ans, c'est une horreur. Elle plus de me jeter des coussins à la tronche, madame trouve le moyen de fracasser les tableaux, mais aussi des vases. Putain, Sixtine va me tuer. Enfin non, je lui dirai que c'est la faute d'Alaska, comme ça, c'est elle qu'elle tuera. ON ÉTAIT PLUS ENSEMBLE PUTAIN DE MERDE, je hurle une dernière fois dans les escaliers. Finissant de monter les escaliers, je claque la porte de ma chambre, avant de me laisser tomber sur le lit et de hurler un bon coup. Putain, pourquoi je suis tombé amoureux d'une folle furieuse ?. J'attend que la colère redescende, mais ça ne marche pas. Du coup, je fais ce que je fais toujours pour faire redescendre la pression. Jouer de la guitare. Je prend ton mon petit bijoux que j'ai depuis plus de 5 ans. Sauf que là, je suis beaucoup trop énervé et ma colère me fait faire une mauvaise chose. D'un bon, j'explose ma guitare contre le mûr, tout en hurlant histoire d'exprimer ma rage.

NON JAMAIS C'EST UNE FOLLE. Après votre dispute, vous vous séparez, lui dans la chambre et toi au pied de l'escalier centrale, parce qu'y a pas qu'un seul escalier dans ce palace. Tu te calme en pleurant une bonne fois, un bon coup et te décide avant à te relever pour nettoyer ce beau foutoir. T'sais pas vraiment ce que t'as casser mais j'espère pour toi, que la proprio te redemanderas pas de payer, parce que tu vas devoir donner un rein pour payer ce tableau. Tu range le tout et entend un gros BOUM a l'étage. Sur le coup t'as pas trop envie de savoir ce qui se passe, la meilleure solution serais que tu partes, mais tu n'en a pas envie, tu as envie de savoir si il va bien, alors tu montes à l'étage et ouvre doucement la porte, pour le voir avec sa guitare à la main, enfin ce qu'il reste de la guitare. « Qu'est-ce que tu fou ? » dis-tu plus calmement, en pointant la guitare du doigt, non pas elle, elle est aussi vielle que vous.