kiss me under the light of a thousand stars ✩ aaron

T'aimes bien ce genre de surprise, t'aimes bien être surprise en fait, surtout maintenant. Et ça te rend toutes chose qu'il pense à t'en faire une. Alors pour le déconcentrer, tu passes ta main dans son pantalons pour joué avec son kiki du bout de tes doigts, tout en continuant d'embrasser sa joue, puis joué avec le lobe de son oreille. Tu affiches un sourire amuser quand il te dit que vous allez à l’hôpital, mais qu'est-ce qu'il raconte ? « On va où ? Attend, tu voulais pas qu'on aille faire un tour pour manger des gaufres ou un truc comme ça ? » dis-tu d'une petite voix, ça avait pas encore percuter, le temps que ça monte et que ça passe le système de protection, tu retires ta main et fait de gros yeux. « QUOI ? NON ! HORS DE QUESTION, ARRETE LA VOITURE. » dis-tu en cherchant un moyen d'en sortir. L’hôpital, il est sérieux ? Tu sortiras de là que dans trois mois vu le nombre de pilule que t'as avaler. « ARRETE CETTE PUTAIN DE BAGNOLE ! » tu décroches ta ceinture et essaie d'ouvrir la portière, sécurité enfant, sérieusement ???

T'étais plus du tout excité là, t'avais prèsque fait une crise cardiaque. Toi qui pensait aller manger une gaufre ou nager dans la piscine municipale au milieu de la nuit, tu venais clairement de te faire douiller. Tu tapes sur son épaule avant de reprendre ton calme, et ton souffle, histoire de pas faire une crise cardiaque et effectivement : finir à l’hôpital. « Me fait plus jamais ça. » dis-tu en ouvrant la fenêtre pour prendre l'air. « ça m'aide à calmer mes crises de bipolarité, parfois je me laisse mourir sur le sol de al douche jusqu'à en avoir marre et je me lève pour faire des choses stupides comme.. danser en sous vêtements sur du Céline Dion. » et parfois, il arrive qu'une âme généreuse débarque pour te sauver de tout ça, comme ici, comme maintenant.

« On a essayer, mais leurs traitement sont super chiant. Faut avoir un suivit psychologique tout ça, et avec tout ce que je fais tout les jours, tu penses que j'ai le temps pour un suivit psychologique ? » tu te tourne vers lui, un sourire amuser. Tu pensais que vous êtiez fait du même bois, obliger de contourner les règles pour que ça marche, que la drogue c'était sympa et qu'il aimais le faite de se laisser aller en dehors de ce qui est conseiller pendant plusieurs heures, sans ce soucier des conséquences. « Merci de ne pas m'avoir laisser sortir toute nue, je serais surement encore plus malade demain, si tu m'avais laisser faire. » c'est ça le soucis avec la bipolarité, tu es dans un état second, comme si ta tête te disait de faire des choses que le reste de ton corps n'approuve pas. Je pense que si tu avais ta tête tu n'aurais pas coucher avec Aaron, mais ce qui est fait est fait, et tu ne regrette pas vraiment en sachant le nombre de fois ou tu as fantasmer sur lui. « On fait quoi maintenant ? On peut arriver à l'heure pour le petit dej du maco ou alors on peut juste.. s'arrêter et refaire ça sur la banquette arrière, comme tu le sent. »

Tu laches un petit rire, tu ne le savait pas toi même alors comment pouvait-il savoir ? Tu te tourne vers lui. « La vérité, c'est que ça ne guérie pas vraiment. La drogue m'aide juste à ne plus sentir la douleur. » un genre de calmement, mais en plus puissant. Les allusions évite les mauvaise décision et normalement, tu fais en sorte de ne croiser personne durant ses quelques jours de démence. Ta mère faisait ainsi, parce qu'un traitement est beaucoup trop compliquer et beaucoup plus cher. « Dis moi, ou en vas, j'aime pas les surprises. » dis-tu curieuse, tu te redresse pour finalement embrasser sa joue, et poser ta tête sur son épaule, pas pratique pour conduire, mais tu été de nouveau d'humeur caline. « Ne soit pas facher si je t'évite une fois que je serais dans mon état normale, tu me connais, je suis un peu.. timide sur les rebords. » parce qu'une fois que ce seras partit, tu redeviendras la Alaska que tu été avant, et tu feras en sorte de ne pas revoir Aaron, par peur de regretter ce que vous veniez de faire.

Tu fronces les sourcils, faussement vexer. Dans tout les cas, tu sais que tu seras surprise, parce qu'on ne t'as jamais amener quelques part sans te dire la destination exacte, les gens finissent toujours par ceder à ce petit minois. Tu laisses ta tête sur son épaule, juste pour avoir un peu de son odeur dans tes narines. Tu secoue négativement la tête. « Je t'ai toujours trouver très attirant. Que ce soit physiquement ou mentalement, t'es le genre de personne que j'ai toujours voulu avoir en moi, et près de moi. » dis-tu en te redressant finalement, la tête contre le siège. « Je sais bien que je suis qu'un numéro parmis tant d'autre, mais c'était cool quand même. Je risque pas d'oublier. » dis-tu dans un gloussement, avant d'admirer la vue. Ou on va bordel ?