kiss me under the light of a thousand stars ✩ aaron

Vous finissez par en finir, tout les deux, le souffle court. Tu te laisse tomber à côté de lui, en reprenant doucement ton souffle, avant de venir attraper de nouveau ses lèvres entre les tiennes, et passer une main dans ses cheveux. « T'assure Buckley. » dis-tu dans un leger sourire, avant de caresser son torse du bout de tes doigts. Tu attrapes ensuite la bouteille au sol et boit un petit cul sec avant de lui donner la suite, ton corps prend le temps de se remettre de tout ça, le souffle corps et la poitrine encore tiède. Tu prend une bonne dizaine de minute de calme et de silence, enfile tes sous vêtement et te redresse pour aller jusqu'au piano. Tu te racles la gorge et joue un morceau, le mistral gagnant que tu connaissait par cœur, en chantonnant l'air à travers les touches du clavier.

Va savoir pourquoi t'avais envie de jouée un morceau, en réalité c'est parce que tu te sentait encore plus vivante que tout à l'heure. Chaque partit de ton corps était réveiller à présent et tout ce que tu voulais c'était t'amuser encore plus. Tu finit sur un fa main droit et un do main gauche, tandis qu'il s'approche du piano. Tu le tires vers toi pour déposer un baiser sur ton ventre, ou plutot sur son pack de six et leves les yeux vers lui. « Ne me dit pas que t'es déjà fatigué ? » dis-tu en fronçant les sourcils, avant de rire. Tu te met debout sur la chaise du piano et embrasse de nouveau ses lèvres. « la soirée vient juste de commencer. Vient on va boire un coup dans les magnifiques rue d'harvard. » dis-tu en ramassant la bouteille, ah oui faut aussi autre chose. Tu fouilles ton sac et lui lance un petit sachet transparent. « Du LSD, ça m'aide à contrôler mes crises de bipolarité, alors si j'te demande de me frapper, le fait pas. » dis-tu en gloussant, pas besoin de pull, ni de veste, t'y vas comme ça, dans ta petite robe transparente.

Tu savait pourquoi tu été pleine d'energie, la bipolarité ne vous met jamais chaos. Il semble que tu été entrain de faire une crise, mais que les effets ne sont pas direct, tu sent juste ton corps qui a envie de faire 600 trucs à la fois, à commencer par danser dans les rue d'harvard dans une ridicule petite robe. Aaron n'a pas l'air vraiment d'accord, il est assez protecteur comme mec, ça t'arrache un sourire. « Yes, Daddy, je suis très bien comme ça. Il fait pas si froid que ça, aller vient. Prend en une. » dis-tu en ouvrant ton petit sachet, du lsd en pillule rien de bien méchant. T'en en avale une, avec un peu de vodka. Avant de courir jusqu'à la porte de la lowell house, sentir le vent sur ton visage.