kiss me under the light of a thousand stars ✩ aaron

D'accord, d'accord, c'est quoi un break au juste ? Qui a inventé ce mot débile ? Parce que tout le monde sait où le break mène et pourtant les gens aime tout de même utiliser ce terme. Ça se serait passer différemment si t'avais pas été dans une famille de dingue, si ta mère était pas une putain de bipolaire nymphomane qui baise sur TOUT ce qui bouge, si ton père était capable de te dire que l'amour c'est pas : faire tout ce que l'autre demande de faire. Mais non, personne n'a été là pour ça, alors faut pas étonner que les membres des Granger soit des malades mentaux allergique au mot : amour. Tu as repousser la cours de piano à 22h. Parce que t'avais pris une petite pilule du bonheur, et que tu été actuellement entrain de joué au violoncelle en chaussette et culotte dans la lowell house. Mais c'est chiant le violoncelle, tu te lèves et change de disque, pour mettre... DU CELINE DION. On l'aime Céline, elle est cool Céline. « ALL BY MY SEEEEEEELF ! » tu boit un coup, ou deux tiens, t'as pas pris une bouteille de vodka pour décorer le piano. « Aaron, viens là j'te devez un verre ! Et bien sert toi, toute la bouteille même, j'en ai une autre dans mon sac et j'ai aussi du rosé, parce que j'peut pas encore boire légalement, alors j'suis obliger d'acheter chez le revendeur chinois en bas du campus. MAIS ON S'EN FOU ! Tiens, et profite de Céline avant qu'elle ne deviennent une loque à cause de la mort de René. » tu lui tend un verre et continue de danser sur Céliiiiiiiiiine.

@Aaron W.-Buckley :loukas:

Après avoir passé une partie de la soirée, dans une confrérie, avec des amis, Aaron en partit mais étant déjà dans le quartier, et non loin de la Lowell, il se dit qu'il pourrait y passer un tour, pour y voir une amie. Oui, oui, il en connaît, je vous jure. Il entre, un peu comme chez lui avant d'entendre de la musique puis... Alaska. La terrible Alaska. En petite tenue, d'ailleurs. Sa première réaction ? Il rit mais aussi, il se dit qu'il est arrivé au bon moment, non ? De plus, elle a raison. Depuis la dernière fois, elle lui doit un verre. Aaron, tu as bien fait de venir à la Lowell. Ouais. Tu parles tellement vite, Alaska. dit-il amusé avant d'attraper une bouteille et boire quelques gorgées. Oui, la flemme de prendre un verre, tout simplement. Qu'est-ce que tu fêtes, dans cette tenue ? Tellement curieux. Puis, de toute façon, il compte bien rester.

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Tu as de la visite, c'est rare qu'il y est des gens par ici. Tu te retourne dans une valse pour voir Aaron, étonner par la situation. Faudrait qu'il viennent les jours où vous vous mettez à peindre, c'est limite une orgie quand tout le monde est a moitié à poil en train de danser. Tu lui adresse un sourire amuser, sors une phrase aussi longue et inutile et vient à l'essentielle, après avoir ris un bout coup : « Boire, toi, moi, tu danses ? » ah non, un mec aussi viril ne danse pas, bien que tu aimerais voir ce jolie petit derrière remuer. Tu tournes sur toi moi pendant le refrain, faisant virevolter tes cheveux dans tout les sens, en continuant de chanter. « Je fête la vie ! Parce qu'on ne le fête pas assez et toi qu'est-ce qui t'amènes ? Tu voulais me voir ? » tu t'arrête de tourner pour lui adresse un sourire amuser, et surtout essayer de voir quelques chose, un sourire gêner, une approbation, quelque chose qui pourrais te faire croire que oui, merde, il est venu te voir, parce qu'au fond tu n'est pas si insignifiante que ça.

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Est-il arrivé au bon moment ? C'est ce qu'il pense un coup de chance. Voir Alaska dans cette tenue, ce n'est pas déplaisant. Bien au contraire. Même si, pour le coup, elle vient à parler un peu trop vite. Ce qui l'amuse. Et rapidement, il lui demande ce qu'elle fêtait, dans cette tenue et avec cette joie de vivre. Enfin, il y a toujours une raison, d'après lui. Danser ? Non, non, non. dit-il presque en rigolant. Lui, danser ? C'est une catastrophe. À part quelques danses de salon, qu'il a dû apprendre plus jeune, il ne sait pas danser autre chose. Puis à sa question, il a deux choix : mentir ou non. Parce qu'à la base, il était venu voir quelqu'un d'autre mais cette personne peut largement attendre. Ouais, pour te voir dans cette tenue.. dit-il d'un sourire en coin, en s'avançant un peu plus, d'elle.

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« Dommage, tu m'a l'air d'être un bon danseur de twerk. » dis-tu en riant. C'est l'alcool qui parle, ou pas, ou juste la toi intérieur qui se réveille un peu, pour être honnête au moins avec une personne, puisque tu es incapable d'être honnête avec les autres personnes qui t'entoure. Tu en oublie même que tu es presque nue, ça ne semble pas le déranger, et puis y a pas grand chose à voir, un mètre vingt et des mini-boobs, c'est pas un grand spectacle. Tu reprend la bouteille pour boire un coup, avec un sourire aux lèvres. J'ai du mal à croire qu'il soit venu pour toi, mais tu peut y croire, si il est venu pour quelqu'un d'autre, il semble préféré ta présence et dans un sens, c'est tout aussi bien. Tu repose la bouteille et pose tes mains sur ses épaules pour capter son regard, ses magnifiques yeux vert. « T'es très beau ce soir. Pas seulement que ce soir en fait, t'es très beau tout le temps, même quand tu fais rien, quand tu prend une inspiration pour te concentrer, quand tu mémorise les touches du piano, t'es beau tout le temps. »

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Et Aaron rit. Il ne se voit absolument pas danser du twerk. Non mais franchement, c'est vrai que ça serait drôle mais, il ne veut pas se rendre ridicule. Et danser sur ce genre de danse, c'est être ridicule, pour lui. Après, elle... Ouais, ça peut être très intéressant. Et toi, tu l'es ? dit-il d'un sourire en coin avant de dire qu'il était venu, seulement pour la voir dans cette tenue. Ce qui est un demi mensonge. Parce que bon, il aime bien cette tenue, c'est comme si dans le fond, il le voulait. Donc, tout s'arrange. C'est ensuite qu'il fut surpris par tant de compliment. En général. Et de la part d'Alaska. C'est l'alcool ou toi, qui parle ? C'est vrai qu'il reste amusé, peut être parce qu'il n'est pas autant habitué qu'on lui parle de cette façon et c'est vrai que ça fait plaisir.

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Tu ris lorsqu'il te demande si tu pouvait danser le twerk, attend, avec ce ridicule petit cul, tu veux faire quelques chose ? Tu secoue négativement la tête, avec un sourire sur les lèvres. Et ensuite, prise par je ne sais quel esprit, tu poses tes mains sur ses épaules, capte son regard. Et tu as envie : de dire la vérité. Parce que tu as envie d'être honnête avec quelqu'un, dire ce que tu penses vraiment, ces vérités qui ne sont que penser. « Non, c'est moi.. A ce que je sache l'alcool ne parle pas, il se boit. » tu embrasses sa joue, avant de reprendre la bouteille, oui ça se boit, et sans modération ce soir. Tu t'étales sur les pouf de la lowell house et fait un signe à Aaron. « Vient t’asseoir près de moi, on dit que si tu restes trop longtemps assis sur ses pouf, ils finissent par inspiré ton âme. » tu t’allonges sur deux d'entre eux et boit une gorger.

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C'est rapidement qu'il lui retourne la question et fut déçu d'apprendre que non. Il fit une grimace. Vraiment ? Je suis déçu.. Tellement. Non mais en vrai, il aurait aimé la voir, danser cette danse. Un plaisir des yeux. Par la suite, elle vient à lui faire pleins de compliments. Ce qui l'étonne, pas seulement venant d'elle mais en général. Donc avant toute chose, il préfère demander, avec amusement si c'était bien l'alcool ou elle, qui parle. Et bien merci, je m'y attendais pas. dit-il d'un petit sourire, s'avançant ensuite, pour se poser sur un pouf, près d'elle. Ou ne plus te relever. Sourire amusé, encore. Faut dire qu'Alaska l'amuse beaucoup.

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Ce petit coquin, tu ne peut t'empêcher de lâcher un rire. Bah oui t'es pas douée pour le twerk, surtout avec ce ridicule petit cul, te faut un bon boule pour ça, ce serais la honte sinon. Tu lui dit les quelques trucs qui te reste dans la tête, par pu envie d'honeter. Ça le fait sourire, alors ça te fait sourire aussi, et tu lui demande de venir sur les pouf, ou ton petit corps monopolise deux d'entre eux. Tu le tire près de toi, quand il arrive à ta hauteur, et fait en sorte que vous soyez engloutit par le même pouf. « C'est tout à fait ça, comme si, ils nous bouffaient ces foutue pouf. » y a que des artistes pour trouver des légendes aussi chelou. Tu captes son regard pendant cinq bonne minute, prend a main et la pose sur tes côtes, puis remonte jusqu'à ton soutient gorge. « C'est de la dentelle, d'en a déjà toucher une aussi douce ? »

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Rapidement, le jeune homme se retrouve sur un pouf et c'est celui d'Alaska, aussi, par la même occasion. Il en rit alors qu'il est certain qu'il ne va plus pouvoir se relever. Non mais c'est difficile, il faut l'avouer. Puis, on est quand même bien, là-dessus. Puis, pendant ces quelques minutes qui suivent, Alaska lui prend la main pour la poser sur son corps, voir même dans des endroits qu'il n'a pas encore vraiment vu. Il arque un sourcil tout en souriant. Et si tu arrêtais de tourner autour du pot ? Ouais, et si, il faisait un pas pour l'embrasser ? Parce que clairement, la voir dans cette tenue, ça donne des idées. Puis faut pas oublier qu'il est attiré par elle, depuis le début. Il s'avance alors pour déposer un baiser sur ses lèvres.

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