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J’aurais pu y mettre plus de douceur surement, mais je la désirais un peu trop pour me dominer, alors mes baisers avides reflétaient avec fièvre ce désir. Elle me bloqua d’ailleurs de sa main alors que je souhaitais revenir à la charge. Elle voulait tenir les rennes, soit. Qu’elle le fasse, je saurais reprendre le contrôle le moment venu. Laissons lui croire un instant qu’elle pouvait me contrôler. Elle laissa tomber son manteau, et j’attendais la suite avec une certaine impatience qui se trahit surement dans ma voix puisqu’elle le nota avec un rire. Sa main fit glisser la fermeture de sa robe mais le tissu resta, à ma plus grande frustration, sur elle. Elle se positionna alors à califourchon au dessus de moi, attendant elle aussi une preuve de la marchandise que je pouvais avoir à lui ouvrir. Mes mains glissèrent alors le long de ses cuisses, remontant sensiblement sa robe au passage, effleurant du bout des doigts la dentelle de son sous vêtement. Et d’un petit mouvement de bassin, je pressai un instant le tissu tendu de mon pantalon contre elle, histoire de lui donner un petit avant goût de ce qui l’attendait en dessous : « Tu ne vas pas être déçue… » D’ailleurs, la bosse se raidit encore un peu plus quand ses mains ouvrirent ma chemise et commencèrent à parcourir mon torse. Je ne fis pas de réflexion sur son côté sauvage qui s’exprimait à nouveau alors qu’elle me griffait quelque peu dans ses gestes, pour le coup, je n’avais pas vraiment envie de la dompter là… Mes mains remontèrent alors le long de sa taille pour finalement tirer sur le tissu de sa robe et la lui ôter complètement, envoyant le vêtement valser dans la pièce et contemplant un instant la vue parfaite que la demoiselle m’offrait, ainsi installée juste au dessus de moi. Oui j’étais clairement à l’étroit dans mon pantalon désormais…(Invité)
Franchement, si j'avais une once de jugeotte, je ne serais pas dans cette chambre. Mais j'en ai tellement marre de réfléchir à tout et à tout le monde. Depuis que je suis rentrée à Cambridge, rien n'est pareil qu'avant. La gentille petite Kyla a foutu le camp et la peste que je suis devenue plait autant qu'elle est détestée. Cole, semble l'adorer. Alors que Royce l'a détesté pendant de longues minutes avant que je fasse tomber ma garde, que je me laisse submerger par mes émotions. Mon dieu, je n'imagine même pas la tête de Delilah le jour où elle va apprendre ce que je fais... Parce qu'on ne va pas se voiler la face, ça se saura bien un jour ou l'autre. Je tente de rester assez loin du campus mais Cole est sur le campus, c'est obligé. Il est étudiant, ce ne sont plus les vacances scolaires... Je suis loin d'être bête, j'ai fais des études avant de tout reprendre de zéro, d'une manière des plus honorables qu'il soit. À califourchon sur Cole, je souris dès que mes lèvres touchent les siennes et que je sens ses mains sur moi. Ou mieux encore, quand je sens qu'il commence à ressentir les mêmes choses que moi entre ses cuisses. Oui oui, j'ai beau faire la fille distante et tout ce qui va avec, j'ai terriblement envie de lui arracher ses fringues. Ma robe glisse légèrement le long de mes épaules mais Cole la retire par le haut. Je ne fais même pas attention à ce qu'il en fait tellement je suis concentrée sur lui, sur sa bouche. Je sens son regard sur moi et souris légèrement. Je suis en petite culotte et talons hauts à califourchon sur un jeune homme que je ne connais pas et rien ne me gêne ! Mais oui, bien sûr Kyla, tout est normal.