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First Impressions Are Not Always Accurate (Kyla)

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     Quand je lui demandais ce qu’elle était, c’était clairement pour en apprendre plus sur elle. Sauf qu’entretenant le mystère, elle s’amusa à me répondre que non, pas une mentaliste, elle était juste une femme. « Ca je l’avais remarqué… » Nouveau petit coup d’œil à son décolleté plongeant avant de fixer à nouveau mes prunelles sur les siennes pour poursuivre. Je la rappelais ensuite à l’ordre, puisqu’elle manifestait son ennui, sauf que j’eus également le droit à un petit rappel de mon côté. Ses mots ne firent qu’accentuer mon sourire. « Rappelle moi qui est monté dans la voiture de l’autre ? » Tu veux jouer petite, jouons. Clairement, elle en avait autant envie que moi. Sinon elle ne m’aurait pas volé ma montre alors qu’elle la pensait sans valeur. Sinon elle ne serait pas dans ce véhicule alors qu’elle ne me connaissait ni d’ève ni d’adam. Sinon elle ne m’aurait pas attiré à elle en s’emparant de ma chemise. Concernant mon chauffeur et ma remarque sur les potentielles tendances exhib de la demoiselle, cette dernière me fit savoir que c’était son job de faire plaisir, alors que si ça lui plaisait de regarder tant mieux. Je secouais la tête. Non parce que clairement ça n’allait pas lui plaire à l’homme derrière le volant, et surtout ça allait encore moins plaire à ma sœur si il lui rapportait toute cette petite scène. Et puisque je m’étais permis quelques sermons à l’intention de ma jumelle, je ne pouvais pas me discréditer en la laissant apprendre ce petit échange avec l’escort. Et alors que la brunette s’amusait à en rajouter, rappelant qu’elle –travaillait-, aggravant surement mon cas, j’attrapai sa main sans douceur pour tenter de la faire taire. De toute façon, ce cher Charles était déjà en train de ralentir et répondit à la demoiselle qu’on était arrivés. Je m’avançai glissant par dessus l’épaule du chauffeur un gros billet, bien plus que la valeur réelle de cette course, lui glissant au passage à l’oreille : « Je compte sur votre discrétion, mon brave. Pas un mot à Victoria. » J’espérais bien que mon chuchotement était passé inaperçu auprès de la jeune femme. Au pire elle irait s’imaginer que j’étais marié, ou fiancé, ou une connerie du genre…
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Il l'a remarqué. En même temps, comment faire autrement ? " Tu n'es jamais sûre qu'un homme est un homme et une femme est une femme avant de le voir nu, sache le " Qui dit que je ne prends pas des hormones depuis des années et que ce que j'ai entre les jambes est la copie conforme de ce qu'il a ? Il ne faut jamais être trop sûre. Et s'il n'a jamais eu de problèmes, tant mieux pour lui. Mais dans mon milieu, ça peut arriver. Enfin, plutôt en prostitution, ce que je ne fais clairement pas. Allez sous la ceinture c'est tout une autre chose pour laquelle je ne suis sûrement pas prête. Un minimum d'envie change la donne. " Si je peux rentrer gratuitement, je ne dis pas non " Qui dit que je suis montée pour lui ? " Qui te dit que Charles ne va pas te lâcher devant ton hôtel et me ramener chez moi ? " Soufflais-je avec un léger sourire. Il faut vraiment qu'il arrête de tout prendre pour acquis et de croire qu'il est mieux que tout le monde. Non mais oh ! Va falloir redescendre d'un étage mon petit Cole sinon ça ne va vraiment pas le faire. Et le plus important est de ne rien prendre pour acquis. Plus il tente de me retenir et plus je m'amuse avec lui. Je dévisage Cole quand il me prend par le poignet. Il a vraiment un problème avec les poignets celui là. Et s'il pouvait arrêter de serrer si fort, ce serait pas mal non plus. Non parce que, franchement, je vais finir par avoir des bleus et mes amis - si tentait qu'il m'en reste - vont se demander ce qu'il s'est passé. Et je vais devoir le balancer... La voiture ralentit et finit par s'arrêter. La fin d'une course. Je le laisse payer et moi, je sors de la voiture. " Mon brave, t'as cru qu'on était en 1800 ou comment ça se passe ? " Tous ces hommes de pouvoir ont un de ces vocabulaires. " Alors, t'as peur qu'il cafte tout ça à qui ? " Soufflais-je avec un léger sourire. J'ai bien vu le chiffre qu'il y avait présent sur le billet. " Non parce que si je peux trouver un employeur qui me paye autant de l'heure, je dis pas non " À vrai dire, c'est clairement que je suis entrain de faire mais bon...
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   Elle s’amusait véritablement à essayer de me faire douter, sous entendant d’un coup sa transsexualité.  Mon regard la détailla un instant. Non, pour les avoir déjà pas mal reluqué depuis le début de notre petit trajet en voiture, ils avaient l’air vrais ses seins. Je plantai à nouveau mes prunelles dans les siennes pour lui répondre non sans amusement : « J’imagine qu’on n’aura pas le choix que de vérifier tout ça alors… » Elle avait dit que le seul moyen c’était de se voir nu c’est ça ? Et bien ça serait avec un grand plaisir que je me chargerais de la déshabiller. Lorsque je fis ensuite remarquer son absence d’hésitation au moment de monter dans le véhicule avec moi, la demoiselle avait un argument déjà tout cuit : c’était pour rentrer gratuitement. « On le saura très vite en tout cas… » Oui très vite car déjà l’automobile ralentit, le chauffeur actionna le clignotant et se stationna devant la devanture du grand hôtel luxueux que je lui avais indiqué. Hors de question de ramener une escort dans ma chambre à la EH. Trop de risque d’y croiser ma sœur. Sans compter qu’elle avait veillé à ce que nos chambrées soient proches l’une de l’autre… La brune ne manqua pas l’occasion de se moquer de mon vocabulaire : « Excuse moi d’avoir de bonnes manières… Tu te plaindras surement moins de ma maitrise de la langue tout à l’heure. » Clairement à double sens cette phrase. Car elle était à comprendre au sens littéral. C’était juste une petit incitation pour lui donner envie de descendre avec moi. D’ailleurs, je m’extirpais de la voiture, et tins la porte à la jeune femme, qui elle, revenait sur mes chuchotements et consignes de silence à l’intention de Charles. A qui avais-je peur qu’il cafte ? « A ta mère… » Les bonnes manières, ça allait bien cinq minutes, mais là je n’avais pas envie d’attendre trois plombes sur le trottoir à me les cailler en attendant qu’elle se décide à me suivre : « Alors, Charles te raccompagne chez toi ou tu veux que je devienne ton nouvel employeur ? » lançai-je en lui tenant toujours la portière et en lui tendant la main pour qu’elle ne glisse pas sur le bitume verglacé. Mon regard chercha le sien avec toujours cette lueur de défi dans les yeux. On avait dit –no limit- et ça serait surement bien plus parlant une fois que l’on serait seuls dans une chambre.
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" Effectivement, on aura pas le choix. Quel dommage " Je tente une petite moue triste, en vain. Il veut quoi ? Que je finisse par me rendre compte de l'inévitable et que je parte en courant ? Je ne suis pas une froussarde et sauter d'une voiture en marche, non merci. Folle mais pas sado maso non plus. " Ça craindrait fortement si tu te fais manipuler par une brunette dans mon style quand même hein " La grimace qui déforme mon visage doit plus faire rire qu'autre chose parce que je souris largement. Bien entendu que je suis montée pour aller à son hôtel, dans son appartement ou sa chambre. N'importe où sauf chez moi. Il est encore tôt et plus les minutes tournent et plus il me devra de l'argent. Oui, parce que c'est ça qui me motive dans la vie : l'argent. " Si je m'en plains, c'est qu'il y a du soucis à se faire " J'ai vraiment pas envie de perdre mon temps et encore moins de me faire chier. Je lui répète depuis la bonne vingtaine de minutes qu'on est ensemble. Il est peut être tôt mais ce n'est pas pour autant que je dois perdre du temps. Autant dormir. Et je ne compte pas dormir. Oh non... Je compte plutôt rentrer complètement fatiguée ce soir. Ou demain matin. Une belle liasse de billet en poche et de la bonne fatigue dans les pattes. Je le regarde et lève les yeux au ciel. Ma mère ? Sérieusement ? Il a quel âge ? " Ça ne l'a surprendrait pas tant que ça " À vrai dire, elle pourrait plutôt croire que c'est Delilah qui s'est fait passer pour moi. Papa, Maman, vos deux filles ont échangé leur personnalité autour d'un voyage en Europe. " Dans tous les cas, il faudra payer cette demi heure de compagnie " Lançais-je en attrapant sa main. Bordel que ça glisse trois fois plus que tout à l'heure. Et je suis en talon aiguilles pour corser l'affaire. Je sers les dents et ne montre rien. Bambi, c'est moi ! Quelques pas et je suis stable. On entre dans le hall de l'hôtel et ... woaw ! Ca c'est de l'hôtel de luxe. Mais je ne montre rien. " Pas mal. Tout aussi clinquant que la babiole que t'as au poignet " Soufflais-je avec un léger sourire. Il a un appartement ici ? Il a réservé une chambre avec son super smartphone pendant que je ne regardais pas ? Ou il va devoir se présenter un minimum - même si on doit le connaître - et j'en saurais donc plus sur lui ? Il ne sait toujours pas mon prénom, lui. Le mystère... Y a que ça de vrai !
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   Rien ne semblait pouvoir apeurer la demoiselle. En même temps quand on gagnait sa vie en jouant les potiches pour de vieux snobinards, on devait en voir des situations, et en subir des insinuations... Bref, il en faudrait sûrement davantage pour faire fuir mon interlocutrice qui s'amusait à me mettre le doute concernant la raison de sa présence dans cette voiture. On verrait bien qui manipulait l'autre oui... D'ailleurs, une fois le véhicule arrêté, je sortis et lui tendis la main pour l'inciter à descendre. Main qu'elle attrapa en réclamant son du. « Pour le moment, la demi heure ne vaut pas vraiment le tarif annoncé... » répliquai-je sur un ton d’éternel insatisfait. Je ne pus néanmoins m'empêcher de lui jeter un regard impressionné en la voyant marcher chaussée de ses véritables échasses sur le trottoir glissant. Et quand on passa la porte de l'établissement, ce fut son tour d'être soufflée. Je le vis à la lueur qui éclaira ses prunelles et ce malgré son commentaire chargé de sarcasmes. L'hôtesse d'accueil me salua avec un large sourire -On vous met la suite habituelle monsieur Wildhingham?- Bon, voilà, la belle inconnue avait maintenant mon prénom ET mon nom en sa possession. Et moi, de mon côté, je ne savais toujours rien d’elle, mis à part sa profession… Est-ce qu’elle faisait ça à plein temps ? Etait-ce un job complémentaire pour subvenir aux charges de la vie ? Pour payer ses études ? J’aurais surement pu me pencher sur la question, mais pour l’instant, ce n’était pas sa vie que je comptais découvrir mais son corps. « Oui bien sûr… » répondis-je à l’hôtesse en attrapant les clés de la chambre la plus luxueuse de l’endroit. Je n’avais pas l’habitude d’emmener mes conquêtes à la confrérie. Trop peu discret, surtout avec ma jumelle à quelques chambres de la mienne… Mais je ne me moquais pas d’elles pour autant en les emmenant dans un vulgaire hôtel bas de gamme. On se dirigea ensuite vers les ascenseurs, les portes coulissèrent et on s’y engouffra. D’ailleurs, à peine refermée, comme si le trajet en voiture à se contenir sagement avait fait monter la pression, je n’attendis pas une seconde de plus pour attraper la taille de la jeune femme et l’attirer à moi, venant planter un nouveau baiser sur ses lèvres. Téméraire garçon que j'étais : la frustration et l'envie l'emportant sur la peur de me voir mordu à nouveau.
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J'attrape sa main pour sortir de la voiture et me retiens de lever les yeux au ciel quand il me dit que la demi heure passée ensemble ne vaut pas le tarif énoncé plus tôt. " Les négociations c'était avant que le chronomètre démarre qu'il fallait les faire " Soufflais-je avec un léger sourire. Il m'a accepté dans sa voiture, il me balade depuis tout à l'heure, il a donc accepter le contrat. 200 à 400 dollars de l'heure, qu'il le veuille ou non. Il n'a plus le choix. Sinon je risque de lui faire regretter son changement d'avis. Et je pense que mes talons peuvent faire des ravages. Je peux me casser la gueule sur le trottoir glissant, mais je peux aussi l'émasculer à vie. Surtout avec la force que j'ai. Il doit croire qu'il peut faire ce qu'il veut de moi mais c'est loin d'être le cas. Que ce soit physiquement ou moralement, j'ai toujours le contrôle. Et quand je le perds, c'est qu'il y a des sentiments en jeu, comme avec Dimitri. Autant dire que Cole n'était pas prêt de me voir faible et manipulable. Wildingham. J'imprime son nom dans mon cerveau. Il a l'air de se cacher de quelqu'un et plus j'en apprends sur lui et plus je me régale... S'il ouvre la bouche quant à ma profession, je pourrais lui montrer à qui il a affaire. Accrochée à son bras, je me laisse guider. Je ne sais pas où on va alors bon... Lui a sûrement l'habitude de faire ça, moi un peu moins. Est-il au courant qu'une escort ne couche pas ? Et que je compte bien le plumer d'une manière ou d'une autre ? Dans l'ascenseur, je m'appuie contre le mur du fond et lui lance un très léger sourire. Pas le temps de dire 'ouf' qu'il fonce sur mes lèvres et que je glisse mes mains dans ses cheveux. Ce baiser est fort, bestial, sauvage. Et je me redresse pour me coller à son torse. Je pourrais totalement commencer à le déshabiller ici mais on nous regarde, je le sens. " Ça te gêne moins d'être exhibitionniste ici " Soufflais-je contre ses lèvres alors que l'ascenseur monte encore et encore. D'une main, j'agrippe ses cheveux près de sa nuque et mords tendrement sa lèvre inférieure. Mon autre main, quant à elle, se dirige vers son pantalon, glissant deux doigts entre ce dernier et sa chemise. Je l'attire à moi et soupire contre ses lèvres. " Moi c'est Eleanor, si jamais... " Si jamais il a envie de gueuler mon prénom ou des envies particulières... Eleanor est mon deuxième prénom mais je ne suis pas idiote. Des Kyla, il n'y en a pas des milliers à Cambrdige. Des Eleanor, un peu plus.
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  J’eus un haussement de sourcils quand elle me signifia qu’il était trop tard pour les négo. Je lui aurais bien ressorti –le client est roi- mais puisque ça n’avait pas fonctionné lorsque je lui avais servi ce dicton la première fois, je me contentais de reprendre ses paroles à elle : « Tu m’avais parlé d’un tarif modulable en fonction du client, alors attends de voir mon degré de pénibilité avant de m’envoyer la facture… » Peut être que finalement je n’allais rien lui devoir tellement elle allait aimer, peut être même que ça serait elle qui en redemanderait… Excès de confiance en moi ? C’était évident. Mais je n’étais pas le seul à la sentir cette attraction magnétique entre nous ? D’ailleurs, c’est victime de cette attirance que je fondis sur ses lèvres sans même attendre d’avoir atteint la chambre.  Ma bouche se fit pressante sur la sienne, avide et fiévreux de m’être montré si sage et de m’être contenu durant la dernière demi heure avec notre spectateur indésirable derrière le volant. C’est d’ailleurs cette soudaine liberté que je prenais que la demoiselle me fit remarquer avant de me mordiller à nouveau la lèvre, d’une manière plus douce, plus sensuelle et nettement moins dissuasive que tout à l’heure. Mes yeux dévoraient les siens et je la fis taire en plaquant à nouveau mes lèvres sur les siennes. Mes mains glissant doucement le long de sa taille, sous son manteau, caressant un instant la chute de ses reins à travers le tissu de sa robe qu’il me tardait de lui arracher. Elle réussit à me glisser son prénom entre deux baisers brulants.  «Eleanor… » soufflai-je alors, mes lèvres glissant pour dévorer son cou. Mais l’ascenseur ralentit finalement et un petit bip sonore indiqua qu’on était arrivé à l’étage. Je me détachai avec difficulté de la brune, pour m’avancer dans le couloir, jusqu’à la porte de ma chambre, l’entrainant par la main avec une certaine impatience… Introduisant la clé dans la porte, j’annonçai la couleur à l’escort : « Tu sais que tu vas devoir éteindre l’incendie que tu as allumé ? » Ca ne faisait peut être pas partie du forfait –papi James- mais ça faisait clairement parti du mien…
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" J'attends, promis " Soufflais-je avec un léger sourire. Si ça peut lui faire plaisir, je ne lui fracturerais que le minimum. Vraiment si ça lui fait plaisir... Mais je compte plutôt ramasser tout ce que je peux. Il a l'air d'être assez... contradictoire comme bonhomme. Il a l'air d'aimer plus il y a de clash, de violences, de tacles. Alors je vais fonctionner pareil. Plus j'apprécierais - si c'est possible - cette soirée et plus il payera. Il payera cher et se dira que je ne suis qu'une éternelle insatisfaite, qu'il doit me prouver qu'il est bien plus agréable. Et voilà... Calculatrice, manipulatrice et profiteuse en plus de ça. Mais avec un homme à l'égo aussi surdimensionné, je peux tout me permettre. Et puis, je me permets tout, dans tous les cas. À peine les portes de l'ascenseur se ferment sur nous qu'on est collé l'un à l'autre, que nos lèvres ne se détachent que par nécessité de respirer, parce que j'ai envie de le pousser à bout. Quand il souffle mon prénom, un léger sourire se dessine sur mon visage. C'est agréable quand même, très agréable. Ses baisers glissent sur ma nuque et je me laisse avoir un avant goût de mes courbes. Ses mains sont baladeuses mais ça ne me gène pas. Lorsque les portes s'ouvrent, je suis presque triste. Parce qu'on était bien là, tous les deux. Mais je sais d'avance que cette soirée va s'annoncer épique. Il n'y a qu'à voir à la vitesse vers laquelle il me guide jusque sa chambre. Je ris légèrement en l'entendant de parler d'incendie. " Ça tombe bien... Tu as devant toi une ancienne pompier de la ville " Je me moque totalement de lui en balançant ça mais ça me fait rire. Je l'attrape par la ceinture de son pantalon et le colle à moi. " No limit, c'est ça ? " Soufflais-je alors que je le pousse sur le lit, juste derrière lui. Je détache la ceinture de ma veste et laisse glisser mon trench le long de mes épaules en souriant légèrement. Je suis littéralement debout, face à lui, entre ses genoux. Et quand il tente de se redresser, j'exerce une pression avec ma main sur son torse. Non non mon petit, tu vas vouloir toucher et ça, c'est hors de question... Pas tout de suite.
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  On allait donc voir à la fin de cette soirée à quel tarif elle estimait que j’avais le droit.  Et c’était donc plutôt confiant que je l’entrainais jusqu’à l’hôtel. Mes maitresses n’avaient jamais eu à se plaindre, alors quand j’aurais réussi à mettre l’escort dans mon lit, à coup sûr ça serait elle qui en redemanderait… J’étais loin de me sentir manipulé pour le coup, j’avais encore le sentiment de contrôler la situation, de tenir les rennes. On était dans MON hôtel, on allait dans MA suite, c’était MON terrain de jeu… D’ailleurs, je n’attendis pas que la chambre soit atteinte pour commencer à assouvir mes pulsions, me laissant aller contre ses lèvres, baiser auquel elle répondit avec la même passion, ne faisant qu’accroitre un peu plus l’excès de confiance que j’avais déjà en moi. Et c’est avec une certaine urgence que je l’entrainais jusqu’à notre suite. Une ancienne pompier ? C’était parfait, elle saurait manier ma lance… Eleanor semblait tout aussi pressée que moi d’abord, puisqu’une fois dans la pièce, elle se saisit de ma ceinture pour m’attirer contre elle en me rappelant la règle du –no limit-. « C’est ça… » répondis-je, mes yeux plantés dans les siens alors qu’elle me faisait reculer jusqu’au lit, sur lequel je tombais, continuant de la dévorer du regard. Elle prenait le contrôle pour le coup, puisque quand je tâchai de me redresser pour lui voler un nouveau baiser, sa main me stoppa, s’appuyant sur mon torse. Lentement, placée entre mes genoux, elle avait fait glisser son trench et je sentais mon excitation grimper, attendant la suite du striptease de la jeune femme mais d’un autre côté, je n’étais pas certain de pouvoir rester docilement immobile sur ce lit si elle venait à retirer d’autres vêtements… « C’est le moment où l’on vérifie que tu ne m’a pas trompé sur la marchandise ? » ironisai-je en référence à notre discussion précédente dans la voiture, sans la lâcher du regard pour autant.
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C'est ça. No limit. Je souris légèrement. Si j'avais pu être réticente au début, tout allait mieux pour moi et ma conscience à ce moment même. Il semblait apprécier qu'on le prenne un peu en mains, de voir une femme avec du caractère face à lui. Ou alors je me fais des idées mais ce n'est pas vraiment grave. Si je peux faire ce que je veux - ce qui sera le cas - ça me va. Ses baisers sont plus pressants, plus sauvages. Si je cherchais de la tendresse avec Cole, c'est vraiment mal barré. Mais pour ça, je pourrais me tourner vers d'autres jeunes hommes. La passion, la force, la rage et la haine sont toujours plus intéressants, plus excitants. Du moins pour moi. Debout entre ses genoux, je souris légèrement. Mon trench fini sur le sol et je ris légèrement à sa phrase. " Mais c'est que tu es pressé dis moi " Je soupire légèrement et descend la fermeture de ma robe mais en la laissant sur moi. Je ne veux pas lui mâcher le travail non plus. Je me pose sur le jeune homme, à califourchon et souris légèrement. " Et c'est surtout que je vois si tu ne m'as pas menti sur la marchandise " Il fait le malin depuis tout à l'heure mais qu'est-ce qui me dit que ce n'est pas une crevette et qu'il a rien dans le caleçon ? Je souris légèrement et me penche pour embrasser ses lèvres, déboutonnant rapidement sa chemise. Mes mains caressent son torse et je le griffe à certains moments, juste pour la forme.
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