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First Impressions Are Not Always Accurate (Kyla)

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  « Le toc aussi ça brille, et pourtant ça ne vaut rien… » répliquai-je alors qu’elle désignait ma précieuse montre sous le terme de vieillerie. Elle me servit un petit haussement d’épaule et un sourire auxquels je ne répondis pas, me contentant d’afficher un air désabusé malgré le véritable amusement qui se jouait en moi. J’étais habitué aux profiteuses, aux filles qui s’accrochaient à mon bras uniquement intéressées par les 6000 dollars qui y étaient ostensiblement attachés. Mais elle, cette brunette au tempérament mordant, elle avait simplement attrapé l’objet pour me provoquer à son tour, sans même avoir une stricte idée de ce que ce dernier pourrait en vrai lui rapporter. Donc oui, le jeu continua lorsqu’une fois sur la banquette ma main alla se poser sur sa cuisse découverte. Clairement, mes gestes et sous entendus allaient lui faire peur, surtout quand j’évoquais l’hôtel. Je me disais qu’elle allait comprendre que je voulais plus, qu’elle allait me demander de stopper et consentir  enfin à me rendre mon bien. Mais elle se contenta de m’arrêter, attrapant mon poignet en éclaircissant les choses. Regarder mais pas toucher. Mon sourire s’agrandit alors, parce que clairement, je savais cette règle réversible. La preuve du petit dîner que j’avais entrevu avec son précédent client tout à l’heure. Je repris donc : «Combien pour ça ? » Alors que provocante toujours, elle s’amusait à approcher un peu plus l’objet de mon désir vers moi. « Et me dis pas que tu ne manges pas de ce pain, j’ai vu que ton cher James a eu le droit à ce privilège lui… »
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Il n'a pas tord. Le toc ça brille mais ça ne vaut rien. Seulement, je sais faire la différence entre du faux et du vrai. Non, on ne peut pas remplacer un diamant par un bout de crystal. À la première chute, c'est fini. Et puis, j'aime les belles choses, j'ai appris à les différencier des choses sans valeurs. J'ai pas toujours eu l'habitude. Je n'étais pas comme ça avant. Je me fichais pas mal d'avoir un vrai ou une contrefaçon. Mais tout est différent maintenant. Je le regarde et soupire légèrement. " Si tu veux le forfait James, c'est des sourires, des battements de cil et un intérêt sans faille pour tout. Mais surtout n'importe quoi " Mais ça veut aussi dire bats les pattes parce que James a posé sa main dix secondes sur moi, pour me tendre ce qu'il me devait et rien d'autre. Escort, pas prostituée. Je devrais lui dire ça. Mais à ce moment précis, je pousse son genou avec mon talon, écartant légèrement ses jambes. Comme si j'avais voulu m'y glisser. Mais non. Je glisse un doigt entre deux boutons de sa chemise et le tire vers moi. " Je préfère te laisser la surprise à la fin " Ça dépend du degré de pénibilité j'ai dis. Et pour le moment, il payerait pas trop cher. Mais s'il commence à m'enquiquiner, il pourrait casquer. " Tu poses vraiment beaucoup de questions. Va falloir trouver quelque chose pour que tu te taises... " Soufflais-je, un léger sourire sur le visage. Ouai parce que ça va pas le faire.
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  Elle s’amusa à retenir ma main, m’interdisant de toucher, sauf qu’apparement cet interdit ne s’appliquait pas à son précédent client. C’est alors qu’elle me fit savoir que si je voulais le forfait –James- j’aurais le droit aux sourires, aux battements de cils et à l’intérêt feint. « Et tu n’aurais pas un forfait –Cole- ? » demandai-je avec un petit air amusé, révélant ainsi au passage mon prénom à l’inconnue. Et si dans ses paroles, la demoiselle semblait s’appliquer à m’imposer des limites très claires, ses gestes me chantaient une toute autre musique. Comme son talon qui appuya sur mon genou pour me faire quelque peu écarter mes jambes alors que ses doigts vinrent se glisser entre deux boutons de ma chemise.  Visiblement, l’interdiction de toucher était à sens unique. Mais je ne protestais pas, la laissant un peu prendre les commandes. Elle m’attira ensuite à elle pour me souffler la réponse quant au prix : elle me laissait la surprise. Et elle conclut finalement que j’étais un peu trop curieux à son goût, trop de questions, qu’il allait falloir que je me taise. Et ne cherchant pas plus loin, le moyen idéal me paraissant pour le coup évident, nos visages étant déjà bien proches, je fondis sur ses lèvres, réduisant à néant les quelques centimètres qui nous séparaient encore, lui volant un baiser… Enfin, voler était peut être un grand mot. J’aurais la surprise du prix que cela allait me couter à la fin de la soirée.
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Je joue avec le feu et je le sais. Je tente de voir ses limites, si tentait qu'il en ait, ce dont j'ai un gros doute. Partant du principe qu'il est prêt à payer pour ma compagnie sans être passé par le site internet montre bien son style de vie. Je déteste ce genre d'hommes à un point... C'est pas parce qu'on est beau et riche qu'on peut tout se permettre. Il agit vraiment trop comme un "je suis beau et je le sais". Je crois qu'il a besoin de quelqu'un pour le faire redescendre sur terre et si je peux être cette demoiselle, tant mieux. Je n'y crois pas. Mais qui ne tente rien n'a rien. En tout cas, je brûle la chandelle par les deux bouts avec Cole. Je n'ai jamais rencontré de Cole. " Et il y aurait quoi dans ce forfait ? " Parce qu'au final, il est client et je suis prestataire de service, en quelque sorte. Je peux me permettre de refuser ce qu'il me propose, bien entendu, mais je sens que ça risque d'être difficile. Non pas parce qu'il m'attire ou quoi que ce soit. Mais juste parce qu'il a l'air de savoir ce qu'il veut, au final. Son sourire en coin pourrait en faire fondre plus d'une. Il ne doit pas être du style à rentrer seul tous les soirs. Et gratuitement. Ça doit vraiment être inédit pour lui, de se trimbaler en ville avec une escort prête à tout pour de l'argent facile. Je joue avec lui et quand il m'embrasse, je ne me retire pas tout de suite. Je le fais au bout de quelques secondes, mordant sa lèvre pour qu'il me lâche. Je ris légèrement. " Petite mais féroce " Soufflais-je avec un léger sourire. Je me repositionne correctement, à distance honorable, respectable. Il ne faudrait pas qu'il s'habitue. Ou que ça lui donne des idées..
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  La jeune femme ne m’envoya pas bouler d’abord, préférant me demander des précisions sur le forfait que je venais mentalement d’inventer. Je me raclai la gorge avant de répondre : « Ce n’est pas ce qu’il y a dans le forfait qui compte, c’est plutôt ce qu’il n’y a pas. » Petite pause. Petit sourire et j’ajoutai : « Pas de limite. » Pas de stupide règle où elle devait se contenter de me sourire, pas de stupide barrière où elle m’empêchait de la toucher. Un forfait sans limite. Sans faux semblant. C’est ensuite elle qui m’attira à elle en me soufflant de me taire, et moi qui choisit d’interpréter ces mots comme une invitation à lui voler un baiser. A ma grande surprise, même cela ne suffit pas à la faire reculer. Non, la brunette ne me repoussa pas et mes lèvres commencèrent à se faire plus pressantes sur les siennes jusqu’à ce que je sente ses dents s’enfoncer dans ma chair. « Aïe ! » Je me reculai brusquement, portant mes doigts à ma bouche, à l’endroit meurtri par sa morsure alors qu’elle riait, s’amusant à me signaler qu’elle était petite mais féroce. « J’ai dit pas de limite… » concédai-je avec un haussement d’épaule. Je ne pouvais pas lui reprocher de n’avoir aucune barrière dans son comportement également. C’était le risque encouru lorsqu'on jouait à ce genre de jeu. « Mais tous les êtres même les plus féroces peuvent être domptés… » affirmai-je avant de brandir devant son nez un objet avec un petit air satisfait et fier. C’était ma montre. Fraichement récupérée subtilement par ma main habile au creux de sa poche pendant notre –baiser-. Alors qu’en dis-tu ma petite féroce ? Tu comptes me mordre à nouveau ?
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Pas de limite ? Vraiment. Non, je ne crois pas. Je ne suis pas désespérée à ce point. Et puis quoi ? Il va me faire un vieux coup à l'envers si je dis oui. Je suis folle, je ne réfléchis pas vraiment aux conséquences de mes actes mais il ne faut pas aller trop loin non plus. Ou peut être que si. " Je décide quand ça va trop loin et tu n'as pas ton mot à dire " Pas aussi désespérée je vous dis. J'accepte tout - enfin presque - mais seulement si j'ai le contrôle. C'est ça que j'aime le plus, avoir le contrôle. En tout cas, il est hors de questions que je parte avant d'avoir été payé. Ce petit jeu pourrait s'avérer amusant, divertissant mais tout travail mérite salaire. Le fait de le mordre aurait du l'énerver. Mais non, pas de limite c'est pas de limite. Ça pourrait devenir dangereux tout ça... Il me montre son bijou et j'hausse les épaules. Elle ne m'intéressait vraiment pas tant que ça. Je l'avais déjà oublié, c'est pour dire. " Ça, c'est ce qu'on t'a fait croire depuis ta tendre enfance " soufflais-je avec un léger sourire. Oui, c'est pas tout à fait le cas. Il y a des gens qui sont des causes perdues. Dimitri l'était, par exemple. " Et tu comptes me dompter comment ? " Demandais-je, faussement intéressé, mordillant légèrement ma lèvre inférieure et glissant une main sur son pantalon, remontant vers son entre jambe. En tout cas, le trajet en voiture est plutôt long... Il m'emmène à New York ou quoi ?!
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   La demoiselle commençait déjà à chipoter, pas de limite, voilà peut être sa limite justement. Elle précisa qu’elle décidait quand ça allait trop loin, et que je n’avais pas mon mot à dire. « Il y a pas un dicton ou un truc du genre qui énonce que le client est roi normalement ? » Mais sentant qu’à trop discutailler, j’allais véritablement finir par la braquer, je concédai : « Mais soit, si je vais trop loin pour toi, si tu te sens pas de taille à me suivre, alors dis le… » Je la jouais fine car dis de cette façon, elle n’utiliserait probablement son droit d’annulation, de peur d’apparaître comme une petite joueuse. Le baiser mordant, littéralement pour le coup, fut l’occasion pour moi de récupérer mon bien. Chose qui ne sembla même pas l’agacer. Mais j’étais malgré tout fier de pouvoir raccrocher le précieux bijou à mon poignet. Renchérissant sur la possibilité de dompter tout être même le plus sauvage, la brunette me réclama plus d’information sur la manière dont j’allais m’y prendre avec son propre cas, ses doigts glissant le long de mon pantalon remontant dangereusement, jusqu’à ce que j’emprisonne son poignet, la stoppant dans son geste. En guise de réponse, j’amenai alors sa main jusqu’à mes lèvres, un baiser sur le dos de cette dernière avant de la retourner pour faire subir le même sort à sa paume, et avec une lenteur calculée, laisser glisser mes lèvres sur la peau délicate de son poignet avant de la libérer.. « Tu pourras avoir une petite démonstration plus approfondie de ma méthode tout à l’heure… Si tu n’as pas peur de me suivre. » Mais pour ici, on s’en tiendra à cette démo très chaste. Pas plus pour le moment. Pas dans cette voiture. Pas avec mon chauffeur qui matait discrètement dans son rétro et qui risquait de rapporter toute cette conversation à ma sœur…
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Le client est roi. J'en ai déjà entendu des conneries mais alors celle là... Je ne suis pas une marchandise comme il peut en acheter à Walmart ou autre. Loin de là. " Les termes de la soirée sont sensés être définis avant de commencer " Mais on a dit no limit. alors je pose ma petite limite. Ce que je n'ai pas envie de faire, c'est niet. Mais franchement, je doute qu'il me fasse quoi que ce soit qui risque de me choquer, de me perturber ou de me faire reculer, loin de là. Je ris légèrement quand il ose penser que je ne sois pas de tailles à le suivre. Je sais plus ou moins à quoi m'attendre alors que lui, pas du tout. " Monsieur joue sur les mots. Littéraire ? " Je ne le laisse pas le temps de dire quoi que ce soit et me ravise, le strutant de haut en bas. " Non, je dirais plutôt.. économie et... vu l'accent et ton intérêt pour ta breloque... relations internationales " C'est bien connu que les trois-quarts des grandes richesses du globe font des enfants qui reprennent les reines et, surtout, font des études en économie ou en gestion. Additionnant à ça les Relations internationales parce que sans bonnes relations, son compte en banque serait surement proche de zéro. Je le laisse faire. Après tout, c'est ce que je demande. De savoir comment il compte s'y prendre. Mais trois baisers et c'est fini. Et bien, c'est qu'on va s'éclater tous les deux. J'hausse les épaules. " Est-ce que j'ai l'air d'avoir peur ? " Soufflais-je avec un sourire en coin. " J'ai juste peur de m'ennuyer " Soufflais-je en me penchant légèrement vers lui, lui offrant une très belle vu sur mon décolleté. En tout cas, je ne peux pas le nier, il regarde plus mes yeux qu'autre chose depuis tout à l'heure. " Tu as peur de choquer quelqu'un ? " Finis-je par demander. Non mais je m'ennuiiiiiie moi là ! Et son comportement m'attire à lui comme un aimant...
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    Je n’avais pu m’empêcher une remarque sur mes droits en tant que –client- mais la demoiselle me rappela à l’ordre, les règles devaient être fixées avant toute chose. Ce fut donc le –no limit avec droit de véto de la jeune femme- qui fut finalement adopté. J’essayais bien sur de retourner contre elle cette petite dérogation à l’absence de barrière que je voulais instaurer, sous entendant qu’elle n’était pas de taille à me suivre, seulement à son tour elle essaya de me surprendre en devinant mon domaine d’étude. D’abord, elle se trompa. Littéraire. Ouais ça m’aurait plu en plus, sauf que je n’eus pas le temps de la narguer sur son erreur que déjà elle se reprenait et tombait juste. Mon sourire s’élargit alors que j’hochai lentement la tête, peinant à masquer mon épatement. « Peut être que je suis juste livreur de pizza… » la contredis-je alors, juste pour le principe, mon sourire ayant été suffisamment parlant concernant le fait qu’elle avait vu juste. Puis des livreurs avec des montres à 6000 dollars, ça courrait pas vraiment les rues. « Et toi, t’es quoi ? Une mentaliste ou un truc du genre ? » plaisantai-je avec un sourire, de plus en plus intrigué par la demoiselle et surtout persuadé qu’elle n’était pas juste une escort quelconque. Sa main baladeuse fut ensuite la cible de mes lèvres. Le dos. La paume. Le poignet. Et stop. Oui parce que le regard de mon chauffeur n’était pas loin dans le rétroviseur. Et alors que je promettais à la jeune femme la suite si elle me suivait, si elle n’avait pas peur, elle me rétorqua que la seule chose qu’elle craignait c’était de s’ennuyer et elle avait bien remarqué surement, mes coups d’œil vers le conducteur puisqu’elle se pencha vers moi pour m’interroger sur les personnes que je redoutais potentiellement de choquer. Mes prunelles se plantèrent dans les siennes, imperturbable, malgré toutes les pensées que son merveilleux décolleté sous mes yeux réveillait en moi. Je repris à voix basse, pour que l’intéressé ne nous entende pas : « On a un spectateur indésirable vois-tu… Alors à moins que tu ne sois un peu exhibitionniste sur les bords, tu patienteras bien quelques minutes non ? » Quelques minutes… Bordel que ce trajet était long d’ailleurs. C’est avec un coup d’œil impatient au cadran de ma chère Panerai fraichement récupérée dans sa poche que je constatais que oui, le chauffeur devait surement faire trainer les choses dans l’espoir de capter un peu plus ce qui se passait sur la banquette arrière. Je m’éclaircis alors la voix pour le presser un peu : « On est bientôt arrivés mon brave Charles ? Ma chère amie est très fatiguée, elle se languit de son lit voyez vous. »
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Livreur de pizza. Je me retiens de rire. Il peut être tout ce qu'il veut mais un métier aussi banale, nope nope nope. Surtout avec une montre comme ça. Ça ne rapporte pas assez, d'être livreur de pizza. Et il se ferait attaquer souvent, avec son air nonchalant et sa façon de me regarder. Je ne suis pas bête, loin de là. Je hausse les épaules quand il me demande ce que je suis. Mentalist ? Loin de là. Je suis juste une femme et j'interprète les signes qu'il m'offre gentiment. " Non, rien de ça... Je suis une femme, c'est tout " J'ai un super pouvoir, voilà ce que j'ai ! C'est ma poitrine qui me donne ce pouvoir. En tout cas, je le cherche autant qu'il me cherche. Et quand il tente de me faire passer pour celle qui en demande encore et encore, je le regarde d'un air faussement vexé. " Rappelle moi qui touche qui depuis tout à l'heure ? " Soufflais-je avec un léger sourire. Alors oui, j'ai tenté de toucher son paquet, OUI, c'est moi qui attrape sa chemise là. Mais c'est lui qui m'a embrassé. Je m'arrête au tissu, lui c'est directement la peau. " Mon boulot est de faire plaisir aux hommes de quelque manière que ce soit. Si ça lui convient, pas de soucis pour moi " Et puis, d'une pierre deux coups ! Mais je pense que lui, ça le gêne. Il presse carrément le chauffeur. En me servant d'excuse ! Non mais ! Mais j'entre dans son jeu, regardant le rétroviseur pour que le conducteur puisse me voir s'il veut. " Il y a des gens qui travaillent... Il ne le comprend pas " À vrai dire, je l'enfonce. Mais ça me fait sourire. " Ce sera encore long Charles ? " Demandais-je d'une voix plutôt aguicheuse. J'ai l'impression qu'il a pris un chemin bis. Mais le genre de chemin que prennent les conducteurs de taxi quand vous êtes bourrer : plus de temps en voiture, plus de cash empoché.
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