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First Impressions Are Not Always Accurate (Kyla)

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Boston. C’est dans l’un des restaurants les plus réputés de la ville que je venais d’achever mon dîner avec un groupe d’ami de ma toute nouvelle confrérie. J’offrais de régler l’addition, en grand seigneur, bien que les personnes à ma table étaient toute largement en mesure de s’offrir un tel repas. Dans la salle, c’est sur une autre table que mon attention s’était plusieurs trouvée attirée. Cette brunette. En tête à tête avec cet homme qui avait surement l’âge d’être son vieux. Mais vu la façon dont l’individu la reluquait, ce n’était surement pas le cas. Après un dernier au revoir, mon groupe d’amis s’était dispersé et je me dirigeai alors vers le vestiaire de l’établissement non sans un dernier regard vers cet étrange couple. C’est alors que je vis l’échange se faire, très discrètement. L’homme glissa un petit paquet de jolis billets à la demoiselle, discrètement, sous la table, avant de se lever, de l’embrasser furtivement et de quitter les lieux. Un petit sourire étira mes lèvres, c’était bien ce que j’avais pensé… La demoiselle s’avança alors vers les vestiaires également, alors que j’y patientais toujours, attendant que l’hôtesse me remette mon manteau. Lorsque la jeune femme fut près de moi, attendant également sa veste, je lui lançai sans pincettes : « Et tu prends combien pour la nuit ? » Malpoli, grossier, goujat ? Non, j’étais juste du genre à appeler un chat, un chat.
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Cette soirée était d'un ennui... Jack. James. Jamie. Je ne sais même plus comment s'appelle celui qui se trouve en face de moi. Je devrais être un peu plus sélective sur mes clients. Mais manque de bol, ce n'est pas moi qui les choisit mais bien l'inverse. Et une fois qu'ils ont fait leur choix, impossible d'annuler, de changer d'avis, de reculer devant ces quelques billets qui vont me permettre d'oublier cette terrible soirée. Je suis assise à côté de lui et ris à ses blagues, qui ne me font pas rire. Je lui souris largement, joue la petite femme parfaite et je pense qu'on dupe tout le monde, que je dupe tout le monde. Il pourrait être mon père, c'est sur, mais on est plus à dix huitième siècle après tout. Il doit rentrer chez lui, c'est ce que je comprends quand sa main se pose sur ma cuisse nue. L'escort, c'est pas la coucherie alors je pose ma main sur la sienne et exerce une légère pression. Les billets dans ma main, je le laisse déposer un baiser sur ma joue et filer. Une soirée qui vaut le coup. Je me lève et je me dirige vers le vestiaire. Ma robe rouge vive découvre parfaitement mes cuisses lorsque je marche. Mes talons claquent et le mouvement de mon corps fait sautiller mes cheveux. On pourrait presque croire que je tourne dans une pub. J'attends mon trench et une voix me sort de mes pensées. Je pivote légèrement et regarde le jeune homme de haut en bas. " Ça dépend du degré de pénibilité de mon partenaire " Soufflais-je avec un léger sourire en coin. Pourquoi, ça l'intéresse ?  
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 Faible, j’étais faible et mon regard s’attarda un peu trop longtemps sur sa robe, ou plutôt ses jambes que le tissu laissait largement entrevoir, mes prunelles s’arrêtant un instant sur les jolies courbes de la jeune femme avant de me refixer sur son visage alors qu’elle se tournait vers moi après ma question. Ses yeux effectuèrent la même inspection visuelle de ma personne que celle à laquelle je venais de la soumettre. Et alors qu’à ma question, plus d’une m’aurait giflé ou au moins incendié sur place pour les insinuations assez claires que mes propos contenaient, la brunette me surprit quand avec un sourire elle me souffla une toute autre réponse. « Degré de pénibilité ? » m’amusai-je à reprendre.  En tout cas, elle ne niait pas. J’avais surement mis dans le mille la concernant faut croire. Du moins pour son rencard monnayé qui venait d’avoir lieu. « Il a du taxer alors le pauvre vieux de ce soir… » commentai-je en parlant de l’homme qui venait de la laisser. J’aurais surement du laisser tomber, mais allez savoir pourquoi, il y avait quelque chose chez cette brune qui titillait mon intérêt malgré moi. Et me rapprochant un peu plus d’elle, me penchant pour venir lui souffler à l’oreille, histoire que l’hôtesse qui semblait peiner à retrouver nos vêtements ne nous entende pas : « Alors, combien ? » répétai-je, trahissant surement par là mon intérêt. « A moins que tu ne fasses que dans les grabataires… » Elle avait peut être peur de ne pas tenir la cadence après tout…
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Pénibilité. Je n'avais pas utilisé ce mot pour rien. Parce que cette soirée a été longue, bien trop longue et les verres de vin rouge n'ont pas aidé, pour une fois. À croire que lorsque l'on est dédiée à se faire chier, sobre ou alcoolisée, l'ennui est le même, voire plus intense. Je souris légèrement. Oui, il a payé le prix fort mais pour plusieurs raisons. Le restaurant n'était pas si exceptionnel que ça, sa main sur ma cuisse ne faisait définitivement pas partie du contrat et puis, j'ai perdu ma soirée. Mais ça, je ne suis pas prête de l'admettre. " Je lui ai peut être appliqué le forfait troisième âge. Et puis Ja... " J'hésite encore sur son prénom à la con. " James n'était pas si ennuyeux que ça. Il ne pose pas autant de questions que toi, merci Dieu " Soufflais-je avec un léger sourire, après avoir lever les yeux au ciel. Alors que je m'attends à ce qu'il parle à l'hôtesse pour la dépêcher un peu, il s'approche de moi et un sourire malicieux se dessine sur mes lèvres. Ah. Ça l'intéresse ? Je pose ma main sur sa nuque et plante mon regard dans le sien. " Ça dépend du degré de pénibilité, de l'endurance, de la discussion, de l'intérêt porté à tout ça... " Bon, on a des tarifs fixes mais avec lui, j'ai envie de jouer. " 200 à 400 dollars " Soufflais-je, retirant ma main de sa nuque. " De l'heure, on s'entend " Je souris légèrement. " Et les extras sont à ta charge " Boisson, dîner, chambre d'hôtel. La totale.  
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  La demoiselle évoqua un forfait troisième âge, remarque qui m’arracha un petit rire. Elle marqua une courte pause au moment de prononcer le prénom de son client. Puis elle le défendit, pas si ennuyeux et moins de questions. « La curiosité… Je plaide coupable… » lâchai-je avec un haussement d’épaule. Enfin, la curiosité n’était surement pas la seule à blâmer. Profitant de la lenteur extrême de l’autre gourde aux manteaux, je m’approchai de l’inconnue pour réitérer ma question. Je sentis alors ses doigts dans ma nuque, alors que son regard se plantait dans le mien pour me ré-expliquer qu’il y avait bien un tarif changeant, degré de pénibilité, endurance, discussion, intérêt… Avant de m’annoncer une fourchette de prix horaires en souriant et en retirant sa main, ou du moins en essayant de la retirer car mes doigts vinrent emprisonner un instant son poignet. Elle avait l’air trop contente de son coup pour que je laisse passer. « Pas assez cher pour moi. » répondis-je avec un sourire en secouant la tête avant de relâcher mon emprise pour la libérer. L’hôtesse arriva enfin avec mon manteau. Tiens rien qu’avec la valeur de ce vêtement, je pourrais me payer trois ou quatre heures en sa compagnie. Je prenais volontairement le temps de regarder ma montre : et pour signifier à l’empotée qu’elle m’avait fait attendre, et pour montrer à mon interlocutrice l’objet de valeur à mon poignet. On joue pas dans la même cour ma grande, voilà ce que semblait dire mon geste. C’était clairement de la provoc’ oui…
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Curiosité ou intérêt ? Là est la vraie question. Non parce que je ne suis pas idiote, un jeune homme comme lui n'en a rien à faire d'une jeune femme comme moi. Il peut avoir qui il veut avec son air dédaigneux et son parfum à trois zéros. Cette odeur me répugne. Je n'ai jamais aimé les gens qui ont de l'argent alors j'ai décidé de leur prendre en devenant escort, de temps en temps. Mais par contre, je ne suis pas Robin des Bois. Ô non, je ne prends pas aux riches pour donner aux pauvres. Je ne suis pas idiote non plus. Quand il prend mon poignet, je ne lâche pas le contact avec lui. Détourner le regard et c'est fini, Monsieur croira avoir gagner mais ce n'est pas le cas. Plus aucun homme n'aura l'ascendant sur moi, plus jamais. Pas assez cher. C'est ça ouai. Il croit quoi ? Qu'il y a le forfait jambe en l'air de compris là dedans ? En tout cas, il montre sa richesse bien comme il faut mais ça ne me fait même pas ciller. J'ai vécu quatre mois avec un homme bien plus riche qu'il ne le sera jamais. Alors les montres hors de prix, les bijoux et robes de grands couturiers, les voyages et les bouteilles à plusieurs milliers d'euros, ça me connait. J'attrape sa main et regarde sa montre de plus près. " Jolie... " Soufflais-je en la détachant rapidement de son poignet d'un doigté sans égal. J'ai le visage à quelques centimètres de lui quand je souffle. " Ça c'est pour m'avoir fait perdre du temps " Je lui montre son bijou avant de le plonger dans ma poche. Il s'en fout, il peut s'en racheter des dizaines dès demain. Dès maintenant même. Je sens que c'est le genre de mecs qui débarque dans une boutique à pas d'heure et le patron ouvre juste pour lui. Je salue l'hôtesse et le double pour sortir du restaurant. Je doute que ça se finisse comme ça...
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  Sa main s’empara de la mienne alors, ce que je pris d’abord comme une marque d’intérêt pour le bijou, comme si elle voulait le voir de plus près. Ce qu’elle fit dans un premier temps en laissant échapper un petit commentaire. Elle n’avait même pas l’air impressionnée, pourtant je vis dans ses yeux qu’elle savait la valeur de l’objet. Ou qu’elle la devinait du moins. Ses doigts s’activèrent pour défaire le bracelet et elle me le montra une dernière fois avant de le ranger dans sa poche en annonçant que c’était le prix à payer pour lui avoir faire perdre son temps. Je n’eus pas le temps de protester que déjà la brune tournait les talons pour se diriger vers l’extérieur. Cette montre que j’avais exhibé fièrement, au delà de ce qu’elle pouvait coûter, c’était qui me l’avait offert qui comptait. Un cadeau de mon père. Non je ne pouvais pas la laisser filer comme ça. Et je voulais récupérer l’objet alors sans attendre, je marchai sur ses pas et la rattrapai en quelques grandes enjambées. Ma main s’empara de la sienne pour la stopper et l’attirer à moi. « C’est une montre à 6000 dollars, si je compte bien même à ton tarif le plus élevé, ça ne vaut pas cinq minutes en ta compagnie…» Mon sourire s’élargit, d’un signe de main je fis signe à mon chauffeur d’amener la voiture et lorsque celle-ci arriva, j’ouvris la portière de la banquette arrière à la jeune femme : « Je crois que tu me dois 15 heures… » Je lui lançais un regard défiant. C’est maintenant qu’elle allait flancher, me retendre la montre et se débiner vite fait non ?
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C'est tellement facile de lui prendre sa montre. Tellement facile que ce n'est même pas drôle. Je me demande bien quel prix je vais pouvoir en tirer. Ou alors, peut être que je l'offrirais à quelqu'un. Elle irait bien, voire même très bien sur le poignet de Declan. Je continue mon chemin et un léger sourire se dessine sur mon visage lorsque je sens sa main prendre la mienne. Ça marche toujours pareil avec ces hommes. Il suffit de leur prendre un jouet de valeurs et hop, ils détalent comme les grands enfants qu'ils sont. Il ne faudrait pas qu'il reste trop longtemps sans sa montre voyons. Il pourrait louper son prochain rendez-vous de connard de base. " 6000 dollars, vraiment ? J'aurais enlevé un zéro ou deux " À comprendre que ta montre n'est pas aussi exceptionnelle que ça, voire pas du tout ! J'ai juste envie de faire ma chieuse, je l'avoue. Je l'écoute et lève les yeux au ciel. Bon, il est doué en maths et ? Je sors mon téléphone de mon sac à main, bidouille dessus et lui montre le chronomètre. " Quinze heures et pas une seconde de plus, je risquerais de m'ennuyer " Soufflais-je en activant la minuteur. Je range mon téléphone et monte dans la voiture. Je sens un léger courant d'air soulever ma robe mais ça m'est bien égal. Je n'ai rien à cacher. " Même si je suis payée, est-ce que tu peux t'activer ? Je ne supporte vraiment pas perdre mon temps " Sifflais-je en le regardant depuis la voiture. Je ne le sens pas mais alors pas du tout celui là. Je suis sûre qu'il va me casser les pieds quinze fois plus que ce James. Mais bon, pas grave. Y a de l'argent au bout. Parce que je ne repartirais surement pas avec cette montre. C'est plus noël.
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   Un petit soupir blasé s’échappa de mes lèvres alors qu’elle dénigrait le prix réel du bijou qu’elle venait de me dérober.  « Ca ne devrait pourtant pas m’étonner que tu ne saches pas évaluer la valeur de ce genre de choses… » répliquai-je alors. Oui, parce que clairement, on ne venait pas du même monde. Je ne pouvais pas lui en vouloir de ne pas avoir reconnu une Panerai du premier coup d’œil. Enfin avec mes 6 000 dollars à aiguilles en poche, la demoiselle me devait bien une quinzaine d’heures en sa compagnie. Sauf que pensant que ces mots et la banquette arrière de mon véhicule la feraient fuir, je me trompais. Elle lança carrément le chrono avant de grimper dans mon carrosse, me dévoilant un peu plus ses jambes dans la manœuvre avant de se tourner vers moi pour me presser. Fallait dire que son culot m’avait un peu scotché sur place. Je m’étais attendu à retrouver mon bien et à la voir déguerpir. Au lieu de cela, voilà qu’elle squattait ma voiture… Finalement, c’est avec un sourire que je la rejoignis, m’asseyant à côté d’elle. Elle voulait jouer, très bien. J’allais surement trouver un moyen de la faire flancher et fuir, et elle me rendrait ma montre à ce moment là. Et ça commença directement lorsque j’indiquai à mon chauffeur de nous emmener à l’hôtel le plus proche. Si jouer les escorts pour les petits vieux étaient une chose, suivre un inconnu dans une chambre d’hôtel en serait surement une autre. Peut être de quoi la faire reculer ? Je tournais ensuite mon visage vers le sien pour lui répondre : « Ca tombe bien en fait, je ne supporte pas de perdre mon temps non plus… » Et histoire de bien en rajouter, ma main alla se glisser sur sa cuisse que sa robe qui se retroussait laissait un peu plus entrevoir, histoire qu’elle comprenne à quel point  j’étais sérieux…
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" Les vieilleries de ce type ne m'intéressent pas. Je préfère les choses qui brillent " J'hausse les épaules en souriant légèrement. Les diamants, les trucs tape à l'oeil, ce genre de trucs quoi. Je n'ai jamais été franchement superficielle et je dis ça plus pour la force qu'autre chose. Mais j'ai envie qu'il croit que je suis une de ces pestes qui croquent les hommes comme si elles croquaient des diamants. Les beaux bijoux et beaux vêtements ne font vraiment pas tout dans une vie. Mais ça aide. C'est ce qui m'aide à ne pas sombrer, ces derniers temps. Je monte dans sa voiture et le presse. Je devrais avoir peur, me barrer en courant et tout ce qui va avec. Mais non, c'est pas le cas. Me diriger vers une chambre d'hôtel avec un jeune homme inconnu et arrogant ne m'effraie pas, loin de là. En Europe, j'étais déjà dans les plus belles chambres d'hôtels à attendre Dimitri rentrer de ses rendez-vous. Seulement, c'était rarement lui qui passait la porte et plus j'étais docile, moins je risque de me faire frapper. Je croise les jambes et le regarde droit dans les yeux quand il pose sa main. Je m'approche de lui, à quelques centimètres de ses lèvres et souris. " Teut " J'attrape son poignet avant qu'il ne glisse ses doigts sur ma peau. " On a parlé de compagnie " Autant dire, tu vires tes salles pattes de moi avant que je te brise les doigts. Eh, je suis pas une pute non plus ! " On peut regarder mais pas toucher " Soufflais-je en faisant pivoter mes cuisses encore plus proche de lui. À vrai dire, je les pause carrément sur les siennes. On peut regarder mais pas toucher, capiche l'english ?
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