Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityLes sentiments sont des rêves dont les sensations sont les réalités. (Prialya) - Page 4
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Les sentiments sont des rêves dont les sensations sont les réalités. (Prialya)

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Je toquais prudemment à la porte, essayant d’apaiser ma petite amie mais c’est sa voix furax qui me répondit de lui foutre la paix. Elle me reprocha alors d’avoir fait tout cela juste pour avoir ce que je voulais, à savoir qu’elle rentre et que j’ai Mila avec moi. « Talya arrête, laisse moi t'ex… » Mais non, elle enchaina, se faisant d’un coup tout un scénario, en mode paranoïaque complète, comme quoi j’avais voulu lui rendre la monnaie de sa pièce, concluant que je pouvais retourner chez ma coloc, qu’Andrea était même surement dans le coup. « BON TALYA, CA SUFFIT MAINTENANT TON DELIRE, calme toi tu vas réveiller les filles. » Ma voix se fit plus ferme parce que non, même si j’avais été blessé comme jamais l’an passé, je ne lui ferais jamais ça volontairement, dans un stupide esprit de vengeance. Ce n’était pas mon genre, au fond d’elle elle le savait, mais ces textos jouaient en ma défaveur et elle était surement trop énervée pour réfléchir calmement. Alors si elle, elle affirmait qu’elle me détestait, moi ce fut une déclaration tout à fait différente dans laquelle je me lançais : « Talya Violett Blackburn, je t’aime, je t’aime comme un dingue, ancre toi ça dans la tête. » assurai-je alors. « Et ouvre moi, où je défonce la porte. » menaçai-je finalement. Fallait qu’on s’explique, on pouvait pas rester en froid à cause de ça.
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J'étais tellement heureuse d'avoir retrouvé Priape et j'avais tellement envie d'y croire qu'en tombant sur ses messages j'avais eu une véritable douche froide. C'est comme si j'avais fait une chute de vingt étages ou peut être même plus. Des milliards de films se faisaient dans ma tête et j'étais incapable de ne pas laisser ma bouche faire ressortir tout ce que je pensais. J'allais trop loin je le savais, Priape avait une explication à me donner mais moi j'en voulais pas, meuf têtue, voilà ce que je suis mais j'ai tellement peur de me donner à lui et de me rendre compte que tout ça est faux, qu'il va repartir de plus bel. « T'as qu'à partir j'arrêterai de gueuler et tout le monde sera content ! » Même si gueuler c'était un peu fort comme mot, je parlais fort c'est tout. Mais le jeune homme n'avait pas envie d'opter pour cette solution, il n'était pas décidé à partir et me laisser penser à toutes mes conneries. Il baissa donc d'un ton pour me dire qu'il m'aimait, comme un fou en plus. Mes yeux se fermèrent l'espace d'un instant, je me serai presque faite avoir mais est ce qu'il ne dit pas ça juste pour que je sorte ? « Moi aussi je t'aime, je peux pas vivre sans toi... Et j'ai confiance en toi... Et au final qu'est ce que je découvre hein ? » J'ai mérité ça peut être, par rapport à l'année dernière. C'est surement ce qu'il doit se dire, enfin je pense qu'il se dit ça dans mon cerveau torturé ! « Défonce pas la porte je suis derrière. » J'ai pas envie que mes filles se retrouvent toutes seules. « La porte n'est pas verrouillée... Je suis juste posée derrière... » Si la porte est assez costaude, peut être qu'il peut la pousser et faire glisser mes fesses sur le parquet jusqu'à passer. Peut être. Je sais pas, mais je vais surement pas lui ouvrir.
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« Je partirai pas. » affirmai-je sur un ton toujours ferme et décidé, restant planté devant sa porte avant de lui déclarer avec franchise mon amour. Mais même cela ne sembla pas la faire céder. Enfin, il y avait du mieux, elle ne me détestait plus, elle disait m’aimer et ne pas pouvoir vivre sans moi… Ma main effleura la porte du bout de doigts un instant. J’avais envie de la serrer dans mes bras là, sauf qu’elle poursuivit, elle me faisait confiance et voilà ce que ça avait donné, et elle était derrière la porte alors… Je me laissais glisser moi aussi contre cette dernière, m’asseyant par terre adossé ainsi, me lançant dans des explications que j’aurais préféré face à face. Mais j’avais peut être moins honte ainsi, ne pas sentir le regard déçu de ma petite amie sur moi lorsqu’elle allait découvrir que j’étais qu’un homme au final, faible, frustré et avec une part de perversion comme tous les autres au final… « Ses textos c’est n’importe quoi… Je m’étais inscrit sur un site après ma rupture avec Brynn, un délire d’une copine à moi… » On va éviter de dire que c’était une idée d’Ariel histoire de ne pas attiser les tensions entre les deux jeunes femmes. « Bref, ça voulait rien dire… C’était rien… Il s’est rien passé, c’était juste des mots. » Des délires de fantasmes qu’on avait évoqué sur le chat du site pour s’exciter mutuellement, rien de plus que des paroles en l’air puisqu’au final je n’avais même pas rencontré Powergirltruc, que je ne savais même pas qui elle était ou à quoi elle ressemblait.
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Il campait sur ses positions autant que moi sur les miennes, on n'était pas rendu tous les deux avec nos caractères de cochon sérieusement. Je l'entendis glisser le long de la porte, de l'autre côté. Je sentais qu'une conversation allait s'entamer comme cela et ça ne manqua pas. Il m'indiqua que c'était après sa rupture avec Brynn, qu'il a été sur un site... Pfff, tous les mêmes les mecs, ils ont besoin de s'inscrire à ce genre de connerie dès qu'ils sont célibataires pour penser à autre chose. Je déteste ça. « Je déteste ce genre de site. » Et je n'ai jamais pensé à m'y inscrire, c'est bizarre comme les gens peuvent réagir différemment face aux situations. « Pourquoi t'as gardé les messages ? » Je marquai une pause mais je repris avant qu'il ne puisse dire quoi que ce soit : « Pourquoi ton téléphone était sur ses messages ? » C'était ça en fait qui me perturbait le plus, parce que je n'avais pas eu à aller les chercher, je n'avais pas fouillé, son téléphone s'était dévrouillé sur les messages. Je n'étais pas une petite amie jalouse et envahissante comme certains peuvent le penser. Je voulais pouvoir avoir confiance en lui et je me mettais à l'épreuve mais comment dire que là c'était déjà loupé. « Si tu fais ce genre de truc, je vais jamais avoir confiance en tes intentions et ça marchera pas Priape... » Je me décalai de la porte et ouvris le loquet tout en restant assise par terre. Il a raison ce n'est pas ce genre de discussion qu'on a au travers d'une porte. C'est mieux en face.
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« J’aime pas ça non plus en temps normal, mais j’sais pas… » Oui ce n’était pas mon genre de chercher à fricoter en ligne avec des inconnues, mais là j’avais eu une phase… désespérée, après Brynn… Avec Talya à l’autre bout de la terre. J’avais douté de moi, de tout, de ma capacité à un jour reconstruire quelque chose de solide avec quelqu’un.  Alors je m’étais dit, pourquoi pas m’amuser ? Talya continua à m’interroger derrière la porte, me questionnant sur la raison pour laquelle je n’avais pas supprimé les messages. « C’était y’a quelques jours, je me suis disputé avec Ariel entre temps, j’ai eu d’autres choses à penser que cette histoire avec elle… » Pourquoi mon téléphone était resté verrouillé dessus ? « Donc du coup, j’ai du lui répondre de ne pas me recontacter tout à l’heure, j’ai pas du quitter le fil des sms ensuite… » Puis de toute façon, j’avais rien à me reprocher, rien à cacher. « Tu peux récupérer mon téléphone et le fouiller si tu veux Talya, je te cache rien. Cette fille c’est personne, je connais même pas son nom. » La porte finit par s’entrouvrir, Talya l’avait ouverte et je me relevai pour me faufiler dans sa chambre. Je m’assis à côté d’elle alors, brandis mon téléphone en poursuivant : « Tu sais quoi t’as raison, c’est débile, j’aurais du effacer directement son numéro, je voulais juste être poli en lui répondant, qu’elle n’aille pas se faire de fausse idée… » Trop gentil surement. Bref, je joins le geste à la parole et pianotai pour effacer la demoiselle du chat de mon répertoire : « Allez, bye bye powerpuffgirl… 456-502-4531 effacé. » fis-je en validant ma manœuvre. « Alors ça va mieux ? Ca te rassure ? » demandai-je avec un petit sourire, loin de me douter qu’en fait, le numéro de l’inconnue que je venais d’énoncer à haute voix n’avait rien d’inconnu pour ma petite amie, que je venais donc surement d’empirer les choses.


HJ : Faut que Talya reconnaisse le numéro de Kara, ça sera + fun comme ça Les sentiments sont des rêves dont les sensations sont les réalités. (Prialya) - Page 4 166564858
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Derrière la porte, j'acquiesce. Qu'il continue de ne pas aimer les sites, qu'il règle ses problèmes avec Ariel, et tout ce qui peut le conduire sur ce genre de truc... Parce que clairement je ne vais pas du tout apprécier qu'il continue de fréquenter ce genre d'endroit et recevoir ce genre de texto alors qu'on est ensemble. Je finis par ouvrir la porte, je prends mon téléphone en main et quand il dit qu'il supprime le numéro en le disant, je le tape sur mon téléphone. Pourquoi est ce que j'ai fait ça ? Pourquoi hein ? Qu'est ce qu'il m'a pris ? Peut être que je l'aurais gardé pour incendier la meuf ! Mais là, le numéro correspond à quelqu'un que je connais, qui habite juste à côté en plus. Je pâlis mon trouble devait se voir. « Tu te fous de moi quand tu me dis que tu la connais pas et que tu sais pas qui s'est hein ? » Il est maintenant dans la chambre et je suis en face de lui alors je plante mon regard dans le sien avant de retourner mon téléphone pour lui montrer à qui correspond le numéro : « Kara ! L'une de mes plus proches amies ! Elle habite à côté ! Vous vous êtes réellement foutus de ma gueule ! » Je ne peux pas crier parce que les filles dorment alors je m'énerve autrement et ma main vient s'écraser sur son torse. Non j'ai pas envie de le gifler, je sais pas pourquoi, ça aurait surement blessé son orgueil pourtant et il aurait peut être été aussi blessé que moi... Mais non je le frappe juste au torse, une frappe de fille. « Aller c'est bon cette fois je pense que tu peux prendre tes affaires et rentrer chez toi ! » Là j'en ai mare, c'est plus que je ne peux supporter et pourtant je fais tout pour ne pas être jalouse.
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Je savais pas ce qu’elle faisait avec son téléphone, elle comptait appeler la nana pour l’incendier ou quoi ? Je ne commentais pas, sentant déjà qu’elle était assez furax contre moi sans que j’en rajoute avec des remarques. Sauf qu’après avoir supprimé fièrement la demoiselle de mon répertoire, énumérant chaque chiffre qui composait son numéro au passage, cela eut l’effet immédiat de renforcer la colère de ma petite amie, qui me lança un regard assassin en me demandant si je me foutais d’elle. « Mais qu’est-ce que… » Elle retourna son écran vers moi pour que je puisse constater que le numéro de la soit disant inconnue était déjà enregistré dans son portable. Et ce n’était pas n’importe qui. Kara. Une dunster. L’une de ses meilleures amies. « Oh… » Je restais scotché de surprise. Elle m’assena des coups violents sur le torse en tachant de garder une voix posée pour ne pas réveiller les petiotes. « Talya, je t’assure que je savais pas, on a pas échangé nos prénoms, ni rien, juste nos numéros… » Et nos fantasme les plus profonds, mais ça il valait mieux pas que je le dise… « Talya, calme toi, je t’en prie arrête… » fis-je en bloquant ses mains des miennes. C’est qu’elle était gringalette mais bien énervée elle avait de la force. « On va pas se séparer pour… une connerie que j’ai faite quand on était célibataires toi et moi ? » Oui parce que clairement, je m’étais pas reconnecté sur le chat du site de rencontre depuis l’Ukraine, et je n’avais absolument pas l’intention d’y retourner. « C’était une erreur, je regrette vraiment… » Elle avait besoin que je remette sur le tapis les siennes d’erreurs ? Non, parce que moi, j’avais aucune envie de rouvrir le débat Maxime et Joa… «  Ca change rien qu’il s’agisse de Kara ou d’une autre, faut juste qu’on oublie tout ça… Tu lui en parles pas elle sera… super gênée sinon. Elle se doute surement pas que c’était moi parce que j’avais un pseudo à la con un peu dans le genre du sien… » DarkSnake ou je savais plus quoi, bref aucun lien avec ma véritable identité. On avait plus qu’à oublier cette histoire… Sauf que quand j’allais revoir la blondinette, j’allais être super mal à l’aise pour le coup, et Talya risquait de l’être tout autant aussi.
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Je m'en fous de tout ce qu'il dit mais alors vraiment tout, sauf que un mot sort de sa bouche : séparer. Là je reste sans voix, sans bouger, dans ma tête ça fait tilt. Je ne veux pas le perdre encore, c'est pour ça que je suis autant sur les nerfs de découvrir cela. Mais non je ne veux pas le quitter. Je me rends compte que je suis tellement accro qu'il pourrait bien faire tout ce qu'il veut dans mon dos, je serai capable de tout pardonner... « Je veux pas te perdre... » Voilà ce qui sort pour seule réponse à sa question sur la séparation. Mais quand il me reparle de Kara, je ne peux m'empêcher de lui dire que je ne saurais tenir sa demande. Ne pas lui en parler ? Ne pas lui dire d'effacer son numéro si c'est pour lui envoyer des messages comme ça ? Bien sûr que si je vais lui en toucher deux mots et si il ne veut vraiment pas que je le fasse, je vais me mettre à hurler histoire qu'elle m'entende à travers la paroi comme elle a l'appartement juste à côté. « Tu ne peux pas me demander de ne rien lui dire, je vais lui en parler, c'est mon amie, je peux pas la regarder en face et avoir envie de l'égorger sans lui en parler. » J'hausse les épaules, qu'il se mette trois secondes à ma place. « Je suis désolée. » Voilà encore ses trois mots. Oui je m'excuse d'avance d'aller en parler à Kara et pourtant je vais juste lui parler, pas m'énerver, enfin surement. Je vais vers le lit pour m'assoir et je prends ma tête entre mes mains. Si je m'étais imaginée que notre soirée se terminerait comme ça... « C'est une catastrophe... » Notre belle soirée de retrouvailles sur le sol américain, c'est un désastre... Ca avait pourtant si bien commencé.
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La voir se mettre dans cet état, sa colère, ça fit aussitôt surgir une idée terrible : toutes ces épreuves qu’on avait traversées, ces longs mois de séparation, mon obstination à ne pas pardonner, tout ça pour finalement se séparer à nouveau à la première dispute ? Mais Talya me souffla alors qu’elle ne voulait pas me perdre. « Moi non plus… » Clairement. Je ne voulais pas que notre deuxième chance foire en deux secondes à cause de stupides textos que j’aurais mieux fait d’ignorer et d’effacer sur le champ plutôt que de vouloir y répondre pour éconduire gentiment l’inconnue. Sauf que non, désormais, je savais que ce n’était pas une inconnue. Cette nana aux fantasmes délurés c’était… l’une des meilleures amies de Talya. J’essayais de minimiser l’impact de tout cela, de convaincre Talya de ne pas en parler à Kara, que cette histoire nous devrions juste l’oublier… « T’as pas à vouloir l’égorger… Elle savait pas que c’était moi, je savais pas que c’était elle. On aurait jamais parler comme ça sinon. » C’était ce qui faisait aussi qu’on s’était lâché autant dans notre discussion : le fait de ne pas savoir qui on était l’un pour l’autre. J’allais mourir de honte la prochaine fois que je verrais sa copine c’était clair, mais si Talya voulait lui en parler… « C’est bon, t’excuse pas. C’est moi qui suis désolé… » Et elle se laissa tomber sur le lit en soupirant que cette soirée était une catastrophe. Je la rejoignis, m’asseyant à côté d’elle sur le matelas avec un air coupable : « J’suis qu’un crétin… Quand je suis pas avec toi, je fais vraiment n’importe quoi… » Y’avait eu le site de rencontre certes, mais pas que… Il y avait eu aussi et entre autre le flirt avec Cornélia, les cours de drague de Lottie ou même encore avant la soirée désastreuse avec Victoria…
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« De toute façon je verrai bien sa tête quand j'en parlerai avec elle. » J'hausse les épaules. Pas la peine d'en parler plus, ça me fout une boule au fond de l'estomac et je n'aime pas du tout ça. Je suis déjà tellement déçue que notre soirée se passe comme ça. Ca commence toujours bien et puis il y a toujours les filles parce qu'on est de jeunes parents et après y'a toujours un facteur extérieur qui vient foutre le bordel. C'est de la folie, nous sommes maudits. Je me laisse tomber sur le lit et il se met à côté de moi pour avouer qu'il fait n'importe quoi. « Je suis pas mieux... D'ailleurs euh... Je sais pas comment elle s'appelle, Lia, Cornelia là... Je suis désolée d'avoir été l'embêter l'autre jour... Mais j'aime pas du tout comment elle te regarde. » Voilà, je suis jalouse, je veux qu'il le sache, qu'il sache que je l'aime et que je suis possessivement jalouse mais que je fais tout pour contrôler ça. Y'a juste des petits moments où je craque... Je suis pas parfaite moi non plus. « Enfin t'as quand même mis longtemps à te rendre compte que t'étais un boulet sans moi ! » Et je ne sais pas pourquoi, j'attrape un coussin qui n'est pas très loin et je lui balance à la figure en rigolant. Encore un point pour moi, c'est encore moi qui passe la pommade, c'est moi qui détend les choses. Je dois avoir un don pour ça ou alors la rancune de Priape est encore trop tenace, il va falloir sérieusement qu'on le fasse travailleur sur ça.
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