Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityLes sentiments sont des rêves dont les sensations sont les réalités. (Prialya)
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Les sentiments sont des rêves dont les sensations sont les réalités. (Prialya)

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 Mercredi. Enfin. nous y étions. Je tentais d’appliquer comme je pouvais les bonnes résolutions que j’avais pris suite à ma discussion de dimanche avec ma petite amie. Et ça commençait maintenant. Si la veille j’avais consulté assez tard, c’était volontairement parce que j’avais déplacé des rendez vous, m’arrangeant pour finir plus tôt cet après midi. 17h. Dernière consult’ bouclée. Je fermai le bureau, saluai mes collègues et pris la direction de l’appartement de Talya. Elle m’avait invité pour la soirée, mais je me disais qu’en arrivant plus tôt, cela permettrait que j’assure le réveil de sieste des petites, le goûter, le bain, et ainsi plus de repos pour la jeune maman qui enchainait les gardes de nuit cette semaine. J’introduisis la clé de chez elle que j’avais toujours en ma possession, poussai la porte et entrai. L’endroit était calme. Charlie et Mila devaient encore dormir, probablement que Talya faisait de même et en profitait pour faire une petite sieste réparatrice également. Je marchai à pas de loup vers la cuisine, préparai en tâchant de rester le plus silencieux possible, compote, yaourt et bib pour les petits monstres. Et je ne résistais ensuite pas à aller m’introduire dans la chambre de l’habitante des lieux. Talya était paisiblement assoupie, je m’assis au bord du lit et vint déposer mes lèvres sur son épaule nue avec douceur avant de tirer sur le drap pour la recouvrir, restant un instant là, à la contempler dans son sommeil, le genre de chose dont je ne me lassais jamais…
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Deux nuits et il m'en restait encore deux autres. J'étais déjà fatiguée rien qu'à l'idée d'y penser. Ma mère était rentrée chez elle après midi, le temps pour moi de me reposer un peu et qu'elle gère les filles pour le repas puis j'avais pris la relève. Mon père rentrait enfin et comment dire que la prochaine fois que je le verrais ça allait être sa fête. Je n'étais pas parfaite puisque je l'avais moi même délaissée mais alors lui, la délaisser pour aller coucher ailleurs, ça me restait vraiment en travers de la gorge parce que clairement je ne croyais pas du tout à son histoire de séminaire, il ne fallait pas me prendre pour un lapin de trois semaines. J'avais un peu joué tranquillement avec les filles après leur repas puis il avait été l'heure de la sieste et je n'avais pas résisté à aller en faire une bonne moi aussi. 14h, tout le monde était couché et si les filles n'avaient peut être pas encore trouvé leur sommeil, moi je dormais déjà à point fermé. De toute manière, si elles se mettaient à pleurer mon instinct de maman se réveillerait. Emportée par la fatigue, je ne vis pas l'heure défiler et ce fut uniquement quand je sentis quelqu'un près de moi, s'asseoir sur le matelas que je commençai à m'extirper de mes rêves de soirée parfaite avec Priape en tête à tête de ce soir. Je sentis quelque chose sur mon épaule, puis un mouvement de couette et un regard posé sur moi. « Charlie... » Quand mon cerveau assembla tout ça je fis un bon pour me relever dans le lit m'imaginant déjà ma fille auprès de moi après avoir escaladé la barrière de son lit. « Charlie ? » J'ouvris les yeux en même temps et me retrouvai face à Priape le regard posé sur moi. « Oh purée tu m'as fait peur ! Comme je ne t'attendais pas si tôt j'ai cru que c'était Charlie qui était descendue de son lit pour venir jusqu'à là... » Comme si j'avais fait un bébé yamakasi. Je me laissais retomber en arrière, la mine endormie avant de tendre les bras dans sa direction. Réveil câlins, ça pouvait fonctionner même pour une sieste.
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Talya se redressa d’un bond en laissant échapper le prénom de sa fille. Elle le répéta en ouvrant les yeux. Puis lorsque son regard croisa le mien, elle compris. « Hey, j’suis désolé je voulais pas te faire peur… » Je regrettais de ne pas être resté sagement dans la cuisine pour le coup, mais en fait la tentation d’aller la contempler en train de dormir avait été trop forte. « Tu m’avais pas dit que Charlie faisait de l’escalade maintenant… » rigolai-je alors que la jeune femme m’expliquait ce que son cerveau avait imaginé en sentant une présence près d’elle dans le lit. Imaginer la petiote jouant les cascadeuses dans son lit à barreaux, se servant de son mobile comme moyen de s’échapper, c’était drôle j’avoue… Finalement, la demoiselle se laissa tomber sur son oreiller en me tendant les bras. Je ne me fis pas prier, me penchant vers elle pour ce petit câlin, l’enlaçant avec tendresse tout en lui glissant au passage : « T’as l’air encore fatiguée, tu veux que je te laisse te reposer ? Je vais gérer les filles, toi tu peux rester au lit. » Comme ça pas d’excuse pour ne pas être en forme toute la nuit ensuite. « J’ai fait exprès de faire des heures sup hier pour avoir plus de temps aujourd’hui. » expliquai-je alors, façon de lui faire comprendre que son message de l’autre fois était passé, que j’allais tâcher de mieux m’organiser pour avoir davantage de temps pour elle ainsi que pour les petites. Je vins ensuite poser mes lèvres sur les siennes avec douceur avant de m’écarter quelque peu, près à la laisser jouer les belles endormies encore un moment, m’en voulant un peu d’avoir écourté sa sieste de la sorte…
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« Je sais pas je l'ai trouvé debout dans son lit en train d'essayer de passer la jambe par dessus l'autre jour et se pendant aux barreaux, je crois que c'est ça qui me travaille ! » N'importe quoi ! A un an et demi on ne fait pas le mur, enfin là pour le coup c'est plutôt le lit qu'elle ferait mais voilà. Du coup, il m'avait fait peur mais c'était moi qui m'était affolée pour rien, c'était la fatigue ou alors le fait que j'avais un peu trop dormi aujourd'hui ce qui était possible. « Il est quelle heure ? » Je regarde le réveil posé sur la table de nuit juste à côté : 17h ! « Non, non, non je ne dors plus, ca fait déjà trois heures que je dors, je vais pas fermer l'oeil de la nuit après ! » J'hausse les sourcils plusieurs fois de suite, ça peut lui donner des idées mais clairement si je continue de dormir je vais faire la fête toute la nuit et ça va l'épuiser. En attendant, je note bien son effort, il s'est libéré plus tôt aujourd'hui pour pouvoir venir m'aider et me soulager un peu en sachant que je vais quatre nuits cette semaine, c'est adorable et je me rends compte qu'il a vraiment entendu ce que je lui ai dit dimanche à la commémoration.  « T'es un amour... Je suis contente que tu sois déjà là. » Après il n'avait d'obligation que par rapport à Mila alors je n'allais pas lui imposer de gérer Charlie non plus. « Je vais me lever pour m'occuper de Charlie, je ne veux pas profiter de ta gentillesse et ta disponibilité. Puis je veux pas te faire fuir non plus à gérer deux bébés trop souvent alors que tu n'as de responsabilité qu'envers une. » Il avait peur que je ne le trouve pas à la hauteur ? J'avais peur qu'il trouve que c'était trop compliqué de gérer deux enfants avec si peu d'écart surtout quand l'un des deux enfants n'est pas le sien, je ne veux pas qu'il se sente obligé ni mit devant le fait accompli. Maintenant que j'ai récupéré mon chéri, je veux le garder le bichonner aux petits oignons. « Mais les filles dorment alors je crois que la seule qu'il faut gérer pour le moment c'est moi, avoue que t'es content de m'avoir réveillé ! » Mes mains enroulées autour de son cou font pression dessus pour que son visage se rapproche à nouveau mien. Je suis endormie, un peu la tête dans les nuages, mais après mon réveil en sursaut j'ai besoin de douceur.

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Talya me raconta d’où provenaient ses craintes : elle avait déjà surpris la petite cascadeuse en pleine tentative d’évasion. « Tu sais d’ici à ce qu’elle soit assez grande pour enjamber les barreaux, il y a du temps… » rigolai-je alors. Mais pas le temps de s’appesantir sur les bêtises de son aînée, Talya sembla prendre conscience de l’heure lorsque je l’invitais à rester au lit, et elle me répondit après un coup d’œil au réveil que non, elle ne comptait plus se reposer, sous peine de nuit blanche ensuite. « Et tu crois que ça va me déranger ? » Une Talya insomniaque c’était loin d’être un soucis, surtout que pendant nos dix mois de séparation, j’avais accumulé suffisamment de frustrations pour avoir de quoi nous occuper durant toute la nuit. Et en dehors de toutes les galipettes que je pouvais avoir envie de faire avec elle, l’idée juste de rattraper le temps en discutant, en rigolant, bref en profitant tous les deux, ensemble, c’était tout ce que je voulais. Je m’étais arrangé pour être là plus tôt, pouvoir l’aider et apparemment cela lui fit plaisir. Mais elle objecta qu’elle allait se lever pour s’occuper de Charlie. « Tu sais très bien que c’est pas par –responsabilités- que je suis ici. » Je voulais m’occuper de Mila, je n’étais pas simplement ici pour accomplir mon devoir de père. « Et tu sais aussi que ça me pose pas de soucis de m’occuper de la grande sœur. » Il fallait juste pas qu’elle me demande de lui faire des couettes quoi, parce que y’avait quand même certaines activités dans lesquelles je n’excellais pas. « Il en faudra plus que deux petites filles pour me faire fuir. » Même Matthéo avait pas réussi au final, donc ce n’était pas quelques galères avec les petites qui allaient me faire reculer. Maintenant qu’on était repartis sur le bon chemin Talya et moi, je comptais bien m’accrocher. D’ailleurs, la demoiselle me signifia que pour le moment, la seule éveillée et donc la seule à s’occuper c’était bien elle, m’attirant de nouveau contre elle de ses mains toujours autour de mon cou, nos bouches se retrouvèrent. Il fallait en profiter, les deux petits monstres ne tarderaient pas à se réveiller. Je fermais les yeux pour savourer ce contact, le prolongeant au maximum avant de m’écarter à nouveau pour lui avouer avec un petit sourire : « Je suis plutôt content en effet… » Mes yeux gardèrent captifs les siens un instant, mon front collé au sien, nos visages tout proches et je lui demandais : « Alors mademoiselle Blackburn, puisque vous êtes la seule à combler pour le moment, qu’est-ce qui vous ferez plaisir ? »
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« On en reparlera dans quelques mois quand tu devras courir après Mila à quatre pattes dans tout l'appartement... Tu te demanderas où est passé ton bébé et tu te diras qu'elle est bien plus grande que tu ne le pensais. » Les enfants changent, évoluent, très vite à cet âge là et je ne pouvais que le constater avec Charlie qui faisait des progrès de jour en jour. Petite mère avait l'air d'avoir une sacré tête, de la suite dans l'idée et un bon petit caractère. J'étais fière de ma fille, fière de ce qu'elle était déjà à cet âge espérant qu'elle ne ferait que continuer dans cette voie en grandissant. Et les bébés sages et bien disciplinés n'escaladent pas leur lit, si elle pouvait lui ça dans mes pensées. « Je vais mettre votre endurance à rude épreuve Monsieur Zacharias, il va falloir trouver un repas très calorique dans le frigo pour ne pas que vous tombiez en rade. » J'approchais son visage du mien pour venir m'amuser avec ses lèvres, un baiser, une petite caresse humide, heureusement pour lui, même s'il ne m'avait pas réveillé de la meilleure des manières je n'étais pas de mauvaise humeur. Il me rappela qu'il n'était pas là par responsabilité que ce soit auprès de Mila comme auprès de Charlie et je le gratifiai d'un sourire complice. Je le savais bien, je savais aussi que ça lui tenait à coeur de commencer à rentrer dans la peau du parfait petit papa qui revoit ses priorités pour venir s'occuper un peu de sa petite famille. On ne lui demandait pas une présence continue, on ne lui demandait pas de venir s'installer dans mon lit, non, juste qu'il soit là, et pas seulement quand on lui demande et ça il l'avait bien compris où il ne serait pas ici. Je passais ma main dans ses cheveux quand il approcha ses lèvres des miennes et resserraient délicatement mes doigts dedans avant qu'il ne me demande ce qui pourrait me combler. Je souris toujours contre ses lèvres avant que lui dire tout doucement : « Il me semble que la question ne se pose même pas... » Mais si on commençait déjà maintenant et surtout à cette heure où les filles n'allaient pas tarder d'émerger et d'avoir faim, nous n'étions vraiment pas rendus. Après lui avoir donné un baiser langoureux et l'avoir un peu plus rapproché de moi, je le fis un peu reculer avant de rajouter : « Je veux que tu m'aides à préparer le goûter. » Tadam la petite pirouette. Je n'avais aucune envie de préparer le goûter de sortir du lit ou même de la chambre, mais j'avais envie de rire et de mettre un peu sa patience à l'épreuve comme il avait su se jouer de la mienne depuis qu'on était rentrés.
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« Ne fais pas grandir notre fille trop vite… » Le 4 pattes… Et après quoi ? La marche ? Le cocard à cause d’une saleté d’étagères ?   Les sentiments sont des rêves dont les sensations sont les réalités. (Prialya) 2474380249  Non, non, je voulais encore profiter de mon petit bout, m’extasier devant ses areuh, applaudir quand elle attrapait simplement son hochet ou venir chatouiller son ventre avec le bout de mon nez pour la faire exploser de rire… « Non parce que si on part dans ces considérations là, imagine dans 15 ans quand elle voudra sortir en boîte avec son pote Oscar… » Non parce que lui, si il tenait de ses parents, il aurait pas le droit de s’approcher de ma fille ha ha… J’avais fait la fête avec Royce comme avec Leevy, et l’un comme l’autre avaient une sacré descente… Talya, qui apparemment était bien reposée après trois heures de sieste, me promettait de tester mon endurance avant de s’amuser avec mes lèvres. « J’ai pas vraiment faim là tout de suite maintenant… Ou bien si, mais d’une seule chose… » De sa bouche contre la mienne, de son corps contre le mien, de nos souffles se mélangeant… Et lorsque finalement, après un énième baiser, je la questionnai sur ce qui pouvait la combler, la demoiselle me répondit que la question ne se posait pas… Sauf que si son baiser pouvait vouloir dire qu’elle pensait à la même chose que moi, en s’écartant, ses paroles contredirent ses gestes. Elle voulait que je l’aide à préparer le goûter. « Tout est déjà prêt. » Tu ne t’en sortiras pas comme ça miss Blackburn. Mes yeux s’allumèrent d’une lueur joueuse. Elle voulait s’amuser, ok. J’avoue c’était mérité. Entre Kiev et mon emploi du temps chargé, j’avais un peu tenu le rôle d’extincteur jusqu’à présent, normal qu’elle me renvoie un peu la pareille. Sauf que je n’avais pas dit mon dernier mot, et c’est sur un ton très taquin que je repris : « Mais si toi tu as faim, si tu as peur de pas tenir le rythme pour la nuit, ce que je comprends tout à fait, je peux aller te préparer une petite collation… »
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« Ok mettons nous d'accord sur une chose : elle ne sortira jamais avec Oscar. » Mon bébé, ma petite fille avec un homme. Rien qu'à l'idée de m'imaginer cela, je pourrais en avoir les larmes aux yeux, mais en plus de la savoir avec Oscar où le petit ayant les parents les plus dépravés de tout Cambridge, ça me glaçait le sang. Je n'avais pas envie de voir ma petite Mila enrôlée dans les trafics louches de chacun de ses parents ou la voir subir les coups de son petit ami qui pourrait hérité du penchant sanguinaire de sa mère. Non ils sont vraiment trop fous dans cette famille, et puis avoir pour belle mère une femme qui a le nom de son père tatoué je ne sais où... Moyen ! Enfin... Les parents d'Oscar pourraient dire la même chose de nous, enfin nous trouver tous les défauts du monde et le principal serait surement notre envie de passer nos journées au lit à faire des galipettes, à moins que ça ne s'estompe un peu avec le temps, parce que pour le moment la frustration ne nous aidait pas à tendre de ce côté là. Priape avait faim, une faim qu'il montrait bien en mettant tous ses sentiments dans chaque échange que nous pouvions avoir, une faim qui n'avait rien à voir avec une quelconque heure du goûter. Cette faim que je ne connaissais que trop bien pour la partager avec lui. « Toi t'avais une idée derrière la tête... » Venir plus tôt, trouver tout le monde endormi et préparer le goûter puis venir me trouver dans ma chambre... Si ce n'est pas du beau calcul ça je ne sais pas trop ce à quoi ça ressemble. « Je crois que j'ai besoin d'une collation oui... » Dis je le sourire aux lèvres, Priape commençant à se redresser pour peut être me prendre au sérieux. Mais n'ayant pas dit mon dernière mot, j'attrapais son haut pour venir l'attirer de nouveau contre moi : « J'ai besoin d'une petite collation pour tenir jusqu'au repas du soir... » Une collation qui se mange, enfin non qui se dévore plutôt, sans faim... Nous étions tellement pas sérieux, si les filles nous voyaient elles se demanderaient surement comment elles peuvent avoir des parents si débauchés mais Mila comprendrait aussi rapidement comment son père avait réussi à conquérir si vite sa mère pour qu'elle arrive seulement treize mois après sa soeur.
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 « On s’était dit qu’ils allaient se marier et tout Leevy et moi. » racontai-je en rigolant en repensant à ce délire lors de ma toute première rencontre avec mon –gendre- alors qu’il n’était encore qu’en couveuse. « Mais de toute façon, Mila n’aura pas de petit ami avant d’avoir 20 ans… 25 ans… 30 ans même ! » Papa protecteur ? Non, mais il allait devoir s’accrocher le mec qui allait vouloir ma fille moi je vous le dit. Et pour le moment, c’était juste un bébé. C’était comme ça que je la voyais, mon bébé. Heureusement qu’on avait encore le temps avant de voir cette période venir. Et ensuite, emportés par nos baisers, Talya me souffla que j’avais eu une idée derrière la tête en arrivant plus tôt. « Si j’avais eu une idée derrière la tête, je serais déjà sous la couette avec toi… » Et j’avais eu la sagesse de rester sagement assis au dessus du lit à la regarder dormir. D’ailleurs dans son rôle de demoiselle sage, Talya était plutôt bonne actrice aussi me réclamant une collation. J’allais me lever, prêt à exécuter son souhait lorsqu’elle répéta ses mots en attrapant cette fois mon T shirt pour m’attirer contre elle. « Ha oui, je vois, ce genre de collation… » soufflai-je en m’enfouissant dans son cou pour venir y parsemer des baisers alors que ma main se faufiler sous le draps pour venir soulever son T shirt. Entre caresses et guilis, mes doigts se perdirent contre sa peau de son ventre et le long de ses côtes. « C’est moi qui vais prendre une collation en fait, je vais vous dévorer mademoiselle Blackburn… » menaçai-je avant de reprendre mes baisers, dégustation parfaite de son épaule, du creux de son cou, alors que mes lèvres commençaient à descendre dangereusement vers d'autres zones plus dangereuses...
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« Vous vous êtes dits beaucoup de connerie tous les deux à ce que je vois ! » Et bim ! J'avais dit cela en rigolant mais en soulignant quand même une vérité : le tatouage, le mariage Mila et Oscar, on n'est plus au moyen âge où les parents manigancent les mariages de leurs enfants, mon petit poussin d'amour serait libre d'épouser qui elle voudrait tant que ce en serait pas sous la contraire. « 30 ans c'est bien, puis si elle peut aller chez les nones avec Charlie c'est encore mieux. » Qu'elles se consacrent à dieu et restent vierges et insouciantes toute leur vie. C'est mieux pour moi. Parce que quand on goutte à ce genre de chose on a bien du mal de s'en passer après. « Ou alors mes ronflements ont peut être altéré tes idées ? » Peut être était il venu jusqu'ici oui dans l'espoir de me réveiller par des calins coquins mais que je m'étais mise à ronfler et que ça avait coupé tout envie chez lui, c'était possible, drôle, mais possible. Enfin pour le moment, il en était fini de rire, il fallait se caler une petite dent le temps de s'occuper des filles jusqu'à l'heure du dodo final. « Ce genre là oui... » Dis je en l'attirant vers moi alors qu'il ne se faisait pas prier pour venir embrasser mon cou de manière délicieuse et passer ses mains sous mon tee shirt pour caresser ma peau douce, me provoquant un frisson général que je ne pus contenir. Après ce frisson tous mes sens restaient en éveil alors que la bouche de Priape s'aventurait dans des zones plus sensibles. J'écartais les bras avant de lui dire : « Je suis toute à vous Monsieur Zacharias, prenez ce qu'il vous faudra pour vous satisfaire. » J'avais envie de rire mais quand sa main s'aventure sur ma poitrine alors que ses lèvres y descendaient dangereusement cette envie me passa et mes yeux se refermèrent, pas pour dormir, non, juste pour profiter pleinement de ce contact savoureux dont je ne me laisserai jamais. D'un côté, je remerciai son passé de coureur d'avoir forgé un si bon amant puisque j'étais maintenant celle qui en profitait.

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