Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityLes sentiments sont des rêves dont les sensations sont les réalités. (Prialya) - Page 2
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Les sentiments sont des rêves dont les sensations sont les réalités. (Prialya)

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 Je me contentai d’un raclement de gorge nerveux en entendant parler des conneries que Leevy et moi avions pu nous dire… et faire d’ailleurs. Je baissais les yeux. J’étais là pour passer une bonne fin de journée, pas pour remettre des sujets fâcheux sur le tapis. Et la blonde faisait surement parti des thèmes épineux, surtout vu le nouveau tatouage qui ornait sa nuque. Clairement il ne fallait pas parler de ça maintenant. Ni même des supposés ronflements de la demoiselle. « Arrête d’essayer le tue l’amour avec moi Talya, ça marche pas… » Ca ne marchait pas car j’avais envie d’elle, je la désirais tant que même en l’imaginant ronfler comme un ours ne suffisait pas à calmer ma faim. Je me penchai, mes lèvres glissant dans son cou, le long de son buste, descendant peu à peu. Ma main s’aventurait sous le drap, sous son T shirt, doucement, effleurant sa peau comme si c’était la plus précieuse des étoffes. Ma bouche continuait son chemin alors que la jeune femme se donnait verbalement et littéralement toute entière à moi. Et comme si c’était finalement le signal que j’attendais, ma main termina de relever son T shirt complètement pour que mes lèvres poursuivent plus aisément leur course fiévreuse sur sa peau. Sa poitrine constitua donc mon premier arrêt, ma bouche se délectant de l’un de ses seins avec douceur alors que l’autre était victime des caresses de mes doigts. « Maintenant je vais franchement être obligé de venir sous la couette avec toi… » soufflai-je entre deux baisers enflammés. Et histoire de mettre ma menace de la dévorer à exécution,  je m’écartai un instant, soulevai le drap pour pouvoir m’y glisser, avant de reprendre mon petit goûter là où j’en étais. Son ventre donc, arrêt suivant pour mes lèvres avant de descendre un peu plus encore, s’arrêtant à la lisière de sa lingerie. Mes mains caressèrent ses cuisses du bout des doigts avant de venir se saisir de la dentelle de sous vêtement avec la ferme intention de m’en débarrasser. Sauf que c’est à ce moment précis que la réalité de notre condition de jeunes parents nous rattrapa. Les cris de Mila retentirent, la petite venant surement de réaliser depuis son berceau que l’heure de manger était bel et bien arrivée… Et c’est avec un soupir sincère que je sortis de dessous la couette. « On est maudits… » Heureusement qu’on avait encore toute la soirée et toute la nuit pour nous… C’est cette pensée qui me fit trouver le courage de m’extirper du lit et de me calmer rapidement pour pouvoir assurer mon rôle de super papa.

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« Je tente de nous calmer dans nos ardeurs pour qu'on ne se saute pas dessus à longueur de journée même si je meure d'envie de laisser les filles à ma mère un week end et ne faire que ça... » Je ris de bon coeur parce que ça ne me ressemblait tellement pas et pourtant j'avais besoin d'être dans ses bras, de ne faire plus qu'un avec lui, de me sentir désirée, aimée et c'était tout ce que j'arrivais à avoir avec Priape depuis qu'il était revenu dans ma vie, cette fois, pour de bon je l'espérai. C'était la folie, les envies à contenir et tout, mais ça passerait, ça reviendrait surement à la normale, à moins qu'on soit un couple fusionnel et avec des besoins intensifs constants, ça me convenait dans les deux cas tant qu'on s'épanouissait tous les deux dans cette relation. Un épanouissement qui avait l'air de donner des ailes à Priape ou si ce n'était pas des ailes de nouvelles envies... Ses mains relevèrent mon tee shirt habilement et sa bouche s'aventura sur ma poitrine avant de la torturer délicatement. Mais ce n'était pas tout, le beau dunster se faufila sous la couette et sa bouche, ses baisers, tout ceci pris la direction de l'étape d'après, ma féminité, mon intimité. Mon dieu allait il réellement faire cela ? Jamais ce genre de chose ne s'était produite entre nous et j'avouai que cette petite attention ne me faisait que plus plaisir. Mon bassin se cambra un peu plus qu'il ne l'était déjà sous ses baisers pour lui montrer qu'il pouvait y aller malgré la nouveauté mais ce fut au moment où ses mains passèrent sous ma culotte - en dentelle fort heureusement sinon elle n'aurait surement rien eu de sexy - que Mila se mit à commencer à grogner dans la chambre d'à côté. Les petits grognements annonçaient les pleurs, les grandes larmes et les cris de nerfs à cause de la fin. La tête de Priape sortie de sous la tête et me fit face quelques instants. « Mila... » Roh bordel c'était tellement frustrant de s'arrêter là en si bon chemin. Le jeune médecin se releva et respira un grand coup pour se calmer alors qu'il était à l'étroit dans son pantalon puis se dirigea vers la sortie de la chambre. « J'arrive... » Si j'arrive à me lever avec mes jambes tremblotantes sous l'effet de ce qu'il vient de me faire. Quelques minutes plus tard, après avoir revêtu une tenue plus appropriée et surtout confortable. J'avais enfilé une robe en laine noire assez fine, sans colle roulé mais avec ces manches longues parce que je n'avais pas chaud et j'avais sauté dans un collant. Op ça ferait très bien l'affaire une fois que mes cheveux tout en bataille seraient attachés... Non en fait libres et sauvages c'était mieux, j'avais retenu qu'il préférait. Alors je les laissais ainsi et je rejoignis Priape dans la chambre de Mila alors qu'il était en train de changer sa couche. Je vins me poser à côté de lui, lui adressant un petit regard et un sourire qui en disant long avant de venir déposer des petits baiser sur le ventre de Mila qui ne tarda pas d'éclater de rire. Ah ba voilà, le bébé qui a faim rigole quand on lui fait ça mais pas quand on fait autre chose... Complot !
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 « Oh ça serait une idée très intéressante ça… » rigolai-je alors que oui, elle essayait de calmer nos ardeurs, tout en évoquant les plans auxquels on pourrait s’adonner si seulement on mettait nos filles en garde pour tout un week end. Un vrai couple d’ado en rutes… L’effet surement de nos dix mois de séparation, de toutes ces fois où mes yeux s’étaient posées sur elle mais où je m’étais forcé à détourner le regard, où nos peaux s’étaient frôlées mais où j’avais étouffé mon désir de prolonger ce contact, ou peut être encore tous les baisers volés qu’on avait écourté par ma faute, toujours dans une volonté de contenir mes envies… Mais aujourd’hui, en couple à nouveau, partant sur de nouvelles bases, il n’y avait plus de raison de se frustrer davantage. Autant se laisser aller à ce que nos corps mourraient d’envie de faire… C’est dans cette optique que mes baisers prirent une tournure plus ciblée, descendant peu à peu, mais au moment de se débarrasser de  la barrière de dentelle qui m’empêchait encore d’assouvir complètement mon envie, l’alarme Mila retentit… A l’origine, je n’étais pas venu plus tôt pour faire sa fête à Talya, mais bien pour l’aider et m’occuper des petiotes, c’est ce que la voix de la sagesse me répéta mentalement alors que je m’extirpais du lit en essayant de ne pas trop ronchonner. Frustration le retour. Mais je savais aussi que la soirée n’était pas finie, que j’allais avoir l’occasion de reprendre mes caresses là où je les avais laissées. Et respirant dans un soupir, je me calmais rapidement. Il n’y avait pas de bain gelé à ma portée alors il fallait faire preuve de self contrôle. Talya me souffla qu’elle arrivait alors que je quittais la pièce pour aller rejoindre notre fille dans son berceau. Je pris la petite dans mes bras. « Va falloir qu’on ait une discussion toi et moi Mila… » rigolai-je alors que la petite me servait son sourire le plus craquant. Elle essayait de m’amadouer surement. « Ce soir t’as intérêt de dormir sagement et de pas recommencer ce genre de gag hein ? Promis ? » Moi je prenais ses grands smile pour un oui. « Allez tope là… » Et ma paume vint se poser doucement contre la sienne, un check qui lui arracha un éclat de rire. Je la posai ensuite sur la table à langer. Le moment couche, oh joie. Si les ronflements supposés de Talya n’arrivaient pas à remplir leur rôle de tue l’amour, la couche de la petiote, elle, s’en chargeait très bien. Peut être que j’allais adopter cette technique, toutes les fois où Talya me ferait de l’effet dans les moments où ça ne s’y prêtait pas, je penserais à ça pour calmer mes pulsions. La jeune maman arriva en plein change d’ailleurs, et après un échange de regard, s’amusa à chatouiller la petite qui se mit à rire à nouveau. « En plus, elle a l’air d’avoir vachement faim… » fis-je avec un petit air dépité.
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« On va attendre qu'elle soit moins fatiguée et je lui soumettrai l'idée.» Ma petite maman, j'avais bien du mal à avoir envie de lui demander quoi que ce soit en ce moment puisqu'elle avait déjà assez à faire avec la maladie et comment dire que je n'avais pas été la meilleure des filles en me barrant à l'autre bout du monde pendant près d'un mois sans être là pour la soutenir. « Sinon elles ont des parrains et marraines... » Matthéo et Sienna pour Charlie, les meilleurs amis de Priape voilà voilà, et Calypso qui était encore plus malade que ma mère, Elia, qui a son petit bébé et Isaac pour Mila. Isaac avec un bébé ? Pendant un week end ? Peut être pas... on allait peut être devoir mobiliser toute la dunster house pour une gardiennage collectif afin qu'on puisse se retrouver en tant que couple en oubliant le côté parent avec des responsabilités un instant. Parce que ce côté ressortait toujours au mauvais moment... Voilà il n'y avait pas à dire mais c'était vraiment pas de chance que Mila se réveille pile à ce moment où Priape était bien décidé à rappeler à mon corps toutes les sensations que ses mains réveillaient chez lui et qu'il n'avait pas oublié mais gentiment enfouit pour ne pas être sur le qui vive dès que Priape me frôlait lorsque nous n'étions plus ensemble... De qui cette petite tient elle le côté : je tombe jamais au bon moment ? Peut être de moi, je suis une vraie boulette. Je me dirigeai vers la chambre de la petite quelques minutes après que Priape y soit allé et j'entendis leur petite conversation qui me donna le sourire. Au moins, lui et moi, nous étions sur la même longueur d'onde : plus de comédie du genre surtout quand c'était uniquement pour réclamer les bras et se marrer après. Priape fit la remarque qu'elle n'avait pas l'air affamé et mes yeux se levèrent vers lui, toujours plein d'envie alors que je lui donnais un petit coup de fesses. « Elle a moins faim que nous c'est clair... » Et puis je pense déjà à ce soir mais avec la sieste qu'elles viennent de faire, elles vont galérer à s'endormir... Roooh... Je n'espère pas. « Du whisky dans les bibis du soir moi je te dis pour qu'on ait la paix.» Je dépose un baiser sur le front de Mila puis je me dirige dans la chambre de Charlie que j'entends gigoter à côté. Elle est elle aussi réveillée, debout dans son lit, en train d'essayer d'escalader malgré le tour de lit et sa turbulette ! Je la prends et je change rapidement sa couche avant de la poser par terre et la laisser faire sa vie mais bien vite c'est le mam mam qui l'appelle comme elle dit et elle tente d'escalader sa chaise haute pour y monter. Priape vient installer Mila et son transat à côté et avant de commencer je lui dis : « Tu veux que je donne la compote à Mila ? Ca serait dommage qu'elle te recrache dessus et que je sois obligée de te retirer ton tee shirt pour le mettre à la machine... Enfin je veux dire que tu le mettes à la machine toi même...» Je rêvai de lui retirer son haut, voilà que mes envies trahissaient mes paroles.
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« On a tout notre temps pour se faire des week-ends comme ça… » L'expression c'était -on a toute la vie pour se faire ça- mais ça faisait surement un peu trop extrême, même si clairement, pour ce nouveau départ, je voulais croire en notre couple et en notre avenir. Bref des week-ends au lit, on pourrait s’en faire à foison, une fois que sa maman se serait remise bien sûr, actuellement n’étant pas le moment idéal pour surcharger madame Blackburn et l’épuiser avec les deux petites. Talya évoqua ensuite parrains et marraines. Sauf qu’entre ceux de l’aînée que je détestais, et ceux de la deuxième qui étaient respectivement malade, absente et très occupé, je n’étais pas sûr que ce soit une option bien meilleure. « On trouvera bien… » En attendant, notre moment câlin fut écourté par les cris de notre fille. C’était surement plus un cri d’appel pour obtenir de l’attention de ses parents qu’un véritable cri de faim, vu les éclats de rire que la petite nous servit. Talya compara son appétit au notre, tout en sachant très bien que nous concernant, il ne s’agissait pas de nourriture. Mon regard croisa le sien avec une lueur amusée et un petit sourire aux lèvres. Vivement ce soir oui… Mais en attendant, je comptais quand même profiter de ma fille, même si l’option whisky pouvait être tentante… « Fin d’après m et début de soirée à jouer à fond avec papa, ça sera plus sain et je suis sûr que je vais tellement les user qu’on aura la paix ensuite aussi. » rétorquai-je avec un petit rire, sachant très bien que Talya n’était pas du tout sérieuse concernant sa proposition précédente. D’ailleurs la jeune maman se chargea d’aller chercher Charlie et elles me rejoignirent dans la cuisine où j’avais posé Mila dans son transat pour faire réchauffer le biberon. « Vas-y charge toi de la compote… Et si il le faut, ça ne me dérangera pas de t’aider à retirer ta robe ensuite… » acquiesçai-je avec un ton chargé de sous entendus, mon regard s’égarant  un instant sur son corps aux courbes parfaites, joliment mises en valeur par la tenue qu’elle avait revêtu… Re-concentration sur le chauffe bib, je ne devais pas laisser mon esprit s’égarer, les petites étaient là quand même. Je me raclai la gorge nerveusement en testant le lait sur le dos de ma main. « Ce week-end va devenir plus que nécessaire je crois… » Si on voulait pas finir complètement frustrés à se lancer dans des sous entendus de plus en plus évidents devant les enfants. Je posai le biberon sur la table avant d’attraper la compote et le petit suisse de la grande. La fixant dans la chaise haute, je l’aidai à enfiler son bavoir et lui tendis la cuillère, sauf qu’elle n'en voulait pas, elle voulait que ce soit moi qui donne. Charlie n’avait pas envie de faire sa grande aujourd’hui, elle voulait que l’on s’occupe d’elle. Et comme je me rappelais trop bien de son maniement maladroit de la cuillère à Kiev, je ne cherchais pas à discuter, c’était surement pas plus mal que ce soit moi qui m’y colle pour aujourd’hui.
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J'aime l'optimisme de Priape, sa manière de nous projeter dans le futur. Ca donne encore plus d'espoir que notre bon nouveau départ. Ca fait du bien. M'enfin pour faire de beaux projets de week ends, il allait falloir qu'on trouve des amis capables de s'occuper de deux bébés en même temps si ma mère ne reprenait pas du poil de la bête parce que là entre les parrains et marraines, on était bien servi. On tient à eux, on les aime mais ils sont pas d'une grande utilité pour le coup. Je souris à Priape, oui on verra le moment venu, en attendant, c'est à nous de nous occuper des petits crapauds et le jeune papa est plutôt réactif. « Papa est décidé à épuiser toutes les filles de la maison à ce que je vois ! » Je lève les yeux au ciel en rigolant puis je me reconcentre sur les deux petites en face de moi. Mila, Charlie, Charlie, Mila. Oui il vaut peut être mieux que je m'occuper de Mila, j'ai plus l'habitude de lui donner la compote pour ses débuts que Priape qui lui ne voit que les bons côtés des choses. Donc si la petite me crache dessus, ça l'arrange en quelque sorte. Chameau va. Je le réprimande en le regardant droit dans les yeux, non sans envie, bien au contraire. « Arrête ça Priape... » Je plisse les yeux pour prendre un petit air sévère, mais c'est peine perdue hein, depuis quand on peut paraitre sévère alors qu'on rêve de se sauter dessus ? « Tes sous-entendus vont me rendre folle ! Je vais finir par appeler une nounou et t'embarquer je ne sais où et pour profiter des petites tu devras repasser ! » C'était une bonne idée d'assouvir nos envies comme des fous puis de reprendre ensuite une vie un peu plus normale, mais peut être que ça allait durer cette envie brûlante, bouillante entre nous. Je me concentre sur la petite qui commence à gigoter dans le transat pour manger et je vise bien la bouche pour ne pas lui en mettre de partout. « Heureusement que les filles ne comprennent pas tout encore... Mais faut faire attention quand même, Charlie répète beaucoup... » Et je n'ai pas du tout envie que ma fille me dise qu'elle rêve d'enlever ma robe. Je termine de donner la compote de Mila sans encombre puis je la prends pour lui donner le biberon. J'ai changé la tétine du biberon, l'autre était abimée et Mila peinait à boire, j'espère que celle ci ira mieux mais c'est vite dit. Elle va beaucoup trop vite et la petite Zacharias n'a pas l'air d'avoir la moindre envie de prendre son temps, je fais des poses mais elle s'énerve. Grrr ce biberon n'est pas une partie de plaisir pour le coup. Elle le termine quand même et je l'assois sur mes jambes face à moi pour lui faire faire sons rot. D'ordinaire il arrive plutôt vite mais elle a l'air d'avoir du mal. C'est rien de le dire. Après quelques secondes dans cette position un grand jet de lait sort de la bouche de Mila pour venir s'écraser sur moi. « Mila !!! » Je relève la petite de sur mes genoux rapidement et je la tiens à bout de bras. Elle ne me l'avait jamais faite encore celle là c'est la meilleure. Je suis crépis de lait de la tête aux pieds et quand je me lève ce n'est que pire parce que ça dégouline de partout. Je regarde Priape et je lui dis : « Bonjour je m'appelle Talya Blackburn et votre fille Monsieur Zacharias, elle vient de me transformer en véritable tue l'amour ! » Et ce n'est rien de le dire parce que le lait, ça pue.
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 Talya reprit mes mots, s’amusant à me taquiner quelque peu au passage par sa remarque qui m’arracha un petit rire. J’aurais bien renchéri sur le thème mais il y avait les petites. Les petites sur lesquelles il fallait que notre attention se concentre. Sauf quand j’évoquais le sort que je réserverais à sa robe si Mila venait à recommencer ses exploits en terme de compote, la demoiselle me sermonna avec un petit air sévère. «Ok, ok j’arrête, j’arrête… » J’avais terriblement envie d’elle, de lui arracher sa robe et que l’on puisse enfin profiter de notre remise en couple, seulement je n’étais pas venu que pour cela. J’avais sincèrement envie de passer du temps avec les petites aussi. Que Charlie aille répéter à son cher parrain les bêtises que nous échangions. Oui, parce que bon, c’était un plutôt bon reflet de la complicité qui régnait entre Talya et moi, et même si je savais Matthéo out de la course, qu’il ait quelques preuves du sérieux et de l’implication que nous mettions dans notre deuxième chance m’assurerait encore plus de pas le voir jouer à nouveau les troubles fêtes. Mais non, je ne prononçais pas cette pensée à voix haute, je me contentais de répondre : « Qu’elle aille le répéter, j’assume mon envie désespérée de pouvoir profiter de ma petite amie. Puis c’est mon droit non ? » Ouais, enfin, je ferais surement moins le malin si miss Blackburn allait s’amuser à raconter ça à son papi et sa mamie par exemple… Bref, trêves de bavardage. Chacun de nous s’activaient pour s’occuper d’un des deux petits gloutons. Moi je donnais cuillerées après cuillerées à Charlie alors que Talya, elle, s’occupait du bib de Mila. Et il ne fit d’ailleurs pas long feu. Englouti en moins de deux, la quasi intégralité de son goûter termina en jet sur la jeune maman. Je me relevai d’un bond pour aller prendre la petite dans mes bras devant cette régurgitation impressionnante. « Elle t’a déjà fait ça ? C’est bizarre non ? Ca va Mila ? » Mode panique on. Si j’étais un pédiatre plutôt zen dans l’exercice de ma profession, dans ma vie privée je suis un véritable papa stressé… « Tu crois qu’elle va bien on devrait peut être l’emmener consulter non ? » continuai-je en scrutant la petite qui souriait toute fière de sa bêtise dans mes bras et qui n’avait absolument pas l’air malade pour un sous. Comme quoi, quand il s’agissait de sa famille, même un bon médecin n’était pas capable d’objectivité.
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« C'est totalement votre droit... Je dirai même plus : votre devoir est de me satisfaire mon cher, et inversement ! » Parce que s'occuper de son plaisir c'est bien, mais s'occuper du plaisir de l'autre c'est encore mieux, c'est tellement plaisant de voir l'autre sur la même lignée que nous dans le plaisir que voilà... Bref aucun détail tout le monde sait ce que c'est qu'un tour au lit entre un couple qui s'aime mais qui est frustré depuis des mois et si on ne sait pas c'est bien facile de se l'imaginer. L'imagination, voilà le monde merveilleux dans lequel on allait devoir se perdre en attendant de pouvoir faire quoi que ce soit puisque c'était l'heure du goûter et avec nos deux petits ventres sur pattes il ne fallait pas trainer. Mila fut la première à terminer mais ce ne fut pas une réussite, bien loin de là. A peine avait elle finit qu'elle régurgita de manière impressionnante... Sur maman ! Priape prit la petite alors que je me levais et que le vomis de bébé coulait sur le sol. C'était immonde et ça puait affreusement mais pour le moment on s'en fichait, enfin surtout le papa qui était complètement affolé par ce que venait faire la petite alors que Charlie rigolait dans sa chaise, tout comme Mila. « Je pense qu'on devrait sortir l'hélicoptère même ! » Je rigole à moitié j'aime bien le voir paniqué comme ça à tenir sa fille comme un petit trophée de peur qu'elle lui régurgite dessus à son tour. « Vu tout ce qu'elle m'a vomis dessus et le sourire qu'elle te fait, je pense que tu peux la prendre contre toi elle n'a plus rien dans le ventre ! » Et trêve de plaisanterie, on ne va pas emmener notre fille à l'hôpital où on travaille juste parce qu'elle vient de vomir, on se ferait rire au nez je pense. « J'ai changé sa tétine, elle a bu trop vite faut pas s'affoler, Charlie m'avait fait ça une fois ! » Je suis toujours là, les bras écartés, trempée, c'est génial. « Bon ben tu gères les filles et je vais retirer ma robe toute seule si j'ai bien compris c'est ça ? » Dis je avec une petite mine tristoune. Les filles sont en forme elles viennent juste de se réveiller et Charlie n'a pas terminé, alors il faut bien quelqu'un pour finir même si ça n'a pas l'air de la déranger de ne pas avoir fini et qu'elle préfère rire à la scène qui se présente à elle.
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 Mon droit, mon devoir, dans tous les cas ça m’allait très bien. Même si pour l’heure, c’était à une toute autre activité qu’on s’adonnait. Je finis par être gagné par un mouvement de panique devant le rot vomitif de ma fille. Tout le monde semblait s’en amusait alors que de mon côté, c’était le stress qui m’empêchait de réfléchir. Quand Talya me répondit avec ironie en évoquant l’hélico, je lui lançais un regard noir : « C’est pas drôle… » Pourtant, de la voir se marrer à moitié et se moquer ainsi, ça me faisait déjà me sentir plus léger. Parce qu’elle gérait, qu’elle était une super maman, que si y’avait eu vraiment matière à s’inquiéter elle l’aurait fait. Donc si elle était zen et décontracté, je pouvais surement lâcher du lest. Je serrais la puce contre moi avec douceur avec un petit air grognon, pas encore complètement rassuré, écoutant l’explication surement plus plausible que mes scénarios catastrophe de sténose du pylore ou d’occlusion majeure qui s’étaient dessinés dans mon esprit. « Ca va aller ma puce, c’est rien… C’est à cause de maman qui a changé le biberon… » On se demanderait presque qui des deux j’essayais de rassurer, Mila ou moi ? Bref, je finis quand même par relever la tête vers Talya, toujours immobile et dégoulinante de vomi. Et enfin, je décompressais et me mis à pouffer. D’ailleurs, ma main libre alla chercher mon portable dans le fond de ma poche pour immortaliser la chose. « Désolé, mais ça fera trop bien sur mon bureau au travail. » me moquai-je en la prenant en photo avant de ranger mon précieux téléphone, acheté aux soldes avec Paris et vaillamment négocié. J’allai ensuite poser Mila dans son transat en lui expliquant que je revenais. Je voulais aider Charlie à finir son goûter, même si la demoiselle ne semblait pas avoir faim. « Tu vas t’en sortir toute seule avec cette robe ? » demandai-je en reprenant la distribution de compote. Parce que j’aurais bien été l’aider, mais là en l’occurrence, ça aurait fini par mettre plus de temps avec moi dans son sillon quand elle se déshabillait… Et puis on pouvait pas laisser les petites sans surveillance.
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J'écoute Priape rassurer Mila qui n'a pas du tout besoin de l'être. Je me marre encore parce qu'il se rassure tout seul. Je finis par l'imiter en ronchonnant : « C'est la faute de maman qui a changé le biberon nianiania... » J'ai envie d'aller le serrer dans mes bras pour le réconforter hihi, lui faire une petite blague ça ne serait pas mal mais on devrait se changer tous les deux et laisser les filles seules alors juste pour cette raison je vais lui éviter le câlin de réconfort. Quelle chance il a. Je suis d'humeur taquine, joueuse, mais Priape n'est pas en reste. Il récupère rapidement son téléphone et me prend en photo, je proteste comme je peux. « T'es pas possible Zacharias ! J'étais en train de me dire que j'aurai pu te faire un câlin pour te réconforter mais qu'avec le lait c'était pas raisonnable, je t'épargne l'odeur puante du lait et toi tu me fais ça ! Je vais me venger. » Je fais celle qui est bougon mais j'ai le sourire aux lèvres. Je le laisse avec les filles et je file à la salle de bains. Je n'imagine même pas quitter cette robe en la passant par dessus ma tête. Elle est un peu élastique et l'encolure assez large alors je retire les manches et je la laisse glisser jusqu'à mes pieds, op directement dans la machine avec plusieurs trucs noirs qui sont là et des jeans, plus vite cette odeur aura disparu, mieux ça sera. J'enfile un peignoir et je passe dans ma chambre, plantée devant mon placard j'ai rien envie de mettre. « Charlie !!!! Viens choisir la robe de maman. » Et j'ai bien dis Charlie hein ! « Elle a fini de goûter au moins ? » Dis je en entendant les petits pas arriver vers ma chambre et en passant la tête par la porte, non parce que si elle n'a pas terminé et qu'elle en a encore partout, on va éviter de me baptiser une deuxième fois. La petite arrive débarbouillée et je m'accroupis pour me mettre à sa hauteur et lui dire : « Plutôt qu'une robe, c'est une combinaison de plongée et un col roulé qu'on devrait choisir pour punir Paprape ! » Pire sentence que le coin !
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