Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityLes sentiments sont des rêves dont les sensations sont les réalités. (Prialya) - Page 3
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Les sentiments sont des rêves dont les sensations sont les réalités. (Prialya)

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 La peur passée, ça allait tellement mieux que je dégainais mon téléphone pour un petit cliché souvenir de Talya dans sa jolie robe au dégueuli, mais la blondinette protesta, en me faisant savoir qu’elle avait envisagé un câlin pour me réconforter. « Ton réconfort puant, je m’en passe très bien. Mais merci. » me marrai-je alors qu’elle me promettait une vengeance. « Ha ouais ? J’ai hâte de voir ça… Oublie pas qu’à présent, j’ai du dossier… » fis-je avec un petit air taquin en agitant mon téléphone, manquant un instant de le faire tomber. Ok, rangeons le. Je n’avais clairement pas les moyens de me re-payer –encore- un téléphone. Talya disparut ensuite et hop, la mission compote reprit. Mission compliquée puisque Charlie maintenait obstinément la bouche fermée, laissant échapper quelques –non- pour manifester qu’elle ne voulait pas de ma cuillère. No stress Priape, parce qu’à nouveau, mon esprit recommença à cogiter. Vomissements de la plus jeune. Perte d’appétit chez la plus grande. Y’avait peut être un virus qui trainait dans cet appart… Peut être qu’on devrait consulter quand même non ? Et je commençais à devenir stressé même avec Charlie, il allait vraiment falloir que la petite change de pédiatre pour quelqu’un qui lui était moins lié, parce que je perdais clairement tous mes repères et mon objectivité quand il s’agissait de ma famille. Puis Talya ne revenait pas. Je la hélai en plus demandant si elle s’en sortait et elle appela alors son aînée pour l’aider dans son choix vestimentaire. « Mais pourquoi tu t’embêtes, tu peux rester dans la même tenue que celle dans laquelle je t’ai trouvé tout à l’heure. » Débardeur léger et culotte en dentelle… L’espace d’un instant, je me sentais moins préoccupé. Puis mon attention se reporta sur Charlie et le pot de compote qu’à moitié fini. Je lui essuyai la bouche avant de la laisser descendre, et le regardai trottiner jusqu’à la chambre de sa maman. Je les laissais à leurs occupations chiffons entre elles, l’esprit pas tranquille. « Y’a pas des cas de gastro en ce moment à la crèche ? » demandai-je depuis la cuisine, sortant déjà mon smartphone pour consulter en ligne les astreintes du soir en pédia. Vite, il me fallait une dose de Talya pour me sentir plus détendu…
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Une fois Charlie près de moi, elle tira sur plusieurs robes avec sa petite main pour les faire tomber de leurs cintres. L'une d'entre elle lui tomba sur la tête et elle joua quelques secondes le petit fantôme, éclatée de rire avant que je ne lui enlève pour ne pas qu'elle se fasse mal ou autre. Dans le salon j'entendis Priape me parler de gastro, j'haussai les sourcils avant de prendre ma Charlie vers moi et de lui dire : « Tu choisis la robe de maman et t'es sage mon petit coeur, maman va aller rassurer un peu Paprape. » La petite était assise au milieu des robes passant sa main dessus pour caresser les tissus, enroulant son doudou dedans pour lui faire une jolie robe, bref, elle n'était pas le genre à faire des bêtises d'ordinaire, alors là dans ses robes de princesses bien trop grandes pour elle, elle n'allait pas en faire. C'est donc en peignoir que je sortis pour rejoindre Priape avachis dans le canapé. Je le fis décroiser les jambes pour venir m'installer sur ses genoux et passer mon bras autour de son cou alors que de l'autre main je pris son téléphone en voyant qu'il était déjà limite en train d'appeler l'hôpital. J'envoyai le téléphone doucement sur le canapé d'à côté et il s'y échoua sans fracas. Je mis cette main libre sur sa joue pour que son visage soit tourné vers le mien. « Papa ou Docteur Zacharias écoutez moi bien. Les petites vont bien, la gastro c'est pas pour tout de suite chez nous, alors vos inquiétudes de papa, on les oublie et vos réflexes de docteur vous les gardez pour vos prochaines consultations d'accord ? » Je rapprochai mon visage du sien tout en parlant, mon front s'arrêta contre le sien alors que mes lèvres chatouillaient les siennes en glissant doucement dessus. Puis je rajoutai : « Si Papa et Docteur Zacharias ne laisse pas sortir d'ici mon amant diabolique qui n'a aucune envie qu'une inquiétude inutile écourte notre soirée... » Je tapote son coeur en parlant et dépose un baiser au coin de ses lèvres pour jouer avec lui. « Je pense qu'on m'arrêtera pour double meurtre demain. » Papa Zacharias, out. Docteur Zacharias, out.
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 J’étais en train de pianoter, hésitant entre appeler, ou m’y rendre directement avec les deux petites quand Talya arriva, en peignoir. Elle se fit doucement une place sur mes genoux, ce qui m’arracha un petit sourire malgré mon stress omniprésent. « Je me demandais si quand même on ne devrait pas y… » Pas le temps de finir, mon téléphone valsa et sa main attira mon visage dans sa direction, nos regard se rencontrant. Elle prit alors la parole pour m’assurer que les petites allaient bien, que je devais oublier ces histoires de gastro avant de quémander que le papa et le docteur en moi laisse un peu plus sortir l’amant que j’avais du coup refoulé. « C’est que… Elle a pas beaucoup mangé Charlie… Tu vois. Du coup, je… » Je laissais tomber mes justifications à deux balles. J’étais pédiatre, je savais que c’était pas logique de s’inquiéter pour quelques cuillères de compote boudées. « Faut qu’on lui trouve un autre pédiatre, je suis plus objectif à son sujet… » Et comme je sentais que si on ne passait très vite à un sujet moins médical, Talya allait véritablement mettre ses menaces à exécution, je me repris : « Non mais je me détends on parle d’autre chose, t’as raison… » Et mes mains se glissèrent sous son peignoir pour l’attirer un peu plus contre moi, découvrant avec un large sourire que la demoiselle ne portait rien sous ce dernier. « T’as pas peur de te balader comme ça… » m’amusai-je alors à répondre avant de la faire basculer pour qu’elle se retrouve en position couchée sur le sofa, me penchant sur elle pour l’embrasser un instant. Sauf que Mila chouina depuis son transat et je me redressai alors, me levant du canapé pour aller retrouver la petite. « Je range la cuisine et toi tu devrais te rhabiller avant que l’amant diabolique ne soit complètement de sortie… » rigolai-je alors.
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« Elle mangera mieux ce soir, t'en fais pas ! Et je ferai faire des pauses à la mini glouttone pour qu'elle ne régurgite pas entièrement son biberon ! » Voilà les deux solutions aux maladies des filles, pas de quoi s'inquiéter d'une gastro ou de je ne sais quel autre virus qui tourne dans l'air. La mine des filles était bonne, si elle ne l'avait pas été alors là oui je me serai inquiéter comme lui. « On va trouver un autre pédiatre alors oui. » Il est vrai qu'en étant avec moi, en étant le papa de Mila et en ayant toujours eu une place de choix dans le coeur de la blondinette, il était amené à passer beaucoup de temps avec elle et son jugement n'était plus du tout objectif, la preuve en était, un manque d'appétit et il fallait déjà l'emmener à l'hôpital. Pire qu'un papa poule ce Paprape ! Rassuré, Priape laissa sa main s'aventure jusqu'au haut de ma cuisse nue me demandant si je n'avais pas peur. Je tournai la tête de gauche à droite pour lui signifier que non et rapidement je me retrouvai en position allongée sur le canapé avec Priape au dessus de moi. Mais l'alarme Mila vint nous rappeler à l'ordre une nouvelle fois. Le jeune médecin se leva rapidement pour aller auprès de la petite alors que je couvrai mon visage de mes mains en disant : « C'est vraiment pas notre journée... » Tant qu'elle avait les yeux ouverts il ne fallait pas compter sur un moment de répit. « Je vais m'habiller, je vais m'habiller... Mes deux merdeuses n'ont pas l'air d'avoir envie de laisser l'amant diabolique de sortie alors je n'ai plus que ça à faire. » Sauf que les robes et tout ça avait occupé un petit moment Charlie mais j'avais changé d'idée entre temps, ça serait débardeur tout simple qui me sert de pyjama ou pour trainer à la maison et jogging, rien de très sexy. Je rangeai les robes avec la petite puis on retournait dans le salon. « Voilà, aucune chance que l'amant diabolique ne sorte, j'ai mis ma tenue de combat comme Mila a l'air de vouloir m'en faire voir de toutes les couleurs aujourd'hui ! » Son réveil au mauvais moment, son jet de lait impression, ses couinements juste au moment où Priape reprend un peu les choses en main. Ce n'est pas ma journée à première vue, il faut que je m'y fasse.
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 Talya savait parfaitement comment me rassurer et dédramatiser les choses. On formait une team parfaite, l’équilibre se faisant entre mon stress et sa zen attitude. Elle concéda à l’idée de trouver un nouveau pédiatre pour la plus grande, mon rôle s’apparentant plus à celui du beau-père aujourd’hui. Et donc pleinement rassuré, mes mains se baladèrent un instant sur le corps de la demoiselle pour découvrir qu’elle n’avait rien sous son peignoir. Mais à croire que Mila avait décrété la chasteté pour nous, elle chouina pile poil au moment où les choses dérapaient quelque peu. Je disparus dans la cuisine, Talya dans sa chambre. Compote entamée au frais, je saisis le biberon ensuite pour le laver, idem pour la cuillère de Charlie, puis j’allais retirer son bavoir à Mila et la pris un peu dans mes bras. Grands sourires de la petite. Elle me narguait j’en étais sûr. En tout cas, Talya avait raison, elle avait l’air en pleine forme cette chipie, et pas malade pour un sou. Je l’emmenai dans le salon où Talya ne tarda pas à réapparaitre en tenue de guerre, annonçant qu’ainsi l’amant diabolique serait mis au placard. « Tu sais que même dans un sac à patate tu arriverais à réveiller l’amant en moi… » Ou peut être que non elle ne le savait pas, en tout cas maintenant c’était dit. Elle dégageait quelque chose, une sensualité, un charme, qui ne dépendait en rien des morceaux de tissus qu’elle pouvait avoir sur elle. Et elle n’avait besoin d’aucun artifice pour devenir l’objet de mes fantasmes… Sauf, qu’il ne fallait pas que je laisse mes pensées divaguer. Mon regard se reporta sur Mila et j’allais la poser un peu sur son tapis d’éveil, alors qu’elle s’émerveillait sous son arche, tendant les bras pour faire bouger les différents jouets suspendus au dessus d’elle et c’est avec un sourire attendri que je la regardais faire. Profitons un peu des filles… On avait la nuit devant nous, même si je devais avouer que nos rencontres trop brèves et les longues périodes sans se voir entre chacune d’elles me rendaient tout particulièrement impatient.
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J'étais frustrée mais c'était mes filles, nos pépettes, alors à quoi bon lutter contre ça ? Je me dirigeai donc vers ma chambre après un moment d'égarement et je m'habillai. Ce n'était pas la tenue la plus sexy de l'année mais Priape n'avait pas besoin de savoir ce que je portais pour me faire des compliments. Il se fichait de ce que j'avais sur moi pour réveiller l'amant diabolique en lui. Il n'est vraiment pas objectif et j'aime ça. Je l'aime tout court. Je m'occupe un peu de Charlie et lui de Mila. Je le regarde faire, c'est attendrissant. Charlie se décide à aller rejoindre sa soeur et mon petit ami. Elle parle à Mila, lui montrant tout ce qu'il y a autour de l'arche, lui parlant dans son petit charabia. Elles ont l'air de se comprendre, ça me fait rire. Ca fait du bien de voir ma famille comme ça. Unie.

On passe du temps à jouer avec les filles, à profiter de nos premiers instants de vraie famille, de famille officielle même si nous n'avions pas besoin de ça avant, juste d'être en couple et de laisser notre amour s'exprimer. Puis on prépare à manger, on range tout et on couche tout le monde. Quand je ferme la chambre des filles, je mets ma main devant ma bouche pour tenter d'étouffer un baillement. Je suis fatiguée, mais tellement pas à la fois. Je m'appuie contre la porte de la chambre alors qu'il se tient juste devant moi. Je plante mon regard dans le sien et je lui dis en rigolant : « Jouer avec vous m'a épuisé monsieur Zacharias... » Le hochet, les cubes et tout c'est vrai que c'est vraiment fatiguant. « Je vais surement aussi bien dormir que les filles ! » Il peut oublier la partie sur moi, je veux juste lui dire par là que si on n'entend rien à l'heure actuelle, c'est qu'on va avoir la paix, oui oui LA PAIX alors fonçons.
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 La fin de journée passa super vite : on rangea le goûter, on se mit à jouer, entre les éclats de rire, l’heure du dîner arriva. Il s’avérait qu’en prenant son temps, Mila digérait beaucoup mieux… Opération pyjou et dodo ensuite, et Talya et moi nous nous retrouvions enfin seuls… La petite remarque de Talya accompagnée d’un bâillement me fit aussitôt rigoler. Je m’approchai d’elle, glissant mes mains dans le bas de son dos pour l’attirer à moi en lui répondant : « T’es déjà épuisée ? Mais on a pas encore fini de jouer tu sais… » Et à mon ton, ce n’était clairement pas une référence aux hochets, cubes et autres joujous mais bien à des jeux bien plus adultes que je me référais. Je posai mes lèvres sur les siennes pour un baiser rapide et tendre. « Je te ferais dire que t’as fait une bonne sieste et que tu m’as promis d’être en forme pour toute la soirée du coup… » préférai-je lui rappeler, au cas où sa deuxième remarque avait pour but de me faire comprendre qu’elle voulait se contenter d’aller sagement au lit… Enfin, avant de penser à ça, il fallait peut être qu’on s’occupe un peu de nous : « Tu veux que je prépare à dîner ? » proposai-je en m’écartant pour me diriger vers la cuisine. J’ouvris le frigo mais avec ses nuits, il faisait un peu la tronche et il n’y avait pas grand chose à manger à part quelques yaourts. « Ok, je savais que j’aurais du passer au supermarché avant de venir. Je te ferai des courses demain après mes consult’ » proposai-je avant de refermer le frigidaire et de me tourner vers elle. « Du coup, pizza ça te va ? Tu commandes ? Mon téléphone est sur la table du salon je crois. »

HJ : donc à la base, c'était dans ce rp là que je voulais que Talya tombe sur les textos de Kara Les sentiments sont des rêves dont les sensations sont les réalités. (Prialya) - Page 3 3997999705 si ça te va, elle peut tomber dessus en appelant pour les pizzas ? Je te remets le lien des 2 ou 3 sms https://www.i-love-harvard.com/t14912p830-priape-zacharias-456-598-0812#1982843
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Mon bassin vint se poser contre celui du beau dunster lorsqu'il m'attira contre lui en me disant qu'on n'avait pas fini de jouer. J'aime quand il fait ça, vraiment. Je ne demande qu'à voir, qu'à en voir plus, j'en veux plus. Depuis le temps que j'attends ça qu'on se retrouve sur le sol américain. « Je vous taquinais monsieur Zacharias... Je me disais juste que peut être si j'étais fatiguée vous sauteriez sur l'occasion de suite pour assouvir vos envies avant que je ne m'endorme. » Je lève les yeux au ciel et prends un petit air angélique. Clairement je suis nulle pour la comédie, avec ma sieste, je n'ai pas sommeil et mes yeux grands ouverts ne font que le confirmer. Il finit par se détacher de moi pour aller dans le frigo et les placards, mais c'est un peu le désert... Il faut que j'aille faire les courses... « Cette maison a besoin d'être prise en mains par un homme... » Je dis ça, je dis rien. Mais même s'il n'est pas très organisé, ses deux mains en plus ça ne serait pas de refus, il pourrait être vraiment bien ici, avec nous. Ne mettons tout de même pas la charue avant les boeufs. « Pizza c'est parfait ! Je commande ok ! » Je sais qu'il a le numéro dans son téléphone alors je le prends et je le dévérouille, il n'a pas changé son code depuis l'Ukraine, je suis soulagée, il n'a rien à cacher... Ou pas... Je tombe directement sur des messages plus que louches... J'ai envie de pleurer. Je me sens conne pour le coup. Je ne parle pas, je deviens surement blanche, je n'appelle pas et je ne bouge plus. « T'as même pas 7 minutes pour prendre ton téléphone et te barrer ! Ne compte pas remettre les pieds ici alors n'oublie rien ! » Je balance son téléphone dans sa direction, qu'il le rattrape ou non j'en ai rien à faire et je file m'enfermer dans ma chambre. Je me jette sur mon lit et j'hurle dans un coussin. J'ai les nerfs. Quelle conne j'ai été.
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Talya me confia qu'elle avait feintée, qu'elle n'était pas fatiguée, qu'elle avait juste fait ça dans l'espoir que je me jette sur elle sans attendre. Bon, ce n'était pas clairement ce que j'avais fait, mais elle s'était quand même retrouvée dans mes bras en un clin d'œil. "Faut que tu prennes des forces avant la nuit qui t'attends." plaisantai-je alors en évoquant notre dîner du soir. Mais désert complet dans le frigo et les placards. "Tu te nourris de compotes et petits pots aussi en fait c'est ça? C'est le secret de ta ligne ?" Je proposai des pizzas, ne relevant la perche évidente sur le fait que ma place était sûrement davantage ici qu'avec Andy ou à la confrérie. Talya accepta la suggestion de repas et saisis mon téléphone. Son expression changea du tout au tout soudainement. "Ça va p.. ?" Je n'eus même pas le temps de finir ma question que mon téléphone vola, je le rattrapai in extremis. "T'es folle, je l'ai changé il y a pas longtemps ! " ronchonnai-je. Mais elle avait déjà filé dans sa chambre en me m'ordonnant de déguerpir. Je restais un instant interdit, confus, jusqu'à ce que mes yeux se posent sur l'écran du téléphone encore déverrouillé et sur le fil de mes derniers reçus de la part de PowerpuffGirl. Merde... J'avais été trainer sur un site de rencontre après que Brynn m'ait largué, en mode désespéré, et j'avais bien accroché avec cette inconnue au pseudo étrange avec qui on avait un peu déliré sur les fantasmes de l'autre qu'on pourrait éventuellement réaliser ensemble... Sauf que depuis y'avait eu l'Ukraine, le retour de Talya, notre deuxième chance. Donc bien sur j'avais dit à la jeune femme de ne plus m'écrire et d'oublier mon numéro. Mais Talya n'avait visiblement pas vu ces textos dissuadants que j'avais envoyé. Je frappai tout penaud à la porte. "Talya, ouvre moi. Je sais de quoi ça a l'air mais... C'est pas ce que tu crois je vais t'expliquer..."
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« J'en ai rien à foutre de ton téléphone ! » Qu'il vole et attérisse dans ses mains ou qu'il vole et se brise sur le sol, je m'en fous mais à un point qu'il ne peut pas imaginer. J'ai plus envie de le voir, il m'a complètement refroidie là. Je me suis laissée avoir comme une andouille, je m'en veux. Je vais m'enfermer dans ma chambre. Y'a que là que je peux rester sans le voir. Enfin non, y'a une photo de nous sur ma table de nuit, de notre famille, enfin de la famille qu'on semblait former. Je me suis trompée là dessus. Je suis ridicule d'y avoir cru. « Fous moi la paix Priape ! T'as eu ce que tu voulais, je suis rentrée, t'as ta fille près de toi... Je sais pas à quoi tu joues mais t'as réussi. » Je choppe la photo de nous et je la baisse pour qu'on ne voit plus la photo, elle est face au bois de la table de nuit maintenant et c'est très bien comme ça. Je me relève et je vais m'adosser à la porte, je me laisse glisser contre en fermant les yeux. Je suis tellement énervée. « Si en fait je sais... Tu voulais me faire vivre la même chose hein ? » Il voulait que je subisse la peine d'être trompée, l'humiliation qu'il avait connu et tout ? Il était dans son droit après tout mais je pensais qu'il était différent, puis il aurait pu le faire avec une autre nana qu'une meuf d'un site de rencontre... Ca fait tellement vulgaire pour moi. « Je te déteste... Je te déteste tellement... Retourne donc chez Andrea... Elle sera surement ravie d'apprendre ça... Vous avez manigancé ça tous les deux pour vous venger c'est ça hein ? » Je dis n'importe quoi, tout ce qui me sort de la tête. Ma bouche ne se ferme pas, je veux pas qu'il parle en fait parce que je sais que je vais me laisser prendre par ses explications, je suis tellement faible.
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