Are you kidding me ? || Lusca

Plus qu'en finisse oui, sinon, c'est direction LA PRISON. Je regarde mon pauvre petit chaton monter dans ma chambre, et se reposer sur mon lit, alors que je fais semblant d'être son esclave. Ah pardon votre altesse !, dis-je tout en rigolant, m'asseyant sur le lit pour lui donner un nugget. J'en profite pour prendre mon hamburger, tout en lui parlant du jouet fille qui visiblement, lui aurait fait grand plaisir. Ah merde...je t'achèterai le livre de Bambi demain si tu veux, je lui répond en lui tapotant le bras. Je m'allonge à mon tour sur le lit, enfin, le dos appuyé contre la tête de lit, le paquet de nuggets sur mes jambes tandis que mon hamburger se trouve à moitié dans ma bouche, et à moitié dans mes mains. Hmm...ça te dirais de m'aider à trouver une villa ? ou un appartement ?, je lui demande naturellement, pensant à quitter la villa de Sixtine.

Orange is the new black avec en special guest alaska granger, c'était pas pour tout de suite. C'est vrai que tu es fénéante quand tu es fatiguée, d'ailleurs il t'arrives après des journées comme celle-ci de ne pas manger pendant deux trois jours sans même t'en rendre compte, parfois c'est tes coloc qui te rappel : hey, rappel toi que t'as pas manger, mais sinon, l'envie te passe et tu te concentre sur autre chose, heureusement que lucas est là maintenant, pas vrai ? Le paquet de nuggets sur ses genoux, tu en prend un, en te redressant histoire de pas tout revomir dans la minutes d'après. « J'veux celui de la belle au bois dormant aussi, j'ai toujours trouver son histoire romantique. » fin dans les grandes lignes quoi, le petit gars a été former pour la sauver et l'aimer, mais dans la version originale, il l'a viole quand même. Tu avales quelques frites une par une, et en lèves une pour la comparer à la tête de Lucas. « Vous vous ressemblez, grande, fine, blonde. » dis-tu en mordant dedans, après un petit gloussement, avant d'attaquer ton wrap, un vrai porc, ma parole. Ah oui le fameux déménagement, t'avais pas trop envie d'en parler à ce moment là. « Pourquoi tu veux partir ? C'est géniale ici, et y a jamais personne, tu peut faire tout ce que tu veux. » dis-tu en te redressant pour te bon, pour être à la même hauteur que lui, et mordre dans son hamburger.

Moi pas connaître cette série, enfin, juste de nom et que des nanas qui se broutent le minou quoi...Pour une fois que je suis quasiment en forme, c'est elle qui est fatiguée. Pour lui faire plaisir, et parce que j'en avais envie, j'ai prit du mcdo pour que nous puissions le manger chez moi. Bien, allons pour la belle au bois dormant...quand j'étais petit, je rêvais d'être le prince...bien qu'il soit complètement con le pauvre ptit, dis-je avant de mordre dans mon hamburger. Non mais c'est vrai, le mec il rencontre une inconnue dans la rue, pousse la chansonnette et tombe dans un piège comme un gros bleu. Bien que ouais, je préfère être le prince de Disney, et non pas celui du vrai conte. Haha...ha...hahaha, très drôle, dis-je en planquant ma main sur son visage, la poussant légèrement. Non, mais d'où je ressemble à une frite merde ?. C'est géniale ouais, mais ce n'est pas chez moi...je veux mon truc à moi, je répond en la regardant mordre dans mon hamburger. Putain mais tu es enceinte ou quoi ? Tu bouffes comme une je ne sais pas quoi, dis-je en la regardant avec de grands yeux. Même pas moi je bouffe autant.

« Ils le sont tout les deux, ils chantent dans la rue comme des débiles. » dis-tu en riant, c'est trop disney ça, tu rencontres un gars dans la forêt, vous chantez et oh la la, ce serais si bien de se marier avec lui et avoir une tripotez de bambin. Si la vie était comme ça, tu connais déjà pas mal de fille qui en serait à leurs quarante cinquième gamin et qui trouve le grand amour à chaque coin de rue. La ressemblance est flagrante ! Ils sont tout les deux grand, tout les deux blond, et tout le deux fin comme un cure dent, ils doivent être âme sœur. C'est peut être pour ça que le déstin à fait en sorte que tu soit avec Lucas, parce qu'il represente ce que tu aimes le plus : les frittes. « Lucas la frite. » dis-tu avant qu'il te pousse, tu recules et rit à gorge déployez. Faut vraiment que tu dormes, tu racontes n'importe quoi. « J'voit. Mais c'est marrant d'avoir une coloc, tu peut rire avec tout le monde, faire des soirées, profite de la piscine et des extra. » mais il est friquer, alors faut pas s'étonner qu'il est envie de plus, toi dans ton cas et dans ton porte feuille, tu ne peut pas prétendre à plus que ce que tu as déjà. Tu manges un nuggets et t'éttoufe presque en l'avalant, toi enceinte ?? faut pas parler de malheur. « Non, non, je prend la pilule. Et on s'est protéger, mais si c'est une allusion sexuelle pour dire que tu veux procrée maintenant, faudra que t'attende que je finisse de manger. » y a assez de granger malade mentale dans ce monde pour que tu en rajoute une couche.

Personnellement, quand je chantais dans la rue, ça ne donné pas la même chose, bah ouais, c'est tout juste si j'avais un centime dans ma étui à guitare. S'il vous plaît, dites moi qu'elle est sous l'effet de la drogue pour dire autant de bêtise ! Ah moins que ça soit l'effet des nuggets, dans ce cas STOP. Putain, mais je ne suis pas une frite !!. Lucas la frite va te botter le derrière si tu continu, je réplique alors que madame rigole comme une baleine sur le lit. De quels colocataires tu parles ? Je ne les vois plus, puis j'ai envie d'avoir mon chez-moi, de pas me demander 'est-ce qu'ils sont là ou pas' quand je veux passer du temps avec toi. Bah ouais, parce que j'ai pas envie de me faire prendre entrain de coucher avec ma copine, peut important dans la pièce où nous sommes. Bref, pour le moment, je la regarde manger, manger et manger encore et toujours. Elle doit être enceinte c'est pas possible ! On se protège ?, alors là, c'est moi qui me met à exploser de rire. Oh putain, ça c'est une bonne blague. J'ai toujours envie de procréer avec toi, donc bon, dis-je en faisant un immense sourire, tout en glissant un nugget dans ma bouche.

« Personne n'aime les chanteurs de rue. » sauf quand c'est ed sheeran, et qu'il a quinze ans et plein de tache de rousseur. Tu lui adresse un rire après que tu es fait le rapprochement entre les frites et lui, avoue le quand même, la ressemblance est flagrante. « Owi, botter moi les fesses, monsieur Watson. » dis-tu avec une voix salace de secrétaire dans les films porno, avant de rire de nouveau. Faut vraiment que tu envisages le théâtre toi. Tu embrasses ensuite sa joue et y met un peut de sauce chinoise, oops. Tu l'essuie donc avec un nuggets, avant de le manger, ça te rend barbe le mcdo ma parole. Tu hoches la tête lorsqu'il t'explique la situation, qui te paraisse tout à fait normale pour toi, mais pas pour lui, il voudrait son chez lui, pas son chez lui et les autres. « Tu veux me botter dans la cuisine, et dans le salon sans interruption, c'est ça ? » c'est ça. Pas besoin de décodeur de Lucas, vous en avez un devant vous : alaska granger, un seul exemplaire, disponible dès maintenant dans votre magasin le plus prôche ! Enceinte ? Ah non, surtout qu'il y a genre une pénurie en ce moment avec toute les filles enceinte sur le campus. « On s'est pas proteger ? Quels mauvaise personnes nous sommes, j'espère que Paupaul n'est pas pleine de mst. » tu ris de plus belle, faut arrêter la drogue dans les wraps mcdo.

Woah...okay...merci, ça fait plaisir, dis-je en faisant la moue. Bah ouais, j'étais un chanteur de rue, avec un peu de poids en trop...Voilà qu'elle part dans une autre délire, celui de ma ressemblance avec une frite. Non, Watson fait la grève du sexe, je lui répond en lui tirant la langue, avant de morde dans une frite. Non mais oh, ça suffit oui, elle va redescendre sur terre la petit Granger. Bah ça tombe bien, parce que l'option de Lucas...c'est le théâtre...Je lui parle de mon envie de partir d'ici, de vouloir avec un chez moi. J'adore vivre avec des gens, mais là, je ne l'ai pas plus. Genre même pas 5 minutes.Soyons honnête chéri, tu ne pourrais pas le faire, sans qu'on fasse une pause, dis-je en rigolant, avant d'ajouter de toute façon, je pourrais toujours faire une recherche de colocataire ! Tu viendrais toi ? Non, tu préférerais rester chez toi, dis-je en me lançant dans un question/réponse. Ouais, ça m'arrive parfois. Etant donné que Paupaul ne voit que toi...., je lui dis en haussant les épaules. Non mais, je vais bien, Paupaul va bien, elle devrait le savoir d'ailleurs...

« Mais toi, amour. Les autres. » dis-tu en essayant de te rattraper. Tu le savait pas qu'il faisait la manche en musique, c'est de ta faute peut être ? D'ailleurs tu embrasses son épaule pour lui prouver que voilà, tu n'as rien contre ça. Tu lui adresses un sourire, avant de grimacer. WATSON FAIT LA GREVE DU SEX ???????? non, non, watson ne fait pas la grève du sex, tant que granger est vivante et respire la joie de vivre. D'ailleurs tu vire son sandwich et te grippe sur ses genoux pour capter son attention. Tu lèves sa tête pour lui faire face et l'embrasse fougueusement. Alors comme ça, Watson grève hein ? « Parce que tu vas me dire que toi, tu peut rester en action de la cuisine au salon ? » dis-tu en levant les sourcils, avant de gloussait. Non pas que tu doutes, mais effectivement, ton petit corps sera vite fatigué après le premier round. Tu retires ton pull, pour lui mettre tes seins devant le visage, petit certes, mais ça restes des seins. Wait, est-ce que c'est une proposition pour emménager avec lui ? « est-ce que c'est une technique, faussement cacher pour que j’aménage avec toi ? » dis-tu en fronçant les sourcils. Non, parce que la dernière fois que t'as accepter de faire ça, toutes tes affaires ce sont retrouver à la poubelle, alors tu ne te voyait pas recommencer. « J'aime mon appartement. Et j'aime bien mes coloc, parfois. Et je suis pas vraiment prête à ce qu'on se voit tout les jours, tout le temps, je sais que ça fait vachement la fille qui aime pas l'engagement, mais avant toi, quand j'étais encore avec Samaël, on a fait les choses trop vite, mariage, emménagement, il m'a même déclarer sur ses feuilles d’impôt, alors j'veux pas que ce soir la même chose. » tu poses tes mains sur son torse, un petit sourire aux lèvres. « Toi et moi, ça peut durer et j'veux pas qu'on s'emballe trop. »

Pas moi, mais les autres ? Tss, c'est ça, rattrape toi comme tu le peux Granger. Trop tard, le mal est fait, mon petit cœur saigne. Et oui, Watson fait la grève du sex, genre si tu me chauffe, bah je ne vais pas répondre. Je serais en mode, je me concentre sur moi-même, ne laissant pas place à mes envies sexuelles. Vu comme elle viole mes lèvres, je crois qu'elle ne veut pas que je fasse la grève. En plus de ça, elle me met ses boobs sous le nez. Oui madame ! On fera un marathon sex un jour, tu verras bien !, dis-je en matant plus ses nichons que ses yeux. Euh...tu disais, faire la grève du sex ? Ouais....Et après, c'est moi l'obsédé du cul ? Tss, moi au moins, je ne lui met pas PauPaul sous le nez !. Je lui parle de mon envie de partir, et là, elle me demande si c'est ma façon de lui demandé de venir vivre avec moi. Je n'ai même pas le temps de répondre, qu'elle argumente la chose, en expliquant le pourquoi du comment. Je la regarde, hausse les épaules et lui dis, je crois que tu as ta réponse.... Bha ouais, si jamais c'était une invitation à vivre avec moi, et bien ça voudrait dire que je me prend un gros stop dans la gueule.

Comme si il pouvait te résister. Tu embrasses son front en te mettant assise, et attrapant un nuggets, t'as pas finit de manger après tout. Tu t'es peut être un peu trop emballer face à votre discussion, ça le rend super rigide et ça te met une étiquette de la meuf qui veut pas s'engager. Au moins la discussion a été aborder, tu grimaces tout de même et secoue la tête. « Ok, j'en conclut que c'était pas un message subliminale. » dis-tu en grimaçant, mais ça en avait l'air tout de même. « Mais toi, tu peut prendre un appartement oui. Et pourquoi pas deux, trois colocs, t'as tout à fait raison. » dis-tu en essayant de rattraper les choses, tu rattrapes vachement de trucs dis moi. Mais c'est parce que t'es fatiguée, surement, et que tu dis n'importe quoi. Tu met quelques miette sur son pull et décides que le temps des blah blah est finit. « Fait moi couler un bain. » dis-tu en te redressant pour aller jusqu'à son armoire. Tu prend un temps fou a farfouiller dans le bordel et a trier ente le linge sale et le linge propre, et finit par y sortir un tee-shirt, avant de te mettre en sous vêtement pour l'enfiler.