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Affronter les soldes. PV.

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Priape & Paris
Machinalement, Paris avait porté sa main à ses lèvres avant de grogner. « Très drôle ! Et moi je suis tellement con que je vérifie » soupire le Dunster en secouant la tête, dépité de sa propre connerie. En même temps, il était tellement dingue de sa petite-amie qu’il était bien possible qu’il se mette à avoir un air de pervers ambulant si jamais il l’imaginait dans des positions plutôt osées. Ouais, bon, il était là pour faire les soldes et non pour se faire un film pornographique dans sa tête. « Pas de souci ! Je suis certain qu’elle va te plaire… Elle est… comment te dire : adorable, drôle, intelligente, belle ! Bordel j’ai vraiment l’air accro hein ?! » marmonna Paris. Le jeune homme s’était pourtant juré de ne jamais dépendre de quelqu’un et surtout pas d’une femme mais la vie par moment, ne vous laissait pas le choix. Summer était entrée dans sa vie par le plus grand des hasards et désormais, il espérait plus que tout qu’elle ne la quitte jamais. Voilà pourquoi il compatissait sincèrement avec son pote. Priape devait tourner comme un lion en cage en sachant son ex et leur fille loin de lui. « Putain le fric c’est le nerf de la guerre qu’on le veuille ou non ! Tu sais quoi, si tu n’as pas envie de taper dans le portefeuille de belle-maman, on organisera une soirée avec entrée payante à la Dunster House. Je suis certain qu’on a moyen de réussir à te financer un billet d’avion pour aller rejoindre les femmes de ta vie » lui proposa le jeune homme toujours prêt à se plier en quatre pour ses amis -heureusement qu’il en avait pas des masses d’ailleurs.

Pour en revenir aux soldes (et l’idée de Priape d’acheter quelque chose à Summer n’était pas tombée dans l’oreille d’un sourd), son excuse était réellement bidon. « Ouais ! Je veux dire, elle est vraiment blonde mais de couleur de cheveux. Elle est étudiante en médecine pour le reste » répondit-il avant qu’ils ne partent chacun de leur côté pour réussir à choper leur machine tant convoitée. Leur trophée dans les bras, ils firent la queue pour la payer. « C’est pas à Vegas normalement cet adage ? »rigola Paris avant de reprendre. « J’en suis certain ! Tu veux repartir sur quel modèle ? » lui demanda-t-il par curiosité alors qu’il payait pour la machine. Le commentaire suivant sur Sienna lui arracha une grimace. Par moment, il oubliait la guéguerre entre eux. « TU lui diras alors ! Je te signale qu’elle est ma bizutrice hein » rétorqua le blond en omettant de dire qu’il avait un petit peu couché avec elle. Un détail hein !

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Mon rire redoubla devant le réflexe du dunster portant ses doigts à sa bouche… Et la description qu’il me fit de sa Summer me fit encore plus constater son attachement pour la demoiselle. J’hochai la tête pour acquiescer à sa question : « Je crois que t’as pas que l’air, tu ES accro. » me marrai-je en lui donnant une petite tape sur l’épaule. On était tous passés par là un jour ou l’autre non ? Seulement, concernant mon partenaire de bons plans, c’était la première fois que je le voyais ainsi, qu’il me confiait des choses sur sa vie sentimentale. « Je t’avais jamais vu comme ça… C’est récent entre vous ? » C’était soit ça, ou soit j’avais été tellement obnubilé par mes problèmes que je n’y avais jamais prêté attention… Mes problèmes parlons en d’ailleurs. Je voulais ramener Talya et Mila, je le voulais vraiment. Mais ça voulait dire accepter le billet de mon ex belle mère. Paris me proposa un autre plan qui me fit sourire. « Oui c’est sûr qu’avec une machine à bière en plus, les gens seraient capables de payer une fortune pour entrer… » Enfin il fallait encore qu’on la ramène la machine. Et puis Talya était partie depuis le premier janvier, et je n’étais pas sûr d’être capable d’attendre de récolter des sous et tout… J’étais faible, je voulais qu’elle revienne dès maintenant. Paris n'était peut être pas le seul accro de nous deux.

J’appris au décours de notre première mission que la demoiselle de son cœur était véritablement blonde, qui plus est étudiante en médecine. « Non mais je dois surement la connaître alors, j’ai forcément du la croiser à l’hosto. » L’interne de pédia qui passait son temps à mater ses collègues ? Non ce n’était pas moi, c’était juste pour connaître les autres étudiants et entretenir de bons rapports professionnels. « Elle est en quelle année ? » Et lorsque notre mission fut accomplie, il ne nous restait plus qu’à régler notre bien. « Vegas, ce centre commercial, c’est du pareil au même non ? » rigolai-je alors à sa question. Ouais parce que nous Vegas, on risquait pas d’y aller avant un moment vu nos comptes serrés. On allait se contenter de jouer aux distributeurs automatiques du supermarché, au moins on était sûr qu’avec notre carte bancaire et le bon code, il allait nous cracher des billets. D’ailleurs, j’allais peut être devoir retirer un peu, pas sûr qu’ils prennent la carte bleue partout. « Il me faut un peu de monnaie… » fis-je en me dirigeant vers un guichet automatique juste après avoir réglé en caisse. « C’est mieux que les machines à sous, avec ça on gagne à tous les coups. » me marrai-je en retirant quelques billets avant de charrier Paris à propos de Sienna. « Méfie toi d’elle… Et si elle te défie de refaire ma chambre aux rouleau de PQ, rappelle toi des moments forts qu’on a vécu ensemble aujourd’hui. » Ouais parce que la VP avait un peu tendance à utiliser ses bizuts contre moi. Bref, j’en avais zappé sa question sur mon portable et maintenant qu’on avait notre machine et que j’avais mon argent en poche, on allait devoir s’y mettre. « J’sais pas quel modèle je veux, j’y connais rien moi à ces trucs là. Je veux un modèle qui téléphone en Ukraine et qui coûte pas un bras. » Voilà mes critères, c’était simple non ?
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Priape & Paris
« Cela fait que deux jours ! » lâcha Paris un peu timidement. C’était la première fois qu’il avait une copine mais il se garda bien de le dire à voix haute. Priape avait connu bien plus de relation que Paris et il espérait pouvoir poser des questions à son ami, prendre des conseils malheureusement, pour cela, il se devait de mettre sa fierté et ses craintes de côté. En même temps, comment avouer que le bourreau des cœurs (et des corps) était un véritable puceau en relation sentimentale ?! Ce n’était pas évident voire à peine croyable mais les faits étaient là : Paris n’était jamais tombé amoureux avant Summer et surtout, il n’avait jamais été en couple de toute sa vie. En fait, mise à part avec Sienna, il n’avait jamais couché deux fois avec la même femme. Le Dunster avait une philosophie de vie : pas d’attachement. « Mais je la connais depuis quelques temps, on avait envie d’être qu’amis. Elle était en couple avec un autre mec alors le truc juste impossible mais que veux-tu, je suis irrésistible » rigola-t-il en bombant le torse.

« Tu vois, au pire, y a toujours cette solution. Allez, haut les cœurs quoiqu’il arrive, on trouvera une solution Priape. Je te laisserai pas dans la merde même affectivement parlant » lui répondit-il cette fois-ci avec sérieux. Le Dunster pouvait compter sur Maconahey pour l’aider dans cette mission qui allait bien au-delà des soldes. « Tu sais au moins ce que tu vas lui dire pour la convaincre de revenir ? Ou dois-je me faire à l’idée que tu vas t’installer sur son paillasson pour rester près d’elles ? » lui demanda-t-il avec cette fois-ci une petite boutade. « Et pour te répondre, j’en ai aucune idée ! Elle est autorisée à faire des consultations… Summer Wingfield. Pédiatrie me semble-t-il. Une petite blonde aux yeux bleus totalement adorable » décrivit-il sa petite-amie en omettant de préciser qu’elle avait un petit cul des plus appétissant. Il y a certains détails qui ne regardait que lui faut pas déconner.

Les deux amis se mirent d’accord que de tout de manière, ce qui se passerait dans ce magasin resterait dans ce magasin, comme s’ils étaient à Vegas. « T’as raison ! Par contre le compte en banque perd également à tous les coups » rigole Paris qui lui aussi allait prendre un peu d’argent liquide. « Arrête, je sais pas ce qu’il y a entre vous mais elle est vraiment adorable du moins avec moi mais promis, je te ferais pas de coups bas mon pote ! Solidarité masculine » lui assure-t-il en tapotant son épaule, retirant à son tour de l’argent liquide. Les deux amis se dirigèrent ensuite vers une boutique de téléphonie mobile. « Bah on va te trouver ça ! N’empêche ça doit te couter une blinde en appel mondiaux ! Tu connais pas skype ? » le charria-t-il. « Tiens mate celui-là, il est pas mal non ? » lui montra-t-il un Samsung galaxie SIII. « Cela fait un moment qu’il est sur le marché du coup, le prix devrait être abordable non ? »

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Deux jours et il était déjà dans cet état. « Bah mon vieux, t’en tiens une sacrée couche, j’imagine même pas ce que ça sera dans deux mois… » le charriai-je gentiment. Non mais qu’avez vous fait de Paris parce que là le garçon semblait d’un coup rangé, il avait des petites étoiles dans les yeux et j’exagérais à peine quand je parlais de sa bave… Cette Summer devait avoir un sacré quelque chose pour avoir cet effet sur mon ami. Il m’expliqua alors qu’il la connaissait avant, ils avaient été amis mais comme elle était avec quelqu’un à ce moment là, il n’y avait rien eu de plus. Jusqu’à y’a deux jours. « Irrésistible oui… Fais gaffe à ta chemise je te l’ai dit… » ricanai-je en repensant à ma théorie de la rouquine en chaleur. Donc si mon ami était sur son petit nuage, de mon côté, c’était Bagdad sentimentalement. Paris avait une solution dans sa poche pour financer mon aller retour à Kiev et ramener Talya, ajoutant qu’il ne me laissera pas dans la merde sur le plan affectif. « Ouais fais moi un calin Paris, j’suis seul et abandonné. » fis-je en tendant les bras avec une moue tristoune avant de reprendre mon sérieux. Qu’allais-je dire à la demoiselle ? J’haussais les épaules… « J’en ai pas la moindre idée… Je vais y aller au feeling, en espérant que ça marche… » J’étais pas le roi des grands discours. « J’vais avoir du mal à rentrer sans elle… » Donc squatter son paillasson peut être pas, quoi que la suggestion m’arracha un petit rire, mais en tout cas j’allais peut être devoir prolonger mon séjour là bas si il le fallait. Il me dévoila ensuite l’identité complète de l’étudiante en médecine avec qui il sortait et là ça m’éclaira un peu plus, pédia, qui commence les consult. « Ha oui, je crois que je l’ai déjà croisée en effet… » Bon à présent j’allais regarder d’un autre œil, parce que forcément je ne verrais plus simplement une collègue mais la petite amie de mon pote. On retira de l’argent, fiers du succès de notre première mission et je glissais d’ailleurs une remarque sur Sienna, non autorisée à faire usage de notre précieux premier achat. Sauf qu’elle était la bizutrice de Parsis, qu’il la trouvait, je cite –adorable- et je ne pus d’ailleurs m’empêcher de grimacer un tant soit peu en entendant ce qualificatif mielleux, au final, le plus important c’était qu’il refuserait de me faire des crasses par solidarité masculine. « Merci, je m’en souviendrais… » fis-je avec un large sourire avant de me dire qu’il valait mieux ne pas s’appesantir sur un sujet qui fâche comme Sienna. Mon téléphone, voilà notre nouvel objectif. Et direction la première boutique du genre. Paris souligna le prix que devait le coûter les coups de fils à l’étranger. « Tu sais quand on aime, on ne compte pas… » Je parlais de mon amour pour ma fille là ? Ou je venais de laisser percevoir mes sentiments toujours là pour mon ex ? Qu’importe, quand je les appelais, la facture était le même. Mon interlocuteur me questionna alors sur un certain Skype. « Skype, c’est qui ? » Un gars qui pouvait m’avoir des bons plans moins cher ? Bienvenue dans le monde préhistorique de Priape Zacharias, l’allergique aux nouvelles technologies. D’ailleurs, je zieutais les portables en vitrine et mon ami m’en désigna un. « Oui ça m’a l’air pas mal » Enfin, il était encore mieux maintenant que Paris m’avait dit qu’il existait depuis un moment et que son prix avait du décoté. « Tu crois qu’ils font des soldes aussi là dessus ? »
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Priape & Paris
« M’en parle pas ! J’ai l’air totalement ridicule hein ? » rétorqua Paris qui assumait haut et fort son comportement de petit chiot au lieu de son habituel air de grand méchant loup. C’était plus fort que lui et pour une fois, il ne voulait pas faire semblant. Priape était un ami et surtout il avait déjà connu ce genre de sensations. « C’est pas franchement ma chemise que je crains de perdre » plaisanta-t-il avant qu’ils n’en viennent à parler du propre cas de Priape. « Grand fou, je savais que dans le fond, tout ça, c’était pour avoir un câlin de ma part » rigola Paris qui se démonta pas pour faire un gros câlin à son pote et autant dire qu’il s’amusa à grossir le trait en lui broyant limite les côtes -faut bien marquer le coup. « Là, tu vas mieux ? » osa-t-il demander avec un grand sourire totalement hilare.

« Le feeling, y a rien de mieux mais je sais pas, apporte lui un petit cadeau ? Les nanas aiment bien ce genre de truc non ? » lui conseilla-t-il sans trop lui avouer que depuis le début de sa relation avec Summer, le jeune homme était allé chercher des conseils sur le net et autres magazines féminins. Désespérant ? Totalement. « Si tu ne veux pas rentrer sans elle alors fais tout pour que cela ne soit pas le cas. Tu vas y arriver » reprit-il plus sérieusement. Paris espérait vraiment de tout cœur que son ami arriverait à raisonner son ex-petite-amie car il comprenait que cette dernière n’était pas sortie de son cœur et sa remarque suivante le conforta dans son idée. Etrange, il y a encore trois jours, Paris se serait gentiment moqué en le traitant de dingue de vouloir s’amouracher à nouveau de son ex mais à présent, il comprenait. Il n’y avait rien qu’il ne serait pas prêt de faire pour garder son ange dans sa vie. Par contre, le Dunster se mangea une vitrine à la question de son pote. « Ouch… Attends, tu connais pas Skype ?! Merde Priape, tu vis dans une grotte coupée du reste du monde ou quoi ? Skype, c’est un programme de messagerie et tu peux passer des appels dans le monde entier gratos avec en prime l’image si vous avez tous les deux une webcam. Suffit juste que vous ayez un compte chacun -et c’est gratuit l’inscription » lui expliqua-t-il en se massant le front. « J’en sais rien, entrons on verra bien s’ils font des soldes… Au pire, à nous deux, on peut charmer une vendeuse et obtenir un rabais ! A problème urgent, mesure exceptionnelle »

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« T’as pas encore des cœurs à la place des pupilles donc ça va… » Et puis qui étais-je pour me moquer ? Moi le mec qui même cocu n’arrivait pas à se défaire de son ex copine ? Donc, non, je ne dirais pas à Paris qu’il était ridicule. Mais je ne pouvais pas manquer l’occasion de le charrier un peu. C’est pas comme si il était un habitué dans ce domaine. Son truc à lui c’était plutôt les histoires d’une nuit alors là… « En tout cas, elle doit être spéciale cette demoiselle. » Quand on parla de mes amours à moi, je soutirais un câlin à mon pote, chose que je regrettais aussitôt lorsqu’il me prit réellement dans ses bras avec sa délicatesse légendaire, m’étouffant plus qu’autre chose dans la manœuvre. « Attends je te réponds quand j’aurais retrouvé mon souffle… » me marrai-je en toussotant après qu’il ait relâché son étreinte. « J’espère que t’y vas plus molo avec ta Summer sinon elle va finir aux urgences. » Sa Summer, d’ailleurs, fallait qu’il lui trouve un truc aux soldes. Et Paris me suggéra l’idée d’arriver moi même avec un petit présent pour mon ex, argument histoire de la faire revenir. « Donc on venait ici pour habiller les petits et si je résume on va revenir avec des cadeaux pour des nanas, une machine à bière et un téléphone ? » rigolai-je avant de reprendre : « Mais le pire c’est que t’as raison… J’vais essayer de trouver un truc. » Puis en lui donnant un petit coup de coude, je le taquinai à nouveau : « Tu vas devenir un vrai pro en matière de conseils amoureux attention. C’est pour quand la rédaction des courriers du cœur ? » On verrait dans quelques jours, une fois à Kiev, si cela fonctionnait et que je réussissais à ramener mon ex dans mes valises. En attendant, ce n’était pas dans des conseils sentimentaux que le garçon se relança mais dans une leçon de téléphonie et moyen de communication. Mon ignorance en la matière le fit même se manger une vitrine, maladresse qui m’arracha un petit rire. Puis il m’expliqua qui était le fameux Skype, enfin plutôt ce dont il s’agissait puisque ce n'était pas un gars mais d’un programme. Genre j’avais l’air d’un ignare de pas connaître. « Oh c’est bon, te moque pas. J’aime pas tout ces trucs là tu sais… » Face de bouc, twitter et co… J’y comprenais rien alors j’avais arrêté d’essayer depuis un petit moment. Enfin le truc là, skype, ça avait l’air bien. Surtout la partie gratos de l’appli. « Je vais essayer alors… Mais faut que Talya soit connectée aussi avec skype pour que ça marche ? » Enfin mon ex, elle vivait surement au 21ème siècle elle, à coup sûr elle connaissait et avait déjà le fameux logiciel. On finit par entrer dans la boutique, à la recherche de bonnes affaires, Paris étant prêt à charmer une vendeuse si il le fallait. « Après la méthode violente, la méthode douce… » commentai-je en repensant au croche pate qu’il avait fait à notre adversaire tout à l’heure. « Allez fais ton sourire de beau gosse, y’a quelqu’un qui arrive… » fis-je. Sauf que la personne qui s’approcha de nous pour nous conseiller était un vendeur. J’échangeai un regard avec mon pote. Les mesures exceptionnelles incluaient également une petite dérogation quant à ses préférences habituelles ?
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Priape & Paris
Priape se fichait royalement de sa tête mais c’était de bonne guerre alors Paris ne râlait pas. Au contraire, comme tout nouvel amoureux, il prenait plaisir à parler de sa petite-amie. Ses amis allaient finir par en avoir marre de Summer avant même de la connaitre mais c’était plus fort que lui. « Tu n’imagines même pas combien elle l’est ! Je sais bien que tous les mecs pensent leur copine unique, spéciale mais elle, elle l’est » surenchérit-il avec un sourire fier et amoureux. Néanmoins, Paris n’oubliait pas les choses importantes comme emmerder son pote et surtout de lui offrir un câlin toute en force et masculinité. « T’es taré, j’ai pas envie de la casser en deux ! Je suis doux comme un agneau » rigola-t-il tandis qu’un sentiment de bien-être se propageait dans son torse à l’annonce du « ta Summer ». Il était tout de même dingue ! « On est pire que des nanas que veux-tu ! Le tout c’est qu’on ne bouffe pas notre budget car je suis short encore ce mois-ci… Entre les visites chez le médecin, la bouffe, le nouveau loyer pour le duplex… Je t’avoue que mon banquier est à deux doigts de me tuer ou de se suicider » grimaça le jeune homme peu après que Priape est fait la liste de leurs diverses missions.

Son ami plaisanta sur ses talents de conseiller es-amoureux. « Faut que je t’avoue un truc d’ailleurs… non laisse béton ! Trouvons ton téléphone, c’est le plus important » se dégonfla Paris. Il craignait de prendre mal le fait que Priape se moque même gentiment de son manque d’expérience vis-à-vis de la gente fémine. Et puis comment avouer qu’il passait son temps à regarder des comédies romantiques pour dénicher de belles paroles ou même des idées pour des rendez-vous romantiques. Il faisait pitié ! Mais au moins lui, il connaissait Skype songea-t-il non sans humour. Son front n’avait pas résisté au choc de l’ignorance de son ami mais il s’en remettait doucement mais surement. « Désolé ! C’est juste que tu m’étonneras toujours… Oui Talya doit être connectée en même temps pour que tu puisses lancer la conversation. Tu as une webcam ? sinon je peux te prête la mienne, je m’en sers plus » lui proposa-t-il alors qu’ils faisaient face à UN vendeur et non une vendesuse. « Tu pourras pas me reprocher de ne pas donner de ma personne pour toi » marmonna-t-il en se tournant légèrement vers Priape. Puis, Paris se dirigea vers le vendeur, sourire charmeur accroché aux lèves. L’opération séduction commençait.

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 Après ses nouvelles paroles encensant sa nouvelle copine, je me tournai vers lui, yeux plissés, scrutant ses prunelles avec un air faussement inquiet : « Ca y est, fais gaffe, tes pupilles commencent à changer de forme… Les cœur c’est pour bientôt ! » avant de pouffer de rire, incapable de garder mon sérieux plus longtemps. « C’est le petit nuage du début ça ! C’est normal. » On avait tous connu cette phase euphorique des premières semaines et premiers mois où l’on ne jurait que par l’autre. J’aurais pu ajouter – t’inquiète ça dure pas- mais j’aimais tellement sa mine réjouie que je n’avais pas le cœur à jouer les pessimistes. Je lui souhaitais que ça marche avec sa Summer. Et quand on évoqua nos missions, on dévia sur le sujet compte en banque et là ça faisait mal. « J’espère qu’on a pas le même banquier Paris, sinon c’est clair qu’il va finit en dépression nerveuse le pauvre… » fis-je en donnant une petite tape sur l’épaule de mon ami, façon de lui signifier de manière pas trop dramatique que ma situation financière était plus ou moins comparable à la sienne. « Mais j’avoue que pour ma part c’est un peu ma faute… » J’avais flambé à noël, les fêtes, j’avais voulu gâter ma fille, ma nouvelle copine du moment qui d’ailleurs depuis m’avait largué… Bref… On récoltait ce que l’on semait, et je n’étais pas un très bon gestionnaire pour ma part. Cela dit, oui oui, j’allais quand même essayer de trouver quelque chose pour Talya, histoire de ne pas arriver les mains vides à Kiev pour tenter de la ramener avec moi sur le sol américain. Je remerciais avec une boutade le garçon pour ses conseils amoureux, c’est alors qu’il commença à me dire qu’il devait m’avouer quelque chose avant de rapidement se raviser et se concentrer sur mon téléphone. « Non mais dis… » Ouais m’enfin trop tard… Il changeait de sujet et me faisait un petit cours sur Skype, me proposant au passage sa webcam. « Bah oui je veux bien si ça te pose pas de soucis, merci mec. » soufflai-je. Je notais quand même mentalement de revenir sur cette histoire de conseils amoureux que Paris avait habilement balayé. Mais pour l’heure, un vendeur se libérait et c’est avec un sourire charmeur que mon pote s’avança vers ce dernier. J’enfouis ma bouche dans ma main pour masquer le sourire amusé qui étira aussitôt mes lèvres en assistant à cette scène et j’attendis que l’opération charme touche à sa fin et que le dunster revienne vers moi pour demander : « Alors il t’a filé son numéro ? T’avais l’air à son goût en tout  cas… » le charriai-je avant de retrouver mon sérieux et mon objectif d’origine : « A combien il nous le vend ? »
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Priape & Paris
Paris n’avait pas relevé les diverses taquineries de son pote quant à son histoire avec Summer. Il était bien trop sur son nuage pour s’en offusquer et puis, s’il ne se retenait pas, il passerait des heures et des heures à lui vanter les qualités de sa petite-amie. A vrai dire, le jeune homme peinait par moment à se reconnaitre tant il était transporté par cette relation. Cela lui faisait d’ailleurs un peu peur de temps en temps. La peur de dépendre trop de Summer et de se fracasser la gueule si jamais il lui venait l’idée de partir et de laisser derrière elle. Cette crainte était d’autant plus forte qu’il se savait totalement novice dans le domaine. Et s’il commettait un impair impardonnable ? ou si la succession de mauvaises décisions la poussait à se détourner de lui ? Autant dire qu’il était totalement paumé même s’il essayait par tous les moyens de se rassurer, de se focaliser sur son bonheur actuel. L’histoire de Priape le poussait à garder à l’esprit que rien n’était gagné par avance, que tout pouvait basculer en un instant. « Ouais prions pour pas avoir le même ! On risquerait de nous accuser de meurtre en prime ou d’incitation au suicide »rigola-t-il en secouant la tête. Les problèmes d’argent étaient surement le sujet n°2 après les femmes. « Allez, tu vas te refaire bien vite » tenta-t-il de le rassurer et se montrer optimiste. Priape et lui se soutenaient l’un et l’autre et c’était ce qu’il adorait tant dans leur relation -tout comme le fait de se retrouver toujours dans des situations rocambolesques.

Paris s’était tout de même débiné face à sa demande, préférant se concentrer sur son objectif actuel à savoir obtenir une ristourne pour son prochain téléphone. « Pas de souci ! » lui dit-il avant d’aller faire son numéro de charme au vendeur qui se révéla vraiment de l’autre bord. Du coup, non seulement il se retrouvait avec un numéro sur les bras mais le mec ne voulait plus le lâcher. Paris s’excusa un instant pour revenir vers Priape a qui, il offrit un baiser magistrale. « Toi t’es mon petit-ami, tu me lâches pas sur l’affaire sinon ton téléphone, je te promets qu’il ira dans un endroit de ton anatomie »grogna-t-il à son oreille. « Hein chéri ! Le charmant vendeur veut bien t’accorder une ristourne de 100$ sur ce merveilleux téléphone. Je lui ai expliqué que tu allais bientôt devoir partir en voyage humanitaire et que nous ne voulions absolument pas être coupé l’un de l’autre. N’est-ce pas magnifique mon petit amoureux d’amour de moi ? » minauda-t-il en remettant la veste Priape comme il faut, jouant le jeu du parfait petit-ami. Qu’est-ce qu’il ne fallait pas faire pour un pote. « Sauve mes miches, il me lâche pas ! Je crois que j’ai été un peu trop convainquant… En plus, il suit les mêmes cours que moi » appela-t-il à l’aide aussi discrètement que possible.

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  C’était plutôt chouette de découvrir ce côté romantique et gnan-gnan de ce grand bonhomme. C’était gentiment que je m’amusais à le taquiner sur sa Summer, notant quand même mentalement que j’allais devoir faire la connaissance de cette demoiselle, histoire de me faire ma propre idée que la jeune femme, en espérant que c’était quelqu’un de bien, car vu comme mon pote semblait déjà accroché, je ne voulais pas le ramasser à la petite cuillère ensuite. Enfin pour l’heure, c’était surement notre banquier qu’on allait ramasser à la petite cuillère. Car oui, nos comptes respectifs faisaient la gueule, point commun entre nous dont on se serait bien passé : les galères financières. Paris tenta l’optimiste et je lui servis un petit sourire en guise de réponse, pas franchement convaincu. L’argent c’était toujours un problème. C’était pour ça qu’on était aux soldes d’ailleurs : pour faire des affaires. Et ça continuait avec mon téléphone. Game on. J’observais Paris à l’action, jouant les loveurs avec le vendeur en téléphonie qui d’ailleurs, semblait plutôt réceptif au charme de mon pote. OMG, dans quel traquenard l’avais-je envoyé ? Je pouffais en observant la scène de loin, mais mon hilarité disparut et je me dépêchais de retrouver mon sérieux en les voyant s’approcher de moi. Sauf que Paris m’attrapa encadrant mon visage de ses mains, me surprenant en me servant un baiser plein de passion. « A quoi tu j… » Pas le temps de finir ma question qu’il me soufflait la raison de son soudain changement de bord : je devais jouer le rôle de son petit ami, sous peine de recevoir mon futur téléphone je sais bien où… « Mais qu’est-ce que ça… » A nouveau pas le temps de chercher plus loin, car le vendeur arrivait et qu’il fallait que je me mette dans mon nouveau rôle. « 100 dollars ? » Tain Paris, t’aurais du commencer par ça, là c’est moi qui t’aurais roulé une galoche mon grand ! Mon sourire s’élargit, j’attrapai affectueusement mon –petit ami- par la taille. « C’est super mon chéri, j’arrive pas à croire qu’on va pouvoir s’appeler tous les jours… » minaudai-je avant de perdre un peu mon ton mielleux pour demander au vendeur : « Les appels vers l’europe de l’est ça marche aussi ? Mon… » Ex copine ? Non, ouais, ça faisait pas très gay quand même. « Mon grand père est là bas, alors il aime bien que je l’appelle aussi de temps en temps… » Puis reprenant mon ton gnagnan et en me tournant vers Paris à nouveau, je repris : « Mais t’inquiète pas mon amour, je te réserve bien sûr la plus grosse partie de mon crédit… » On ferait un beau couple faut croire, en tout cas, le garçon lui, il semblait bien déçu. Il devait trop escompté obtenir un rencard ou truc du genre après avoir faire la remise de cent bouliches à Paris. « T’aurais pu le laisser toucher ton petit derrière quand même pour 100 dollars… » soufflai-je discrètement à l’oreille de mon ami avec un petit rire, avant de joindre le geste à la parole et de lui donner une tape taquine. Allez, si ça, ça ne finissait pas de convaincre le vendeur que nous étions un joli petit couple heureux… Enfin peut être qu’il allait se mettre à harceler Paris pour savoir comment il gérait notre relation à distance pendant mon pseudo voyage humanitaire. Je m’en marrais d’avance tiens. Je me dirigeai ensuite vers la caisse pour régler mon nouveau joujou, trop fier de la bonne affaire obtenu par mon ami. Décidément, on faisait trop une bonne équipe tous les deux.
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