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Les enquêtes impossibles (Clay et Anna)

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" Faudrait savoir ce que tu veux " Que t'arrête de foutre ton bordel au milieu de ma tête. Mais présentement, ce que je veux, c'est me tirer. Et ne pas perdre la face devant Priape qui me sait fiancé, bien qu'il soit au courant de ma non volonté à voir ce mariage se concrétiser, mais surtout qu'il ne se mette pas à penser qu'en plus de cela je suis la pétasse qui pique aux filles leurs gars. Puisqu'autant Clay que moi sommes censés être maqués, et non ensemble, évidemment. Alors je me dépatouille avec les mots, des explications bateaux. Me demandant pourquoi ça m'importe tellement. " Non, on répétait juste un numéro de cirque.... " Parce que c'est un con que je hais. J'avais – l'espace d'une seconde – presque oublié. Je plante donc ma phrase de sortie, avant de prendre la porte et de les laisser tous les deux ici. Retournant derrière mon bar, maudissant de mon colocataire absolument tous ses traits de caractère. A répétition, je m'en prends à des verres que j'essuie pour finalement ranger derrière moi, ruminant ce qui aurait pu se passer. Ce dans quoi, inconsciemment mais sûrement, je me suis embarquée. Toute à mes pensées, je réitère mes actions, sans regarder ce que je fais, me retourne et percute l'une de mes collègues de plein fouet. Sonnée, je ne vois pas de suite que le shooter que je tenais entre mes doigts vient de s'exploser sur le sol et m'arrache une grossièreté. « Merde. » Non plusieurs, à la vérité. « Fait chier. » La situation, mon service qui n'en finit pas, et Lola qui n'en détache pas son regard de moi. « Ca va ? » On ne peut mieux, lâche moi. Tandis qu'elle s'en va déjà chercher de quoi ramasser, et je l'aide pour corriger ma connerie avant qu'un client n'en vienne à me demander son choix. Ce n'est qu'à ce moment que je vois enfin les deux – trois – compères des sanitaires, soutenant celui trouvé sur le sol, Priape me lance un au revoir de la main, et je fais de même, de manière bien plus minimaliste, cependant, n'étant pas fanatique des grandes démonstrations publiques. Et part en direction de la sortie, l'ivrogne sous le bras. C'est un autre de ce type, alcoolisé, qui revient alors à moi, et à ses airs, je le devine encore irrité, pour vivre chez lui, je peux dire que ses expressions, je commence à les assimiler. " Déçue? " Blasée, j'en soupire. Qu'on se le dise, j'apprécie Priape, vraiment, il a su m'attraper par son côté mature, celui qu'on ne confie pas aux étudiants, par son histoire, et par je ne sais quoi, un gentil garçon quoi. De ceux que je déteste habituellement. Mais au choix … La question ne se pose pas, c'est avec Clay que j'étais il y a quelques jours de cela, même si le dire à haute voix pourrait provoquer des vomissements intarissables et le début de ma fin, je le crains. "  Hermès  Johansson " Ma curiosité piquée, je fronce les sourcils pour savoir de quoi il est en train de parler, un rapide coup d'oeil me permets de constater que c'est surement le porte feuille du pilier de bar qu'il est en train de fouiller. Ca ne m'étonne même pas, mais je n'ai pas le temps de lui lancer une pique à ce sujet, qu'il me demande un nouveau verre, me place dans la case serveuse, et lui dans celui qui attend que sa petite amie finisse sa nuit. Non, en fait, c'est maintenant que j'ai envie de vomir. " Et toi. Tu t'y essayes quand? " Derechef, mes prunelles filent vers celle qui se trouve sur scène, et même s'il n'est pas des plus causant, j'ai appris à comprendre et lire entre ses lignes, depuis le temps. On parle de strip tease, et je ne peux m'empêcher de penser à cette fois, où après quelques délires, quelques verres, j'l'ai fait, en petit comité. La première fois. Pour rigoler. Pour essayer. Pour passer experte dans l'art de provoquer. Et peut-être aussi pour me dire que si mon père le savait, il me crèverait. Cette même nuit, celle où en rentrant chez nous, lui, chez lui, putain, je me demande comment je peux même me permettre de penser ça. Il y a un truc qui ne tourne pas rond chez moi. Et c'est lui qui me fait péter les plombs. Ce petit matin durant lequel je suis allée frapper à cette porte. Vendre mon âme et toutes ses méandres. Mes songes abyssaux. Bousiller mon égo. Craquer un semblant d'attachement dans des actes que je voulais. Le besoin et désir de le voir me baiser. Totalement fourvoyée. « C'est déjà fait. » Je ne précise pas le reste, évidemment. Manquerait plus que ça. « Mais ce n'est que pour les privilégiés. A la fin du service. » Et pas dans son intégralité, j'ai encore une dignité, pas comme la pute avec qui il s'évertue à forniquer « Pas pour les connards qui envisagent de me tirer comme une vulgaire prostituée. » Pas la peine de le cacher, c'est bien sa petite copine que je suis en train de viser. Celle pour laquelle il dit vouloir s'essayer à la fidélité. Ca me fait doucement rire, je dois l'avouer, parce qu'il est autant menteur que moi. C'est le seul qui a eu – et aura, faute de mon prochain mariage – l'intégralité d'un show privé, autant connard que je puisse le trouver.
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Anna, Priape & Clay / Septembre 2015
« C'est déjà fait. » Hey. Je ne parle que d'une vulgaire danse en privé qu'elle m'a donnée durant trente secondes seulement mais de quelque chose de bien plus appliqué et surtout à jeun, en total conscience de ce qu'elle fait, de ce qu'elle attise chez celui qu'elle va sournoisement allumer. « Mais ce n'est que pour les privilégiés. A la fin du service. » Dont je ne fais pas partie visiblement quoique lorsqu'elle est venue me trouver, c'était en rentrant de soirée, complètement éméchée certes, mais elle revenait bel et bien de son job. " Alors j'en suis un... " Ce n'est pas vraiment une question quoique le ton emprunté pourrait le laisser penser. « Pas pour les connards qui envisagent de me tirer comme une vulgaire prostituée. » Elle a su attiser ma curiosité ébranlée, quittant des yeux la négresse qui se déhanche le long de cette barre le diable au corps, les cuisses embrasées, ayant déjà délaissé son semblant de soutien-gorge qui traine à ses pieds. La réflexion m'est destinée? " J'ai pourtant eu l'impression que t'avais apprécié " de te faire tirer sans promesse quant à un plausible lendemain dans nos vies déjà suffisamment mal branlées. Mais pour l'heure, c'est ma demande qui se fait attendre, ce verre que je souhaite encore vider pour pouvoir négocier au mieux plus tard avec Morphée. Cela dit elle n'a pas tort de vouloir me le refuser puisque si je souhaite me montrer endurant lorsque mon heure viendra, je devrais en toute logique et dès à présent lever le pied.

Les quelques billets présents dans le portefeuilles oublié trouvent très vite acquéreur en ma personne, glissés dans ma poche - tous sauf deux qui sont déposés sur le comptoir - et ne trouve qu'à grogner pour justifier de mon geste: " Toute peine mérite salaire ". Je parle pour moi et non pour elle, du fait d'avoir eu la bonté de ne pas le laisser en plan jusqu'à l'heure de la fermeture. La prochaine fois, s'il ne veut être dépouillé, il se trouvera quelqu'un pour le raccompagner au lieu de s'étaler. La photo de sa petite amie, elle, je la garde encore quelques instants entre mes doigts et à bien y regarder, je l'imagine comme Malcolm venir une nuit me chercher, retirer un à un les boutons de son fin chemisier quand mes mains cherchent à la dénuder. Elle ressemblerait presque à Annalynne, éduquée le jour pour se découvrir féline la nuit et c'est un trait de sa personnalité qui manque cruellement à celle qui partage mes nuits agitées. Le cliché est reglissé parmi les papiers d'identité pour ne plus y songer mas très vite c'est l'ennui qui me gagne ainsi que la morosité. " Bon, tu me le sers ce verre? " Ou je ne suis plus l'un de tes clients particuliers?


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Anna, Priape & Clay / Septembre 2015
Le pire dans cette histoire, c'est que je me sais parfaitement capable de lui faire, cette danse, ici même, dans un salon privé. Pour pas un sous, parce qu'être sa pute est déjà un rôle tenu dans notre pièce de théâtre improvisée. Et la sienne possède une blondeur qui pourrait me donner des envies de l'étriper. " Alors j'en suis un... " Et profite que son attention ne soit pas toute à moi pour me voir soupirer, avant de lui cracher l'inverse en précisant que ce n'est pas pour ceux qui veulent se frayer un chemin entre mes reins dans les toilettes d'un club de strip. Je vaux mieux. Et il n'y a rien de plus sérieux. Son regard revient sur moi, et je m'attends au pire, comme à chaque fois avec ce gars. " J'ai pourtant eu l'impression que t'avais apprécié " Ta gueule. Parce que je n'ai aucun mal à comprendre ce à quoi il fait référence. Non pas de la possibilité qui nous a échappé il y a quelques minutes, mais bien de cette nuit, de la danse improvisée, et du reste. De mon corps que j'ai offert à son viol démesuré, de ses mains, de son sexe qui parfois le soir revient en mémoire me hanter, affolant mes sens, de le savoir toujours tout à côté, et me rappelant en écho érotique que mes doigts ne me suffisent pas. « Si j'avais tant aimé, je serai revenue en demander. » J'énonce tel une vérité, en lui offrant un sourire, et espérant faire chuter de quelques niveaux sa prétention. Et me penche sur le bar, pour approcher son visage que je souhaite proche du mien, après tout, nous ne sommes plus dans les chiottes, je ne suis plus à sa merci, mais bel et bien sur mon terrain. J'ai repris les cartes en mains. « T'es pas si bon que ça. » Et pourtant, je le boufferai bien encore une fois. Pleine de contradiction, mais rien que pour son expression, j'apprécie l'être, qu'on en doute pas. « Je te jure, une fois en bouche ... » Et ne rajoute rien, pour l'emmerder un peu plus, tandis que je mords un sourire, me redressant.

Il déblatère, finalement, au sujet de l'homme qu'ils sont précédemment « sauvé » et je le regarde faire, tandis qu'il met dans sa poche quelques billets, et c'est toujours dans l'espoir de l'irriter, comme je suis experte en ce jeu depuis le début de notre cohabitation, je précise. « Priape devrait en avoir la moitié. » Et moi aussi, d'ailleurs, juste parce que j'étais là. Pas d'autre raison précise. Il observe encore ce qu'il a pu trouver au milieu des papiers du garçon, et garde en main un cliché, acte qui me fait me demander ce qui peut se trouver au sein de ses pensées. J'en fronce même les sourcils, dérangée, en plus d'Amy, il y a les autres, et il y a moi. Je supporte pas cette impression de second choix, stupide venant de moi. " Bon, tu me le sers ce verre? " Remise à ma place de serveuse, chose que je n'apprécie pas, mais à laquelle je ploie, je sors un récipient du dessous du comptoir, attrape un whisky, des meilleurs, et me fais docile, au moment de demander. « Double ? » Connaissant Clay, même si je dis souvent le contraire, et assurée dans mon interrogation, commence à servir avant d'avoir son approbation. Après l'avoir fait, c'est dans sa direction que je le fais glisser, avant d'être appelée de l'autre côté. Un homme, d'une trentaine d'année, certainement pas désagréable à regarder. L'entrée en matière se fait presque comme à chaque fois, parce une demande d'un whisky coca, et je me fais cette réflexion que seul les hommes, les vrais, le boivent sans le couper, lançant une oeillade à Clay. « Et ton numéro, ce serait parfait. » J'en arque un sourire, pouffe à ses dires. Comme une foutue poupée, et me laisse tenter par le pourboire qu'il vient de me donner, en précisant un « Je reviendrai. » Et moi c'est vers Clay que je le fais, que je reviens. « Tu veux un salon, pour patienter ? » Qu'elle ait terminé, sa pétasse, et qu'il arrête de court-circuiter la moindre de mes manières, par sa présence.


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Anna, Priape & Clay / Septembre 2015

« Double ? » Est-ce vraiment un question ou se moque-t-elle volontairement de moi? J'en oublie même un instant la question, préférant déposer mon regard envieux sur le corps enfiévré qui tangue sur scène sous les huées des néophytes venus assouvir un besoin particulier. Inutile de la siffler bande de cons, elle ne vous fera pas plus de faveur qu'à un autre puisqu'elles ne marchent toutes ici qu'à l'odeur d'une seule et unique chose: le pognon. Pour en revenir à Malcolm et cette histoire de mise en bouche, je préfère pour le moment garder le silence, ne sachant où elle souhaite en venir exactement aux vues de ses élans dans les chiottes tout juste avant. Je n'aurais même pas l'audace de lui lâcher ce qui me trotte à l'esprit quant à mon hygiène de vie. Le verre glisse jusqu'à ma main, paume ouverte et prête à l'accueillir comme il se doit pour en refermer presque aussitôt dessus mes doigts. Elle est alors appelée à l'autre bout du comptoir pour étancher la soif d'un autre soulard, inconnu que je détaille très brièvement du regard. Ce pourrait être son genre de gars et pensif, dans un murmure parce que cette réflexion ne regarde que moi, je souffle mélancolique au souvenir de ces paroles qu'elle m'a crachée lorsqu'elle me rejoint à nouveau, moi l'éternel pilier, " Il reviendra en demander ". Et je lui lève mon verre, vil et frustré par ce qu'elle a osé il y a quelques minutes de cela insinuer. « Tu veux un salon, pour patienter ? » Une telle question venant d'elle fleure la malhonnêteté et d'un rapide coup d'œil sur elle, j'ose une question dont la réponse me parait pourtant évidente. Mais sait-on jamais.... " Avec toi ? " Parce que celle là, j'y ai déjà eu le droit.

Et sifflant encore un peu de cet alcool enivrant, une pensée me vient subitement, ayant un peu repris mes esprits. " T'as déjà pris ta pause pourtant. " Alors laquelle va-t-elle m'offrir cette fois-ci? La rouquine sulfureuse qui me ferait vite défaillir à la simple vue de sa peau parsemée de tache de rousseur ou la négresse aux formes pulpeuses et plus qu'attrayantes dont je ne pourrais jamais le lasser? Ah oui certes, tout contact avec les danseuses est prohibé mais j'ai, à force de trainer dans cet endroit, le droit à quelques privilèges qui m'ont été généreusement accordés. Certaines de ces filles sont moins difficiles que d'autres lorsqu'il s'agit de se faire peloter et je sais lesquelles accepteraient de ressentir mes mains graviter sur leur corps dénudé. Je gage sur la brésilienne au tatouage rappelant le sien au creux de ses reins, histoire de me refaire vivre cette nuit durant laquelle nous avons donné à notre dualité une note plus féroce par de nombreuses attaques ciblées. Celle-ci ne se laissera pas toucher, je le sais et Annalynne aussi puisque je la dégoute sans même en connaitre la raison première. Elle ne doit pas apprécier le fait que je me fasse l'une de ses amies. Kendra vient de terminer sa danse lorsque je l'aperçois se glisser derrière le rideau, ramassant au passage la partie haute de son maillot. Et forcément, comme tous ceux présents, mes yeux se sont perdus sur la cambrure de ses reins, séduit par le charme du mouvement de ses seins, captivé par cette brève position idéale pour ne faire qu'un.
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Anna, Priape & Clay / Septembre 2015

" Avec toi ? " C'est une idée, bien qu'elle n'ait pas effleurée mon esprit au moment de le proposer, j'avoue que maintenant elle s'en devient entêtante à souhaits. Obsédante, et peut-être que je pourrai … Oser, tenter, lui prouver à quel point mes dires peuvent être vrais. Tout ceux que j'ai pu lui sortir, lui vendre lorsque je lui ai promis, que s'il me voyait le faire, il n'en dormirait plus la nuit. Et l'âme toujours effleurée par cette possibilité, je le regarde boire une gorgée, une chose est certaine, ce n'est pas un salon privé avec Amy qui je suis en train de lui proposer. C'est – assurément – une de mes plus grosses connerie dans l'équation étriquée que forment nos vies étrangement liées. " T'as déjà pris ta pause pourtant. " A la base de ma réflexion, je désirais seulement l'éloigner de moi, et de l'effet nocif qu'il parvient à engendrer sur mon être. Effet que j'ai bien du mal à gérer depuis cette nuit d'Août où je me suis égarée. Et si dans son appartement je me permets plus de libertés face à cela, ici, c'est prohibé, puisque c'est sa copine que je risquerai d'énerver. Bien que passer pour une salope n'est pas pour me déplaire, il est vrai que ma place au Nirvana reste quelque chose à laquelle je tiens, par pur esprit de rébellion, par simple envie de faire passer mon père pour un con.

Seulement c'est sa phrase, qui me reste en tête, celle au sujet de ma pause, déjà prise c'est vrai, alors inutile de prévoir de rendre ses dires plausibles étant donné qu'ils ne le peuvent pas, malgré cela ça m'agace un tantinet, et je me perds à me penser atteinte de bipolarité. Jalouse par avance de la fille qui va le charmer, alors que j'ai donné naissance à l'idée. Je suis totalement et irrémédiablement tarée. Tandis qu'il regarde encore celle qui quitte la scène, j'aspire à retrouver son attention, et c'est pour cette raison que ma main agrippe son bras, celui encore accoudé au bar, pour qu'il se retourne vers moi. Ses prunelles affrontent les miennes, j'y aperçois ce voile embué, celui que l'alcool peut provoquer. « Ou alors tu devrais rentrer. » Ce n'est pas que je m'inquiète – un brin, pensée désuète – mais je veux juste l'emmerder. Aussi, l'empêcher. « Je suis pas certaine que tu sois en état de supporter ce que je te prévois. » Parce que maintenant ça a fait son chemin dans mon esprit, c'est ancré, même si c'est risqué, irrémédiablement dangereux, mais le fait est que l'on aime ça, tous les deux. Lorsqu'on jongle avec nos interdits, cette relation qui nous définit. Mais à mes mots, je le vois déjà réagir, se lever, outré, à la limite d'être vexé, me prouver qu'il a toujours une contenance, qu'il est capable de marcher, et de pouvoir mater, peu importe celle que je lui enverrai. Et toujours mon sourire, implacable, toujours en train de le défier. Tout plutôt qu'il passe une autre nuit, à se vautre dans les draps d'Amy. Qu'on se le dise, j'en crève, de ma connerie.
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Anna, Priape & Clay / Septembre 2015

Je comprends à présent très facilement ce pourquoi mon pauvre ami, il y a un an déjà, avait eu la trique en les matant tout simplement. J'aurais sans doute fait de même si je n'étais habitué à ce genre de spectacles depuis le temps. Mais je ne m'en lasse toujours pas, dévore du regard la silhouette se redresser, ces formes pulpeuses et provocatrices sous des spots accentuant tous les interdits, plaisir des yeux... Mais c'est sa main qui me rappelle à l'ordre et je me retourne aussitôt d'un mouvement imprécis, faute de mon esprit alcoolisé. Mon regard planté dans le sien, je n'ose lui dire le fond de ma pensée lorsque je la crois en train d'essayer de sauver ma relation avec la blonde écervelée. « Ou alors tu devrais rentrer. Je suis pas certaine que tu sois en état de supporter ce que je te prévois. » J'en fronce les traits, en proie à une vive émotion lorsqu'elle s'estime en droit de me dicter ma conduite avant d'écarter vivement mon bras. Pour qui se prend-elle... J'ai passé l'âge d'être jugé et me lève dans la foulée, à présent déterminé à faire face à ce qu'elle vient de me proposer, décidé à ne pas flancher pour un verre ou deux qui m'ont fait dépasser la limite autorisée et me penche sur le comptoir, certes un peu vautré, pour l'affronter. " Parce que t'as investi dans des implants ? " Autrement dit, rien ne pourrait me surprendre venant d'elle puisque j'ai déjà tout vu, tout touché, gouté et même plus.... Et puisque je n'étais saoul mais parfaitement conscient, j'ai encore l'emprunte en tête de son corps dans toutes ses dimensions, dans ses moindres détails, ses courbes ainsi que son parfum de femme offerte, enivrant, perturbant mes sens et auquel je souhaiterais encore me voir céder. " Viens me montrer " Inspiré à la perspective qu'elle puisse s'adonner à ce qu'elle m'a depuis trop longtemps promis, ma paume claque sur le bar avant de me redresser, légèrement inconstant dans ma démarche, pour aller non sans un dernier regard vers la cabine qu'elle m'a indiquée.

Et comme la première fois, je me suis installé dans la pénombre de cette pièce éclairée et patiente, attend selon son bon vouloir qu'elle vienne animer de ses inhibitions la fin de ma soirée. Sans pouvoir lui avouer encore une fois qu'elle va enfiévrer mon corps, mon esprit, mes sombres pensées lorsque son bassin viendra d'un peu trop près m'effleurer. Cette première vision que j'ai eu d'elle dans ma chambre....Elle m'a séduite sans même me laisser le temps de m'en méfier, n'ayant alors plus qu'une idée en tête: la caresser. Alors j'attends, impatient, à demi somnolant, qu'elle daigne laisser encore une fois mes mains s'égarer sur sa peau halée histoire de me prouver que je ne suis pas aussi fidèle que je ne le souhaiterais, sachant pertinemment que tout écart sera sanctionné.  
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Anna, Priape & Clay / Septembre 2015

Et comme pour répondre à la moindre de mes attentes, il se défait de mon emprise, a un mouvement de recul, avant de se lever. Reprenant comme il le peut de son aplomb avant de se caler contre le comptoir, pour me provoquer. " Parce que t'as investi dans des implants ? " Sérieusement ? A mon tour de me reculer afin de le jauger. Celui qui m'a sautée, il y a quelques temps, et qui semblait pourtant se satisfaire de mes seins au point de les cajoler de sa langue autant que de ses mains. Alcoolisée lors de ce moment, je n'ai tout de même pas oublier les sensations ressenties ainsi que les geste effectués. Les menottes comme les soupirs partagés. Mais a défaut de me replonger réellement dans ses souvenirs qui s'en deviennent de plus en plus obsédants, je l'écoute me défier. " Viens me montrer " Et en mords un sourire, tout en observant sa main s'écraser contre le plat du bar, et lui qui s'éloigne finalement. Je le devine aller s'asseoir dans une de ces salles précédemment citée, et pour ma part, je pars à la recherche d'une collègue avec laquelle je m'entends plutôt bien afin de mettre en œuvre ce que je peux avoir à l'esprit.

Je ne saurai dire réellement pourquoi je me plie à sa curieuse volonté, désir que j'ai moi même insufflé alors que dans les toilettes, encore, je le repoussais. Je ne réponds plus de moi, lorsqu'il est là. Je me complais dans nos jeux pervers, dans nos tentations, dans le nombre de fois où j'ai pu – capricieuse – lui dire non. Et à la suite de mes talons claquant sur le sol, j'arrive finalement dans les vestiaires, où se trouve l'une de mes compères. « Tu sais où es Laeti ? » Elle me répond par la négative d'un mouvement de tête, avant de le faire par la parole. « Non, mais elle doit commencer un privé dans quelques minutes, je crois. » D'accord, tant pis. Je m'approche tout de même de son casier, sous le regard attentif de l'autre femme se trouvant ici. « Si elle le demande, dis lui que je l'ai emprunté. » L'un de ses costumes, apparat putassier. Que j'attrape du bout des doigts, le regarde, non sans sourire, avant de me défiler vers l'une des cabines pour l'enfiler. Je quitte mes propres résilles pour enfiler des bas, s'en suit porte jarretelle et soutien gorge dentelé, bustier. Des gants noirs viennent couvrir mes mains et mes bras. Alors je continue de parfaire mon apparence, je me pare d'une jupe perlée, et remontant sur mes louboutins, je sors de mon coin. « Anna ... » Elle prononce alors que son regard se repose sur moi. Et ma main s'élève vers elle pour la faire taire, pas certaine de pouvoir supporter un compliment au sujet de ma tenue, ou une quelconque question sur ce que je m'apprête à faire. Me contente juste d'un « Faut prendre ma place au bar. » Pas certaine qu'elle puisse gérer, mais peu importe, je l'envoie. Et marche finalement, emprunte le même chemin que Clay il y a quelques minutes. Je le trouve assis, et je m'approche de lui. Parce qu'il oscille à cause de l'alcool, parce que je ne voudrai pas qu'il en perde une miette, parce que c'est la première et la dernière. Je n'ai pas d'excuse, en réalité, il faudrait juste que j'arrête d'en chercher. Profitant alors de cet aparté, certaine que personne n'entrera, c'est son visage que mes mains vont chercher, mes pouces caressant ses joues et mon corps accoste une fois encore le sien. En le tentant, je souffle en chemin. « Reste éveillé. » Je ne voudrai pas que tu en loupes la moitié.  
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Anna, Priape & Clay / Septembre 2015

Elle se laisse encore désirer et plus les minutes passent, plus je me dis que c'est une autre qu'elle va m'envoyer. Peut-être la rouquine effectivement dans l'espoir de me voir flancher, d'amener Amy au moment le plus opportun pour nous déranger lorsqu'elle se laisserait se faire peloter, chose qui ne devrait logiquement arriver si seulement je faisais preuve d'assez de retenue. La porte s'ouvre finalement lorsque mon regard embrumé se dépose sur l'apparition qui vient de se dévoiler et j'en ai un imperceptible mouvement de recul, là, calé dans mon dossier, à la voir ainsi en robe qui ne cache presque rien de sa lingerie fine et gantée comme toutes ces filles de petites vertus prêtes à se donner. Je l'observe donc s'approcher avec fébrilité car l'idée de la voir me chevaucher dans une danse érotique ne serait que pur péché. J'aime pourtant ressentir le corps dénudé des autres tanguer sur ma personne mais celui-ci est une tentation à laquelle je me sais d'avance dans l'incapacité de résister. Une fois déjà, la limite à été dépassée et dors et déjà, je songe à un renouveau dans cette pièce close, à l'abri des regard et oreilles indiscrètes lorsqu'elle se pose. Et de mes lèvres closes, bâillon mental à éprouver, je détaille un à un les lacets de ce corset que j'aimerais délier avec application, un nœud pour un vœu, un vœu pour chaque désir qu'elle fait naitre et attise par cette oppressante proximité. Ce sont mes mains sur ses hanches, contact défendu à la lisière de cette jupe tressée, qui expriment les émois qui me gagnent lorsque les siennes encadrent mon visage pour me souffler, félonne « Reste éveillé. » Comme si ses atours ne suffisaient pas d'eux même à ranimer mes instincts primitifs lorsque sa voix féline m'enveloppe.

En position d'attente, l'image de sa fragilité s'est complètement volatilisée, laissant transparaitre celle qui se joue des désirs humains par de tels desseins libertins, sa jupe s'étoilant sur mes cuisses et dévoilant à l’œil avisé le licencieux de sa lingerie. Textile transparent dans sa grande majorité et qui ne cache pratiquement rien de sa féminité mis à part ce bustier qui, j'imagine, recèle une poitrine rehaussée par l'un de ces soutiens-gorge peut-être très limités, de ceux qui sont à tout dévoiler et composés d'une unique armature si vous me suivez. J'ambitionne alors de partir à l'assaut de son corps entravé, découvrir la chaleur de sa peau, enivré de cette soirée de deux façons bien différentes mais que j'apprécie l'une tout autant que l'autre. " Très engageant ," bien que trop chargé à mon gout puisque je m'attendais à la voir se dévoiler en simples dessous. A voire si la suite du spectacle vaut la peine de s'attarder au risque de voir Amy débouler. " Éveille-moi " si tu t'en crois disposée. Mais déjà mes yeux se sont plongés dans son décolleté, cherchant à voir si j'ai raison au sujet de cette poitrine qu'elle a à cœur d'exhiber.
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Anna, Priape & Clay / Septembre 2015

Mon corps, de façon indéniable, appelle le sien. A beaucoup plus de mal que prévu à le quitter. Je reste posée sur lui, cavalière lorsque ses mains vont sur mes hanches, départ de mes cuisses, se poser. J'en réclame d'autres attouchements, plus cuisants, échaudants, en restant taciturne cependant. J'ai à cœur de ressentir le sien s'emballer. Qu'on se retrouve comme on a pu le faire durant cette nuit d'été. Sur la même longueur d'onde. Partager un semblant d'intimité. Un besoin de lui prouver un je ne sais quoi qui gronde en moi. Peut être, qui sait, lui faire comprendre qu'avec Amy il se fourvoie. Je m'en dégoûte de réagir de cette façon là. M’écœure de moi, de la manière qu'il s'insinue en mon intérieur, comme un venin, décuple mes désirs incertains. "Très engageant." M'intime sa voix, délicieuse et dangereuse à la fois. Et son regard se permet de me détailler, de prendre en compte les vêtements que je suis allée enfiler. " Éveille-moi " Qu'il est électrisant, cet homme là. Comme c'est oppressant de constater, qu'en un simple défi prononcé il arrive à m'en faire oublier ce que je me suis promis, ne plus flancher face à lui, ne plus être à ce point affaiblie. Et malgré cela, j'avoue mettre de côté, le début de notre soirée, oublie, un instant sa copine, que j'aurai bien pu faire appeler, histoire de lui prouver qu'elle ne le connaît pas comme je le fais. A l'instant où finalement, mes talons retournent fouler le sol, mes lèvres vont se permettre un imperceptible mouvement, mais pourtant bel et bien présent, effleurement sensuel et lubrique de ma bouche contre la sienne, charnelle. Une envie silencieuse, totalement licencieuse.

Et comme si c'était fait exprès, je patiente plusieurs secondes mon regard plongé dans le sien, duquel j'oublie l'alcool et me fonds dans notre contemplation, pas très longtemps, pour qu'une nouvelle musique nous parvienne et décide du rythme de mes élans. C'est armée d'assurance, et gavée d'orgueil, que je débute mon ouvrage. Ressentant poindre en moi cette envie de le rendre dingue, de la plus vile des manières qu'il soit. M'offrir à lui, de loin, en lui interdisant de mon entrecuisse le chemin, alors que mon être pour le sien commence à ondoyer. Un show réinventé, bien que son origine vient d'un de ceux que j'ai vu et revu des centaines de fois, observé de loin, en me disant que je serai plus douée que ces putains, que j'ai refait, quelques fois, pour rire, lors de ces soirées, où je me suis permise de faire semblant d'apprécier les gens avec lesquels je gravite des heures durant. Et mes mains gantées de noir vont se perdre dans mes cheveux, les soulèvent et torturent, dans ma danse lascive, avant de les délaisser, boucles à mon image, indomptées. Mon corps s'abaisse, mes ongles sur mes jambes griffent et caressent. Remontent avec langueur, avant que de ma main droite je ne découvre la seconde, quand ce sont finalement mes dents, qui vont chercher le deuxième gant. Féline et sauvage, égale à celle qu'il a sauté il y a peu de nuits, moins docile, seulement. J'étiole le temps, en allant entourer sa nuque du tissu retiré, en prenant soin de ne plus le toucher. Puisque c'est la règle, lorsqu'on se contente de danser et qu'on est pas encore tout à fait une prostituée. J'exalte mon propre souffle contre le sien, je me perds avant de me retourne lentement, ondule contre lui en redoutant l'impact possible de ses mains contre mon arrière-train. Et mes doigts se font lubriques, lorsqu'ils vont défaire l'attache de cette jupe factice. Habile, je la récupère d'une paume, et la laisse un tantinet libertine, s'écraser sur le sol avant d'en revenir à ma descente aux enfers. Mes fesses dénudées lui sont présentées, et plus encore, puisque à nouveau, se courbe mon corps. Toujours sur le même tempo, ce sont mes phalanges qui en sonnent le renouveau, claquant avec faveur contre mon flanc, chienne comme je ne l'ai jamais été, désirant en mon for intérieur qu'il m'accule comme je viens de le faire, avant que je ne me retourne, taquine et encore doucement, en mordant cette lèvre inférieure, pour parfaire l'érotisme de ma représentation. Comme au fusain, mes doigts esquissent mes courbes, avec luxure et provocation, frôlent avec une lourdeur mesurée, mon con. Ils continuent leurs besoins de faire naitre en Clay d’innombrables désirs mesquins, puisqu'ils glissent et s'aventurent sur mon bustier, redessinent ma poitrine encore couverte, avant de se risquer, pervers, vers les premiers nœuds m'entravant encore, tandis que son regard, me dévore … Mais je ne joue plus vraiment, plus de défi, l'idée est de le satisfaire, et de m'insinuer dans son esprit, à chaque fois, qu'il culbutera Amy.
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Les Enquêtes Impossibles
 
Anna, Priape & Clay / Septembre 2015
Quelques secondes seulement. C'est ce qu'elle me laisse de temps pour tenter d'entrevoir la virginité de ses formes haletantes quand elle se fige à quelques centimètres de mes lèvres, patiente ce qu'elle estime de nécessaire pour me voir sourire vicieusement à l'appel des siennes d'un rouge carmin étourdissant.

Ce n'est qu'au nouveau rythme d'une chanson transcendante qu'elle se soustrait de mon bassin, de cette promiscuité enivrante, pour s'adonner à une danse osée, dénuée de toute moralité et que toute femme œuvrant ici sait si bien valser.  Son corps à lui seul paré de cette façon est une invitation, un régal pour les yeux. Alors lorsqu'elle commence à s'effeuiller, qu'elle vibre de mille façons sur ce rythme déchainé, tantôt langoureuse, tantôt audacieuse qui se joue d'ondulations délicieuses, je remercie le ciel d'avoir dépassé ce soir mes limites. Parce qu'en pleine possession de mes capacités, j'aurais été incapable de lui résister. Et elle le fait avec une telle dextérité que je suis dans l'incapacité de me dire si c'est l'alcool qui me fait rêver ou si c'est elle qui n'en est pas à son premier coup d'essai. Ses ongles dissimulés derrière cette draperie de cuir vernis vont et viennent, cheminent dans ses mèches ébènes, dévoilant sa nuque avant d'en faire retomber le sombre rideau. Esclave de son vice que j'ai pourtant commandé, je reste là à la contempler bouche bée, dans un silence ponctué par ma sourde respiration face à ses mouvements provocateurs.

La chair hâlée de ses bras se découvre sous la morsure qu'elle impose à son cuir et se rapproche à nouveau dans une autre fantaisie, restant à une distance raisonnable faute sans doute de me voir l'emporter dans un élan cavalier et entoure, lacère ma nuque de ce qu'elle vient de retirer, me soumet à son ardente emprise qui me fait chanceler avant de me relâcher. Et j'en ai un soupir de soulagement bien étrangement lorsqu'elle se retourne....Mais c'était sans savoir ce qu'elle me réservait.  Et sous mon regard embrumé par la liqueur et les effluves érotiques que ce bar se doit de proposer, je la vois se courber, proposer à mon regard alcoolisé les rondeurs de sa lune lorsqu'elle se défait sa cette tenue diamantée. Et de claquements ponctués sur sa croupe dénudée, elle en marque au fer rouge l'empreinte de ses doigts, encouragements provocateurs que j'aimerais lui prodiguer pour poursuivre son délicieux ouvrage avant de me faire face et de se caresser vicieusement là où je souhaiterais me présenter encore une fois: au sein même de sa féminité passant outre la fin voilage. Les yeux rieurs à défaut d'être parfaitement lucide du lubrique de la scène, je l'observe elle et ses doigts venir en amont de ses merveilles, frôler ce bustier qui recèle le dernier de ses mystères pour défaire, un à un, les nœuds qui l'enserrent. Et pris d'une envie irrésistible lorsque mes yeux s'égarent vers cette porte refermée, je me redresse empoignant son bras avant de la faire basculer. " Je te préfère plus tactile " , sur moi, plus docile, comme tu l'as été cette nuit là, mes lèvres à portée des siennes de ce si faible intervalle. Et ce ne sont plus ses doigts mais les miens, paume plaquée sur son bas ventre qui remonte lentement sous ce bustier jusqu'au possible que son corset me laisse explorer. Ma bouche gravitant de ses lèvres jusqu'à son oreille murmure une vérité entre deux souffles coupés: " T'as rien d'une danseuse.... bien que tu en aies tous les charmes et l'assurance, je dois l'avouer. " Stoppée par l'étreinte des attaches de son corsage, ma main se retire pour venir s'égarer le long de ses cuisses ramenées sur l'accoudoir, épouse les formes voluptueuses en une lourde caresse jusqu'à ces liens qui m'oppressent. Méticuleusement, le laçage est déjoué, mon attention oscillant entre ses yeux et les œillets que je prends plaisir à faire sauter pour un peu plus et patiemment en écarter les coutures, dévoilant au fur et à mesure que mon appétit grandit la dernière de ses lingeries.

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