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Les enquêtes impossibles (Clay et Anna)

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Les Enquêtes Impossibles
 
Anna, Priape & Clay / Septembre 2015
 Ce n'était pas du tout la réponse attendue mais qu'à cela ne tienne, celle-ci regonfle un peu mon orgueil démesuré tandis que j'observe encore une fois la stripteaseuse presque étendue au sol et émets un sifflement sournois lorsque j'estime qu'elle vient de dépasser les limites en se prêtant au jeu du boursicoteur acharné. Crysti sursaute à mes cotés, plantant ses ongles dans mon bras puisque je n'ai pas non plus vraiment le droit de les reprendre comme cela. Même de loin, je fusille celui qui se croit tout permis et lui fais comprendre d'un geste vif de la tête de s'écarter de la danseuse sans quoi, c'est le Nirvana qu'il quittera avec l'agréable souvenir de m'avoir croisé moi. Peut-être pas videur mais pourtant... Le message semble être finalement bien passé lorsqu'il se ré-adosse à sa chaise les bras croisés et c'est sur la couguar que je me reporte d'un air faussement étonné " Quoi? " Elle hausse naturellement les sourcils accompagné d'une moue si maligne qu'il m'est difficile de ne pas ricaner de ma connerie. " Inutile de te venger sur elle. " Et j'en perds soudainement le sourire et la questionne du regard lorsqu'elle se mets à rire. " Clayton. La première fois que tu es venu ici tu devais avoir dans les 20 ans. Je te connais et Amy n'est pas ton genre..." Je pourrais même affirmer qu'à présent, c'est avec un certain dédain qu'elle fixe la blonde se déhanchant puis termine sa phrase, sa main doucereuse venant se poser sur ma joue comme sur celle d'un enfant: " Elle est bien trop facile pour toi ". Puis elle quitte le bar. Un peu perturbé par l'aveu que je viens involontairement de lui confesser, je me ressers un verre que j'avale cul sec, d'emblée sans attendre le retour des deux qui brillent de part leur absence. D'ailleurs, le temps commence à me paraitre bien long et je lève le bras à hauteur du visage pour calculer combien de minutes, montre en main, il leur faut pour sécher un simple pantalon. Allez 8...peut-être 10... Un autre verre et c'est au moment de le reposer que je croise leurs regards amusés, ressortant des coulisses comme si de rien n'était..... sa main sur son bras à lui.
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J’avais tout intérêt à ne pas nier, à entrer dans son jeu, même si c’était certain qu’avec le ton que j’y mettais elle n’allait pas me prendre au sérieux. C’était toujours plus simple que de se lancer dans une explication complexe, à savoir qu’une de mes amies avait craqué sur l’autre idiot resté au bar et qu’elle était en quête d’informations le concernant… Et je n’avais pas envie qu’Anna se sente –utilisée-. Parce que lorsque je l’avais rencontrée pour la première fois, j’avais réellement éprouvé de la sympathie à son égard et cette deuxième rencontre ne faisait que renforcer ce sentiment. Sauf que je n’en oubliais pas pour autant Léonora et ma promesse de me renseigner. Je souris quand même en entendant la réponse de la brune. Si elle savait qu’en réalité, ma faiblesse se portait sur un tout autre type de femme. Son assurance devait plaire à certains, et elle avait des atouts indéniables, seulement je n’étais pas de ceux qui s’entichaient facilement. Et lorsque j’avais quelqu’un en tête, les charmes des autres me laissaient quelque peu indifférent. Mais jouant dans son jeu, je poursuivis : « Je suis faible que veux-tu… Essaie de ne pas trop me briser le cœur parce qu’il n’est pas très solide. » Une note d’humour en référence à mes histoires sentimentales bancales et là dessus je lui proposais de rejoindre Clay, craignant le déluge sur le comptoir. Et je sentis aussitôt qu’à la simple évocation du garçon, Anna se crispait de nouveau. Le commentaire qu’elle laissa échapper sur la petite amie de ce dernier était un nouvel indice pour l’enquêteur en carton que j’étais. « Oh mais elle a l’air sympa sa copine… » Physiquement sympa, ça va de soit. « Ca fait longtemps qu’ils sont ensemble ? » J’insistais volontairement sur le sujet parce que j’avais l’impression d’avoir mis le doigt sur quelque chose. Impression qui se confirma d’ailleurs lorsqu’on retrouva le jeune homme assis seul au bar. C’était moi où cela avait l’air de lui faire plaisir ? Son sourire satisfait la trahissait complètement. « On t’a pas trop manqué Clay ? » lançai-je en arrivant à nouveau auprès du garçon avec un sourire clairement narquois conscient qu’une telle réflexion n’allait faire qu’attiser sa mauvaise humeur, son air à lui étant franchement bougon.  
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Mon intérêt à son égard est tout sauf réel, puisque déjà mon esprit vogue vers un chemin qui se trouve étrangement vers le comptoir. Je continue cependant à son sourire et à attendre de sa part une réaction, peu importe laquelle à vrai dire, j’avoue avoir juste voulu le mettre mal à l’aise et démontrer une fois encore ma fierté. « Je suis faible que veux-tu… Essaie de ne pas trop me briser le cœur parce qu’il n’est pas très solide. » Je lui affiche une mine dépitée, en haussant les épaules avant de me permettre de rajouter. « Tu vois, c’est bien là le problème. » Quand déjà je me dis que nous devrions allez le rejoindre. « Tu es trop gentil pour moi. » Et pour une fois je ne mens pas, j’ai toujours eu ce penchant étrange pour les mauvais garçons. Un nouveau sourire taquin nait sur mes lèvres et le voilà en train de se rhabiller, et de nous proposer d’aller rejoindre celui qui est la troisième partie du trio que nous formons cette nuit. C’est sans y penser que je m’accroche à lui non sans ajouter quelque chose au sujet d’Amy et de mon animosité au sujet de cette blonde que j’ai eu la grande idée de lui foutre dans les pieds, à Clay. « Oh mais elle a l’air sympa sa copine… » Comme un cafard qu’on a envie d’écraser. Je bats des paupières avant de lever au ciel mes pupilles, visiblement, exaspérée. « Ca fait longtemps qu’ils sont ensemble ? » Comme si j’avais perdu mon temps à compter. Cependant … « Trois semaines. » Deux heures et surement trente-huit minutes. Mais je n’ai pas compté.

Puis mon attention se reporte sur le flic, et cette fois, c’est la satisfaction qui se trouve sur mon joli minois. Satisfaite de voir qu’il ne s’est pas échappé avec elle, même si à la fin de la soirée c’est avec elle qu’il finira, pour l’instant, je me contente du peu que j’ai. Comme une stupide fille que j’ai horreur de devenir à cause de tout cela. Je manque de contrôle, et je n’aime pas ça. Mais toujours mon bras sur celui de Priape, je le remercie presque de se mettre à parler et de tacler Clay. « On t’a pas trop manqué Clay ? » Mes prunelles vont donc sur poser sur le visage poupin du grec, un brin surprise, mais complétement comblée. Piqûre de rappel du fait qu’il m’a insinué prostituée. Curieuse pourtant, de savoir si oui ou non on l’a fait. Quels films il a pu se faire à mon sujet. Notre sujet. S’il s’en ait fait, après tout, je m’accuse d’être surement en train de divaguer. Je me décale finalement, lâchant le bras du premier, je m’en vais m’assoir sur le tabouret que j’ai précédemment quitté. Récupérant mon verre, et la bouteille, naturellement je remplis le mien et continue sur ma lancée, leur payant donc une nouvelle tournée. Tentée de leur dire « A votre santé. » je me contente de servir à Clay un sourire carnassier, puis de boire mon verre d’un trait.
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Anna, Priape & Clay / Septembre 2015
  Heureusement que j'en suis à mon.... 4ème verre sans quoi peut-être j'aurais certainement réagi impulsivement face à la scène. Me félicitant d'avoir trouvé une compagne plus aimante et beaucoup plus fidèle que la brune qui me nargue au bras d'un autre ou que la blonde se trémoussant alors que je patiente après elle, l'une ne rattrapant pas l'autre, je me contente de les observer le regard haineux. Tiens, avec un peu de recul, il m'apparait évident qu'il faudra qu'Amy me ramène, chose que je n'avais pas prévue au début mais qu'importe puisqu'au final nous finirons tous deux dans les mêmes draps. Un regard vers elle d'ailleurs et je l'aperçois qui finit sa... - mes doigts frappent sur le comptoir tout en me réalisant combien de fois je l'ai vu dégrafer son soutiff sans la moindre pudeur face à ces abrutis, pardon... clients - deuxième danse de la nuit, son string garni de billets venus je ne sais comment s'y glisser. A vrai dire, je m'en doute mais préfère tout simplement ne pas y penser. Quant à Malcolm, elle a fait son choix ce soir et préfère accorder ses faveurs à un autre, de meilleure compagnie semblerait-il.

Pour le moment les deux se contentent de venir me rejoindre et c'est la main contractée sur mon verre que j'écoute sa provocation. « On t’a pas trop manqué Clay ? »  Deux semaines que je viens ici récupérer ma blonde, à la voir se dénuder pour d'autres et à s'engouffrer dans les cabines moyennant rémunération contre ses charmes... Deux semaines que je tente vainement de réprimer ma possessivité maladive, me réfugiant trop souvent dans la boisson et il se croit capable de refaire naitre ce sentiment de jalousie pour une femme qui m'a rejeté à de maintes reprises... Il y est parvenu ce con. Alors ma main s'empare d'un chiffon et balaye encore les quelques traces au détriment de ma bouteille que je laisse de coté, torchon qu’aussitôt je balance sur mon épaule une fois la tache achevée. Et tandis que Malcolm reprend place de l'autre coté sur l'un des tabourets, que ses mains viennent s'emparer de mon tribu et nous sert tour à tour, je lui siffle  " Elle n'est pas encore terminée ta pause? " avant d'en revenir au jeune père. Il n'a rien demandé dans l'histoire alors faisant preuve de raison tandis que j’hésite, penché sur mon ...cinquième verre, je tente de lui communiquer avec un semblant de sympathie en oubliant sa petite provocation. " A la santé de...tiens d'ailleurs, fille ou gars? " Petit gars, je l'espère pour toi car comme beaucoup d'entre nous, il en va de notre fierté de voir perdurer notre nom au travers des âges, tel est un peu mon cas.
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Je ne me vexais pas à ses paroles. Trop gentil pour elle, disait Annalynne… Ouais, c’était bien cela mon problème. Trop gentil garçon… Le genre de mec qu’on trompait, le genre de mec qu’on envoyait bouler, puisqu’on se disait que dans le fond, grand seigneur qu’il était, il pouvait bien tout nous pardonner. « T’oublie que je suis un dangereux tueur recherché pour meurtre… » On pouvait essayer d’y croire, mais avec le sourire que j’arborais en affirmant cela, c’était peu crédible. Un délire de bourré, auquel elle n’avait jamais cru de toute façon. Et quand j’évoquais la petite amie stripteaseuse de son pote, pas besoin de mot, elle semblait exaspérée. Leur histoire était récente encore, trois semaines. De nouvelles infos pour faire grossir le dossier que j’étais en train de monter mentalement pour ma petite Léonora. Mais le temps était venu de retourner au bar, où l’on avait abandonné Clay qui ne semblait pas de très bonne humeur en nous voyant revenir. Mon -on t'a manqué- y était peut être pour quelque chose ? A moins que ça ne soit le bras d’Anna posé sur le mien ? En arrivant, il s’empressa de signifier à la barmaid avec un sous entendu peu commode que sa pause touchait peut être à sa fin. « Si tu dois retourner travailler tu peux Anna… » Façon plus douce et moins abrupte de s’exprimer que celle du garçon. « On se verra plus tard si tu veux… Je peux même attendre la fin de ton service. » Si la brune n’avait surement pas été dupe de ma fausse déclaration d’amour précédente, son ami, lui, allait peut être se laisser convaincre par mon attitude de mec accroché, patientant au comptoir pour pouvoir passer du temps avec la jeune femme. Et puis, je me disais qu’elle se sentait peut être forcée de rester de ce côté du bar avec nous parce qu’elle redoutait les potentielles autres révélations que pourrait me faire Clay. Alors que moi, ces révélations, je rêvais de les entendre. Je m’installai finalement à côté de lui alors qu’il levait son verre pour porter un toast à mon enfant, m’interrogeant au passage sur le sexe du bébé. « Une petite fille. Mila. » répondis-je en levant mon verre à mon tour. « T’as des enfants toi Clay ? » On en profitait aussi pour faire connaissance au passage. C’était pas parce qu’il sortait avec une stripteaseuse qu’il n’avait pas le droit d’être papa après tout.
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Je ne cherche pas à le blesser en lui faisant part du fond de ma pensée à son sujet, bien au contraire. Après tout, le soir où Priape et moi nous nous sommes rencontrés, même saoul, il est resté, ce gentleman auquel j'ai deviné un grand cœur. Gentil garçon, mais à son expression je me rends compte qu'il doit se penser partisan du trop bon, trop con. « T’oublie que je suis un dangereux tueur recherché pour meurtre… » Et mes épaules se haussent, en synonyme d'un « Ah oui, bien sur, c'est vrai. » Complétement ironique que je ne me permets pas de prononcer. Les secondes s'étiolent, et on en perd à parler de la relation totalement obsolète que Clay entretient avec ma collègue de soirée. J'en ai la nausée, oui, mais je jure que l'impression s'efface vite fait bien fait.

Et lorsqu'on retourne aux côtés de mon colocataire, le gentil Priape choisit l'option provocation. Je ne nierai surement pas le fait qu'il me plait en faisant cela. C'est du coup tout en souriant que je me pose sur le tabouret et commence à nous offrir une nouvelle tournée. " Elle n'est pas encore terminée ta pause? " Perfide. J'en avale de travers en le regardant, choquée. Douchée aussi en ne sachant pas franchement ce que je pourrai bien lui répondre pour lui faire fermer sa jolie bouche une bonne fois pour toute. Et Priape me prend de court, en rajoutant quelques mots à mon égard. « Si tu dois retourner travailler tu peux Anna… » Mes prunelles trouvent les siennes, et muettement, le remercient, ça non plus, hors de question que je le nie. Après tout, qu'est-ce que ça peut faire à Clay, que j'apprécie le grec, qu'il soit mon ami, lui, il est ici pour Amy. Je ne sais même pas à quoi je joue, et je suis presque lassée de cette joute verbale qui ne vaut pas grand-chose, à dire vrai. « On se verra plus tard si tu veux… Je peux même attendre la fin de ton service. » Sans trop me poser plus de question, je regarde en direction du bar qui ne semble pas submergé, alors je prends l'option de leur faire une réponse groupée. « J'ai encore le temps pour un dernier verre. » Et j'espère que ces paroles, vont le faire taire, mon colocataire.

Exécutant le fond de mes pensées, je reprends en main la bouteille non sans lui lancer un regard en biais, pour le provoquer. " A la santé de...tiens d'ailleurs, fille ou gars? " Alors ça me prend comme une évidence dans mon esprit dérangé, je n'ai même pas pris le temps de lui demander. J'amorce un manque flagrant de savoir vivre et de politesse. Surement un défaut de fabrication, non, d'éducation. Je ne suis pas réellement fautive dans le fond, il faudrait traiter avec M. Malcolm pour répondre à cette question. « Une petite fille. Mila. » Mes iris se fixent un peu sur lui, nouvellement assis, et je me fais la réflexion que c'est joli, comme prénom. « T’as des enfants toi Clay ? » Et je ne compte plus le nombre de fois que j'ai failli mourir étouffée ce soir. Des enfants, il ne manquerait plus que ça. Enfin, je ne dis pas qu'il ferait un mauvais père, non, loin de là, bien que son penchant pour la bière et sa tendance à venir trainer ici ne sont pas les meilleures caractéristiques pour être père, pour ce que j'en sais, mais Clay, papa ? Ca me fout le bourdon, je le sais, c'est con. « Non. » Non, non et non. Des gamins, il n'en a pas. Et je le murmure à haute voix, alors que je voulais garder ma réaction pour moi.
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Anna, Priape & Clay / Septembre 2015
 
J'attends alors sa réponse avec impatience, priant pour le pauvre bougre d'avoir une digne descendance quand il fait soudainement tomber la sentence « Une petite fille. Mila. » Pauvre diable... une fille, c'est vraiment pas de chance. Je vais donc pour sympathiquement lui présenter mes sincères condoléances quand il me coupe dans mon élan d'une façon qui me décontenance. « T’as des enfants toi Clay ? » Je me redresse alors subitement ayant perdu toute envie de rire. La question ne manque pas de mordant et malgré moi, je ne sais pourquoi, c'est vers la blonde que mes yeux se reportent un instant. Mais en  voudrait-elle déjà seulement? Vu l'énergie et l'engouement qu'elle déploie pour son taff et certains détails de notre intimité que je ne partagerais avec aucun d'eux ce soir, j'en doute fortement. Alors quand en plus j'entends l'autre vipère souffler de son coté ce dont déjà je me doutais, mon état frôle presque l'irritation, pris d'impulsitvé lorsque je la fusille du regard. Et venant d'elle, la remarque est d'autant plus blessante sachant ce qu'elle est venu réclamer il y a une lune de cela. Annalynne, l'as-tu oublié? Nous n'étions pas protégés ce soir où tu es venue me trouver et où tu m'as supplié de.... Par respect pour elle, je vais taire le fond de ma pensée mais mes yeux s'attardent un court instant de plus dans ses pupilles mielleusement irisées avant d'en revenir à celui qui m'a précédemment questionné. Et m'adressant à Priape, une fois de plus je m'enlise par orgueil: " Pas encore, mais c'est en projet " et continue en visant subtilement la seule femme de notre trio après avoir bu une gorgée " Peut-être pour bientôt.  Qui sait... " Enfin non, puisque si il avait eu un dératé, j'imagine qu'Annalynne m'en aurait déjà fait part d'une façon ou d'une autre. Du moins, j'ose l'espérer. Curieusement cette idée n'est pas pour me déplaire alors je comprends bien vite que j'ai atteints le premier stade de l'ébriété, je n'y vois pas d'autre explication. A peine ai-je reposé le verre sur le comptoir que déjà je ressens les vapeurs m'échauffer l'esprit et me libérer des tendances sociales imposées, un peu blasé et limite léthargique. Le verre mis au rebut pour le moment, le temps de décuver légèrement, j'en reviens à ce bon père de famille et le gratifie d'une légère frappe sur l'épaule avant d'en rire: " T'auras peut-être plus de chance au second mon ami " Puis m'appuyant par instinct sur le bar, je me dirige vers le bout du comptoir complètement hilare en m'excusant auprès de mes convives de la façon la plus élégante possible:   " Excus'ez maintenant mais, faut que j'aille... faire pleurer le p'tit Jésus "

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J’assistais en spectateur actif à la joute qui se jouait entre eux, tentant de temporiser l’échange. Et d’ailleurs, les yeux reconnaissant d’Annalynne trouvèrent un instant les miens. Un petit sourire étira mes lèvres. Clairement complice. Clay ne manquera pas de noter ça, surement, même alcoolisé c’était dur de passer à côté. Qu’il nous imagine très proches oui, tiens bonne idée… Peut être qu’alors les révélations sur leur lien me sauteront plus clairement à la figure… Je devinais des choses mais pour le moment, pas de là à sauter aux conclusions hâtives. La brune rétorqua qu’elle avait encore le temps pour un ultime verre en notre compagnie.
C’est sur ma merveille que la discussion se centra alors. Mila, de son petit prénom. Je retournais ensuite la question à mon interlocuteur. Il avait l’air en âge d’être papa, sauf que mes mots semblèrent provoquer un choc chez Anna qui manqua de s’étouffer. Mon regard se releva un instant vers la barmaid, comme pour m’assurer qu’elle allait bien, c’est d’ailleurs elle qui répondit pour lui, à la négative. C’était dans un couple non que l’on faisait ça normalement ? Répondre pour l’autre… Indice de plus pour mon enquête surement. Mes prunelles se reposèrent alors sur le garçon dont le regard s’est reporté vers sa petite amie, la danseuse là bas encore en plein show. « Ouais c’est idiot peut être, j’aur… » Sauf qu’il reprit alors qu’il avait ce projet, peut être pour bientôt. « Oh… Mais avec son travail, ça va pas être compliqué ? » Obligée d’arrêter de danser pendant neuf mois, les finances risquaient surement d’être serrées non… Oui, parce que vu le regard qu’il venait de jeter en direction de la stripteaseuse, il me paraissait évident qu’il se référait à cette dernière pour le projet bébé. En tout cas, le jeune homme ne put s’empêcher de commenter, riant en me prédisant plus de chance, comprendre par là un garçon, pour le deuxième enfant. « Je suis pas sûr que ça soit un projet… » Séparé de la mère, avec des vues sur une fille qui détestait les mômes, je serais peut être simplement le papa de Mila. Une fille unique, c’était toujours mieux que pas d’enfant du tout ? Enfin, avec une poésie inégalable, Clay nous informa qu’il nous laissait. Et une fois en tête à tête avec la brune à nouveau, je repris : « Et toi Anna, tu vas vouloir des enfants un jour ? » J’savais que c’était compliqué actuellement pour elle, avec son père, avec ses fiançailles arrangées… D’où mon –un jour- qui sous entendait que ce n’était peut être pas dans l’immédiat bien sûr.


HJ : j'avais pas vu que c'était à moi, n'hésitez pas à me le dire hein, surtout quand je rp à 300 à l'heure à côté, souvent c'est que j'ai pas vu Les enquêtes impossibles (Clay et Anna) - Page 3 1779901633 Pardon pardon
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Encore un peu sonnée par mon audace à répondre à une question qui ne me revenait pas de droit, je cherche les prunelles de mon colocataire afin de le voir … De le voir approuver mes dires, évidemment. Le savoir père, je ne sais pas ce que ça pourrait changer, mais une chose est certaine, c’est que de voir le ventre d’Amy gonfler jour après jour pendant neuf mois n’est pas franchement dans mes projets. Manquerait plus que ça. Honnêtement, je me refuse à croire que lui, aussi, pourrait être aussi idiot pour le faire, procréer avec elle, non, franchement, je réitère non. Comme si ça pouvait m’atteindre … " Pas encore, mais c'est en projet " Pardon ? Je vais dégueuler. L’alcool et ma fierté. " Peut-être pour bientôt.  Qui sait... " Mais lorsque ses iris se plantent dans les miens, je discerne enfin de quoi il s’agit, et à ce moment précis, il ne parle pas de celle qui est encore en train de faire brûler un podium pour quelques billets, mon esprit étriqué se permet alors l’amalgame qu’il souhaite provoquer. Notre nuit dépravée et son côté insécure puisque non protégée. Il sait, que je ne suis pas enceinte, que de toutes les façons, si ça avait été le cas, je me serai débarrassé de ça, mais je le connais salop et prêt à tout pour m’emmerder. « Oh… Mais avec son travail, ça va pas être compliqué ? » Je sors de ma torpeur en reportant mon attention sur Priape, fixant Amy, en biais. Le fait d’être au milieu de cette étrange conversation commence sérieusement à taper sur mon système nerveux, et c’est pour cette raison, que j’en finis mon verre, et m’en sers un autre en poursuivant mon intérêt factice face à la possibilité que Clay et elle soient un couple assez solide et sincère pour qu’il en vienne à devenir père. C’est donc à deux doigts de me provoquer de l’urticaire. Cooper se lève finalement, presque amical envers Priape lorsqu’il lui intime que peut-être, il aura plus de chance avec un second qui sera un garçon et brûle sur mes lèvres un « pauvre con » que je retiens puisque Priape précise que ce n’est pas un projet, après tout, lorsqu’on connait l’histoire dans les grandes lignes, c’est certain qu’il ne serait pas franchement avisé pour lui de recommencer un exploit de paternité, je m’apprête à commenter cela, d’ailleurs et m’enquérir sur la suite des événements depuis notre rencontre, mais je suis coupée dans mon élan par l’imbécile heureux qui nous informe qu’il va présentement … pisser. Et de ma voix de vipère, plutôt qu’une insulte, je préfère. « Charmant. » Levant les yeux au ciel lorsqu’il disparait, finalement. Buvant mon verre tout en étant légèrement encore agacée par la tournure de la discussion et de la soirée, je n’entends pas tout de suite ce que Priape vient de me demander. J’en bats des paupières, plusieurs fois, incertaine sur le fait que ce soit véritablement à moi qu’il vient de demander cela. « Des enfants ? » Je prononce comme un écho psychotique, non maitrisé. Des enfants … Avec Alan ? Jamais. Là, personne ne pourra m’y forcer, quitte à simuler une stérilité. Mais la vérité, c’est qu’il faudrait me foutre enceinte de force avec n’importe qui, cela ne vient pas que de lui. « Moi ? Pleine pendant neuf mois ? » D’un alien qui déciderait pour moi ? Dégobiller mes tripes à chaque repas ? M’en tirer avec comme remerciement une expulsion me déchirant ? Et après devoir gérer la chose pendant au moins dix-huit années ? Je me mets à rire parce que je ne suis peut-être pas très saine, mais pas encore parfaitement aliénée. « Je suis trop égoïste pour ça. » Personne ne pourrait m’y contraindre, me convaincre … Une autre gorgée de mon verre et mes prunelles se posent en direction des toilettes de l’établissement. Le détestant comme un aimant vers lequel je retourne à chaque fois, depuis qu’il fait partie ma vie et qu’on partage le même appartement. Laissant de côté le sujet sur les mioches, c'est en un sourire que je précise ; « Une fois qu’il sera de retour, je vais devoir retourner bosser. » Un peu désolée, mais je me rends à l’évidence, je ne vais pas passer ma soirée à leurs côtés, certaines personnes pourraient ne pas apprécier. « Tu crois pouvoir survivre ? »

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Anna, Priape & Clay / Septembre 2015
La porte est par là, assurément, mais j'ai encore quelques doutes sur la distance qu'il me reste à parcourir, embrumé par les vapeurs alcoolisées. Le battant une fois dépassé, il m'est rapidement commode de me vautrer sur le premier lavabo d'emblée, les paumes rivées sur le marbre et me laisse quelques secondes l'occasion de contempler mon image. Un sourire commence à élargir nerveusement le reflet que me rend ce miroir. Et il ricane cet abruti face à moi en se passant fiévreusement une main sur le visage. "  Non qu'elle a dit " . Doute-t-elle un temps soit peu de mes capacités à procréer ou seulement de celle à surmonter les responsabilités qu'engendre la paternité? Je ne crois pas que son pote l'étudiant soit le seul à pouvoir les encaisser. Clea, Malcolm, les femmes....  Toutes les mêmes, c'est d'une banalité affligeante, toujours à croire qu'elles sont les mieux placées pour juger de notre courage quant à ce sujet. Alors après m'être aspergé les pores de quelques gerbes astringentes, il m'est de plus en plus concevable qu'elles puissent toutes deux avoir raison. Certaines choses seraient à changer pour lui prouver, rien que par fierté, que ce Priape n'est pas le seul à pouvoir gérer cette situation.

Ce n'est que lorsque je me suis engouffré dans l'un des wc et commence à déboucler mon ceinturon que je l'aperçois l'autre con qui git à mes pieds, encastré entre le mur et le siège. Lui aussi a certainement trop abusé de la boisson et voilà son lot de consolation. Alors continuant mon affaire, le pantalon ouvert, je termine ce que j'avais commencé sifflotant un air guilleret tout en prenant garde de ne pas dépasser, une main sur le mur carrelé en guise d'appui.  Si quelqu'un rentre et me voit me soulager juste à coté de ce gars, je pourrais toujours prétendre avoir eu une envie trop pressante lorsque je l'ai trouvé et qu'il était inconcevable d'aller à coté sans pouvoir m'assurer de sa santé.

Une fois l'affaire terminée, je délaisse les commodités pour me laver, les yeux toujours présents sur son corps étalé via le reflet renvoyé. Et pris de remords parce qu'il m'est venu un bref instant l'idée de le laisser, mes doigts vont chercher dans la poche arrière de mon pantalon le seul moyen qu'il me reste encore de communiquer. Dans mon état, le porter seul serait prendre le risque de me vautrer. Alors très vite c'est un texto à Malcolm qui est envoyé suite à un cliché du malheureux puisque je sais que sans çà, elle pourrait se poser des questions sur ma subite demande.

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