Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityPalmyr ⊹ I'm so drunk, I can't even explain how I feel right now - Page 4
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Palmyr ⊹ I'm so drunk, I can't even explain how I feel right now

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Non non, cette récompense me plaisait bien, inutile de changer. Dit c'est dit. J'lui fais des crêpes et voilà, je serai tout content après. J'hochais la tête pour montrer que j'étais d'accord avec elle et je souriais de plus belle. J'étais un gros dormeur et quand je dormais, c'était pratiquement impossible de me réveiller. Mon ex-fiancée trouvait que je prenais beaucoup de place dans le lit, mais je pouvais faire l'effort pour ne pas troubler le sommeil de Palmyr, et s'il le faut, elle n'aura qu'à me foutre à terre. S'il n'y a plus de place dans le lit, il y en aura toujours dans mes bras. lançai-je amusé, toujours avec cet air séducteur. On parlait déjà de la nuit qu'on allait passer alors qu'il était à peine midi. Est-ce qu'on s'impatientait? C'était bizarre. Je ne me souvenais plus de lui avoir proposé qu'on hop hop ensemble et sur le coup, je me trouvais un peu con. J'affichais un sourire bête et je passais une main dans mes cheveux maintenant secs. Tu sais, je dis beaucoup de choses quand je suis bourré. est-ce qu'elle allait se vexer? Palmyr s'approcha de moi et je fis de même, comme si on était deux aimants qui s'attiraient de plus en plus au fil des minutes. La jolie blonde se mordit le coin de sa lèvre et je la trouvais juste craquante quand elle faisait ça. Elle se montrait plus tactile et mon corps s'électrifia au contact de ses doigts sur mon menton. Je ne quittais pas ses beaux yeux alors qu'elle me complimenta. Ah, là ça devenait intéressant. J'allais lui répondre mais la miss captura mes lèvres par surprise. J'adorais ça, qu'elle se lance d'un coup. Elle me surprendra toujours. Le baiser était court mais très agréable, dommage qu'elle se soit reculée pour me dire que je piquais. Je levais les yeux au ciel amusé et je l'attrapais par la taille pour qu'elle ne m'échappe pas. Pour répondre à ta question, je dirais que t'es incroyablement canon, tu me fais beaucoup d'effet et parce que mon corps est tout le temps attiré par le tien. C'est comme si tu étais ma drogue préférée à laquelle je peux rarement toucher, et dès que j'ai ma dose, j'en reveux encore plus et c'est une torture de te résister. déclarai-je alors que mes lèvres étaient proches des siennes. Je glissais une main au creux de ses reins pour qu'elle se colle de nouveau contre moi. Je t'ai toujours désiré, il y a des filles que j'arrive à oublier et d'autres pas. Toi, Palmyr, tu ne m'as jamais laissé indifférent. je me dévoilais rarement comme ça et j'espère qu'elle allait me croire car je disais la stricte vérité. Même si j'ai eu des longues relations, cela ne m'a pas empêché de repenser de temps en temps à Palmyr, un peu comme toutes les filles qui ont comptés dans ma vie sentimentale. Et je pense que j'arrêterai jamais de vouloir te séduire. lançai-je amusé en souriant. Je venais de me livrer à elle, je sais pas si elle comprenait ce que je voulais dire, mais au moins elle savait que j'ai toujours été sous son charme pendant tout ce temps. C'est malsain par rapport à mes ex-copines? Je ne pense pas car j'ai toujours été amoureux d'elles, c'est juste que Palmyr a été le fruit défendu à cause de son frère, et que j'ai jamais réussi à combler ce petit manque. C'est comme un goût de trop peu. Pourquoi tu m'embrasses soudainement? parce qu'on aurait pu s'embrasser hier, ou ce matin.
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— with royce magyar.

Dormir dans ces bras, hahahahaha. Elle est étonnamment bonne. Je ne me rappelais même plus la dernière fois que c’était arrivé et même si l’idée semblait alléchante, c’était aussi bien d’avoir son propre lit pour soi-même. Donc, si Royce était le type de personne qui prend toute la place dans les lits, je m’en chargerais moi-même. Ce qui ressemblerait, en gros, à Royce qui se retrouverait sur le sol. Ou renvoyé sur le divan. Je ne sais pas, je verrais voir lorsque ça va arriver. Si ça arrive. Il était encore trop tôt pour réellement penser à l’heure du sommeil alors que nous étions debout depuis moins de cinq heures. « Comme tout le monde. » Répliquais-je en lui offrant un mince sourire. Tout le monde disent ou font des choses lorsqu’ils sont bourrés. Je ne pouvais pas lui en vouloir de ne pas savoir ce que hop hop voulait dire même que ce n’était pas étonnant. Il n’y avait que Royce qui pouvait sortir un truc comme hop hop pour éviter de dire le mot sexe. Puis, je n’étais pas mieux… Il m’avait suffit d’une soirée à Las Vegas pour ouvrir les cuisses facilement. Non, mais sérieux je n’étais pas fière de moi, d’où la raison pour laquelle l’alcool s’était terminé pour moi. Passons, j’essayais d’oublier cet événement de ma petite existence, c’était bien trop gênant. Du coup, je passais les mains sur les joues après l’avoir embrassé et m’être fait poignarder par sa petite barbe de quelques jours. Bon, j’exagérais, mais quand même ce n’était habituel. « J’espère que je suis une drogue douce. » Je me moquais et après réflexion, j’avais l’impression que ce n’était pas le moment. Je connaissais Royce et je savais qu’il n’était pas du type à faire des confidences et l’entendre se confier, c’était une première pour moi. « Au cas où, tu ne le savais pas, mais toi non plus. La preuve : je t’ai demandé d’être mon premier. » Quelque part, je devais bien être sous son charme pour oser lui demander ça alors qu’il était ami avec mon frère. C’est une ligne à ne pas franchir dans les codes d’amitié masculine. Bros before hoes, ou quelque chose dans ce genre-là. D’ailleurs, je me demandais souvent pour quelle raison il avait accepté. Mais je ne regrettais pas que ce soit lui mon premier. Au moins, je le connaissais légèrement. Un frisson me parcourait le corps lorsque je sentis sa main glisser au creux de mes reins. « Pourquoi toi tu ne l’as pas fait avant ? » Répondre à une question par une autre question n’est pas mon genre, mais là c’était plus fort que moi. « Et parce que j’en avais envie. » Ah vive les États-Unis et d’avoir la chance d’être libre de faire ce qu’on voulait.

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Palmyr et sa douce compagnie. Je l'adorais, autant elle que sa présence, que sa joie de vivre. Je l'ai jamais vu se plaindre, je l'ai jamais vu piquer une crise de jalousie ou une crise de nerfs. Cette meuf était juste parfaite. Franchement, avoir une copine qui ne râle jamais et qui sourit tout le temps, ça serait vraiment le pied. Je pense que j'idéalisais la femme parfaite à Palmyr. C'était normal ça? Aucune idée, je m'en fous, je laissais mes pensées germer dans ma tête. Il y a juste un truc que je n'ai jamais vu concernant la miss, c'est de la voir complètement bourrée, comme je l'avais été hier. Bizarre. Elle ne parle jamais d'alcool, alors que moi, j'adorais ça. J'étais capable de parler whisky et ricard toute la journée jusqu'au petit matin. J'affichais une mine adorable lorsqu'elle disait vouloir être une drogue douce. C'était bien plus que ça ma belle, mais je vais arrêter de l'effrayer avec mes aveux je crois. Mes joues étaient même devenues rouges. C'est vrai. D'ailleurs t'es la seule fille qui a osé me demander ça. lançai-je amusé en me rapprochant un peu plus d'elle. Vous en connaissez beaucoup des filles qui vont demander à tel mec d'être leur première fois? C'était étonnant venant de la miss, car elle était une gentille quincy, et si on ne la connait pas, certains pourraient penser qu'elle est pure et chaste. J'adorais notre proximité, mais j'avais pas encore osé lui rendre son baiser, même si ce n'était pas l'envie qui me manquait. J'avais soudainement une petite boule au ventre et je passais le bout de mes doigts sur sa joue gauche pour qu'elle ne quitte pas son regard du mien. J'ai trop envie, tu ne t'imagines même pas. Mais... tu n'as pas l'air d'être au courant des dernières nouvelles dans mon couple. Euh, enfin, dans mon ancienne relation. Je ne sais pas si tu t'en fous de Leevy, mais si tu m'embrasses alors que tu pensais qu'on était toujours ensemble, et bien... ça me fait flipper. Car ça veut dire qu'on était probablement destiné à quand même s'embrasser même si j'étais toujours avec elle. dis-je alors que je ressentais un pincement au coeur. Je suis sous le charme de Palmyr, je peux pas lui résister, et elle le sait très bien. Je ne suis pas en train de l'accuser de quoi que ce soit, je voulais juste éclaircir les choses. Tout le monde n'était pas obligé de savoir la vie de Roylee et je pense que Palmyr s'en fout complètement. Tu ne trouves pas ça un peu bizarre? je déglutissais et je priais pour qu'elle me répondre. J'avais pas du tout envie de parler de ma rupture mais à partir du moment où elle m'embrasse, il le fallait. Bon ok, c'est aussi ma faute car je la dragouillais depuis ce matin.
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— with royce magyar.

« Oui parce qu’avec les autres, tu n’étais pas ami avec leur grand frère. » Et aussi parce que j’étais un peu folle dans ce temps-là. Mais ça va, je me soigne depuis. Non, sérieusement, j’étais convaincue qu’il se serait essayé sur moi s’il n’y avait pas eu Caleb entre nous. Peut-être que je me trompais, mais je ne le croyais pas. « Avec votre bro code. » Je prononce ces mots entre guillemets et en roulant des yeux. Je sais que c’est un truc qui existe réellement tout comme le code des filles, mais parfois je trouve que c’est ridicule. Ou pas. Si j’y réfléchis bien, je n’aimerais pas que mes copines se tapent mon grand-frère. C’est bizarre. J’en ai un frisson de dégoût rien que d’y penser. Si jamais c’est déjà arrivé, je préférais l’ignorer. Franchement. Après, je serais incapable de regarder ma copine de la même façon. Du coup, ouais, je pouvais maintenant mieux comprendre la réaction de Caleb. Pour mon bien-être mental, je ne voulais pas savoir avec quelles copines Walter avait fricoté. S’il l’avait fait comme l’excellent frère qu’il est. Bref. J’étais choquée de la réponse de Royce, n’ayant pas réfléchit à la question du est-ce qu’il a une petite-amie ? J’étais bête, j’avais l’impression d’avoir commis une erreur. Si vous vous demandiez pour quelles raisons je ne prends jamais les devants, eh bien vous avez maintenant votre réponse. Je ne m’intéressais que très rarement à la vie amoureuse des gens sauf à l’exception de mon cercle fermé. Je secouais la tête et regardait dans le vide, réfléchissant. « Je-je n’ai pas réfléchi. Je suis désolée… » Typique de moi de m’excuser pour un truc dont j’ignorais la raison. Présenter des excuses était ce que je faisais de mieux, apparemment. Je m’excusais d’absolument tout. J’inspirais profondément en me pinçant les lèvres me sentant complètement ridicule. Ok, d’accord, ils n’étaient plus un couple désormais, mais quand même. Code de filles. « Je ne l’aurais pas fait si j’avais su que tu étais toujours en couple. Je n’oserais jamais embrasser un mec qui est dans une relation, peu importe à quel point le mec me plaît… Ça ne me ressemble pas. » En gros : s’il avait toujours été en couple, je ne l’aurais pas embrassé. Rien de tout ce qui s’était passé depuis les dernières minutes ne seraient arrivées. À contrecœur, je me décollais de Royce et pénétrait davantage dans ma chambre. « Tu m’aurais arrêté, pas vrai ? J’veux dire si t’avais été dans une relation ? » Je voulais qu’il me réponde oui, que ma conscience s’apaise parce que là, elle paniquait.

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Je pense qu'elle se trompe, ça n'a rien à voir avec son frère, selon moi. C'était juste l'effet palmier. Qu'elle avoue que je lui ai tapé dans l'oeil, ça me rendrait tout fou haha. J'ai aimé qu'elle prenne les commandes, qu'elle cède à mes avances, qu'elle m'embrasse et qu'en plus, qu'elle me dise qu'elle en avait vraiment envie. Elle m'épatera toujours. C'est ça que j'aime chez elle. C'est pas le genre de fille qu'il faut titiller pendant des heures pour avoir quelque chose. Palmyr lutte mais au final, elle restera faible devant mes beaux yeux. Mais que dis-je, moi aussi j'étais faible devant elle. Je me mordis la joue à sa réponse. Je venais de la mettre mal à l'aise. J'aurais peut être du me taire, mais ces questions me brûlaient les lèvres depuis qu'elle m'avait embrasser. Arrête, ne t'excuse pas. elle n'a rien fait de mal, c'est moi le con, puis, elle n'était pas obligée de savoir toute ma vie. Est-ce qu'elle est au courant que mon fils est né début septembre? Je ne pense pas. C'est bizarre, on avait une complicité de fou mais pourtant, on savait peu de choses sur l'un et sur l'autre. Me voilà rassuré, je savais que Palmyr était une gentille fille et qu'elle n'aurait rien fait dans le but de foutre mon couple en l'air. Soulagé, je retrouvais le sourire et je m'avançais vers elle puisqu'elle avait décidé de mettre la distance. Non, reviens Palmier. J'hochais la tête. D'accord, je posais juste la question. dis-je un peu mal à l'aise. Et là, évidemment elle me retourna la question. Oh bon sang de bon soir comment j'allais me justifier là? Je me grattais la tête et je regardais le sol.  Euh et bien, ça dépend. En principe oui, évidemment... mais je reste un mec qui n'est pas du tout insensible à ton charme donc je peux pas te certifier à 100% que je t'aurais repoussé. je soupirais, je culpabilisais de dire ça et je me trouvais nul. Putain je suis vraiment un enfoiré en fait. j'ai toujours réussi à m'éloigner des filles qui voulaient me pécho quand j'étais en couple, et je disais clairement à Palmyr qu'avec elle ça aurait été plus compliqué.
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Attendre une réponse de la part de Royce semblait durer depuis une éternité alors que je l’avais seulement posé il y a moins de cinq minutes. C’était peut-être stupide, mais j’avais peur de la réponse qu’il allait me donner. Je stressais, je voulais juste l’entendre me dire qu’il n’était pas du genre à se laisser embrasser alors qu’il était dans une relation. Je voulais qu’il me rassure en me disant qu’il n’était pas un enfoiré. Bon, peut-être qu’au fond de moi-même, je le savais, mais que je ne voulais pas le croire. Lui laisser une chance. Après tout, nos rencontres étaient toujours très brèves. Et nous n’étions pas du genre à parler de nos vies personnelles, peu importe les problèmes qu’on rencontrait. En tout cas, je n’étais pas du genre à me confier facilement. Ma vie personnelle me regardait moi, en premier puis ceux à qui je me confiais. Mes meilleures amies, point final. Celles en qui j’avais une confiance aveugle. Du coup, je voulais donner une chance à Royce. Sauf que c’était tout le contraire qui allait arriver quand je le voyais regarder le sol. Je ne pouvais pas m’empêcher de secouer la tête en fermant les yeux. J’étais déçue, dans un sens. « Attends, t’es sérieusement en train de me dire que tu m’aurais laissé faire ? » Fuuuuuuuuuck. Au moins, il sait que sa réponse lui donnait l’air d’un enfoiré. Je n’avais pas besoin de le lui dire même si je sais, pertinemment, que je ne l’aurais pas fait. Ce n’était pas mon genre de pointé une certaine évidence aux gens ou de les insulter. Sauf Walter parce que lui, il le méritait, au fond. « T’aurais dû mentir, Royce. Je ne voulais pas entendre ça. » J’inspirais profondément, fronçant les sourcils. « Tu sais de quoi j’aurais eu l’air si t’avais été dans une relation pour de vrai ? De la meuf qui essaie d’avoir un mec pas disponible. » Et nous savons tous ce que les gens pensent de ce type de meufs.

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Je crois que j'ai merdé en voulant être sincère. J'aurais pas du lancer ce sujet, j'aurais du lui rendre le baiser et peut être qu'on serait en train de faire quelque chose de beaucoup plus intéressant que ça. Je baissais les yeux car d'un côté j'avais honte de dire ça et non, je ne pouvais pas mentir, ça serait mentir à moi-même et j'ai décidé qu'à partir d'aujourd'hui, j'avais le droit de dire haut et fort tout ce que je pensais. Je... euh, oui. dis-je incertain, le regard perdu. Si ça tombe, je disais ça, mais si le cas se présentait, je l'aurais tout de suite repoussé. C'est juste que je pensais différemment dans la circonstance où j'étais célibataire et que j'avais pas du tout envie de me remettre avec mon ex. J'avais l'impression de me faire engueuler, je détestais cette situation. Je regardais Palmyr en lui faisant un regard désolé mais pas si désolé que ça. Je ne savais pas quoi lui répondre, je pense qu'elle m'en voulait beaucoup. Je soupirais et je fis quelques pas pour venir m'asseoir sur le bord du lit. Je posais mes coudes sur mes genoux et je frottais mon visage. Mais on s'en fout non? Ça n'a plus d'importance. On est libre de faire ce qu'on veut. Je dis des choses que je suis peut être pas capable de faire, on n'en sait rien Palmyr. Au moins, on est sur que ça ne se produira pas, que tu ne passeras pas pour une fille qui veut un mec qui est déjà pris. Car je suis totalement disponible et je suis tout à toi. je fis un mouvement pour attraper sa main histoire qu'elle se place devant moi. Je levais la tête pour la regarder, alors que j'étais plus bas qu'elle puisque j'avais mes fesses sur son lit. Je suis désolé si cette conversation t'as mise mal à l'aise. C'est juste que... depuis que je suis célibataire, les filles viennent plus facilement vers moi et j'avais pas envie que tu soies comme elles. en gros, je voulais qu'elle m'embrasse pour qui j'étais et pas parce que ma meuf m'avait largué et que je cherchais forcément à passer du bon temps avec les filles. Elle comptait pour moi et ça me troublait. Je ne lâchais pas sa main.
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Après réflexion, j’étais contente qu’il ne m’ait pas menti. Me connaissant, je lui en aurais tenu compte et je lui en aurais probablement voulu. Je détestais me faire mentir donc je n’arrivais pas à savoir comment j’avais pu lui dire qu’il aurait dû me mentir. Non, non, c’était une bonne chose qu’il m’ait dit la vérité. « Ouais, ok, t’as raison. Juste, promets-moi de me repousser… Si jamais, ça arrive. » Parce que comme je lui ai dit, je ne voulais pas passer pour la meuf qui couche/embrasse un mec pas disponible. « Que tu sois en couple et que je t’embrasse. Ou que je te fasse des avances. » Même s’il ne savait pas réellement s’il était capable de le faire, je voulais qu’il ne le fasse pas. Je voulais l’entendre me dire que oui, il allait me repousser. Avoir le titre de briseuse de couple ou whatever ne m’inspirait pas du tout. Ne m’intéressait pas non plus. Non, non, je préférerais rester Palmyr, l’Australienne banale. C’était mieux. Donc, maintenant c’était clair. Lorsqu’il prit ma main dans la sienne, je ne retirais pas la mienne et descendais le regard afin de le regarder dans les yeux. Je préférais rester debout pour le moment, j’étais mieux. « Petit a : je t’ai embrassé sans savoir si tu étais célibataire ou pas et petit b : je ne suis pas aussi facile que les filles qui te tournent autour. » En soupirant, je m’agenouillais devant lui et lui souriait. « Intéressant le fait que tu sois tout à moi… » Je lui tirais la langue en riant légèrement.

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J'hochais la tête, je le promettais pas verbalement mais mentalement. Comme ça si ça arrive, j'ai le droit de sortir l'excuse du j'ai pas dit ça. Mais je pense que ça n'arrivera pas car j'ai vraiment plus l'envie d'être en couple. C'est la phase du moment, si ça tombe dans deux semaines j'aurai un nouveau crush et je plongerai tête la première. J'ai besoin de me retrouver un peu seul et j'ai besoin d'avoir cette complicité avec Palmyr car elle était la seule pour l'instant qui arrivait à me changer les idées. C'était si simple avec elle, j'avais l'impression de la connaître depuis que je suis gosse. Deux gamins qui s'attirent, ça fait de belles choses! Des avances elle disait? Je souriais de toutes mes dents. Tu sais, tu peux juste te contrôler aussi. Mais ne t'inquiètes pas, le jour où je suis de nouveau en couple je rase ma chevelure sacrée! pourquoi j'ai lancé ce pari? J'ai cette mauvaise impression de me retrouver avec la boule à zéro un de ces jours. Je prenais sa main, j'étais tactile, rien de plus normal et ça me plaisait. Je n'ai pas dit que tu étais une fille facile. dis-je en entre-ouvrant la bouche alors qu'elle s'agenouillait devant moi. Je la regardais d'un air amusé. Je suis tout à toi si tu es toute à moi. dis-je en haussant mes sourcils d'un regard coquin. C'est assez cucul de parler comme ça, mais ça m'amusait. T'es cap? De me supporter au moins trois nuits par semaine, de faire l'amour qu'avec moi et de faire au moins une soirée où on se bourre la gueule? je riais à ma dernière phrase. Dis comme ça, ça ressemblait à 50 nuances de Grey haha, sauf que c'est Magyar. Et en échange je te fais des crêpes chaque matin que je passe ici. c'était une bonne proposition non. J'écartais mes jambes pour qu'elle puisse se faufiler plus contre moi et je passais mon pouce sur sa joue.
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Je ne pouvais pas m'empêcher d'éclater de rire quand je l'entends me dire que je peux me contrôler. On est d'accord pour dire qu'il devrait être celui qui se contrôle. « Je me contrôlerais tant que tu ne me fais pas des avances. Mais si tu rases tes cheveux, ça fonctionnera. » À mon avis, il était au courant de ma faiblesse à son égard. Je lui disais en passant une main dans ses cheveux, malgré que je sois à genoux. J'avais toujours préférée les hommes avec des cheveux et une boule de quille, c'était un turn-off. Non, Royce était mieux avec des cheveux, j'avais de la difficulté à l'imaginer la boule à zéro. « Pour le moment, je peux être toute à toi. » Ça me faisait bizarre de l'entendre dire un truc dans ce genre-là. Je crois que c'était la première fois. Puis, je faisais mine de réfléchir à son idée, un œil fermé et l'autre qui regardait vers le bas. « Te faire l'amour à toi juste quand tu dors avec moi ? Ou je dois m’abstenir quand t'es pas là ? » J'étais prête à l'accepter trois nuits par semaine et à lui faire l'amour, mais pour l'alcool je n'étais pas certaine. « Si je refuse pour le bourrage de gueule, j'ai toujours droit aux crêpes chaque matin ? » J'appréciais son doigt sur ma joue en fermant les yeux et je me faufilais davantage entre les cuisses de Royce. Je relevais le regard vers son visage et je me mordillais, de nouveau, le coin de ma lèvre inférieure. Maintenant, qu'il a parlé de crêpe, je me souviens qu'il y a parlé tout à l'heure. Donc, je me relevais doucement et pris place, à califourchon, sur lui. « J'attends toujours les crêpes que tu as proposé tout à l'heure ! » Mise en scène pour seulement lui dire ça, check.

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