Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityPalmyr ⊹ I'm so drunk, I can't even explain how I feel right now - Page 2
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Palmyr ⊹ I'm so drunk, I can't even explain how I feel right now

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Merci Palmyr, merci d'avoir des copines aussi cool pour me ramasser en mode vieux déchet en sécurité. Faut dire que je me suis réveillé dans des toilettes publiques avant de tomber sur elle, ça elle ne savait pas. J'ai cassé plein de trucs sur le sol, je me sens mal rien que pour ça, je manquais de respect aux propriétaires des objets et en plus de ça, je salissais leurs toilettes. J'ai essayé de dire à Palmyr que j'étais désolé mais je ne trouvais pas d'air pour parler, ma respiration se bloqua et tout à coup, je vomissais. Bref, je vais pas vous faire un dessin, mais qu'est-ce que je me sentais mieux. Après cinq minutes à me vider comme un ivrogne, je prenais du papier pour essuyer ma bouche et je finis par trouver le bouton pour tirer la chasse. La quincy était de retour et elle me donna un verre d'eau. C'est trop gentil. Merci. dis-je faiblement alors que j'en buvais des petites gorgées, car perso, je ne savais plus rien avaler là. Je souris bêtement à sa question en lui rendant le verre qui n'avait pas beaucoup changé de niveau. J'ai pas besoin d'aide. J'sais me gérer tout seul. j'étais pas crédible du tout mais c'était la seule chose que je ne supportais pas entendre, ou qu'on me dise. Royce t'as besoin d'aide, tu ne sais pas te canaliser tout seul. Allez vous faire foutre tous ceux qui disent ça. J'affichais une énième petite grimace et je me levais en me tenant contre le mur pour me regarder dans le miroir. J'suis pas fou. pensai-je tout haut. J'essayais de me convaincre d'être un mec totalement normal, loin de ma bipolarité, mais cette maladie m'avait rattrapé lorsque j'avais piqué une crise psychotique le jour de ma rupture avec Leevy. Du coup, j'y repensais et ça me foutait mal. Alcool triste bonsoir. Merde, je pense que j'étais en train de pleurer là, tellement dégoûté de voir mon reflet.
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— with royce magyar.

Maintenant que c’est passé, il semble aller mieux. Enfin, mieux est un bien grand mot. Il y a toujours des chances qu’il retourne au-dessus de la cuvette dans cinq minutes. Je ne sais pas, n’étant pas l’experte des beuveries de son genre. D’ailleurs, la dernière fois m’a suffit amplement. Je reprends le verre en lui souriant après m’être relevée et je patiente. J’attends qu’il me donne une réponse à la question que je lui ai posée. Sa réponse me donne l’impression d’une attaque alors que mes sourcils sont de nouveau froncés. « Ok, si tu le dis. » Est ma réponse comme je ne veux pas insister même si dans un sens je devrais. J’aurais aimé le voir le lendemain si je n’étais pas intervenue tout à l’heure. J’hausse les épaules en déposant le verre sur l’étagère sur laquelle Royce s’était prise en pleine tête. Je m’apprêtai à nettoyer le bordel qu’il avait fait, mais ce qu’il dit m’arrête. Carrément. Ça me prend au dépourvu et j’essaie de comprendre pourquoi il dit ça. « Je-je n’ai pas dit que tu étais fou. » Ni même penser, mais je crois qu’en fait ça ne fait aucune différence. Qu’il a dit ces mots en pensant à voix-haute et que bah, je n’étais supposée les entendre. J’ose lui prendre la main et la serrer dans la mienne. « Royce ? T’es certain que ça va ? » Demandais-je en gardant une bonne distance pour ne pas trop être dans sa bulle.Ça ne donne qu’une envie lorsqu’une personne est dans son état et c’est le prendre dans tes bras pour le réconforter. « Est-ce que tu veux t’allonger ? » Je demande en pensant que peut-être qu’une bonne nuit de sommeil lui ferait du bien même s’il est près de trois heures du matin. Ou même que s’allonger lui ferait du bien, je ne sais pas.

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Je n'étais pas dans mon état normal, même après avoir vomis tout ce que j'avais dans l'estomac, j'étais toujours aussi mal dans ma tête. C'était la guerre. Cela devait faire combien de jours que j'ai pas pris mes médicaments, mes anti-dépresseurs? Une semaine je pense. Palmyr ignorait tout ça, donc ouais, elle avait de quoi flipper. C'est en partie pour ça que je disais que j'avais pas besoin de l'aide de personne. Je voulais me gérer sans médications à vie, vivre normalement, mais c'était clairement impossible. Je suis un rebelle, je veux m'en sortir seul et je garde espoir qu'un jour je guérirai et je n'aurais plus ses chutes émotionnelles. L'alcool ne m'aidait pas, surtout ce soir. Je sursautais lorsqu'elle attrapa ma main et je la serrais très fort comme si j'allais lui broyer les doigts. Elle me posait des questions mais je me concentrais juste sur la tête de con que j'avais en face de moi. Soudainement, je relâchais sa main et je passais le bout de mes doigts sur mon front comme si je réfléchissais. Désolé je... oui. je vais m'allonger, ça pourra peut être m'aider à me détendre. Je me retournais vers elle alors que j'entendais de plus en plus mes battements de coeur. Je t'ai fais mal? Pardon, je sais pas ce qui m'a pris. dis-je tout confus en me mordant la lèvre à sang. Je quittais rapidement la salle de bain et je fouillais mes poches, encore une fois, et je me rendais compte que mes médicaments de secours étaient dans ma voiture qui étaient je ne sais où, sans clés. D'accord, merde, du coup, j'avais vraiment besoin d'elle. Il fallait qu'elle me calme et je détestais être dans cette situation. T'as pas un tranquillisant puissant? Un somnifère? N'importe quoi! je devenais agressif, tout ce que je ne voulais pas. Je passais mes mains derrière la tête et je posais mon front contre le mur de sa chambre en attendant que ça passe.
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— with royce magyar.

Bordeeeel, ma main. J’ai l’impression de l’avoir inséré dans un broyeur, mais ça va avec les secondes la douleur s’estompe. Puis, comparé à la douleur de l’attentat à la bombe, ce n’est rien. Ou même à la douleur d’avoir perdu un être cher. « Non, ça va. » Je lui dis en espérant que ça le réconforte de savoir que ma main va survivre, que je n’ai pas besoin d’être amputé ou que ce n’est vraiment rien. Le moment où une personne te broie une main doit toujours arriver au moins une fois par année. C’était le moment de l’année, le mien et j’étais ok avec ça. Vraiment. Enfin, je le regarde quitter précipitamment la salle de bain, j’avance d’un pas avant de m’arrêter et de le regarder chercher quelque chose. Je profite de ce moment pour nettoyer la salle de bain, oubliant totalement la douleur ressentie dans ma main. Mentalement, je me fais une note de racheter le parfum de Sara et de lui expliquer la situation. J’espère qu’elle va comprendre. C’est là que je réalise qu’elles ne sont pas là. Ni Sara ni Reese. Bordel, elles sont où ? Ma tête se secoue en me disant que je dois me concentrer sur Royce. Un Royce que je ne côtoie pas, habituellement. Et je ne peux m’empêcher de me poser des questions. Il est semble tellement... Différent. Lorsque j’ai terminé dans la salle de bain, je retourne dans ma chambre et j’aperçois Royce. À force de froncer des sourcils, je vais me ramasser avec des rides à l’âge de 21 ans. « Euh, laisse-moi aller vérifier. » Rapidement, je retourne là où j’étais et je vérifie. J’ai du Valium, mais ce n’est pas à moi. Peu importe. Je reviens avec la bouteille dans une main et le verre d’eau dans l’autre. « J’ai trouvé du Valium, ça fonctionne ? » J’ai l’air conne, mais je ne prends pas des médicaments. Excepté lorsque j’ai un mal de crâne ou que j’ai des crampes à cause des menstruations. « Assied-toi sur le lit, Royce, s’il-te-plaît. » J’ai l’impression que c’est davantage une question, qu’un ordre. Ce que j’ai dans les mains se déposent sur la table de chevet et je vais lentement vers Royce pour le conduire jusqu’au lit. Franchement, je n’ai pas envie de le brusquer. En tout cas, lorsqu’il est assis, je lui donne le verre d’eau et la bouteille de Valium parce que je ne sais pas combien il en veut ou combien il en a besoin. Debout devant lui, je patiente.

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Je n'aimais pas me montrer faible dans des moments comme celui-ci. J'suis une mijole, je suis pas un mec, je suis une mauviette qui n'est même pas capable de se canaliser tout seul. J'haussais les épaules lorsque Palmyr me disait qu'elle avait du valium. Je m'en fous, j'étais capable de prendre n'importe quoi pour me sentir mieux, mais là, j'étouffais, j'en pouvais plus. Je serrais mes poings tellement fort que j'en bloquais ma circulation sanguine. J'entendis la voix de la jeune femme m'appeler pour m'étendre sur le lit et je m'exécutais après quelques secondes. Je prenais la boîte de médicament et je peinais à l'ouvrir avec mes mains tremblantes mais pour finir, j'ai réussi. Je ne sais pas combien je dois en prendre, mais peu importe, ça n'allait pas me tuer hein? Je prenais quatre cachets et je les avalais rapidement avec un coup d'eau. Les effets arrivèrent dans la minute et je me sentais complètement détendu. J'arrivais même plus à réfléchir. Je regardais Palmyr pour lui parler mais j'avais même pas la force de prononcer un mot. Puis hop, je fermais mes yeux et je me laissais tomber sur le lit. Je bougeais plus, j'étais inconscient, mais je respirais. J'allais survivre, j'étais juste assommé par la dose de médicaments que j'avais pris. J'allais peut être dormir des jours, des heures, je ne sais pas. Mais quand j'ouvris les yeux, il faisait clair dans la chambre et Palmyr n'était pas là. Je tournais la tête et je devinais qu'elle avait quitté le lit il n'y a pas si longtemps puisque les draps de son côté étaient chiffonnés. J'avais des trous de ma soirée et des flashs qui revenaient. C'était bizarre, j'avais pas le souvenir d'avoir couché avec elle, alors qu'est-ce que je foutais en slip sous sa couette? Je prenais son oreiller et je le serrais fort contre moi, prêt à me rendormir.
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Ok, ouais, le Valium ça fonctionne. Après, ça m’aurait étonnée du contraire parce que bon, mine de rien, il en a avalé quatre. Enfin, à mes yeux c’est beaucoup sauf que moi je ne suis pas l’experte des médicaments et que je n’étudie pas en médecine ou peu importe. Au moins, il semble moins énervé et beaucoup plus détendu, ce qui était une bonne chose. Je laisse échapper un soupir de soulagement en voyant qu’il respirait et qu’il était à deux doigts de tomber dans les bras de Morphée. Du sommeil, ça lui fera du bien, c’est certain. Ça fait du bien à tout le monde. Du coup, je quitte ma chambre, va remettre la bouteille de Valium à sa place et je retourne dans la pièce où Royce dort. Je fais une légère moue de dégoût en voyant qu’il est endormi dans mon lit avec ces vêtements qui ne sont pas très propres, j’en suis certaine. Alors, je m’occupe de lui retirer tout ça et je m’allonge de l’autre côté après m’avoir changé. Hors de question que je dorme avec une robe. Tout ce que je sais à mon réveil est qu’il est trop tôt et que je n’ai pas assez d’heures de sommeil. J’en prendrais encore quatre voir même cinq, mais à la place de me recoucher je me lève. Je suis incapable de me rendormir après m’être réveillé. « Bon matin, princesse ! Comment tu te sens ? » Même s’il a les yeux fermés, on voit bien qu’il ne dort pas. Et je ne suis pas stupide, mais très observatrice alors je remarque ce genre de détails. « Et ne t’inquiète pas, je ne t’ai pas violé. Tes vêtements sont dans la sécheuse. » Parce que je suis une bonne personne, je l’ai ramené chez moi, je me suis occupée de lui et maintenant j’ai lavé les vêtements qu’il portait. Je devrais avoir un prix Nobel pour la gentillesse, sérieusement. « T’as soif ? » Allez, on y va pour une seconde question. On est bien parti.

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Woaw, pourquoi je me réveillais dans des draps qui sentaient bon? Je pensais que j'allais me réveiller dans ma voiture car je n'aurais pas été capable de me conduire jusqu'à la Winthrop House. Je m'étendais de tout mon long dans le lit et j'ouvris grand mes yeux lorsque j'entendis Palmyr revenir vers moi. Même le matin elle restait belle. Je baillais comme un bébé chien puis je frottais les yeux pour émerger. Assez confus. dis-je en haussant les épaules. J'ai plus trop de souvenirs de la soirée et c'était assez problématique. Je levais un sourcil lorsqu'elle m'annonça qu'elle avait nettoyé mes vêtements. Ah oui? Je ne savais pas quoi dire. C'était tout de même plus agréable de dormir sans ses vêtements sales de la soirée. Je souriais tendrement. T'as oublié de laver mon slip. j'étais obliger de la taquiner dès le matin, ça voulait dire que j'allais bien, que la journée allait bien se dérouler. Palmyr avait quelque chose de magique, car dès que j'étais avec elle, je me sentais bien, je devais juste la regarder pour me sentir en sécurité. C'est con, mais c'est important pour moi. A boire! Euh, t'as du whisky? Je retirais le drap de mon corps et je me levais pour aller dans la salle de bain. Elle me disait à boire, directement, je pensais à de l'alcool moi. Je peux prendre une brosse à dent? demandai-je alors que j'étais déjà entrain de mettre du dentifrice sur une brosse que je venais de voler. Non je suis pas gêné moi mais j'avais envie de nettoyer ma bouche et d'avoir du frais. Je me brossais donc les dents énergiquement alors que j'essayais de voir comment la douche fonctionnait. Tant que j'étais là, j'allais prendre une petite douche, Palmyr ne serait pas contre je pense.
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Pourquoi je ne suis pas étonnée qu’il me réponde assez confus ? À mon avis, il n’a pas gardé beaucoup de souvenirs de cette nuit. La question qui se pose est la suivante : est-ce que je lui dis tout ce qu’il a fait ? Bon, seulement à partir du moment où j’étais présente parce qu’avant j’ignorais tout. Enfin, il avait l’air d’aller mieux maintenant qu’il avait répondu un truc drôle. J’ai quelques éclats de rire, ne possédant pas une réponse adéquate. « C’était déjà gênant de te déshabiller alors que t’étais endormi, te retirer ton caleçon, non merci. » C’est une limite que je ne franchis pas tant qu’on ne me le demande pas. Et je trouve ça bizarre de retirer le slip d’un mec pendant qu’il est endormi, ça fait pervers. « Si on y allait pour du jus d’orange ? » C’est un petit comique Royce. Il est drôle, vraiment, de vouloir boire de l’alcool à cette heure. De toute manière, j’ai vérifié et nous n’avons pas de Whiskey ici. C’est malheureux, très malheureux. Et le jus d’orange, c’est bien après avoir bu comme lui… Enfin, je crois n’étant pas du tout l’experte des lendemains de veille. J’ai l’air d’une fille qui boit tous les soirs ? Si regarder Netflix est une addiction alors ouais, je suis une alcoolique de Netflix. « Ouais, mais attends… » J’arrive trop tard, il a déjà une brosse à dent dans sa bouche. Ouf, ce n’est pas la mienne, mais celle de Reese. Deuxième note mentale : racheter une brosse à dent à Reese. Franchement, il faut qu’il lâche les trucs de mes colocataires. Après le parfum de Sara, il s’attaque à un effet de Reese, génial. « L’eau chaude et l’eau froide. Tu as les serviettes là, tu prends le savon qui est là J’indique de manière précise le savon Dove sur le support qui m’appartient. Tu peux utiliser une débarbouillette qu’il y a juste ici. Tes vêtements seront sur mon lit à ta sortie. Bon nettoyage. » Je lui fais un sourire moqueur et je sors de la salle de bain. « Et non, je ne veux pas t’entendre me dire de te rejoindre. » Je prononce lorsque je suis sortie de la pièce. Prendre une douche lui fera du bien, j’en suis convaincue et du coup je vais chercher ces vêtements que je vais déposer sur mon lit. Pour ma part, je retourne à la cuisine, terminer le bol de céréales qui git là depuis quelques minutes.

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Je souris à sa répartie. Elle était trop mignonne à dire ça. C'est vrai que si je m'étais réveillé à poil ou pendant qu'elle retirait mon boxer, je me serais posé des questions haha. Mais je pense pas que ça m'aurait dérangé. Oh ça va, c'est pas comme si t'avais jamais vu ma marchandise. plaisantai-je comme un con. Oui Royce, t'es con. Je faisais un petit non de la tête, pas de jus d'orange, j'avais l'estomac encore fragile donc rien d'acide s'il vous plait. Pendant que je me brossais les dents, Palmyr me montra l'eau chaude et l'eau froide de la douche et je retenais rapidement. C'était vraiment une salle de bain de gonzesse, y'avait des trucs partout. Je rinçais ma bouche et lorsque je relevais la tête, Palmyr venait déjà de prendre la porte. J'étais un peu déçu d'entendre qu'elle ne voulait pas me rejoindre et j'affichais une petite mine triste. J'ai même pas le droit à un peu de tendresse ou d'affection? C'est trop demandé? tant pis, elle était déjà partie. Je me foutais sous l'eau pour me laver -évidemment- et après quelques minutes, j'étais déjà tout propre de la tête aux pieds. J'enroulais une serviette autour de ma taille puisque je n'allais pas remettre mon ancien boxer et je me baladais dans la chambre et observant le linge propre qu'elle avait posé sur le lit. Je souriais. C'était adorable, on dirait une petite maman qui prenait soin de moi. J'entendis du bruit puis loin et je me retrouvais dans la cuisine où elle était assise en train de manger ses céréales. Je peux goûter? lui demandai-je avant de prendre son bol en main et d'en manger quelques cuillères. J'avais l'air d'un homme pas tout net à me balader en serviette dans la cuisine avec des céréales dans la bouche. Je lui rendis son bol et je la regardais de mon air le plus dragueur possible. Tu sais que t'es sexy comme ça. elle m'a jamais laissé insensible et j'avais envie de lui faire partager ma pensée, qui cachait plein d'autres pensée évidemment.
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— with royce magyar.

Tout ce temps loin de mes céréales fait qu’elles ont ramollies. Pas juste un peu, non, plus qu’un peu. J’ai l’impression d’avaler de la purée. Pour bébé. C’est bizarre et le temps des purées pour bébé est terminé depuis longtemps. Même de là, je peux l’entendre me demander si ce n’était pas trop demandé le fait qu’il veuille un peu d’affection. Je ne peux pas m’empêcher de rouler des yeux, pas du tout surprise de l’entendre me poser ces questions. C’est Royce dont on parle, okay ? Il est mignon, ouais, mais c’est un charmeur. Enfin bref, je jette la purée qu’il y a dans mon bol et je m’en sers un nouveau pour ensuite m’installer sur le comptoir. Les chaises ne sont pas pour moi. Je préfère être en hauteur et laisser mes pieds dans vide. Du coin de l’œil, je le vois s’approcher de moi, encore avec sa serviette autour de la taille. C’est la deuxième fois en moins d’une année que je le vois en serviette ou même à une couche d’être à poil devant moi. Ce n’est pas désagréable pour les yeux, pour être honnête. Je vais pour répondre que non, il peut ne pas goûter, mais il ne m’en laisse pas le temps. J’arque les sourcils lorsque Royce me retire mon bol pour en prendre des bouchées. Je ne suis pas du tout offusquée par son geste, mais surprise. D’accord, je peux comprendre qu’il a faim, mais ouais c’était mon bol et il aurait du attendre une réponse de ma part. Lorsqu’il me rend mon bol, je le regarde et je constate qu’il est presque vide et je fais une moue de tristesse. Bah ouais, forcément. Il ne reste plus que quelques bouchées. M’enfin, ça ne m’empêche pas de le terminer. J’avale avec difficulté quand il me dit que je suis sexy comme ça. J’ai envie de rire à mort. À la place, je secoue la tête avec quelques éclats de rire. « Quoi ? Tu as besoin de lunettes parce que c’est faux. » J’ai rien de sexy avec les cheveux ébouriffés comme ça, la fatigue carrément visible sur le visage.. Non, non, il est aveugle. « Ça va devenir une habitude de te promener en serviette en ma présence ? » Comme j’ai dis, ce n’est pas désagréable. Pour moi, je ne sais pas pour mes colocataires. Quoique je ne sache pas trop s’il le ferait. Se promener en simple serviette autour de la taille alors que Sara et Reese sont ici.

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