Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibility(FF) Je ne peux plus de cette situation ♣ Joam - Page 3
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(FF) Je ne peux plus de cette situation ♣ Joam

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J'ai envie de rentrer avec elle, à la Cabot House pour pouvoir être avec elle, tenter d'apaisser les choses, tenter de recoller les morceaux entre nous deux. Parce que je le vois bien que rien n'est plus pareil depuis que j'ai appris pour sa rechute. On a pas refait l'amour depuis, et j'ai l'impression juste qu'on détruit notre couple. Elle est autant fative que moi. Peut être que pour elle, je suis le seul à rendre cette situation pareil, mais ce n'est pas le cas. Une fois dans sa chambre, elle vient à préparer son sac pour emmener certainement à l'hôpital, alors je la laisse faire, m'asseyant sur son lit, attendant juste qu'elle termine. Elle part dans la salle de bain pour rassembler ses affaires. " J'en ai marre... " Oui clairement j'en peux plus de cette situation. " J'en ai marre de cette situation Joey... Je t'aime et ça me tue de ne plus rien partager avec toi... Je sais que c'est de ma faute, mais c'est aussi de la tienne... Si on pourrait juste mettre ça de côté pour passer une journée rien que tous les deux comme avant ? " Je m'étais levé en disant ça, m'approchant alors d'elle pour entourer sa taille de mes bras.
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Je me mure dans le silence et Priam en fait de même de son côté. Il me laisse terminer mes affaires mais quand je vais m'enfuir dans la salle de bains, il vient rapidement me rejoindre entourant ma taille de ses bras et lâchant tout ce qu'il y a à lâcher. Il en a marre, marre de cette situation, marre de cette ambiance entre nous. Je suis bien d'accord avec lui et mon corps en manque du sien vient parcourir les derniers centimètres qu'il faut pour se coller à lui. Je ne dis rien, je me contente de passer mes mains dans sa nuque et m'approcher de lui, approcher ma bouche de la sienne, fermer les yeux, profiter de cet instant, cet instant où il vient vers moi, où il réclame ce contact alors que depuis qu'il sait que je suis malade à nouveau j'ai eu l'impression qu'il ne me désirait plus. Mes lèvres finissent par trouver les siennes et je l'embrasse tendrement, doucement, presque timidement comme si c'était la première fois, comme si on avait oublié cette sensation. " Je t'aime Priam... " Une larme perle le long de ma joue, c'est plus fort que moi, retrouver ses bras c'est tellement bon. Simple mais bon.
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Oui j'en ai marre de cette ambiance entre nous deux, de ce froid qu'il y a, et je ne peux pas rester plus longtemps comme ça. Alors je fais le premier pas en allant vers elle, en la rejoignant dans la salle de bain. Oui j'ai envie de passer une journée rien qu'avec elle, comme on le faisait si facilement avant que je ne sois au courant. je l'entoure de mes bras, alors qu'elle se colle entièrement à moi. Je prolonge son baiser de la même manière, alors que une de mes mains remontent dans son dos, et je m'accroche à elle. Je sers son haut entre mes doigts, profitant juste de ce baiser. Je souris en entendant ses paroles, mais mon regard redevient inquiet quand je vois la larme couler le long de sa joue. " Hé... pleure pas ma puce... Je t'aime aussi, à un point... " Je passe ma main contre sa joue pour essuyer sa larme. Je la regarde alors que je retourne l'embrasser tendrement.
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Je suis juste heureuse de retrouver sa douceur, de retrouver le contact de sa peau et mes yeux ne tardent pas d'exprimer leur émotion. Il vient à essuyer cette larme d'un revers de main et ma tête cherche à se lover plus longtemps contre sa paume. Ses lèvres retrouvent les miennes et mes mains montent dans ses cheveux que je serre doucement, pas pour lui faire mal. Quand il m'embrasse à nouveau, je retiens sa lèvre inférieure entre les miennes, puis notre baiser devient plus fougueux. Cela fait un moment qu'on en a pas échangé des comme ça, juste avant que les médecins n'entrent dans la chambre en fait. " Je veux pas te perdre à cause de la maladie... " Je veux qu'il arrête de s'en faire, qu'il ne voit pas la maladie quand il me regarde, qu'il me désire comme au début, comme avant que la maladie refasse surface. Je glisse ma tête dans le creux de son cou et je finis par lui demander : " Fais moi l'amour... " Je veux être à lui, rien qu'à lui, comme il savait si bien le faire avant, il n'a pas oublié quand même ?
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Oui ça me fait du bien de retrouver Joey de cette manière. Je l'aime, et ça me tuait cette situation. J'ai l'impression qu'on perdait ce que nous avions ensemble, cette complicité entre nous deux. " Si tu ne me mets pas de côté, tu me perdras pas Joey... " Je veux pas qu'elle fasse comme avec Jasper à l'époque. Je veux pouvoir passer mes soirées avec elle quand elle sera à l'hôpital, voir mes nuits à ses côtés. Je veux l'accompagner jusqu'au bout. Et on verra bien comment tout cela se passera. Je m'accroche à elle, je m'accroche à son haut, alors que je l'entends me demander de lui faire l'amour. " Quand tu veux... " Je souris contre ses lèvres alors que je reprends le baiser avec fougue. Mes mains descendent sur ses fesses pour pouvoir la soulever et faire en sorte qu'elle enroule ses jambes autour de moi, pour pouvoir retourner dans la chambre et la faire s'allonger dessus, alors que je m'allonge sur elle. " Ca devient banale la chambre... " Chuchotais-je contre ses lèvres.
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" Il faut qu'on travaille là dessus tous les deux. " Il veut être là mais il a peur, je ne supporte pas cette peur, j'ai déjà la mienne à canaliser je ne veux pas avoir celle de Priam à gérer en plus, je veux qu'il se gère, qu'il soit là sans être un "poids" même si le mot est beaucoup trop dur sauf qu'il n'y a pas de mot adapté. Le jeune homme vint à passer ses mains sous mes cuisses et me ramener vers la chambre pour m'allonger sur le lit. Sa phrase me fait rire. " A toi d'en faire un moment pas commun. " Mon regard taquin croise le mien, je l'embrasse à nouveau et mes mains passent sous son tee shirt pour sentir son corps chaud sous mes paumes. Ca fait du bien, j'ai l'impression que ça fait une éternité que je ne l'ai pas senti, que je n'ai pas eu envie de le sentir parce qu'il faut dire ce qu'il en est, le froid s'est installé entre nous deux dans nos esprits mais aussi entre nos deux corps ces derniers temps, la preuve que même si nous sommes un peu foufou au lit, il n'y a pas que cela qui tient nos sentiments.

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Oui on allait devoir travailler là dessus tous les deux. Même si j'ai peur, j'allais essayer de la mettre de côté pour pouvoir la réconforter et prendre soin d'elle. Je n'ai pas envie de la perdre à cause de mon comportement, mais elle allait devoir faire des efforts aussi. On a tous les deux des efforts à faire je pense. Bref, je chasse ses pensées, pour ne penser qu'à elle et à ce qu'on va de nouveau partager. Je l'allonge sur le lit, et moi aussi. Oui elle peut compter sur moi pour rendre ce moment pas commum. Je sens ses mains sous mon tee shirt et rien qu'à ce contact, je frissonne. Mon envie apparaît bien rapidement, et je me débarasse de son haut. J'en fais de même avec le mien, que j'envoie un peu plus loin. J'ai envie de sentir sa peau contre la mienne et c'est ce que je fais. Sur le coup, je soupire de plaisir contre ses lèvres. Ca m'avait terriblement manqué.
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Mon tee shirt et celui de Priam volèrent dans la pièce et je ne tardais pas de courber mon corps pour être un peu plus contre le sien, pour le sentir respirer, bouger, frissonner tout contre moi. L'une de ses mains se posent dans le creux de mes reins et mes ongles s'enfoncent dans son épaule. J'ai envie de lui, vraiment. Je l'embrasse sur la bouche, sur la joue, dans le cou, je suis incapable de descendre plus bas car il est sur moi et je veux profiter de lui, de ce qu'il va faire pour rendre le lit un peu moins normal. Mes yeux se plantent dans les siens quand je remonte vers son visage et un sourire se dessine sur mon visage. Alors que je sens un peu d'hésitation dans son regard je finis par lui demander en rigolant : " T'as peur ? Tu sais plus comment on fait mon coeur ? " Je le taquine, j'ai envie qu'on prenne notre temps, qu'on fasse ça bien, qu'on se donne du plaisir, qu'on prenne du plaisir, doucement mais surement.
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