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Catastrophe ambulante • JOAM

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Priam file de la chambre à une vitesse folle quand je lui dis que son idée pourrait me plaire. Il revient quelques minutes plus tard, changé et le sourire aux lèvres. J'éclate de rire, on dirait qu'il est nu comme un ver sous la blouse qu'il a trouvé. Il s'approche de moi je dépose le bras qui ne me fait pas souffrir sur son épaule, ma main se dirigeant directement dans ses cheveux pour approcher son visage du mien. « Docteur, comment est ce que les médecins vont faire pour me soigner avec cette porte close et fermée à clé ? » Est ce qu'on va vraiment faire cela ici ? C'est excitant comme lieu mais aussi le contexte avec un médecin qui peut revenir à tout moment pour tenter d'ouvrir la porte. « Je crois que vous allez devoir vous dépêchez de prodiguer votre remède miracle... » Ma main se baisse pour aller déboutonner le premier bouton de la blouse alors que mes dents viennent mordiller sa lèvre inférieure.
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Je ne porte que mon boxer en dessous de la blouse que j'ai emprunté à un médecin. Je retourne dans la chambre, fermant la porte à clef derrière moi. Au moins on ne sera pas dérangé pas d'éventuelle infirmière. C'est bon Joey va bien, elle a juste mal à son bras, mais je ne compte pas lui faire encore plus de mal. " Je suis là pour vous soigner... " Je souris alors qu'elle s'est collé à moi, et je sens sa main déboutoner le premier bouton de ma blouse, mais je me recule, en secouant la tête. " Va déjà falloir que vous retourniez vous asseoir mademoiselle.. " Ca fait drôle de la vouvoyer pour le coup, mais c'est plaisir aussi. Je me mets face à elle, et je déboutonne lentement les boutons de ma blouse, au rythme d'une musique imaginaire, alors que je me déhanche légèrement. Un strip tease en blouse, c'est pas mal. Les boutons se retirent rapidement, et j'ouvre la blouse, ne me laissant qu'en boxer, alors que je fais glisser la blouse le long de mes bras. " Le spectacle vous plais... " Demandais-je alors que je me mets dos à elle, descendant mes mains sur mes fesses pour pouvoir faire descendre mon boxer légèrement.
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Mon petit ami est à fond. Il est dans son rôle de médecin et s'amuse avec sa blouse. Je n'ai pas le droit de la toucher, il est le seul à pouvoir le faire et quand je le vois me faire un strip tease j'éclate de rire. Où est passé le Priam que je connais qui est timide et réfléchi ? Je n'en sais rien mais j'adore le voir comme ça, ça change et ça prouve qu'il est bien. C'est pour des moments comme ça, d'insouciance du genre que je suis contente de ne pas lui avoir dit pour ma rechute, qu'est ce que ça change après tout qu'il le sache maintenant ou plus tard ? « Docteur Smith ? Maintenant que vous êtes nu comme un ver j'ai le droit de vous sauter dessus ? Ou je suis simplement censée vous admirer ? » Je le regarde en rigolant puis je me lève du lit doucement en restant à distance de lui. Je fais glisser la blouse qu'ils m'ont fait mettre à mon arrivée le long de mes bras et cela révèle mon corps presque nu. A mon tour de lui faire un strip tease. Je plante mon regard dans le sien et retire mon soutien gorge avec un peu de mal, puis je viens à faire tomber ma culotte à mes pieds. Je le toise du regard, qui de nous deux craquera en premier ?
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C'est sûr que ça ne me ressemble pas de lui faire un strip tease, moi qui suit d'habitude si timide, si réservé, mais avec Joey je me sens libéré. Je me sens mieux. Je me sens tellement bien. Alors je me donne à fond dans ce que je fais. " Je suis tout à vous. " Répondis-je en souriant amusé, alors qu'elle vient à se lever, et elle décide de faire la même chose avec les vêtements qu'elle porte. Je me mords la lèvre inférieure en la regardant. Oui j'ai vraiment une copine canon. Il n'y a pas de doute la dessus, elle est juste parfaite. Elle finit, elle aussi nu comme un ver, et qui de nous deux craquera le premier. Elle ou moi ? Moi, je ne peux pas résister plus longtemps à m'approcher d'elle rapidement, et venir l'embrasser. " Vous me rendez complètement dingue Mademoiselle Montgomery... " Je l'embrasse avec fougue, la faisant reculer vers son lit d'hôpital.
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Il est celui qui craque et ça me tire un sourire, je l'aurais deviné et ça me fait plaisir de voir qu'il est incapable de résister. En fait, je n'aurais pas su résister bien plus longtemps avec les papillons que je ressens dans le bas de mon ventre. Il vient se coller à moi et me fait reculer jusqu'au lit. Doucement à l'aide de mon bras non blessé je m'assoie à nouveau dessus et la phrase qu'il murmure tout contre les lèvres me fait vraiment rire. Son envie est pire qu'une lionne en cage. « Doucement quand même docteur Smith ou vous allez me faire hurler de douleur, pas de plaisir... » Enfin nous étions quand même dans un hôpital, dans une salle d'auscultation alors le but c'était que je sache me contenir pour ne pas faire débarquer tout le monde trop rapidement dans notre chambre d'amour pour l'occasion. Je viens mordiller le lob de son oreille et lui glisser dans un murmure : « Je suis entièrement vôtre docteur... » Mon pied glisse le long de sa jambe, bon on va oublier les éraflures ensanglantées qui sont de partout sur mon corps hein, et juste fermer les yeux pour profiter du moment...
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Oui je craque le premier, parce que je suis incapable de lui résister tout simplement. Elle a un corps trop magnifique pour que je puisse lui résister. On est nu tous les deux, alors je la fais reculer contre son lit d'hôpital doucement, en faisant attention à son bras tout de même. " Je ne veux vous entendre qu'hurler de plaisir Mademoiselle. " Et j'avoue être plutôt doué pour ce genre de choses avec Joey. Mais bon moi aussi je prends mon pied avec elle. Je me glisse entre ses jambes, alors que je l'embrasse tendrement. " J'aime entendre cela... " Je souris contre ses lèvres, alors que je reprends le baiser, tout en me frottant contre elle. Je suis à la bonne hauteur pour pouvoir la pénétrer tout de suite, mais j'ai bien enivie de la faire languir un peu plus. J'ai craqué le premier, et bien elle va devoir attendre encore un peu.
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Je rigole contre ses lèvres, s'il ne me fait mal nul part en faisant ce qu'on va faire, il est vraiment très fort parce que j'ai mal à peu près partout. Il me murmure quelques mots à l'oreille puis vient m'embrasser à nouveau et frotter son intimité contre la mienne sans faire de moi sienne. J'ai le droit au Priam joueur je crois. « Je te jure que si tu me fais envie et qu'on n'a pas le temps de... Je te tue ! » Je suis impatiente, mon ventre se tortille de désir, d'envie mais je ne veux pas lui demander d'arrêter de jouer et de passer aux choses sérieuses, le jeu, le risque de se faire prendre, ça me plait, ça fait monter le plaisir. « Tu me les feras toutes faire toi pas vrai ? » Toutes les bêtises possibles et imaginables, toutes les positions, tous les lieux. « Je vous aime comme une folle docteur Smith ! Vous le saviez ça ? »
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