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∟PLUS ON S'AIME, PLUS ON SE DETESTE ▬ blake

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∟PLUS ON S'AIME, PLUS ON SE DETESTE✗ Au moment où ces mots étaient sorti, je savais que j’avais fait une énorme bêtise, seulement je n’arrivais pas à me sortir de l’esprit qu’il aimait cette fille. La colère, la tristesse m’aveuglaient, pourquoi la malchance c’était telle marié avec moi, pourquoi avais je été choisi pour représenter la peine. Son regard sûr moi me fit froid dans le dos mais nous étions à présent, blessé. L’amour peut nous pousser au pire. « Si c'est une blague elle est de mauvais goût » C’est vrai que j’avais sans doute exagéré, nous n’avions pas été au bout, sans doute parce que je n’étais pas ce genre de fille et qu’Hélias m’avait fait du mal. Je le regarde passant une main dans mes cheveux, je reviens m’asseoir sur le lit, au bord des larmes. « Pourquoi tu me dis ça Arwën ? Pour te venger ? » Je le regardais et je ne pouvais m’empêcher de me souvenirs de tout ce qu’on avait traversé ensemble, de tout ce qu’on s’était promi tous les deux. Je soupirais et je posais ma main sur sa joue avant de la laisser tomber sur le lit. Je sais pas pourquoi, je sais pas, j’ai juste envie de te montrer que moi aussi je peux m’amuser, que je peux te faire du mal.. Est ce que tu sais ce que je ressens à cet seconde, le trou béant qui est dans ma poitrine à savoir que tu es amoureux, que je suis plus la première dans ton coeur. Tu sais ce que c’est Blake ? Heun tu passes ton temps à t’envoyé en l’air et c’est toi qui tombes amoureux, toi ! Pourquoi !? Je m’étais levé de nouveau, laissant les larmes coulé sur mes joues alors que j’étais juste en colère.
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« Je sais pas pourquoi, je sais pas, j’ai juste envie de te montrer que moi aussi je peux m’amuser, que je peux te faire du mal.. Est ce que tu sais ce que je ressens à cet seconde, le trou béant qui est dans ma poitrine à savoir que tu es amoureux, que je suis plus la première dans ton coeur. Tu sais ce que c’est Blake ? Heun tu passes ton temps à t’envoyé en l’air et c’est toi qui tombes amoureux, toi ! Pourquoi !? » me répondit-elle avant de se lever du lit, en proie à la colère. Alors ce qu'elle avait dit était vrai, elle s'était réellement donné à quelqu'un d'autre. Je voyais rouge, cet aveu, ce n'était pas une preuve de sincérité mais ça avait été dit pour me faire du mal, pour que je souffres, pour qu'elle soit moins seule. C'en était trop, j'éclatais : « Peut être que c'est moi qui suis tombé amoureux car je m'ouvre à d'autres personnes, d'autres possibilités ! Tu ne peux pas me blâmer d'aimer quelqu'un d'autre car je ne contrôle rien ! A aucun moment on a signé un contrat précisant qu'on devait être fidèle l'un à l'autre, à aucun moment on ne s'est mis en couple alors vas y, éclaire ma lanterne, pourquoi je devrais m'en vouloir au juste ?! » criais-je. Tout cela était injuste, elle avait couché avec un autre, j'étais tombé amoureux et c'était moi qu'on accusait ? Celui qui avait une réelle excuse ? Je n'avais rien décidé comparé à elle. Sur le coup de la colère je rajoutais une phrase, quelque chose que je n'aurai probablement dû jamais dire : « Au pire couche avec qui tu veux, j'en ai rien à battre. »
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∟PLUS ON S'AIME, PLUS ON SE DETESTE✗ « Peut être que c'est moi qui suis tombé amoureux car je m'ouvre à d'autres personnes, d'autres possibilités ! Tu ne peux pas me blâmer d'aimer quelqu'un d'autre car je ne contrôle rien ! A aucun moment on a signé un contrat précisant qu'on devait être fidèle l'un à l'autre, à aucun moment on ne s'est mis en couple alors vas y, éclaire ma lanterne, pourquoi je devrais m'en vouloir au juste ?! » Volà, c’était le moment tant redouté mais auquels on échappait jamais, ctte dispute ou chacun vidait son sac et tout ce qu’il accumulait. Cette fois ci, c’est moi qui avait été beaucoup trop loin, sans dout parce que l’amour put se montrer cruel, il nous pousse dans nos retranchement, nous pousse à nous attacher et finir par aimer en sachant que l’on finira par se faire du mal. Je le regarde après ces paroles et ça me fait mal, je sais que je suis nul pour aller vers les gens que je sais pas m’exprimer mais j’y peux quoi ?! Il joue sur les points sensible, chacun connait les points faible de l’autre alors c’est comme s’envoyer des couteaux en plein coeur. Parce que je.. Je le regardais et m’arrêtais au bon moment, je pouvais pas lui dire, pas comme ça et puis c’était trop tard autant continuer à se mentir et à jouer cette comédie. « Au pire couche avec qui tu veux, j'en ai rien à battre. » Ces mots firent cesser mon coeur de battre, je le regardais et plus un son ne sortait de ma bouche, je me sentais vide, je le regardais simplement, ma colère ayant quitté mon corps, je me rendais, je posais les armes et le laissait m’abbatre. Il était le seul à pouvoir y parvenir à pouvoir me faire tomber à terre. Comme tu voudras. Perdre cet importance pour lui, c’était le perdre lui, alors la simple réponse qui m’était venue était celle ci.
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« Comme tu voudras. » répondit-elle sans colère dans la voix, sans agacement dans le ton, sans ironie. Elle était sérieuse et quand elle était dans cet état là, elle me faisait peur. Parce que je ne savais pas ce qu'elle pensait, je ne la reconnaissait plus, c'était comme si elle avait abandonné et qu'elle allait prendre au pied de la lettre ce que je lui avais dis. Prenant peur qu'elle se mette à coucher avec n'importe qui pour me faire payer ou par simple désespoir, je relevais la tête vers elle, je ne la regardais ni tendrement, ni avec pitié, je l'observais comme je l'aurai fait avec n'importe quelle autre femme, pensant que, si on faisait des crises à l'autre, c'était sûrement parce que l'on se comportait comme un vieux couple. Et ce jeu avait duré bien trop longtemps. « Arwën.. Il faut qu'on parle, sérieusement, calmement » dis-je le plus simplement du monde, comme si j'en avais l'habitude alors que, d'habitude, j'évitais au maximum les conversations d'adultes. Maintenant, le problème est que j'avais enclenché une sorte de bombe à retardement : si on ne la désamorçait pas alors notre amitié exploserait. Le problème était que je ne savais pas par où commencer. Pourquoi pas des excuses ? « Je suis désolé de t'avoir dit ça comme ça mais je devrais ne rien en avoir à battre, on est juste amis. Je ne suis pas ton père, ton frère ou qui que ce soit d'assez lié à toi pour contrôler tes aventures. » Je me taisais ici pour lui laisser le temps de dire tout ce qu'elle avait sur le cœur, depuis le temps que l'on se cachait des choses, des années de non-dits, il était temps que ça cesse.
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∟PLUS ON S'AIME, PLUS ON SE DETESTE✗ « Arwën.. Il faut qu'on parle, sérieusement, calmement » Ces mots, je les avais redouté depuis un moment déjà, je ne savais pas pourquoi depuis quelques temps, j’avais l’impression que lui et moi, on se perdait. Mais moi je ne savais pas m’exprimer, je ne savais pas comment lui dire ce que mon coeur pouvait ressentir, j’avais toujours eu peur des conséquences que ça pouvait avoir. Je me contentais de m’asseoir en le regardant, sans expression, si ce n’est l’angoisse. Qu’est ce que tu as à dire ? Je préfèrais l’écouter bien que tout ça allait être pire que tout, car je savais qu’il avait des choses que je ne voulais pas entendre. « Je suis désolé de t'avoir dit ça comme ça mais je devrais ne rien en avoir à battre, on est juste amis. Je ne suis pas ton père, ton frère ou qui que ce soit d'assez lié à toi pour contrôler tes aventures. » Wow, la boucle était bouclé, il me disait alors qu’il savait que je n’avais personne d’autre que lui, mes parents étaient mort, je baissais la tête et je ne savais pas quoi dire, après tout je n’avais plus rien à dire, si ce n’est que j’avais toujours voulu que son bonheur, que je ne savais pas comment lui dire, ce que nous ne sachions pas nous dire. Je crois que la seule chose qu’il attendait de moi c’était que je lui dise qu’il pouvait faire ce qu’il voulait, qu’il me devait rien alors je finissais par dire : Tu as raison, je n’ai pas le droit de dire quoi que ce soit, je ne suis personne pour ça. Alors soit heureux, guerrit, devient l’homme que je vois déjà que tu es. Si c’est ton choix, elle, je le respecte Blake, c’est okay.
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« Tu as raison, je n’ai pas le droit de dire quoi que ce soit, je ne suis personne pour ça. Alors soit heureux, guerrit, devient l’homme que je vois déjà que tu es. Si c’est ton choix, elle, je le respecte Blake, c’est okay. » avait-elle lâché comme ça, sans que je m'y attende. A vrai dire, je pensais que l'on allait encore s'engueuler, je m'étais déjà préparé à lui sortir certains arguments comme le fait qu'il nous était impossible de continuer comme ça car l'on se détruisait, mais non. Elle avait accepté mon choix même si j'avais l'impression qu'on s'était mal compris. Je tentais alors de rectifier le tir : « Comment oses-tu dire que je l'ai choisi ? Je n'ai rien décidé du tout figure toi ! Personne ne contrôle ses sentiments. » J'étais énervé, la situation m'échappait, je ne contrôlait rien. Elysia ? Arwën? J'étais perdu, totalement, n'ayant aucune idée de ce qu'il fallait faire car il était bien sûr hors de question que je m'amuse avec elles. Prenant une grande inspiration, je me calmais et lui avouais : « Tu n'es pas personne pour moi, Arwën, t'es même loin d'être personne. Nous deux, on se connaît depuis longtemps et t'es devenue quelqu'un de spéciale pour moi. Tu devais te douter que je t'aimais et t'a rien dis, entre temps Elysia est apparue dans ma vie. » Voilà je l'avais dis, rendant mes sentiments plus réel encore. J'avais avoué à une des deux femmes que je l'aimais mes ces sentiments, ceux que j'avais pour Elysia ne disparaissaient pas, restant aussi puissants que la veille. Plongeant mon visage dans mes mains, je murmurais : « J'en peux plus, Arwën, je suis perdu ».
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∟PLUS ON S'AIME, PLUS ON SE DETESTE✗ « Comment oses-tu dire que je l'ai choisi ? Je n'ai rien décidé du tout figure toi ! Personne ne contrôle ses sentiments. » Pourtant, je me demandais parfois si il n’avait pas fait exprès de prendre une fille qui était mon opposée, une séductrice qui prenait des airs de bimbo et qui prenait plaisir à attirer les hommes dans ses filets. Je soupire parce qu’il s’énerve alors que je fais de mon mieux pour rester calme. Oh je le sais que personne ne contrôle ces sentiments Blake, mais cette fille je la déteste. Les filles comme elle, ça se moque des filles comme moi, ça les rabaisse, les humilies et tu le sais ! J’étais un peu énervée maintenant, en même temps, elle me facilitait pas la vie, je faisais de mon mieux pour lui rendre les coups, mais je manquais de répartie, je débutais dans le milieu des saloperies féminines. « Tu n'es pas personne pour moi, Arwën, t'es même loin d'être personne. Nous deux, on se connaît depuis longtemps et t'es devenue quelqu'un de spéciale pour moi. Tu devais te douter que je t'aimais et t'a rien dis, entre temps Elysia est apparue dans ma vie. » Soudain la bombe est lâchée, il le dit enfin l’un de nous mets les pieds dans le plat et s’exprime, enfin les cartes sont dévoilés, je déglutis parce qu’en réalitée il me mets ça sur le dos, pourquoi moi j’aurais dû dire quelques chose. C’est trop facile ça Blake, tu le sais aussi. Je t’aime et j’ai pas arrêter de te le dire, pas arrêter de te le montrr mais j’ai juste pas eu la force de dire ces mots parce que je pensais que tu voulais pas de sentiments, que tu avais peur de ça je voulais juste te facilité la vie, attendre le bon moment et maintenant tu me dis que c’est ma faute ! Je m’en voulais d’avoir voulu autant bien faire, d’avoir voulu attendre le moment idéale, je le regardais et sa détresse vallait la mienne, j’étais autant perdue que lui mais je l’aimais c’était une certitude. « J'en peux plus, Arwën, je suis perdu ». Je m’approchais de lui et relevais son visage en le regardant dans les yeux, je caressais sa joue, approchant mon visage du siens, depuis le temps qu’on évitait ce moment, on avait besoin de savoir non ?
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Arwën et moi, était-ce vraiment possible ? N'était-on pas trop opposé ? Pourtant je l'aimais, j'en étais certain, la jalousie dont je faisais preuve la plupart du temps n'étant pas ordinaire. De plus cette tentation quand elle approcha son visage du mien était trop forte, sans réfléchir j'y cédais, partageant ainsi un baiser tendre avec elle avant de me rappeler. J'étais en couple avec Louann et, même si c'était du toc, je me devais de prévenir Arwën. Séparant nos lèvres, je lui avouais : « Je suis en couple Arwën. » Quel idiot ! Dire ça comme ça risquait d'amener un quiproquo, je m'empressais donc de rajouter : « Enfin pas un vrai, on fait plutôt semblant avec une autre femme pour rendre un de ces amis jaloux. » Les noms n'avaient pas été prononcés car cela n'avait aucun intérêt. Caressant tendrement ses bras de mes mains, je l'attirais doucement à moi pour partager un autre baiser, passionné cette fois-ci. Depuis le temps que j'attendais ça, depuis le temps qu'on avait nié, il fallait qu'on essaye. Mais quelque chose me retenait, une impression de trahir Elysia, de rompre une promesse.
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∟PLUS ON S'AIME, PLUS ON SE DETESTE✗ Nos lèvres se trouvent, se découvrent pour la première foiss, ce baiser, timide et tendre, fait battre mon coeur plus fort, je sens mon souffle contre ses lèvres, caressant ca nuque du bout des lèvres. Depuis le temps que nous nous rejetions, en utilisant la colère et la jalousie, enfin pour la première fois je me sentais sereine. Le baiser s’érrêta et je le regade dans les yeux, en souriant. « Je suis en couple Arwën. » Mon sourire disparut alors et je commençais à regretter tout ça, il avait quand même pas sauter le pas avec elle, non pas ça.. « Enfin pas un vrai, on fait plutôt semblant avec une autre femme pour rendre un de ces amis jaloux. » Je pu respirer à nouveau en cccomprenant que c’était de la comédie, il m’avait vraiment fait peur, je crois bien ue j’étas devenue blanche pendant quelques secondes. Puis il m’embrassa à nouveau, un baiser plus passionnée, plus fougueux, sans doute toutes ses années ou nous nous étions retenu, je venais contr lui et collais mon corps au sien, j’avais l’impression de rêver, de m’envoler. Tout ça confirmait ce que je savais déjà je l’aimais, pour la première fois j’en étais certaine. Je quittais ces lèvres quelques secondes. Je t’aime, Blake. J’avais réussi à la dire enfin, mes lèvres couvrirent son cou de baisers brûlant, j’avais envie de l’avoir rien qu’à moi, depuis le temps.
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« Je t’aime, Blake. » Un sourire se dessina sur mon visage à l'entente de ces mots tandis qu'Arwën continuait de déposer des baisers dans mon cou, attisant un peu plus la flamme. J'enlevais la couverture pour me placer au dessus d'elle, l'embrassant fougueusement, mes lèvres descendant jusqu'à son cou, prête à aller encore plus bas tandis que l'excitation devenait de plus en forte. Tant pis pour Elysia, après tout il n'y avait aucun contrat entre nous, aucune promesse de fidélité faite à son égard. Je m'arrêtais avant d'aller plus loin, plantant mon regard dans le sien comme pour avoir son accord. Etait-ce ce qu'elle désirait ? Peut être préférait-elle attendre ? Si telle était sa décision alors je la respecterais. Un mot de sa part, un geste et je continuerai. Mon corps entier espérait qu'elle dise oui, voulant lui offrir une des plus belles nuits de sa vie. Qu'elle se donne à moi, enfin, qu'on ne puisse former qu'un. « T'es sûr que c'est ce que tu veux ? » finis-je par demander clairement, pour ne pas mal interpréter des gestes ou quoi que ce soit.
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