KENYA + Indian summer

Avant que le summer camp ne commence, nous avions décidés, Kenny et moi de partir faire notre petit tour du monde à nous, nous avions décidés de prolonger notre lune de miel, mais cette fois-ci en présence de notre princesse, Alessia. Autant profiter avant qu'il ne parte à New York. Rien que d'y penser, j'en avais des pincements au coeur. Nous avions pris l'habitude de nous voir tous les jours, de passer chaque nuit dans les bras l'un de l'autre, qui plus est, nous avions une relation assez fusionnel. Souvent fourrer ensemble, cette distance allait être dur à gérer mais j'étais aussi heureuse de mon choix, de mon doctorat. Mes études étaient importantes et même si mon père avait sorti cette excuse de sa poche, du jour au lendemain surement pour que je ne parte pas à New York, je ne lui en voulais pas, contrairement à Kenny. D'ailleurs je me demandais comment aller se passer les prochains repas de famille en Russie. Bref, ce n'était pas la préoccupation actuelle, parce que nous embarquions pour partir en Inde. A Udaipur. Alessia faisait des siennes dans l'avions, elle pleurait, dormait, pleurait, mangeait ... certes le voyage était long mais pour être honnête, qu'est-ce qu'elle pouvait me gonfler en cet instant. Je tentais le tout pour le tout, non je ne l'ai pas assommée avec son biberon, je lui chantais une petite chanson en marchant dans le jet pour la bercer. Je regardais Kenny en souriant de temps en temps, il dormait. Je ne sais même pas comment il pouvait faire avec les pleurs d'Alessia et une fois que cette dernière fut calmé et fut endormie, j'allais m'asseoir à côté de mon mari en le regardant de plus près. Lui qui avait une ouïe fine, c'était impossible, alors je m'approchais pour remarquer des bouchons d'oreille couleur chair à l'intérieur de ses oreilles justement. Oh le con. Je lui en retirais un, posant mes lèvres contre son oreille Je vais parler tout doucement pour ne pas te crever un tympan mais Kenny Damian Kovalevski Kataïeva, tu n'es qu'un petit con ! dis-je avec le sourire. Bon dieu ce que je l'aime et bon dieu ce qu'il a été intelligent sur le coup, bien qu'il en fallait un de nous deux conscient des pleurs de la petite. Il va falloir que tu te fasse pardonner, ça fait plus de deux heures que je tente de calmer le monstre alors que toi tu t'es auto insonorisé

Le tour du monde à notre manière. On avait passé de sacré vacance à Hawai, ensemble en amoureux, fêter nos un an de mariage était une chose qui ne se ratait pas, je peux vous dire qu'on a profité de notre couple alors ramener Alessia avec nous pour les prochains voyages semblaient logique car elle aussi faisait parti de nous d'une certaine manière. Elle influençait notre vie de couple, nos décisions, elle avait un rôle crucial comme là dans l'avion ou mademoiselle embêter sa mère. Moi? Je dormais. J'avais mis des bouchons d'oreille comme bien souvent dans l'avion surtout quand c'était un long voyage. Je sais, je n'aurais pas du, je délaissais Alessia à Anya mais en fait elles étaient si similaires, si chiante que je m'inquiétais pas trop de leurs santés à toutes les deux. Du froid, un courant d'air dans mon conduit auditif, je bougeais un peu en entendant les pleurs de ma fille. Hein? Comment se fait il que je les entendais, puis cette voix là, si aiguë, si dangereuse. Je souriais à ses paroles, j'avais envie de rire bien que je sois encore sur mon petit nuage. "Un petit con que tu aimes non?" dis-je en ouvrant les yeux. Ses longs cheveux blonds lâchés, ses grands yeux bleu et son sourire me rendait heureux, je pensais encore de temps en temps à New York, à notre future séparation, ça me fendait le cœur, ça me rendait aussi très morose. Allongé, je m'étirais retirant le second bouchons de mon oreille, Alessia pleurait encore et encore comme si mademoiselle n'était pas fatigué. "Le monstre c'est ton mini toi, je me disais que du coup…" Je baillais. "C'était toi la mieux placer pour la calmer." Je me trompais, je crois qu'Anya était au bout de sa vie vu sa tête. "Ahhhh…" poussais-je de bien être après m'être étiré dans tous les sens possibles et inimaginable. "Bon allez viens là petit monstre." Je me levais de mon siège pour aller prendre Alessia qui n'en pouvait plus. "Papa à un remède magique pour toi." Dis-je à la petite, je prenais son petit sac, je sortais des tonnes de trucs, de jouets qu'on lui avait prit puis une petite boite avec une tétine à l'intérieur. J'étais contre ce genre de chose pour sa dentition, Anya aussi, mais là c'était nécessaire surtout que quand je lui donnais elle cessait de pleurer. "madame à juste mal aux oreilles, un si long voyage peut-être douloureux pour elle. Alala qu'est-ce que tu ferais pas sans moi." Si elle allait le savoir quand je ne serais plus là, ce qui était une simple blague au début qui me faisait sourire, me minait la seconde suivante.

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Peut être bien lui dis-je en déposant un baiser contre son oreille. Alessia pleurait encore, alors que je venais de la calmer. Elle m'avait joué la comédie. Je me laissais tomber contre le siège, lasse, en fermant les yeux. Ahahah dis-je en lui donnant une tape contre le torse, le laissant gérer la situation cette fois-ci. J'en profitais d'ailleurs pour le regarder faire, ce genre de petite chose allait me manquer. Le voir s'occuper de sa fille avec autant de pragmatisme et de douceur. Il sortait la tétine d'une petite boite en métal, nous ne voulions pas la lui donner à cause des conséquences sur sa dentition, mais elle semblait en avoir besoin alors à petite dose ça ne pouvait pas être mauvais non ? Erreur, la tétine, c'était comme une drogue, elle allait en redemander encore et encore, elle allait être en manque. Toxico ! Kenny revenait alors qu'elle s'était calmé, j'allongeais mes longues jambes dénudés sur les siennes, tirant un peu sur ma petite robe qui était remonté, le coude appuyé contre l'accoudoir, le visage qui reposait sur mes doigts. Je sais pas, je ferais ... surement pas dis-je en riant un peu. Le pilote m'a dit qu'on allait bientôt arriver, j'ai hâte d'y être dis-je en fermant un peu les siens, prenant la main de Kenny dans celle qui me restait de libre. Je suis sûre qu'on va bien s'amuser dis-je en m'endormant. J'étais fatigué, ça faisait deux heures qu'Alessia me tapait sur le système et j'étais bien installé alors il m'en fallait peu pour me faire enlever par morphée.

Alessia avait besoin de suçoter un truc pour calmer la douleur à ses oreilles, la preuve au bout de deux minutes mademoiselle s'enformait, la pauvre, je m'en voulais un peu de ne pas avoir dit à Anya cette petite astuce mais ça ne m'était pas venu à l'esprit. Revenant, je me posais sur le fauteuil, mon épouse allongeait ses longues jambes sur les miennes, je lui caressais doucement de long en large, en hochant la tête à ce qu'elle disait, oui on allait bien s'amuser, j'allais lui dire, ouvrir la bouche sauf que rapidement ses yeux se fermaient et elle s'endormait. J'ai passé deux heures à jouer à un jeu vidéo sur la petite console de jeu que je m'étais acheté quand l'hôtesse venait nous dire qu'on allait atterrir dans 10 minutes, il était temps de ranger nos affaires. "Bébé." Dis-je en caressant ses jambes, je tendais le bras vers elle, fourrant mes doigts dans ses longs cheveux blonds. "Mon cœur debout, on est bientôt arrivé." J'étais excité comme une puce, c'était perceptible dans le son de ma voix, je n'avais jamais voyagé en Inde alors voir l'architecture, les traditions du pays, les activités aussi, ça me rendait limite hystérique. "si tu ouvres les yeux maintenant, je te ferais un massage ce soir." Chuchotais-je doucement à son oreille. "Et pleins de petits trucs que tu aimes." Chantage, chantage, est-ce qu'elle allait ouvrir les yeux? J'osais espérer que oui, en tout cas ça me ferait bien rire de la voir se jeter sur l'occasion même si je la massais déjà bien souvent. Me levant après avoir enlever ses jambes sur les miennes, je poussais la manivelle du siège pour le faire descendre en horizontale afin d'embrasser ses douces lèvres. "Blanche-neige se réveille d'habitude." Riais-je en secouant la tête négativement. "A moins que tu sois cendrillon la souillonne."

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Je m'étais rapidement endormie dès lors que je m'étais posé sur le siège, les jambes allongées sur celles de Kenny, qu'il me caressait, ça avait un effet boeuf sur moi. Je m'endormais (aa) Cependant, deux après, Kenny me réveillait, nous allions arrivés. Je souriais à ses caresses, j'aimais ses mains contre ma peau, ce contact était tendre et délicat. Pauvre petite chose tenue par le supplice de la chaire. Faible, je l'étais. Lorsqu'il me parlait de massage et de petite chose, je souriais d'autant plus en ouvrant seulement un oeil, pour le refermer aussitôt, je savais que quoiqu'il arrive, j'aurais le droit à ses petites attentions, alors no stress. D'ailleurs, il me le confirmait en baissant mon siège pour venir m'embrasser. Je posais mes mains automatiquement contre sa nuque pour le maintenir contre moi, ne le laissant pas m'échapper. Je ne suis ni Blanche neige, ni cendrillon, elles sont bien trop coincées, je suis princesse Anya au pays du Kamasutra, retiens bien ça dis-he en ouvrant les yeux cette fois ci pour plonger mon regard dans le sien C'est ce genre de bible qu'il devrait y avoir dans chaque hôtel, dans le tiroir de la table de nuit je riais un peu, embrassant rapidement ses lèvres pour les tirer un peu après Allez lève toi avant que je ne sorte toutes mes mains, je sens la puissance de Shiva m'envahir je lui pinçais les fesses avant de le pousser pour me relever. J'allais prendre Alessia dans mes bras, ne remarquant pas que tout à l'heure la misstinguette qui avait jouée avec ma robe me l'avait coincé dans mon sous-vêtement, bonjour, je m'appelle Anya et me promène les fesses à l'air. Prenant les dernières affaire, je me tournais vers Kenny prête à sortir de l'appareil T'es prêt, on a tout ? lui demandais-je en sentant un petit courant d'air, c'est qu'il fait bon ici (aa)

Notre baiser s'éternisait plus que je l'aurais cru pour une personne qui dormait, elle s'accrochait bien sur mes lèvres dis donc. "Au pays du Kamasoutra toi?" Je rigolais en levant les yeux au ciel. "Oh merde j'ai fais de toi un petit monstre de sexe, une femme que je devrais contenter toute ma vie…" J'haussais les épaules. "Quoique bon sur ce point ça me dérange pas trop." Je lui volais plusieurs baisers, amusé. "Evite de les sortir, ça va me traumatiser." Dis-je en me décalant. Je réunissais nos affaires rapidement, mademoiselle Alessia s'étalait de plus en plus dans ce jet, plus elle grandissait, plus elle avait besoin de tonnes de choses, la télé ne l'occupait même plus, il lui fallait des crayons de couleurs ou encore des feuilles, ses jouets préférés et aussi le foulard d'Anya que je ramassais dans son fauteuil. "Tu cherches à m'allumer?" dis-je en voyant son fessier à l'air. J'étais pas contre, son petit sous-vêtement si fin qui laissait voir son fessier parfaitement rebondis me plaisait. "Ça marche en tout cas, je pense sérieusement à te demander de faire les positions dont tu m'as parlé tout à l'heure vu que tu es l'experte." Je me collais contre elle glissant ma main sur ses fesses royales. "Mais évite de le faire devant notre fille, j'ai pas envie qu'on lui paye le psy parce qu'elle aurait vu que je te prenais contre la paroi du jet." Dis-je en lui remettant sa robe normalement. Je pensais vraiment qu'elle le faisait rien que pour mes yeux, ces derniers qui brulaient d'envie désormais, j'avais ce regard si chaud, si passionné, des pensées perverses qui traversaient mon esprit, l'envie de lui sauter dessus était si forte quand on descendait l'escalier pour aller rejoindre la voiture que je lui laissais un peu de place. Une voiture nous attendait, rapidement on prenait nos affaires pour les charger derrière alors qu'Anya installait la petite dans le siège auto, que je me posais au coté de ma femme coincé entre Alessia et moi à l'arrière.

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Bah quoi, on est en Inde,tu t'es pas renseigné sur les coutume avant de venir ici ? je levais les yeux au ciel, un sourire sur les lèvres. Oui, tu m'as perverti, t'en ai fier ? lui demandais-je en posant mon index sur ses lèvres pour faire glisser sa lèvre inférieur contre. Tu crois que tu vas pouvoir assumer cette tâche ? nous rions tous les deux, j'étais heureuse ces derniers temps, j'aimais nos instants à nous, plein de complicité, d'amour et d'amitié. Nous n'étions pas que des amants, des époux, mais aussi des amis, des meilleurs amis, des confidents, des âmes soeurs. Oh tu sais, je suis pas certaine que se soit si dérangeant que ça, tu peux t'occuper de plein de chose à la fois je riais, en le poussant pour me lever et rassembler nos affaires, Alessia dans les bras. Bon dieu, c'est qu'elle devenait de plus en plus lourde cette petite. Kenny me demandait si je cherchais à l'allumer, je tournais mon regard vers le sien, fermant le sac d'Alessia, un peu surprise. J'aime t'allumer, je dois l'avouer mais là ... là je ne voyais pas ou il voulait en venir. Il se collait dans mon dos, me disant que ça marché. Wait, qu'est-ce que j'ai fait. Demandes mon lapin, ça ne coûte rien lui dis-je avec un petit clin d'oeil avant d'éclater de rire à ce qu'il me disait Oh tu sais, le psy, c'est courant dans ma famille, dans la tienne aussi lui dis-je en faisant référence à ses soeurs et sa mère et j'étais moi aussi suivis par un psy à cause de la mort de mes meilleurs amis, de la tentative de suicide d'Apple à laquelle j'avais mis fin, mais les images de ma belle soeur dans cette baignoire remplis de sang, les veines ouvertes, tandis que j'étais enceinte ne me quitterait jamais et ne parlons pas de la bombe, l'épidémie, la prise d'otage et j'en passe. Ses mains sur mes fesses, je tournais la tête pour le regardais faire en voyant que le tissus de ma robe était coincé, je faisais les gros yeux, amusée en levant mon regard vers Kenny pour finalement laissé tomber l'arrière de ma tête contre son épaule en riant. Oh mon dieu, ça tu vois, c'est ta fille , TA FILLE il me la remettait convenablement, je le laissais faire, parce que j'aimais avant de descendre de l'appareil. Bébé, arrêtes de me regarder comme ça ! dis-je sans même tourner mon regard dans le sien. Le soleil était au rendez-vous, il faisait chaud, très chaud, alors je mettais un petit chapeau sur la tête d'Alessia. Une fois installé dans la limousine, je regardais Alessia qui s'agitait en claquant des mains, je regardais Kenny, rieuse. Cette petite s'amuse d'un rien c'est fou je déposais un baiser sur la tête de cette dernière avant dans déposer un dans le cou de mon mari Pas de jaloux Nous arrivions une vingtaine de minutes à l'hôtel, un luxueux hôtel couleur ivoire avec des éléphants prêt à partir Je veux qu'on fasse une balade à dos d'éléphant, regardes ma beauté dis-je en prenant Alessia sur mes genoux après l'avoir détaché en sortant de la voiture. Un homme de l'hôtel venait prendre nos bagages , Alessia s'agitait dans mes bras en voyant l'éléphant Phanphant disait Alessia. Non, éléphant ma chérie Alessia fronçait un peu les sourcils avant de dire le mot parfaitement bien. Je regardais Kenny avec un grand sourire T'as entendu ?!

"Ah donc c'était pas pour me montrer ton fessier royal. Je suis déçu mais je félicite ma princesse pour m'avoir rendu heureux." Je faisais un bisou à Alessia qui crachouillait dans le vent vu que je portais la barbe de plusieurs jours, elle n'aimait pas ça, ça la piquait. "Qui te dis que je regarde." Dis-je en la matant sans complexe, j'avais envie d'elle, je l'avais souvent dans mon lit, on était un couple qui ne se restreignait pas niveau câlin parce qu'on partageait les mêmes envies, on était fusionnel cependant je n'arrivais pas à être rassasié d'elle. Mes yeux étaient dilatés posé sur son fessier, je me voyais déjà lui faire l'amour dans les escaliers après avoir viré tout le monde de l'aéroport privé, un pur fantasme qui n'arriverait jamais, heureusement qu'il existe l'imagination. Lunette de soleil sur le nez, je rentrais dans la voiture, Alessia s'amusait, rigolait de tout, ça me faisait sourire de la voir si heureuse, sa joie était communicatif car elle était si insouciante, si jeune, je voulais qu'elle reste comme ça à jamais, que je puisse la protéger, la couvrir de câlin tout le temps… enfin jusqu'à ce que je parte. Un bisou dans mon cou, je glissais mon bras autour des épaules d'Anya, durant le trajet en voiture, on échangeait quelques mots bien trop occupé à regarder par la fenêtre ma femme montrait tout à une Alessia intéressée, elle était éveillée pour son âge, le pédiatre le disait, elle apprenait rapidement, elle était aussi réactive, peut-être qu'on en ferait une petite surdouée, j'espérais en tout cas. "Oui on va en faire." Dis-je en apercevant les éléphants. J'en avais jamais vu de ma vie, j'étais impressionné c'est vrai mais encore plus quand Alessia s'agitait et prononçait le vrai mot que sa mère lui disait. "Quoi?" lâchais-je en regardant Anya. "Ouais j'ai entendu, alors elle dit éléphant normalement mais elle s'obstine à dire papapa." Désespoir total, je la regardais avec un petit sourire tout de même, elle était si mignonne. "Mais c'est super ma chérie, pa-pa est fier de toi, ma-man aussi." Je déposais un bisou sur son front alors qu'elle fronçait encore une fois les sourcils face à ma barbe. Rieur, je rentrais à l'hotel, on était accueillit comme des rois c'était bien le mot, une personne nous attendait, une autre avec un plateau et deux coupes de champagne ainsi qu'un biberon remplit de jus d'orange pressé pour Alessia. Notre guide se présentait dans un anglais parfait alors que je bu une gorgée par politesse, qu'Alessia se jetait sur le jus d'orange comme une fille qui n'avait jamais bu de sa vie, bien sur elle était bien éduqué, juste qu'elle avait soif voyons. Toujours avec notre guide, il prenait soin de nous accompagner jusqu'à notre suite ou pour notre confort la chambre d'à coté de notre suite était fermé, ici c'était définitivement mon hôtel préféré.

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Dis toi que c'est chantonnant j'haussais les épaules avec un petit sourire sur le bord des lèvres, en tout cas , j'étais heureuse qu'elle arrive à dire ce mot, c'est que ce n'était pas facile. Je regardais Kenny détacher les mots, papa et maman. Je riais en touchant sa barbe qui moi me plaisait. Ne désespère pas mon coeur, elle va y arriver, elle nous fait juste marcher nous étions accueillit comme des rois dans cet hôtel qui était d'un luxe affolant. Certes, c'était mon quotidien ce genre d'endroit, sauf que l'architecture était tellement belle. J'aimais cette culture. Je prenais la coupe de champagne, je la buvais gorgée par gorgée tout en suivant le major d'homme. Alessia se régalait avec son biberon, je la regardais en faisant les gros yeux. Hey du calme, tu vas t'étouffer dis-je en baissant un peu le biberon encore ton côté lui dis-je en levant les yeux au ciel,quoique ma coupe de champagne n'était plus autant pleine. Une fois dans notre suite,je posais Alessia au sol pour regarder autour de moi, des tenues locales étaient posées sur le grand lit de notre suite parentale, Alessia avait même sa petite pièce. Oh regardes dis-je en levant les tenues devant moi pour les montrer à Kenny. On les mets ce soir ?

"Mon coté?" Je regardais sa coupe puis elle, puis sa coupe. "Ou pas." Je pense qu'elle avait comprit ce que je lui disais, madame ne se privait pas de tout boire, personnellement j'avais délaissé la mienne, il était bien trop tôt pour boire même du champagne. "Papapa." Déclara Alessia qui me tendait le biberon. "Je suis pas ta poubelle." Dis-je en la regardant, je levais les yeux au ciel, j'essayais de faire l'homme complètement désespéré par cette petite chose mais raté, j'étais attendris, je prenais son biberon en plus en avançant dans le long couloir. Alessia se mettait sur ses deux pieds, je sais pas ce qu'elle avait pu voir qui lui plaisait une fois qu'on était dans notre suite mais une chose est sure, elle le voulait. Elle se mettait à courir à sa manière, elle trébuchait, se redressait en continuant sa course jusqu'à un éléphant en peluche adorable, je voyais déjà Anya venir en disant qu'elle avait trop de jouet seulement celui-là on l'adoptait. "Fais voir la mienne." Horrible, je vais avoir l'air d'un clown moi, même Alessia serait plus belle que moi. "Ouais je vais le mettre aussi sinon je vais dépareiller puis faut bien que quelqu'un d'entre nous remonte la cote du sexappeal." Riais-je en attrapant ma femme. J'enroulais mes bras autour d'elle, délicatement, je déposais des petits baisers sur le bout de son nez, son front. "Quand j'avais prévu de faire le tour du monde avec toi au tout début je n'aurais pas cru qu'on serait trois, que tu m'aurais donné une superbe petite fille, je t'ai jamais dis vraiment merci, merci de faire l'homme que je suis, le papa que je suis, merci de me rendre heureux." Je lui volais plusieurs baisers, nos un an approchait, en janvier de l'année prochaine cela ferait trois ans qu'on était ensemble, mon dieu ce que le temps passait vite.

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