Flashforward ✮ As long as you love me - Part 2| Samuel

Cela n’était peut-être pas le moment, mais on m’a dit qu’un jour il fallait bien en parler. C’est les moments comme ça qui vous pourrisse de l’intérieur et je sais que Ivy ça lui fais du mal d’avoir ça en elle. Elle se sentait coupable et moi ça me rongeais, alors que je parle et lui avoue des choses cela semblait ne pas trop lui convenir. Je remuais le couteau en elle comme en moi. Elle voulait retrouver un nous, mais si on peut ne pas en parler, alors qu’en réalité elle a en besoin, besoin d’enlever cette culpabilité. On ne pouvait rien prévoir, même si elle n’avait pas accepté le bébé au départ, elle a fini par le faire et ça Léa l’avait senti j’en étais certains. Ivy finit par murmurer quelque chose et sortie de table, je ne la regardai pas se diriger vers la porte de sa chambre. Elle n’avait pas à me consoler, j’étais le plus fort d’entre nous, mais les perdre toutes les deux m’avaient beaucoup détruit, mais Ivy devait être pire que mon état. J’ai eu affaire à la mort plus d’une fois. Je m’approchai de la porte de sa chambre sans faire de bruit afin de la consoler, puis je l’entendis. Elle devait parler avec sa mère, je l’écoutais attentivement. Elle avait raison sur certains points, mais je ne pouvais pas l’empêcher de le voir, même si cela me tuera de la savoir avec lui, néanmoins j’ai confiance en elle, je me demande pourquoi elle pense autant qu’elle a tué Léa, le fait qu’elle l’ait pas accepté. J’ouvre la porte et l’attrape pour plaquer contre le lit « arrête maintenant, j’en peux plus de t’entendre dire que tu l’as tué, cela suffit… » Je plaque ses mains contre le lit « Je t’aime et je ne supporterais pas ça plus longtemps que tu culpabilise pour ça, juste parce que tu crois que c’est parce que tu l’as voulais pas, arrête tes conneries. » Je lui laisse pas le temps de parler que je viens l’embrasser transmettant mon amour pour elle qu’elle comprenne tout l’amour que je lui éprouve.

Je ne lui laisse aucun répit, elle n’avait pas eu le temps de finir sa phrase. Je m’en fichais de ce qu’elle pouvait bien dire, je l’aime peu importe ce qu’elle fasse. Je viens plaquer mes lèvres contre les siennes, transmettant tout mon amour avec ce baiser et je savais qu’elle le saurait. Elle approfondit ce baiser, sa langue venant lentement me demander l’accès de ma douche, que j’accepte en venant caresser la sienne avec la mienne, un mélange de fougue et de tendresse. Un vrai baiser qu’on savait faire ensemble, cela m’avais manqué putain. J’étais transporté dans du désir, le baiser se rompit et là elle me lâche qu’elle allait quitter la coloc, mais peut-elle le faire, je veux dire comme ça, elle veut quitter son meilleur ami pour…moi. je la regarde alors qu’elle me dit qu’elle savait ce qu’elle voulait et que c’était moi, dès qu’elle eut fini sa phrase je replaque mes lèvres contre ses lèvres pour cette fois lui faire un baiser plus indécent, mordillant a moitié sa lèvres inférieur, je tiens fermement ses mains dans les miennes, venant ensuite lui embrasser le cou remontant à sa mâchoire « Je t’aime Ivy et ça personne le changera, jamais tu m’entends. Je suis peut-être comme ça, mais jamais je t’abandonnerais. »

Tout ce que je voulais c’est être avec elle et ne pas passer à la suite, juste profiter de ce moment qu’on passe là. S’enfermant dans notre bulle qu’on avait l’habitude de créer avant. Je lui parle, mais je ne peux m’empêcher de l’embrasser de nouveau, je la désire tellement que je veux en faire mienne à l’instant afin de lui montrer qu’elle était toujours dans mon cœur. Elle m’embrasse quand j’eu fini ma phrase et là elle me demande de la dire, dire qu’elle était à moi, que nous étions un nous, je rigole et prend sa main et fais tourner sa bague « cette bague signifie que je suis à toi. » Puis je lui montre la mienne « …et celle que je suis à toi alors tu rassemble les deux comme ça… » J’entrelace nos doigts « …signifie que nous un nous » Je la regarde et l’embrasse rapidement « y avais toujours un nous, malgré que je t’en voulais et tu as toujours été à moi-même quand tu ne portais pas cette bague. T’es a moi Ivy et personne pour te prendre a moi. » Je la regarde et tiens toujours ses mains fermement.

Cela avait été difficile c’est dernier temps, surtout pour Ivy, mais bon je savais que tout ce serait arranger. J’ai toujours quelque chose qui me pèse sur le cœur, comme de la peur et de l’angoisse, mais je devais lui faire confiance. Faire confiance en l’amour qu’elle me porte, car après tout elle n’était pas vraiment elle-même ces derniers temps et je la connais suffisamment pour savoir comment elle était. Nous étions spéciale ensemble, je sais que peu d’homme supporterais cette relation, mais je ne peux pas me passer d’elle tout simplement. Ça demande de lui dire qu’elle était à moi me fit sourire et je lui montre nos bague, qui sont un symbole d’appartenance de l’un et de l’autre. Que nous n’étions qu’un tout, alors que je la regarde je vois les larmes naitre dans ses yeux qu’elle enlève de sa main et elle se mordille la lèvre, je souris alors qu’elle se redresse un peu frôlant mes lèvres afin qu’elle m’embrasse tendrement, je rends le baiser un peu plus langoureux et le romps « je t’aime tellement aussi, mais… Non on s’en fiche, je te veux terriblement là » Je reviens l’embrasser amoureusement venant cette fois passer mes mains dans ses cheveux, ma bouche viens ensuite embrasser son cou, venant lui apporter un petit suçon, ma langue créant un sillage jusqu’au lobe de son oreille que je me mis à lui mordiller « j’ai envie de toi chérie, vraiment très envie de toi… » Alors que ma bouche embrasse chaque parcelle de son cou, venant descend au haut de sa poitrine.

Malgré que je sois encore dans le doute, malgré qu’une baisse de confiance se soit installée en moi par rapport à elle, c’était quand même Ivy. Je n’arrivais pas à lui tournais le dos comme ça. Elle était consciente de ce qu’elle avait fait, elle m’aimait et en fait c’est tout ce qui comptait. Le cas aurait été inverse on ne serait pas dans cette position, elle était plus rancunière que moi, mais elle ne s’imagine pas à quelle point je suis fou d’elle. J’étais sans doute plus vieux, mais je m’en fichais. Je ne voyais qu’elle et personne d’autres. Lui dire que je la voulais, lui faisais sans doute peur par rapport à ce qu’on avait vécu, peut-être douté elle encore sur elle-même. Elle tourna le visage afin que j’aie un accès plus direct à son cou, mais je la sentais quand même ailleurs. Son corps réagissait, mais elle semblait dans ses pensées. Alors que je descends au niveau de sa poitrine, elle me dit de m’arrêter et me parla d’un préservatif, cela me fit sourire : « tu es toujours aussi timide pour parler de ça… Oui j’en ai un au cas où… J’en ai envie, mais si toi tu ne veux pas… » Je la regarde dans les yeux et caresse sa joue, passant la main dans ses cheveux blonds. Je l’embrasse à nouveau tendrement, caressant sa joue, glissant ma main au niveau de son intimité.