Flashforward ✮ As long as you love me - Part 2| Samuel

Je suis en train de baillé dans mon lit, cela faisait déjà une semaine que le bal était passé et j’avais donné aucune nouvelle à Ivy, cela devait l’énerver de ne pas en avoir. Je ne pouvais pas lui en vouloir indéfiniment puis elle me manquait horriblement. Son parfum, son sourire tout quoi, je soupire contre mon oreille et regarde ma photo de fond d’écran du téléphone tout en souriant, je me rappelais du moment de cette photo et encore j’en ai plusieurs où je l’ai surprise ce qui avait provoqué des moments d’amusement. J’étais en boxer dans ma chambre, je venais de prendre une douche puis je sentis mon téléphone sonné dans ma main puis je regarde qui cela pouvait bien être. Je lui avais dit de prendre ses distance et je l’écoute, comment ça du bruit ? Elle a peur « Bouge pas j’arrive tout de suite. » J’enfile mes vêtement et prend mes clef de moto afin de me diriger vers chez sa mère, je connaissais la route pour y être déjà venu une fois. Lorsque j’arrive à la porte que je cogne « Ivy c’est moi » J’avais enfilé un jeans et un débardeur blanc et enfilait directement mon blouson en cuir pour la moto même pas le temps de prendre mon casque, car j’étais trop inquiet pour elle. j’espérais qu’elle n’avait rien et que personne n’était entré chez sa mère par effraction.

Je sens la porte s’ouvrir et je la vois dans une tenue… sexy, elle est trop belle, j’ai l’impression e ne pas l’avoir vu depuis plusieurs année. Je ne savais même pas comment je devais réagir. Mon regard montrait mon inquiétude, mais il y avait de la surprise aussi. je déglutit ne répondant pas a sa question. Une erreur ? C’était aussi ma faute sauf que je devais être plus souvent soul qu’elle. pourquoi me dit-elle qu’elle voit une psy ? Elle en avait fait allusion avant il me semble, cela veut dire que… non ce n’est pas vrai. D’un coup je me hais de l’intérieur alors qu’elle me demande de lui accorder cette soirée alors qu’elle avait les larmes aux yeux, je porte ma main dans mes cheveux « on dirait que tu as eu ta revanche pour la saint-valentin que j’ai fait foiré… » Je lui sourit « pourquoi tu es pas venu plus tôt, chérie… » Je la regarde « tu as le droit à la nuit aussi tellement tu me manque et je t’aime aussi chérie. » Je me rapproche d’elle « tu es sexy et je me rends de nouveau compte a quelle point tu es belle. » Alors que je lui souris sur le pan de sa porte.

Cette idiote, pourquoi est-ce qu’elle m’a fait ce coup là bien avant… Enfin j’étais là maintenant et faut dire que ça me rappelle notre saint valentin foiré a cause de moi, même si je lui ai fait découvrir un peu de mon passé. J’étais quand même heureux qu’elle ait osé faire cet appel malgré le fait que je lui en avait interdit, elle qui écoute presque jamais ce que je dis cette fois elle l’avait fait. Enfin je voulais plus que la soirée, je voulais aussi la nuit. Pouvoir la prendre dans mes bras et sentir son parfum ou encore la regarder dormir. J’en rêve depuis des nuits, au point d’avoir l’impression de l’entendre, alors qu’en fait ce sont des souvenirs dans ma tête qui me donne l’impression d’avoir sa voix. Sa voix remplie de surprise me fit sourire « oui si tu veux bien que je dorme avec toi » Elle finit par me dire de rentrer et de me mettre à l’aise puis qu’elle pourrait ranger, pourquoi ? Alors qu’elle a fait tant d’effort « je suis moins chic que toi, je fais tache. Par contre pourquoi tu veux mettre tes effort en l’air, laisse comme c’est cela me convient parfaitement, ça me rend heureux de voir ça. » J’entre dans la maison et retire mon blouson afin de le mettre sur le porte-manteau « raah je fais vraiment tache comparer à ta tenue, je suis ridicule, mais je ne pensais que tu ferais ça aussi. » Je la regarde de nouveau, elle est tellement sexy et moi tellement… banale que j’en ai envie de pleurer : « ça sent bon dis donc, t’as de la chance que j’ai pas encore mangé… »Je la regarde et elle semble un peu nerveuse « chérie, calme toi. Je te promets de ne pas partir… que je resterais avec toi jusqu’à demain matin, est-ce que cela te va ? » Je le voyais que ça la rendais nerveuse, mais qu’en même temps elle semblait heureuse.

J’avais l’impression d’être une tache avec mon jeans et mon débardeur blanc, j’étais tellement inquiet pour m’être habillé décemment. Enfin cela ne semblait pas la gêner, vu qu’elle n’arrêtait pas de me regarder, je devais vraiment lui manquer, mais elle me manquer horriblement aussi. Elle n’avait pas l’air de suivre ce que je disais, elle était a fond sur moi cela me réjouissait en quelque sorte. Y aurait que moi je l’aurais déjà dénudé contre sa porte afin d’en faire mienne, mais bon elle croira que je pense qu’à lui faire l’amour alors qu’on est ici pour passer la soirée ensemble. Ses formes, je les ai en mémoire et je n’ai pas arrêté de rêvé d’elle, il suffirait qu’elle ait une action un minimum coquine et je pense que je… Reprend toi, il ne faut pas. Attendez, elle vient de dire que j’étais hot là, je me mets à rire « si je suis hot toi t’es quoi ? Ta tenue est plus que hot » Elle est trop mignonne quand elle est comme ça, les joues toutes rouges, le menus de ce soir à l’air super « et tu es le dessert c’est ça ? » Je pouvais pas m’empêcher de le dire, c’était plus fort que moi, j’affiche un sourire alors qu’elle me propose à boire, je devais me calmer, j’avais l’impression d’être en manque d’elle, elle m’aidait pas dans cette tenue : « je veux bien quelque chose de frais s’il te plait, il fait chaud chez ta mère, pourtant je suis en débardeur » Je la suis jusqu’à la cuisine et sens la bonne odeur du roti dans le fou « ta cuisine me manquait chérie. » Puis la cuisine, chez sa mère me rappela un autre souvenir, fallait que je le chasse de mon esprit, puis je regarde ma main : « ça me rappelle quelque chose le fait d’être chez ta mère, sauf qu’on n’est pas en France. »

Pourquoi j’avais dit ça ? L’envie d’elle je suppose, mais bon elle doit penser que je pense qu’a son corps, c’est peut-être la raison pour laquelle elle m’a pas distinctement répondu et m’a fait un sourire seulement, cela me rendait triste pour le coup de ne pas savoir. Ce n’était même pas un sourire remplie de sous-entendu, je décide donc de la suivre dans la cuisine et senti la bonne odeur qui sortait du four, comme je l’ai dit sa cuisine me manquait aussi. Elle me sert ce que je lui avais demandé, mais en parlant de la France je la voir continuait de remplir le verre et d’en mettre à cotés enfin plutôt d’en mettre trop et de le faire débordé, puis elle vient me dire que c’est de ma faute et cela me fais rire « je peux savoir à quelle partie tu pensais ? » Je lui montre ma main « j’aurais jamais cru que tu m’aurais demandé ça, je pensais plus que ça aurait été moi qui aurait fait ma demande. » Elle avait encore ses joues toute mignonne et me demande si j’avais faim « hum on peut faire les deux sinon. » Même si j’avais envie de ne pas manger sa cuisine, mais plutôt elle, j’aurais bien reproduit ce qui s’était passé dans la cuisine de sa mère, on aurait souillé les deux. Cela me fis sourire intérieurement, sa mère nous aurait pas surpris cette fois. Sans doute qu’elle me repousserait pas si je tentais quelque chose, mais cela n’était pas une bonne idée. J’ouvre le fou et prend le plat à pleine main, la chaleur ne me faisait plus rien à cause des armes à feu de quand j’étais flic « ça m’a l’air bon ton rôti, le dessert va être meilleur j’ai l’impression » Et je la regarde tout à fait innocemment. Pourquoi j’avais peur de l’embrasser, je pense qu’une fois mes lèvres contre les sienne cela changera enfin j’espérais, j’avais tellement envie de la sentir contre moi. Je prends le couteau et commence à couper la viande dans le plat : « ta mère est absente pour te laisser la maison ? J’aurais bien aimé la salué elle qui a été si… » Puis je baisse le visage contre le plat, d’un coup un petit malaise me remplit le cœur me disant que j’en avais plus, mais je devais rien gâché « si j’aurais pu »